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Demain à la une

Author: FRANCE 24

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Les chroniqueurs des trois médias de FMM analysent les événements qui feront l'actualité de la semaine à venir en croisant leurs regards. Le samedi à 10 h 15.

20 Episodes
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Les opérations militaires américano-britanniques continuent au Yémen contre les Houthis. Un nouveau front s'est ouvert dans ce Moyen-Orient déjà embrasé, avec la guerre d'Israël contre le Hamas à Gaza. Les frappes américaines font suite aux multiples opérations des rebelles Houthis en mer Rouge depuis novembre dernier. Leurs attaques, visant des navires marchands ou de guerre, impactent sérieusement le commerce mondial.  L’insurrection des Houthis au Yémen a démarré en 2004 contre le régime d’Ali Abdallah Saleh. Mais c’est après que ce dernier a quitté le pouvoir, à la suite du Printemps arabe, que les rebelles s’emparent de la capitale et s’imposent vraiment dans le pays.En 2015, une coalition de pays arabes dirigée par Riyad et soutenue par Washington lance la guerre aux Houthis. Mais les premières frappes saoudiennes interviennent dès 2009. C'est à cette période que Téhéran manifeste son intérêt pour le Yémen. Entre 2015 et 2023, l’Occident semble peu intéressé par la situation au Yémen alors que l’ONU affirme que le pays connaît l'une des plus graves crises humanitaires au monde. Au total, 80 % de la population du pays peine à accéder à la nourriture et à des services de base en 2023. Les Houthis reviennent à la une de l’actualité en novembre dernier, quand ils ont commencé à s’attaquer à des navires en mer Rouge et dans le golfe d’Aden qu’ils estiment liés à Israël, en "solidarité" avec les Palestiniens à Gaza.À lire aussiAttaques des Houthis en mer Rouge : quelle marge de manœuvre pour la coalition internationale ?Plus de 80 % du commerce mondial de biens se fait par voie maritime et 12 % de celui-ci transite par cette zone contrôlée par les Houthis. Avec ces attaques, des armateurs ont décidé de suspendre les transits par la mer Rouge et de contourner l’Afrique. Ce qui risque d’impacter les prix alimentaires mondiaux.Les États-Unis et le Royaume-Uni ripostent avec le risque d’élargir le conflit dans un Proche-Orient déjà sous tension.
Les primaires républicaines continuent la semaine prochaine, après le premier Caucus remporté par Donald Trump dans l’Iowa le 15 janvier et la primaire du New Hampshire du 23 janvier. Les défaites successives de Nikki Haley confirment l’avance prise par l’ancien locataire de la Maison Blanche. Mais la candidate, qui est seule aujourd’hui à représenter la résistance interne à Trump, n’a pas encore dit son dernier mot. Au début, ils étaient 14La course des candidats à l’investiture républicaine a commencé le 15 janvier par le premier caucus du parti, remporté par Donald Trump dans l’Iowa. Une semaine après, c'est une primaire qui était organisée au New Hampshire, le 23 janvier.Avant le début des primaires, il y avait 14 candidats républicains. Mais 11 se sont retirés, dont plusieurs – comme le gouverneur floridien Ron DeSantis – en faveur de Donald Trump.Toujours en lice, Nikki Haley espère réunir les voix des républicains traditionnels et une frange importante d'électeurs indépendants. Sauf qu’à la primaire du New Hampshire, c’est encore Donald Trump qui l’emporte, avec 54 % des voix. Haley s’en sort avec 43 %, plus que ce que prédisaient les sondages et assez pour la convaincre de rester dans la course.Aujourd’hui, outre l'ancien président et son ancienne ambassadrice à l'Onu, il ne reste plus que Ryan Binkley : un chef d’entreprise texan qui assure avoir été appelé par "Dieu" à se présenter à la présidentielle américaine. Il n’a engrangé le soutien d’aucun délégué jusqu’à présent.Et la justice dans tout ça ?La prochaine primaire importante pour Nikki Haley se tiendra le 24 février en Caroline du Sud, État dont elle est l'ancienne gouverneure. Pour elle, le plus