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Deli Express
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Deli Express

Author: TSFJAZZ

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Description


De 12h à 13h, toute l’actu du jazz se déguste à point et avec convivialité. La pause du déj' à la sauce TSFJAZZ, c’est une heure d’interviews, de rencontres, d’avant-premières, d'explorations d’albums & rééditions, de célébration…


Sans oublier, nos désormais incontournables sessions musicales : plus de 150 par saison ! De 12h à 13h, c'est toute l'actualité du jazz qui se déguste à point. 
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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A ce niveau-là, ce n'est même plus un bon plan. C’est encore mieux ! Le ciel est avec nous…Toutes les étoiles s’alignent pour qu’on passe une soirée exceptionnelle ! Et on dit, merci qui ? Merci au festival Jazz sur Seine, qui organise tout à l’heure, son incontournable soirée Showcase !Showcase, signifie « vitrine » en anglais. Et c’est exactement ça : toute une soirée pour mettre la nouvelle scène jazz à l’honneur. Montrer sa richesse, ses nuances, sa vitalité. Avec, au programme dès 20h30, 15 concerts répartis sur cinq clubs du quartier de Châtelet – Les Halles. Et tout est en entrée libre !Je répète, parce qu’à part les verres d’eau dans les bars, il n’y a pas grand-chose de gratuit dans la vie : tout est entrée libre !Même, donc, le concert de nos invités à 21h40, au Baiser Salé : le guitariste Ralph Lavital, le bassiste Elvin Bironien et le percussionniste et batteur Adriano Tenorio. Trois musiciens unis par leur amour de la biguine, l’un des genres musicaux historiques et majeurs des Antilles. Un répertoire dont ils veulent continuer à écrire l’histoire, en le frottant à tous les groove, à toutes les pulsations qui agitent le jazz en 2025. Le projet est né au cours d’une résidence à la Scène Nationale Tropiques Atrium en Martinique, et se prolonge aujourd’hui avec l’album « Biguine Extension », qu’ils nous présentent ce midi dans Deli Express.Vendredi, je vous passais un extrait du quartet AMG, l’un des autres groupes de fou à l’honneur de la soirée Showcase. Du côté du Sunside.Et juste en-dessous, au Sunset, on pourra applaudir un vibraphoniste qui fait des étincelles à chacune de ses apparitions : c’est Alexis Valet. Un musicien branché sur les pulsations new-yorkaises et qui va se produire avec le groupe The Cypher, qui va regarder du côté de ses influences hip-hop. C'est aussi avec eux, qu'il était passé nous voir l’hiver dernier pour l’émission d’Ibrahim Maalouf, Improbox. On en réécoute un extrait, juste pour le plaisir !On referme notre Deli avec un autre magicien de la nouvelle génération, lui aussi bientôt en concert : c’est le pianiste Simon Chivallon que vous pourrez applaudir après-demain au Sunside. Et vous aurez raison d’aller le voir : il présentera le répertoire de son nouvel album, "Alone Again". Un disque tout en finesse, enregistré en trio avec ça et là, un quatuor à cordes qui intervient. C’est très joli : la preuve avec une relecture de cette merveille composée par Antonio Carlos Jobim : Eu Sei Que Vou Te Amar !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Space is the Place », nous disait en son temps le pianiste et chef d’orchestre Sun Ra. Ça tombe bien, c’est aussi là que nous emmène notre invité, le saxophoniste, flûtiste et pianiste Harald Lassen. Mais oui, il a tous ses talents ! Et bien plus encore ! On l’a vu jouer dans des églises, se plonger au cœur de la scène techno undergound d’Oslo, collaborer avec des danseurs, s’installer à Zanzibar pour une résidence musicale. C’est l’une des personnalités les plus passionnantes de la nouvelle scène norvégienne.Harald Lassen est aussi adepte d’un jazz cosmique, trippé et rêveur. Comme on peut l’entendre sur son nouvel album, « RIK », un petit bonbon acidulé et psychédélique à découvrir en concert demain, au New Morning à Paris, et dès ce midi dans notre Deli Express…Boici Harald avec Solveig Wang, aux synthé et à la clarinette, et Sander Eriksen Nordahl à la guitare.  (c) Shawn ArvindEn ce moment, à Paris, il y a des concerts de fou dans tous les sens, grâce au festival Jazz sur Seine, qui se déroule jusqu’au 25 octobre. Par exemple, ce soir à 19h30 et 21h30 au 38 Riv, du côté de la rue de Rivoli, on pourra se plonger dans un océan de douceur et de bonnes vibrations : dans l’univers, entre jazz et folk de Lavender Walk !C’est un jeune trio composé de Christelle Raquillet à la flûte, Thomas Gaucher à la guitare et Cyril Drapé à la contrebasse.Après un premier EP l’an passé, il y deux nouveaux morceaux qui viennent de sortir, notamment cette merveille : Cowboy Song ! Ça y est la programmation de notre prochaine You & the Night & the Music est entièrement dévoilée. Et il y aura du beau monde Salle Pleyel, le 15 décembre, à commencer par notre invité d'honneur : le batteur André Ceccarelli. Également à l'affiche, les Poest of Forest composés de Arnaud Dolmen (batterie), Michel Alibo (basse), et Jowee Omicil (saxophone), et qu'on écoute ce midi avec la harpiste Sophye Soliveau en invitée.