Pendant la période du mois de Ramadan (et peut-être même après), Dialna a voulu donner la parole aux femmes musulmanes en France. Nous vous proposons une série de témoignages de femmes musulmanes françaises, aux origines diverses, portant le voile ou non. Nous sommes donc allées à la rencontre de plusieurs femmes musulmanes, portant le voile ou pas, pour qu’elles nous racontent leur quotidien en France, mais aussi leur histoire, leur parcours, et leur craintes. Pour ce septième épisode, nous vous présentons Sabrina, communicante et ancienne journaliste qui a "environ la trentaine". Elle est française, d'origine algérienne, et musulmane. Le bien-être et la lutte contre les injustices font partie intégrante de sa personnalité. Dans ce long dernier épisode, Sabrina parle de son expérience de femme musulmane en France et à l'étranger, mais aussi de ses réactions quasiment épidermiques quand on aborde les oppressions que vivent les femmes portant un foulard, ainsi que les polémiques stériles récurrentes. Les photos et les informations sur ses recommandations sont à retrouver sur Dialna.fr
Pendant la période du mois de Ramadan (et peut-être même après), Dialna a voulu donner la parole aux femmes musulmanes en France. Nous vous proposons une série de témoignages de femmes musulmanes françaises, aux origines diverses, portant le voile ou non. Nous sommes donc allées à la rencontre de plusieurs femmes musulmanes, portant le voile ou pas, pour qu’elles nous racontent leur quotidien en France, mais aussi leur histoire, leur parcours, et leur craintes. Pour ce cinquième épisode, nous vous présentons Marietou. Elle a 18 ans, est étudiante en droit à la Sorbonne. Française d'origine sénégalaise, elle vit à Sevran, et porte le voile depuis deux ans maintenant. Dans cet entretien, elle nous raconte les changements de regards sur elle depuis ce choix, ses craintes pour son avenir et son quotidien. Les photos et les informations sur ses recommandations sont à retrouver sur Dialna.fr
Pendant la période du mois de Ramadan (et peut-être même après), Dialna a voulu donner la parole aux femmes musulmanes en France. Nous vous proposons une série de témoignages de femmes musulmanes françaises, aux origines diverses, portant le voile ou non. Nous sommes donc allées à la rencontre de plusieurs femmes musulmanes, portant le voile ou pas, pour qu’elles nous racontent leur quotidien en France, mais aussi leur histoire, leur parcours, et leur craintes. Pour ce quatrième épisode, nous vous présentons Nawale. Elle a 28 ans, travaille en tant que technicienne en laboratoire, et est très engagée dans l'afroféminisme. Française d'origine comorienne, elle a fait une partie de ces études à Mayotte, île majoritairement musulmane. Aujourd'hui, elle utilise son blog et sa chaîne youtube pour répondre aux différentes polémiques. Elle nous parle de son parcours, de sa détermination face aux discriminations en tout genre et de ses envies. Les photos et les informations sur ses recommandations sont à retrouver sur Dialna.fr
Pendant la période du mois de Ramadan (et peut-être même après), Dialna a voulu donner la parole aux femmes musulmanes en France. Nous vous proposons une série de témoignages de femmes musulmanes françaises, aux origines diverses, portant le voile ou non. Nous sommes donc allées à la rencontre de plusieurs femmes musulmanes, portant le voile ou pas, pour qu’elles nous racontent leur quotidien en France, mais aussi leur histoire, leur parcours, et leur craintes. Pour ce troisième épisode, nous vous présentons Danya. Elle a 29 ans, est mère de 3 enfants. Anciennement chef de projt en informatique, Danya a fondé son blog, omama.fr et se lance dans une carrière de chargé de marketing en freelance. Son choix de porter le voile, et le regard différent porté sur elle l'ont poussée à repenser le monde du travail. Elle nous parle de son parcours et des projets qu'elle veut lancer face aux diverses polémiques en France. Les photos et les informations sur ses recommandations sont à retrouver sur Dialna.fr
Pendant la période du mois de Ramadan (et peut-être même après), Dialna a voulu donner la parole aux femmes musulmanes en France. Nous vous proposons une série de témoignages de femmes musulmanes françaises, aux origines diverses, portant le voile ou non. Nous sommes donc allées à la rencontre de plusieurs femmes musulmanes, portant le voile ou pas, pour qu’elles nous racontent leur quotidien en France, mais aussi leur histoire, leur parcours, et leur craintes. Pour ce deuxième épisode, nous vous présentons Meryam. Elle a 20 ans et est étudiante en carrières sociales. Meryam a très coeur de parler des insultes et agressions que les femmes musulmanes voilées ou pas subissent au quotidien. Elle nous parle de son parcours scolaire et de ses réactions faces aux diverses polémiques en France. Les photos et les informations sur ses recommandations sont à retrouver sur Dialna.fr