important est de rester dans la course, car si les ennuis judiciaires de Trump venaient à l'empêcher de se présenter, elle serait alors la seule candidate encore en lice.Même s’il la devance dans les urnes, le maintient de Nikki Haley dérange Donald Trump, car tant que sa rivale reste dans la course, l’ancien président doit continuer à financer sa campagne à coup de millions de dollars. Or, les multiples procès qui lui sont intentés lui coûte aussi très cher.Autre volet judiciaire : la Cour suprême des États-Unis se prononcera le 8 février sur l’appel déposé par l'ex-président contre la décision rendue en décembre par le Colorado, qui lui interdit de figurer sur les bulletins de vote de la primaire républicaine dans cet État. L’ancien président est accusé d’avoir participé à une tentative d'insurrection menée le 6 janvier 2021 par ses partisans au Capitole.Le 25 mars, c'est le procès de Donald Trump pour falsification de ses comptes de campagne qui se tiendra, et le 20 mai, l'ex-président sera jugé pour recel de documents classifiés.Quid de Joe Biden ?La candidature de Nikki Haley dérange aussi la Maison Blanche. Joe Biden, candidat à sa propre succession, préférerait faire face à Donald Trump plutôt qu'à l'ancienne gouverneure de Caroline du Sud. Tous les spécialistes expliquent que "seul Biden peut battre Trump. Mais Trump est le seul que Biden puisse battre."Le président sortant, qui peine encore à convaincre, est aussi critiqué par nombre de démocrates qui trouvaient, avant sa prise de parole le 5 janvier en Pennsylvanie, que sa campagne était "molle". Outre le problème de son âge avancé, des dossiers comme l’immigration ou le soutien à Israël dans sa guerre à Gaza, lui coûtent des points. Il connaît d’ailleurs la pire cote de popularité pour un président en exercice lors d’un mois de décembre précédant une élection.And now, what’s next ?Les 50 États, ainsi que le district de Columbia (D.C.) et cinq territoires américains n’ayant pas le statut d’État, doivent s’exprimer d’ici juin pour choisir le candidat républicain pour la présidentielle à venir.Chacun de ces territoires et États dispose de délégués. Une fois les primaires et caucus achevés, ces délégués se réuniront en juillet prochain pour la Convention nationale républicaine. C’est là qu’ils éliront officiellement le candidat du parti républicain pour l’élection présidentielle de novembre 2024.Les débats républicainsDonald Trump n’a jamais participé aux débats des candidats à la primaire républicaine. Il refuse d'ailleurs la principale condition pour pouvoir y participer, à savoir de s'engager à soutenir le candidat nommé par le parti au terme des primaires – si ce n'est pas lui.Le premier débat républicain a eu lieu le 23 août 2023 à Milwaukee, dans le Wisconsin, et était organisé par Fox News. Donald Trump a accordé une interview à Tucker Carlson pendant le même créneau horaire.Le deuxième débat républicain s'est tenu le 27 septembre 2023 à Simi Valley, en Californie, organisé par Fox Business. Donald Trump était alors en meeting dans le Michigan, en même temps que le débat.Le troisième débat a eu lieu le 8 novembre 2023 à Miami, en Floride, organisé par NBC News. Donald Trump avait alors organisé un grand meeting à Hialeah, en Floride, le même jour et à la même heure.Le quatrième débat s’est tenu le 6 décembre 2023 à Tuscaloosa, en Alabama, organisé par NewsNation. Donald Trump préfère assister à une collecte de fonds pour un Super PAC en Floride.Le cinquième débat a eu lieu le 10 janvier 2024 à Des Moines, dans l'Iowa, il était organisé par CNN. Là encore, Donald Trump lui préfère une réunion publique organisée par Fox News dans l'Iowa.Les sixième et septième débats seront eux annulés. Le premier, organisé par ABC News, devait se tenir le 18 janvier 2024 dans le New Hampshire. Le second était prévu le 21 janvier dans le New Hampshire aussi, organisé par CNN. Nikki Haley avait annoncé qu’elle n'y participerait pas si Donald Trump continuait à boycotter le débat. Ron DeSantis était donc le seul