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Jazz sur Seine », c’est d’abord le titre d’un des disques les plus cool du jazz parisien d’après-guerre : un album que le saxophoniste Barney Wilen a sorti en 1958 ! Franchement, l’occasion est trop belle, impossible de résister : on va en écouter un extrait au cours de cette émission !Ce midi, on va surtout célébrer le jazz d’aujourd’hui, dans toute sa richesse, toutes ses nuances, toute sa vivacité…Cette formidable scène actuelle sera mise à l’honneur de ce soir au 25 octobre par le festival Jazz sur Seine – ça y est, vous avez compris le clin d’œil !C’est un rendez-vous incontournable et indispensable impliquant cette année, 25 clubs et salle de concerts d’Ile-de-France, avec pas moins de 180 concerts au programme, notamment ceux de notre invitée : la chanteuse Estelle Perreault qu’on pourra applaudir ce soir et demain au Sunside.Et ça va être la  fête ! Estelle va jouer le répertoire de son nouvel album, « Promises », un recueil de chansons originales, percutantes et pleines d’allure. Estelle Perrault y a mis ses émotions, ses douleurs, ses promesses...Et tout ce qui la constitue musicalement : le jazz et la soul…Mais c’est plus que ça ! Moi j’entends aussi des réminiscences de l’acid jazz, et si on remonte plus loin de certaines productions jazz-funk des années 70. Estelle Perrault va donc interpréter ses nouvelles au Sunside à Paris.La voici d’abord sur la scène du Deli Express, avec Rob Clearfield au piano, Melvin Marquez au saxophone, Matteo Bortone à la basse et Théo Moutou à la batterie.L’un des temps fort de Jazz sur Seine, ce sera la soirée Showcase, qui mettra à l’honneur mardi, 15 jeunes groupes dans cinq clubs du quartier de Châtelet, notamment le Duc des Lombards, le Baiser Salé, et le Sunset / Sunside.Il y aura trois concerts par lieux, tout est en entrée libre…Absolument tout : le trio de Mario Canonge, Mathias Lévy et Lou Tavano, le groupe the Getdown, le projet Biguine Extension…Et même ce quartet de fou : AMG, composé de Keïta Janota (saxophone), Antoine Fleury (piano), Anthony Jouravsky (contrebasse) et Mailo Rakotonanahary (batterie), et qu'on écoute ce midi avec Kashmir !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En vérité, pour notre invité, ça a toujours été beaucoup plus que de la musique !Mathias Lévy a trouvé dans le violon une respiration, un refuge, une bulle de liberté, un ailleurs vital. Voilà sans doute, la raison pour laquelle, l’entendre jouer est toujours fort en émotion.C’est toujours intense, mais notre bonhomme a aussi l’humilité des plus grands. Alors au lieu de se mettre en avant, il a imaginé son nouvel album comme une aventure humaine, collective et qui fait la part belle aux mots, à la poésie et à la mélodie.Le résultat s’intitule « Chant Song », et on y entend la prose de Jacques Prévert, James Joyce, Blaise Cendrars…Mais aussi Daniel Balavoine, avec une reprise poignante de « Tous les cris les SOS ».Le tout magnifié par Lou Tavano, qui est l’une des chanteuses les plus bluffantes de la scène française ! Le reste du groupe, c’est aussi la grande classe : Jean-Philippe Viret à la contrebasse, Laurent Derache à l’accordéon et Sébastien Giniaux au violoncelle et à la guitare. On pourra tous les applaudir en deux temps, mardi au Duc des Lombards, dans le cadre de la soirée Showcase du festival Jazz sur Seine…Et le 18 novembre au Studio de l’Ermitage, dans le cadre du festival Jazz'n'Klezmer.Ça n’arrive pas tous les jours ! Raison de plus pour sortir trompettes, tambours, et cotillons : l’ouverture d’un nouveau club de jazz, demain à Paris !Longue vie, au Jass Club, avec deux « s », qui va se tenir à l’emplacement de l’ancien Barbizon, au 141 rue de Tolbiac, dans le 13e arrondissement.Pour cette soirée inaugurale, il y aura une double affiche : d’abord l’un des padre de la trompette jazz en France, Eric Le Lann, à 19h30, en quartet…C’est toujours la classe ! Suivi de la chanteuse Ellen Birath, avec à ses côtés, la crème de la nouvelle scène, Noé Codjia à la trompette ou Bastien Brison au piano, pour un set entre jazz, soul et pop.On est tellement impatients qu’on célèbre déjà la nouvelle dans notre Deli, avec un morceau d’Ellen Birath, il y a quatre ans, dans le cadre des Paris Jazz Sessions, « Alone Again », sa version du tube de Gilbert O’Sullivan !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La magie Stella Cole

La magie Stella Cole

2025-10-0644:42