participant disponible pour les deux débats, ce qui a conduit ABC News et ensuite CNN à annuler les deux dates. DeSantis annoncera le soir où devait se tenir le 7e débat son retrait de la course à l’investiture républicaineLe programme des primaires et caucus républicains à venirFévrier24 : Primaire républicaine en Caroline du SudMars3 : Primaire républicaine dans l’État de Washington5 : Super Tuesday, avec notamment les primaires en Californie, Alaska, Virginie ou encore au TexasJuillet15-18 : Convention nationale républicaine à Milwaukee, dans le Wisconsin, pour choisir la candidat républicainSeptembre16 : Premier débat présidentiel entre le candidat républicain et le candidat démocrate au Texas
Le Premier ministre Gabriel Attal s'apprête à dévoiler sa vision lors du discours de politique générale le 30 janvier devant l'Assemblée nationale. Cette allocution vise à éclaircir les orientations de son gouvernement, suivie de l'annonce des ministres complémentaires. Et les attentes sont élevées quant à la clarification de son programme. Attal, adoptant une approche participative, a déjà échangé avec les citoyens, rappelant le "grand débat" d'Emmanuel Macron. Ses priorités incluent le soutien à la classe moyenne, le renforcement des services publics, et la santé, malgré des controverses. La crise agricole impose également une action urgente. Les attentes demeurent élevées quant aux annonces post-discours, pouvant inclure des changements ministériels. Une émission préparée par Aziza Nait Sibaha, Mondher Madfai et Jessica Fahed
Dans cette émission spéciale fin d'année, Aziza Nait Sibaha et ses invités reviennent sur les enjeux des deux grands rendez-vous électoraux de 2024. Les élections européennes de juin 2024 font couler beaucoup d’encre en France, où le Rassemblement National est en tête dans les sondages. Aux États-Unis, la présidentielle de novembre 2024 rassemble à ce jour quatre candidats dans le camp démocrate, dont le président sortant Joe Biden. Côté républicain, neuf personnalités sont en lice, dont l’ancien président Donald Trump qui domine largement les intentions de vote.
Les élections générales se tiendront en République démocratique du Congo le 20 décembre lors d'un scrutin à un tour. Près de 44 millions d'électeurs sont appelés aux urnes pour élire leur président et leurs députés. Le nouveau président prêtera serment le 20 janvier 2024. Une émission préparée par Aziza Nait Sibaha, Karim Benmahdi et Jessica Fahed. 
Le projet de loi sur l'immigration, métamorphosée par le Sénat, sera à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale le 11 décembre. Le texte, qui est passé de 27 à une centaine d'articles, suscite la controverse en raison de la suppression de mesures phares, comme la régularisation des travailleurs sans papiers et l'Aide Médicale d'État. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, défend une approche ferme, mais les critiques fusent, qualifiant le projet de populiste. Des alternatives sont proposées, alimentant les divisions au sein même de la droite. L'ombre du 49.3 plane, laissant présager une issue délicate. Une émission préparée par Aziza Nait Sibaha, Mohamed Chenteur et Jessica Fahed. 
Le Conseil de sécurité de l'ONU se réunira mardi pour discuter du dossier israélo-palestinien. Cette réunion intervient un jour avant la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien. "Demain à la une" explore le poids des résolutions de l'ONU dans le droit international, tandis que la résolution 242 de 1967, qui appelle au retrait de l'armée israélienne des territoires occupés pendant la guerre des six Jours, est toujours au centre des débats. Pendant ce temps, des extrémistes israéliens intensifient leurs actions punitives en territoire palestinien, soulevant la question de l'efficacité de l'ONU. Nous analysons également le rôle potentiel des pays occidentaux, en particulier des États-Unis, dans un conflit où leur influence est contestée. Une émission préparée par Aziza Nait Sibaha, Mohamed Chenteur et Jessica Fahed.