Lorsque Stella Cole était ado à Springfield dans l’Illinois, alors que tout le monde autour d’elle écoutait Justin Bieber ou Katy Perry, elle était plutôt branchée James Taylor ou Norah Jones.Il y avait aussi Judy Garland, et les comédies musicales de l’âge d’or d’Hollywood. Ça, c’était carrément son dada, son royaume, sa passion ! « Le magicien d’Oz », « Chantons sous la pluie », « La mélodie du bonheur »…Elle a rêvé sur ses films ! Ils lui ont donné envie de chanter, et de montrer au monde entier à quel point leurs bandes-son pouvaient rendre notre époque plus belle.Aujourd’hui, après avoir affolé les réseaux sociaux à travers des vidéos qui cumulent des dizaines de millions de vues, Stella Cole perpétue son amour des standards à travers les scènes du monde entier.Et à travers des albums, dont le deuxième, « It’s Magic » vient de sortir. Une plongée tout en élégance dans le Great American Songbook. Non seulement la voix de Stella Cole nous touche une nouvelle fois en plein cœur. Mais elle est magnifiée par un orchestre à cordes. C’est somptueux ! Et tout a été arrangé par le pianiste Alan Broadbent.Ce répertoire, Stella Cole le présente en concert demain soir à La Cigale, et dès ce midi sur la scène du Deli Express.« It is such a pleasure, Stella !"Te voici avec Fraser Urquhart au piano, Luca Fattorini à la contrebasse et Malte Arndal à la batterie.Pour ouvrir notre Deli, on plonge dans une archive inédite du batteur Art Blakey et de ses Jazz Messengers. Un concert d’avril 1982 à Strasbourg, qui refait surface grâce à l’excellent label Gearbox Records. Un live tout simplement explosif ! A cette époque, les frères Wynton et Branford Marsalis venaient de quitter la formation, qui accueillait donc des petits nouveaux : Terence Blanchard à la trompette et Donald Harrison au saxophone…Mais aussi le pianiste Johnny O’Neal. Cet inédit sortira samedi, jour de l’anniversaire d’Art Blakey, sous le titre de « Strasbourg 82 »…En extrait, voici Fuller Love ! Crédit Une : Luke RogersHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce midi, c’est compliqué ! Ce n'est pas moi qui le dis, mais China Moses qui en a même fait le titre de son nouvel album : "it’s complicated… » Pourtant, tout coule de source quand on l’écoute ! Son sens inné du groove, son énergie solaire, ses talents d’autrice et conteuse, sa volonté de casser les barrières, d’être résolument libre, et de se livrer totalement, sans faux semblants.China a mis 100% d’elle-même : son expérience, sa sueur, ses sentiments. Elle a pris le temps de polir chacune des huit chansons pour être au plus proche de ses émotions. C’est ce qui les rend si magnétiques.Ce disque, c’est tout simplement la classe, si vous aimez la soul, le jazz et tout ce qu’il y au milieu. Il y a de la gratte, des cuivres, des phases carrément rock, d’autres plus funky...Bref, c’est du China style ! Elle aime autant Roberta Flack que Jimi Hendrix, autant Patrice Rushen que Meshell Ndgeocello. Alors forcément ça se ressent dans son univers. Ça et le fait, qu’elle a conçu ce disque entre Londres, Brooklyn et Paris, et qu’on croise au fil des plages, des gens qu’on adore : Theo Croker, Lakecia Benjamin, et Troy Miller à la production."it’s complicated… » sort aujourd’hui, et en vérité, ce n'est pas compliqué : on célèbre cette parution avec son autrice.Welcome China ! Bienvenue China Moses ! Quel kif de finir la semaine avec toi, et toute ton équipe ! Il y a du monde ce midi sur la scène du Deli : Tony Tixier au piano, Emmanuel Sunee à la contrebasse, Faniry Adriana Rissoa à la batterie, Jérôme Cornelisss à la guitare, Adélaïde Songeons au trombone, Gérald Grandman au saxophone et Aurélien Meunier à la trompette.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si on profitait de la vie, ce midi ? Si on décidait que la fête commence ? Si on laissait le bon temps rouler ?Je ne suis d’ailleurs pas le seul à le vouloir. Pour nos invités, c’est même une philosophie de vie, et le nom de leur émission de radio chez nous, à TSFJAZZ.Vous me voyez venir : Bon Temps Rouler, le rendez-vous incontournable des amoureux du blues et de la soul. Et c’est fou, le show existe depuis 25 ans, et il y a toujours autant de fraîcheur, de passion, d’émotions, et de découvertes. C’est du miel pour les oreilles ! Pas étonnant quand on sait que ses deux pilotes sont, non seulement des pointures sur leurs instruments, Jean-Jacques Milteau à l’harmonica et Johan Dalgaard aux claviers. Mais aussi, et peut-être même avant tout, des amoureux fous de musiques…Et ils nous le transmettent ! Il n’y a pas une émission dont on sort, sans avoir eu le cerveau retourné par une chanson.Aujourd’hui, Jean-Jacques et Johan vont plus loin : ils sortiront le 31 octobre le premier d’une série d’EP’s baptisés « Bon Temps Rouler Sessions » avec à chaque fois, un invité qui les rejoints en studio.Celui qui ouvre le bal incarne tout l’esprit de leur émission : la classe, la profondeur, la soul…Et par soul j’entends : cette manière de nous faire dresser les poils dès qu’il chante. Leur guest, c’est Hugh Coltman avec lequel ils ont enregistré cinq chansons que vous entendrez pour sûr si vous faites partis des chanceux qui les applaudiront en concert le 7 octobre au Duc des Lombards, à Paris. Des concerts gratuits pour lesquels il suffisait de s’inscrire sur les sites de la radio et du Duc. Je parle au passé, parce que c’est complet…Mais pour quelques derniers chanceux, il y a une file d’attente, et qui sait, ça va peut-être un peu bouger dans les prochains jours.En attendant, soyons heureux : Jean-Jacques Milteau, Johan Dalgaard et Hugh Coltman sont ce midi sur la scène du Deli Express…Avec aussi Laurent Vernerey à la contrebasse et Raphaël Chassin à la batterie !On profite aussi de la présence de la team Bon Temps Rouler pour explorer l'un des quatre albums de Ray Charles que son label, Tangerine Records, va rééditer le 24 octobre. Parmi ces disques, introuvables depuis longtemps, il y a "Come Live With Me", initialement paru en 1974, avec un Ray Charles flamboyant, entre soul et pop !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mais à quoi carbure-t-il ? A quoi carbure notre invité ?Au Chocolate Cake ? Peut-être, comme c’est le titre d’un de ses nouveaux morceaux. On va lui poser la question, tiens ! En tout cas, le pianiste Armel Dupas a tellement de musique en lui, qu’il s’apprête à sortir encore un nouvel album. Son troisième en même pas un an.Cette fois, c’est un disque lumineux, en trio qui fait la part belle à ses propres compositions, à l'exception de deux titres, Invitation, qu'il va jouer au cours de cette émission.Armel Dupas déborde donc d’inspiration. Ça s’explique probablement par le mode de vie qu’il s’est choisi. Il a mis le bien-être, la spiritualité et le lien social au cœur de sa démarche : il joue du piano dans des cours de yoga, invite son public à s’allonger sur son instrument pour en ressentir toutes les vibrations, et organise des concerts chez l’habitant.Il est aussi inspiré, Armel Dupas, par toutes ses expériences et ses collaborations. Et là aussi c’est la classe ! Cartherine Ringer, Sandra Nkaké, Henri Texier…Il les a toutes et tous accompagné. Son nouvel album, « Everyday Superheroes » célèbre les héros du quotidien, et nous fait naviguer Il dans du soul-jazz, des choses plus contemplatives et même des rythmiques latines. Ça sortira le 17 octobre, mais on l’explore dès ce midi dans Deli Express.Te voici Armel, avec Jules Billé à la contrebasse et Christophe Piot à la batterie.Un nouveau morceau de Samara Joy, ça ne se refuse pas !Ça s’accueille même les bras grands ouverts : ce midi, on se régale donc aussi avec Three Little Words, sorti il y a trois jours, mais issue des mêmes sessions que Portrait, son dernier disque en date.Pour la petite histoire, c’est l’une des premières chansons que Samara Joy a apprises.On souhaite aussi un joyeux anniversaire au violoniste Jean-Luc Ponty, qui a 83 ans aujourd'hui.Dès la fin des années 60, il s'est installé aux Etats-Unis, pour se rapprocher de musiciens tels que George Duke et Frank Zappa et a commencé à électrifié son propos, s'imposant très vite comme une figure majeure du jazz fusion.On l'écoute en 1969, avec un extrait de "Electric Connection", enregistré avec un orchestre emmené par Gerald Wilson.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On est comme des fous !Ce moment, ça fait un bail qu’on l’attend : la reformation d’un des groupes phares du jazz caribéen des années 2000. Je crois qu’ils n’avaient pas donné de concerts ensemble, depuis 10 ans. Raison de plus pour célébrer le retour de Sakésho.C’est tellement bon de vous voir tous les quatre, ensemble !En plus, ce n’est pas tous les jours qu’on a la chance d’accueillir un joueur de steelpan, l’instrument roi de la Trinité-et-Tobago, au son tout simplement magique : So welcome Andy Narell ! Bienvenue aussi bien sûr au reste de la team, et vous allez l’entendre, il n’y a que des pointures : Mario Canonge au piano, Michel Alibo à la basse et Jean-Philippe Fanfant à la batterie.Sakésho se reforme pour plusieurs concerts. Demain d'abord, au Baiser Salé, à Paris, haut lieu des groove de la Caraïbe. Et les 30 et 31 octobre, juste à côté, au Sunside.L’occasion de revisiter le répertoire des deux albums, qu’ils ont sorti en 2002 et 2005.Notamment celui de « We Want You To Say… », sur lequel on retrouve le morceau que voici en live, sur la scène du Deli Express : Bwa Moudong  !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mais ça ne va pas ?On ne met jamais de majuscule au début du nom de daoud ! C’est d’ailleurs une tendance qu’on croise de plus en plus. Pour casser le côté trop formel, trop rigide de certaines convention, pour installer d’emblée un rapport plus détendu.Est-ce la raison pour laquelle notre invité a adopté le tout minuscule ? On va lui demander au cours de cette émission.Ce qui est sûr c’est que daoud ne fait rien comme tout le monde…Et c’est pour ça qu’on l’adore ! Il y a déjà son parcours ! Il a étudié à Amsterdam, a été croque-mort, livreur de pizzas. daoud a même servi des bières dans un vieux rade en Ecosse.Aujourd’hui il vit à Toulouse, et s’est imposé, en même pas deux ans, comme l’un des enfants terribles de la nouvelle scène. Mais il n’y a rien de plus attachant qu’un enfant terrible ! Surtout lui ! On est fans de son approche