À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes le 25 novembre 2023, "Demain à la une" explore les sombres réalités des violences faites aux femmes. Le rapport de l'ONU souligne la nécessité d'un investissement massif pour atteindre l'égalité des sexes d'ici 2030. En France, les chiffres sont alarmants. On dénombre 118 femmes tuées par leur partenaire en 2022 et 100 000 victimes de viols, pour seulement 1 000 condamnations. Nos invitées reviennent sur les défis auxquels font face les victimes, aux inégalités numériques et aux actions urgentes nécessaires pour briser le cycle de la violence. Une émission préparée par Aziza Nait Sibaha, Dany Laforge et Jessica Fahed. 
Le premier tour de l'élection présidentielle argentine a donné lieu à une surprise de taille : le candidat antisystème Javier Milei et le ministre de l'Économie Sergio Massa se sont qualifiés pour le second tour, qui se déroulera le 19 novembre. Javier Milei peut-il s'imposer ? Nous en parlons avec Gaspard Estrada, directeur exécutif de l'Observatoire politique de l'Amérique latine et des Caraïbes, Maricel Rodriguez-Blanco, maîtresse de conférences en sociologie à l'Institut catholique de Paris et Mathilde Guillaume, correspondante de France 24. Une émission préparée par Antoine Fenaux, Dany Laforge et Jessica Fahed. 
Le projet de loi sur l'immigration, qui devait être examiné en mars dernier, arrive enfin au Sénat. Le texte comprend plusieurs volets qui divisent la classe politique, notamment la régularisation pour les métiers sous tension. Les républicains menacent de déposer une motion de censure si le gouvernement fait usage de l'article 49.3 pour faire passer le texte en force. Une émission préparée par Florence Thomazeau, Mohamed Chenteur et Jessica Fahed. 
Le "One planet - Polar summit" débutera le 8 novembre à Paris. C'est le premier sommet international consacré aux régions polaires et plus largement à celles qui abritent des glaciers. Essentielles à l'équilibre de la vie, ces zones sont menacées par le réchauffement climatique qui s'accélère. Pendant trois jours, des scientifiques, des politiques, des ONG, des entreprises et des représentants des populations autochtones d'une quarantaine de pays se réuniront pour partager leurs constats. Une émission préparée par Florence Thomazeau, Mohamed Chenteur et Jessica Fahed.
En novembre 2022, le monde entier découvrait ChatGPT, un robot conversationnel qui est passé d’un buzz mondial à une révolution planétaire en quelques mois. Mais un an plus tard, certains commencent à s'inquiéter des implications de cette technologie. Les robots font-ils concurrence aux cerveaux humains ? Doit-on se méfier des IA génératives ? La révolution tech menace-t-elle nos économies et nos sociétés ? Ces questions seront au cœur du sommet mondial sur l'intelligence artificielle qui se tiendra au Royaume-Uni les 1er et 2 novembre. Dans cette émission spéciale, nous débattons avec nos invités des enjeux de la gouvernance de l'IA. Une émission préparée par Aziza Nait Sibaha, Dany Laforge, Valentin Berg et Jessica Fahed.
Les Argentins sont appelés aux urnes le 22 octobre pour des élections législatives et présidentielle. Le président sortant, Alberto Fernandez (centre-gauche), n'est pas candidat à sa réélection. Son mandat prendra fin le 10 décembre. Ces élections interviennent après les primaires du 13 août qui ont permis de présélectionner les candidats qui seront en lice dimanche prochain. Une émission préparée par Aziza Nait Sibaha, Mohamed Chenteur et Jessica Fahed.