brute de décoffrage. De sa manière de tremper son jazz dans pleins d’autres choses. Il n'y a pas de limite : ça va de la drum’n’bass à la transe du gnaoua.daoud remet aussi la malice, et le décalage au centre de la musique, et ça fait du bien ! C’est aussi un artiste qui peut se faire tondre les cheveux en plein milieu de ses concerts.Cette vision unique, il continue à l’affiner sur son 2e album, « ok », paru chez ACT Music, le label historique du trio E.S.T.Un répertoire qu’il a présenté hier au Carré Bellefeuille de Boulogne-Billancourt.Et avant de remettre ça, le 12 novembre au Bikini, à Toulouse, et le 15, à Paris, à la Machine du Moulin Rouge, voici daoud sur la scène du Deli Express, en compagnie de Bastien Andrieu aux claviers, Louis Navarro à la contrebasse et Quentin Braine à la batterie.En ce jeudi 25 septembre, on se souvient aussi du pianiste Georges Arvanitas, qui s’est éteint, il y a vingt ans aujourd’hui. Il avait 74 ans, et une carrière exemplaire !A la tête de son trio pendant 28 ans, il a accompagné la crème de la scène américaine de passage à Paris. Et quand je dis la crème, ça va de Dizzy Gillespie à Chet Baker…C’était aussi un musicien de studio ultra prisé. Et là, on peut citer Claude François, Sheila, Maxime Le Forestier, et tant d’autres.Le voici, Georges Arvanitas en quintet, avec un extrait de son album, « Soul Jazz », sorti en 1960…Une version du morceau This Here, composé par Bobby Timmons !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Est-ce parce que Stéphane Grappelli a passé toute la 2nde Guerre Mondiale là-bas ?Possible…Ce qui est sûr, c’est que Londres est une terre de jazz manouche fertile !Pendant près de vingt ans, la crème européenne du genre s’est produite au Quecumbar, un resto/club qui a été incontournable jusqu’à sa fermeture, il y a trois ans. Je me souviens encore d’un live d’anthologie d’Angelo Debarre qui a été capté là-bas.Aujourd’hui, il y a un jeune guitariste qui sort clairement du lot : il s’appelle Harry Diplock et a quitté en 2012 sa ville natale de Devon pour la capitale britannique. C’est un proche de musiciens qu’on adore à la radio, Joe Webb ou Giacomo Smith. Et il aime tellement Django et ses enfants spirituels qu’il a même fondé le London Django Collective.Il y a deux ans, il sortait aussi un disque impeccable et tout en élégance, « Harry Diplock Trio & Friends ». C’est d’ailleurs comme ça qu’on l’avait découvert.Harry Diplock est en concert ce soir au Duc des Lombards, à Paris, en compagnie de Sol Grimshaw à la guitare rythmique, et Isaac Burland à la contrebasse...C'est aussi le groupe à l'honneur de notre Deli Express.Pour tous les amoureux de guitare jazz, il y a aussi une petite merveille qui vient d’être rééditée en vinyle et en digital grâce à Craft Recordings : l’une des premières sessions en leader de Kenny Burrell. Un album paru en 1957, qui porte d’ailleurs tout simplement son nom. Il avait 25 ans, à l’époque, et déjà un son marquant : à la fois fortement ancré dans le blues et dans le bebop. Son jeu c’était déjà de la dentelle ! La preuve, avec cette version d’un standard de Cole Porter : All of You, avec notamment Tommy Flanagan au piano et Elvin Jones à la batterie. On referme ce Deli avec une étoile filante du jazz : un trompettiste né un 24 septembre, en 1923 et qui s’est éteint à 26 ans.Fats Navarro était l’un des trompettistes les plus brillants et les plus prometteurs de sa génération. Le voici en 1947 avec le pianiste Tadd Dameron et le morceau The Squirrel ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La première fois que Joe Alterman a rencontré l’un de ses héros, Les McCann, c’était déjà un pianiste chevronné. Au point d’avoir l’honneur de faire l’ouverture d’un de ses concerts, au Blue Note à New York.Alors que Joe répétait quelques heures avant, Les McCann s’est avancé et lui a demandé de jouer un blues…Ce qu'il a fait. Et au bout de quelques minutes, le grand maître a prononcé un seul mot : « Amen ! ».Ce fut le début d’une belle complicité qui a duré une douzaine d'années, jusqu’à la fin de la vie de Les McCann, il y a bientôt deux ans.Aujourd’hui Joe Alterman célèbre sa mémoire dans un album qui sortira la semaine prochaine, « Keep the Line Open », conçu avec le bassiste et producteur Mocean Worker.C’est un petit bijou ce disque et on va en écouter un extrait au cours de cette émission.Parce que oui, Joe Alterman est en studio avec nous, à l’occasion de ses concerts ce soir au Duc des Lombards. Des live en trio, avec Viktor Nyberg à la contrebasse et Romain Sarron à la batterie.Les voici aussi, tous les trois sur la scène du Deli Express.Ce midi, on célèbre aussi les 70 ans d'un concert de légende.Le 19 septembre 1955, le trio du pianiste Erroll Garner s'installait le temps d'une soirée, dans une ancienne église transformée en base militaire, à Carmel, en Californie.Une performance qui a été enregistrée par un étudiant équipé d'un magnétophone de fortune.La bande est arrivée sur le bureau de Columbia, et si la qualité de l'enregistrement laissait au départ à désirer, la magie elle opérait dès les premières secondes, au point que le label ne l'édite quelques semaines plus tard sous le titre de "Concert By The Sea", devenu depuis un incontournable, un classique, un best-seller du piano-jazz !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre le quartier de la Goutte d’Or à Paris, et la Nouvelle-Orléans, il y a, à peu près 8000 kilomètres de distance. Mais grâce au 360 Paris Music Factory (en association avec le New Orleans Jazz Museum), les deux ne formeront qu’un seul et unique territoire de demain à dimanche, avec le Festival Jazz Nouvelle-Orléans à la Goutte d’Or.Un rendez-vous musical, mais pas seulement ! Il va y avoir des ateliers culinaires, une expo, des masterclasses, une fanfare qui va déambuler dans tout le quartier.Et donc aussi évidemment tous les groove de New Orleans qui seront célébrés. C’est un tôlier de la ville qui ouvre le bal, demain ! James Andrews est trompettiste, chanteur. C’est aussi un véritable showman…En même temps il en connaît un rayon : il fait de la musique depuis qu’il a quatre ans. C’est aussi le petit-fils d’un pionnier du rhythm’n’blues, et le grand frère de Trombone Shorty.Pour son concert parisien, James Andrews va se produire avec la Nola French Connection, un brass-band parisien, fondé il y a un peu moins de dix ans, après un voyage initiatique à la Nouvelle-Orléans.Ils sont tous là ce midi sur notre scène, ça va déménager : Voici James Andrews en compagnie de François Morin au trombone, Thibaud Merle au saxophone ténor, Lucas Dessaint au sousaphone, et Florent Berteau à la batterie.L’album sera réédité demain grâce aux fins limiers du label Resonance Records : « Cinnamon Flower » de Charlie Rouse.Il est connu pour avoir été le saxophoniste de Thelonious Monk dans les années 60. Mais là, on l’entend plus tard : en 1977, et dans un tout autre contexte. Sur ce disque, il fusionnait musique brésilienne et jazz-funk. En extrait voici « Clover & Cinnamon (Cravo & Canela) », une reprise de Milton Nascimento.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Finalement pour atteindre le Nirvana ce midi, on a besoin de quoi ?Pas grand-chose ! Juste d’un violoncelle, et d’un cavaquinho. Un quoi ?Un cavaquinho ! C’est une sorte de petite guitare très répandue au Brésil, sur laquelle Matheus Donato a flashé a dix ans lorsqu’il vivait à Brasilia. Comme c’est l’un des instruments rois du choro, il s’est aussi plongé en profondeur dans l’étude de cette musique. Désormais basé à Paris, il ouvre son champ d'action à des multiples contextes musicaux.Notre violoncelle du jour, appartient, lui, à Guillaume Latil. C’est d’ailleurs un instrument qu’il a toujours vu et entendu, car il a grandi avec une maman prof de violoncelle. Elle lui a notamment appris à ne pas avoir peur de l’emmener hors des sentiers battus. Alors, depuis qu’il en a fait sa vie, il navigue entre jazz, musique de chambre et du monde. Et on l’a croisé auprès de Youn Sun Nah, Lou Tavano ou Sélène Saint-Aimé.Nos deux hommes réunissent tous leurs mondes sur un très bel album en duo, « Hémisphères ». Avec des clins d’œil à Robert Schumann, Piazzolla, Pixinguinha Chopin ou même à la musique bulgare. Un dialogue sensible, joueur, plein de grâce qu’ils présenteront en concert le 15 octobre au Petit Duc, à Aix-en-Provence, et le 5 novembre au Café de la Danse, à Paris. Et dès ce midi dans notre Deli.(c) JE EftehkariSi on a la sourire en ce début de semaine, c’est aussi parce qu’on a reçu des nouvelles d’un jeune pianiste américain qu’on adore !Sean Mason a 27 ans, et déjà, du style, du swing et du talent à revendre. Sa musique, c’est tout simplement la classe ! Elle renvoie aux années 50 et 60, tout en étant parfaitement ancrée dans la modernité new-yorkaise…La preuve, avec ce tout nouveau morceau, Rediscovery, enregistré en quintet.Ce Deli, on le dédie à la mémoire d’un génie : le Brésilien Hermeto Pascoal, qui s’est éteint ce week-end à 89 ans.Hermeto Pascoal jouait de l’accordéon, de la flûte, du saxophone, des claviers, de la guitare, des percus. Rien que ça, c’est déjà énorme !Mais pour lui, tout était musique, tout était propice à la création ! N’importe quel objet pouvait se transformer en instrument. Et il intégrait aussi les bruits de la nature et le chant des animaux dans sa musique.Hermeto Pascoal avait impressionné jusqu’à Miles Davis, qui l’avait convié à participer à son album, Live Evil, au début des années 70.On l’écoute, nous, en 1977 avec « Chorinho Pra Ele », extrait de l'album Slaves Mass.