Mardi 17 octobre, le procès des 19 personnes accusées d'être impliquées dans la mort de 39 migrants vietnamiens, retrouvés asphyxiés dans une remorque de camion en Angleterre en 2019, s'ouvre à Paris. Les accusés sont poursuivis pour "aide à l’entrée et au séjour irréguliers d’un étranger en France en bande organisée" et pour "association de malfaiteurs en vue de la commission de délits punis de 10 ans d’emprisonnement". Une émission préparée par Aziza Nait Sibaha, Mohamed Chenteur et Jessica Fahed. 
La Commission européenne propose de reconduire pour dix ans l'autorisation du glyphosate dans l'UE. Le vote interviendra le 13 octobre à Bruxelles. L'autorisation actuelle du glyphosate, qui était de cinq ans, avait été renouvelée en 2017, puis prolongée d'un an en décembre 2022. Bruxelles se base pour sa recommandation sur le rapport de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) rendu en juillet, estimant que cet herbicide ne présente pas de "domaine critique de préoccupation". 
C’est la dernière ligne droite pour la campagne électorale des législatives en Pologne. Le scrutin du 15 octobre intervient à un moment où la société polonaise est plus que jamais divisée. Le candidat du parti nationaliste Jaroslaw Kaczynski accuse son opposant, le candidat de la droite libérale Donald Tusk, de souhaiter la "dévastation du pays".
Le 18e Sommet des chefs d’État et de gouvernement du G20 se tiendra à New Delhi du 9 au 10 septembre. Le président russe, Vladimir Poutine, ne participera pas à cette réunion. Ce sommet spécial intervient quelques semaines seulement après l’annonce de l’élargissement des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), réunis en sommet à Johannesburg en août. "Demain à la une" reçoit Alban Alvares, correspondant de France 24 à New Dehli et Olivia Da Lage, chercheur associé à l'IRIS, spécialiste de l'Inde, pour en parler. Une émission préparée par Aziza Nait Sibaha, Mohamed Chenteur et Jessica Fahed.
La Lituanie s'apprête à accueillir le prochain sommet de l'Otan les 11 et 12 juillet, avec un regard particulier porté sur l'adhésion de la Suède. Malgré le feu vert turc pour l'intégration de la Finlande, Ankara, soutenue par la Hongrie, continue de s’opposer au dossier de Stockholm. Le choix de la Lituanie comme hôte, avec sa frontière étendue avec la Biélorussie et la proximité de l'enclave russe de Kaliningrad, est lui-même hautement symbolique. Une émission préparée par Aziza Nait Sibaha, Mohamed Chenteur et Pierre Ayad.
En France, députés et sénateurs devront travailler plus longtemps que prévu cet été avec les nombreux projets de réformes annoncés par le gouvernement. Le Parlement est convoqué en session extraordinaire à partir du 3 juillet. Parmi les dossiers sur la table, la réforme du ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti pour une justice "plus rapide", ainsi que la loi de programmation militaire 2024-2030. Le renouvellement d'une partie du Sénat en septembre prochain ne risque pas d'impacter le calendrier législatif, selon le politologue Jean-Christophe Gallien. Une émission préparée par Aziza Nait Sibaha, Mohamed Chenteur et Aziz Jmour.
Le président américain continue cette semaine sa tournée de levée de fonds pour sa campagne électorale. Joe Biden, âgé de 80 ans, avait annoncé sa candidature fin avril sur Twitter. Ses conseillers espèrent lever au total pas moins de 2 milliards de dollars via divers canaux. L’ex-président Donald Trump a déjà levé près de 7 millions de dollars, malgré sa mise en accusation début juin pour, entre autres, "rétention illégale d’informations portant sur la sécurité nationale" et "entrave à la justice". Une émission préparée par Aziza Nait Sibaha, Mohamed Chenteur et Jessica Fahed
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