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Encore plus balèze que les Quatre Fantastiques et Superman au cinéma : le pianiste Fred Nardin pendant trois soirs au Duc des Lombards, et à l’honneur toute la journée sur TSFJAZZ ! Mais oui, depuis ce matin, notre super-héros, c’est lui !Quel est son pouvoir, vous allez me demander ? C’est très simple : Un toucher cristallin, du swing à revendre, un appétit de musique insatiable et une immense culture jazzistique.Il est tellement fort Fred Nardin ! Tout le monde se l’arrache, et il est sur tous les fronts !C’est l’un des fondateurs, et aujourd’hui encore un pilier de l’Amazing Keystone Big Band…Depuis quelques années, il officie aussi en tant que claviériste et directeur musical de Pascal Obispo…Il fait la même chose avec Stefano Di Battista…Il dirige ses propres groupes, et il n’est pas rare non plus de le voir accompagner des musiciens étrangers de passage à Paris.Bref, Fred est hyperactif, et nous, on est hyper heureux à chaque fois qu’on l’entend.Et depuis ce matin, nous sommes servis ! Il a imaginé pour nous, une série de duos avec plusieurs des musiciennes et musiciens qui vont défiler à ses côtés, de ce soir à samedi au Duc des Lombards.Et près le contrebassiste Viktor Nyberg dans les Matins Jazz, te voici Fred Nardin, sur la scène du Deli Express, en compagnie de Raynald Colom et Inor Sotolongo...Un trompettiste et un percussionniste qu’on retrouve aussi en invité sur ton nouvel album, « Trio + ».Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce midi, un seul mot clé :  Zangbeto !A l’origine, c’est le nom d’une société de porteurs de masques au Bénin, dont la mission est de protéger les communautés contre les mauvais esprits. Mais Zangbeto, c’est aussi le quintet à l’honneur de notre Deli Express. Une belle aventure qui a débuté, il y a quatre ans, lorsque trois instrumentistes togolais, Joachim Amouzou, Honoré Dafo, et Hénoc Fafadji, ont participé à une résidence musicale avec Peter Solo de Vaudou Game.L’alchimie entre eux trois a été si forte qu’ils n’ont plus jamais arrêté de jouer ensemble, jusqu’à taper dans l’œil de l’Académie d’été du festival Jazz à Vienne.C’est là qu’ils ont noué une solide complicité avec le trompettiste Félicien Bouchot, échappé d’orchestres qu’on adore sur TSFJAZZ, l’Amazing Keystone Big Band, Bigre et le Skokiaan Brass Band.Ensemble, et avec aussi l’arrivée du guitariste Romain Baret, ils ont commencé à travailler sur un répertoire fusionnant jazz, rythmes et chants d’Afrique de l’Ouest. Le résultat était tellement bon et bouillant qu’ils devaient absolument l’immortaliser sur un album : « Ezo », paru l’an passé et qu’ils présentent en concert ce soir au Duc des Lombards, et dès ce midi sur la scène de notre Deli Express.Voici Joachim Amouzou au piano, Honoré Dafo à la basse Henoch Fafadji à la batterie, Romain Baret à la guitare, et Félicien Bouchot à la trompette.On le sait, nous : le jazz en club, le jazz en concert, ce sont des émotions incomparables, des moments forts et uniques !On est donc comme des fous depuis qu’on nous a annoncé la sortie le 24 octobre d’un live inédit du pianiste Horace Silver, un pilier de l’âge d’or du label Blue Note, et le tenant d’un jazz gorgé de blues, de gospel, de soul et de ses racines cap-verdiennes. Le live en question reprend un concert d’août 1965 à Seattle.A cette époque, dans son groupe, Woody Shaw faisait des merveilles à la trompette et Joe Henderson faisait pareil au saxophone.On en écoute un extrait ce midi : une version fougueuse du Cape Verdean Blues !Il est né un 10 septembre : le regretté Roy Ayers qui s'est lui aussi tourné vers l'Afrique au cours de sa longue carrière.A la fin des années 70, le vibraphoniste est parti en tournée à travers le Nigeria pour assurer les premières parties des concerts de Fela Kuti.A la fin de cette série de trente dates, les deux hommes sont entrés en studio pour gravé un album paru en 1980, "Music of Many Colours", dans lequel on se plonge en fin d'émission.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce midi, c'est la grande grande classe !On passe Deli  en compagnie de Brad Mehldau.On va aligner les superlatifs, mais c’est certainement le pianiste les plus influent de ces trente dernières années… Un homme qui a renouvelé l’art du trio, changé la face du jazz et profondément marqué les générations qui ont suivi !En 2002, avec l’album Largo, il s’affirmait même comme un esthète à la vision unique, synthétisant de façon impressionnantes toutes ses influences, de la musique orchestrale européenne à la drum’n’bass, avec le jazz, en dénominateur commun et des moyens de production et d’enregistrement qu’on avait plutôt l’habitude de voir dans la pop.Depuis, Brad Mehldau n’a jamais cessé à la fois, de magnifier son instrument, mais aussi de chercher de nouveaux possibles…Comme sur le disque Finding Gabriel, paru il y a six ans…Un trip sonore fascinant inspiré par sa lecture approfondie de la Bible, et sur lequel il s’amuse avec toutes sortes de claviers et avec des chœurs.Le nouvel album de Brad Mehldau est un nouveau coup de maître.Avec « Ride Into the Sun », il renoue d’ailleurs avec l’esprit pop de Largo, et l'ambition orchestrale d’un autre de ses sommets, Highway Rider. Mais ici, il célèbre la mémoire d’Elliott Smith, l’un de ses artistes préférés et un poète maudit du rock américain.Il le fait à travers un répertoire à géométrie variable, du solo à l’orchestre, avec des invités tels que le joueur de mandoline et chanteur Chris Thile, ou encore de David Rossen du groupe Grizzly Bear.Un disque fort et sublime qu’on est heureux et fiers d’explorer ce midi à ses côtés.  (c) Yoshika HoritaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre invitée est un phare pour toute la nouvelle génération du jazz français.Ne suivant que son cœur et ses envies, la batteuse Anne Paceo a très tôt développé un univers singulier, empli de poésie, d’ouverture sur le monde, d’exploration sonore ! Sans le savoir, elle a donné confiance et servi d’exemple à beaucoup de musiciens qui ont suivi.C’est que rien ne l’arrête ! Tout est prétexte à élargir le spectre des possibilités. Jouer avec des musiciens traditionnels birmans ? Elle l’a fait…Se pencher sur l’importance de la musique et de la voix dans les rites chamaniques…Fait également !Pour son huitième album, Anne Paceo est allée voir encore ailleurs : dans les profondeurs, dans son amour pour l’eau et les océans.Il faut dire qu’elle a vécu une expérience assez forte, il y a trois ans, en faisant de la plongée pour la première fois de sa vie : ça a été un moment magique ! Un moment d’apesanteur et de contemplation, et quelque part le début de ce projet passionnant…Je ne sais pas comment tu fais Anne, ça doit être le travail sur les voix et les claviers…Mais on a l’impression d’être sous la mer, d’être en immersion de la première à la dernière note d’Atlantis. Un album puissant, flirtant avec la pop et l’électro, et que tu présentes en en concert demain soir à Jazz à La Villette. Et dès ce midi dans notre Deli…Te voici à la batterie et au chant, avec Maya Cros aux claviers, Gauthier Toux au piano, Christophe Panzani au saxophone, Lilian Mille à la trompette et Laura Cahen au chant !(c) Tanguy GinterCe midi, on souhaite aussi un joyeux anniversaire à Peter Bernstein, l’un des boss new-yorkais de la guitare, et ça fait une trentaine d’années que ça dure ! Auprès de Diana Krall, Lonnie Smith ou Brad Mehldau dont il est l’un des proches. Brad Mehldau était d’ailleurs le pianiste de son tout premier album, « Somethin’s Burnin’s », enregistré en 1992. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour nous, c’est clair ! Quand on les voit, quand on les écoute, on se dit qu’ils étaient faits pour s’entendre ! Donny McCaslin et le groupe Ishkero partagent le même goût pour les explorations sonores, la même envie de brouiller les pistes, de faire sauter les barrières, d’aller fouiller les recoins de leurs influences musicales.Donny a été le dernier saxophoniste et directeur musical de David Bowie, celui qu’on entend sur Blackstar et Ishkero est au cœur des nouvelles tendances qui agitent la scène française. Ses membres trippent d’ailleurs depuis longtemps sur sa musique. Et grâce au soutien de l’opération Talents Adami Jazz, ils peuvent non seulement le rencontrer, mais aussi se produire avec lui.Au printemps dernier, il y a un eu un concert d’anthologie à Jazz sous les Pommiers, puis un autre cet été à Jazz à Vienne. Et tout ce beau monde remet ça jeudi soir au festival Jazz à La Villette. Ça va être explosif et génial ! Ils vont jouer le répertoire du nouveau disque de Donny McCaslin, « Lullaby for the Lost » (à paraître le 26 septembre chez Edition Records). Un répertoire qu’on explore dès ce midi dans Deli Express, avec Donny McCaslin au saxophone, et donc tous les Ishkero : Tao Ehrlich à la batterie, Antoine Vidal à la basse, Arnaud Forestier aux claviers et Victor Gasq à la guitare ! On est comme des fous, c'est la rentrée. On avait hâte de vous retrouver. Et on vous la souhaite remplie d’autant de groove et d’énergie que ce morceau du bassiste Jaco Pastorius : « Kuru / Speak Like a Child » !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous en connaissez beaucoup, vous, des trompettistes adoubés à la fois par Wynton Marsalis et Beyoncé ? Nous, on n’en voit qu’un : c’est Keyon Harrold, un pied dans le jazz, l’autre dans le hip-hop et la soul. Un musicien génial et hybride, dont l’ouverture d’esprit colle à merveille avec tout ce que défend le New Morning…Et ça tombe bien, c’est là que Keyon et son quintet se produisent ce soir, dans le cadre du All Stars Festival, que le club parisien organise tous les étés et qui rassemble du beau monde.On va en parler avec la programmatrice du New, Christine Badier.Et on va donc se régaler aussi avec Keyon Harrold et son groupe, parce qu’ils sont là ce midi, sur notre scène.Bienvenue Keyon ! L’an passé, tu as sorti ton troisième album, "Foreverland". C’est le répertoire dont il sera question au New Morning. Il y aura peut-être aussi, remarque, des nouveaux morceaux. Tu vas nous l’expliquer.Mais tout de suite, te voici en live, avec Nir Felder à la guitare, Chad Selph au piano, Jermain Paul à la basse, Charles Haynes à la batterie !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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