Pendant la période du mois de Ramadan (et peut-être même après), Dialna a voulu donner la parole aux femmes musulmanes en France. Nous vous proposons une série de témoignages de femmes musulmanes françaises, aux origines diverses, portant le voile ou non. Nous sommes donc allées à la rencontre de plusieurs femmes musulmanes, portant le voile ou pas, pour qu’elles nous racontent leur quotidien en France, mais aussi leur histoire, leur parcours, et leur craintes. Pour ce premier épisode, nous vous présentons Wahiba. Elle a 26 ans, est développeur web, et porte le voile. Elle est aussi passionnée par les podcasts et a créé la superbe newsletter Podcasts101. On l'écoute nous parler de son parcours, de sa vie de jeune femme musulmane en France. Les photos et les informations sur ses recommandations sont à retrouver sur Dialna.fr
Pendant la période du mois de Ramadan (et peut-être même après), Dialna a voulu donner la parole aux femmes musulmanes en France. Nous vous proposons une série de témoignages de femmes musulmanes françaises, aux origines diverses, portant le voile ou non. Nous sommes donc allées à la rencontre de plusieurs femmes musulmanes, portant le voile ou pas, pour qu’elles nous racontent leur quotidien en France, mais aussi leur histoire, leur parcours, et leur craintes. Pour ce sixième épisode, nous vous présentons Liza. Elle a 21 ans, est étudiante en lettres. Elle porte le voile depuis quelques années et a du faire face à une islamophobie grandissante. Liza est aussi l'une des co-fondatrice du collectif féministe Nord-Africain "Nta Rajel?". Dans cet entretien, elle nous raconte la violence des comportements allant jusque de la déshumanisation permanente auxquels elle doit faire face. Les photos et les informations sur ses recommandations sont à retrouver sur Dialna.fr
Dans ce nouvel épisode de "Jamais sans mon livre", nous recevons Leila. Pour les portraits photo, elle a choisi "Afrofem" du collectif Mwasi. Elle évoque son appétit de lectures engagées liées au féminisme et à l'anti racisme décolonial, ainsi que son goût pour les romans, et la recherche de représentation. Comme toujours, les photos sont à retrouver sur notre site Dialna.Fr .
Dans ce nouvel épisode de "Jamais sans mon livre", nous recevons Randa. Pour les portraits photo, elle a choisi "Les damnés de la terre" de Frantz Fanon, mais en anglais, puisque Randa est anglophone. Du coup, c'est une première pour le podcast, l'épisode est en anglais. Elle évoque l'aspect décolonial de ses lectures, ainsi que son amour des livres depuis son plus jeune âge, mais aussi, sa démarche de recherche d'auteures racisées. Comme toujours, les photos sont à retrouver sur notre site Dialna.Fr .
Dans ce nouvel épisode de "Jamais sans mon livre", nous recevons Diaratou, autrice de "Maman noire et invisible" et présidente de l'association Diveka (diversity and kids). Elle nous parle du livre qu'elle a choisi de prendre pour ses portraits ( Je ne sais pas quoi faire des gentils blancs de Brit Bennett), de ses habitudes de lecture, de représentation des minorités et de son association. Les photos sont à retrouver sur Dialna.Fr .
Dans ce nouvel épisode de "Jamais sans mon livre", nous retrouvons Rachid. Il nous parle du livre qu'il a choisi de prendre pour ses portraits, de ses habitudes de lecture, et de ce que la lecture lui procure. Les photos sont à retrouver sur Dialna.Fr .
Dans ce nouvel épisode de "Jamais sans mon livre", nous retrouvons Fatine, qui nous a donné rendez-vous dans une médiathèque. Elle nous parle du livre qu'elle a choisi de prendre pour ses portraits, de ses habitudes de lecture, et de comment lui est venu l'amour de la lecture, jusqu'à l'écriture. Les photos sont à retrouver sur Dialna.Fr .
Dans ce nouvel épisode de "Jamais sans mon livre", nous retrouvons Zineb, jeune maroco-belge et passionnée de livres. Elle nous parle du livre qu'elle a choisi de prendre pour la série de photos, de son goût démesuré des livres et de ses habitudes de lecture. Les photos sont à retrouver sur Dialna.Fr .
Bonjour, et bienvenue dans Jamais sans mon livre, sur Dialna, le podcast qui parle de littérature du point de vue des racisé.e.s.Pour ce nouvel épisode, on revient en mode studio et on est ravies de recevoir un auteur qu’on a adoré lire d’abord en tant que journaliste, et maintenant en tant que romancier, Ramsès Kefi. Il a sorti cette année son premier roman, Quatre jours sans ma mère, publié aux éditions Philippe Rey.On y découvre Salmane, fils de Hédi et Amani qui apprend le départ de sa mère. On ne sait ni où, ni pourquoi, ni pour combien de temps. Pour Salmane et son père Hédi, c’est alors le chaos. Leur monde s’effondre et Salmane va vouloir connaitre le secret derrière ce départ. Mais on va aussi parler d’un livre sorti plus tôt cette année, Le retour du roi Jibril aux éditions Iconoclaste, un roman écrit à 9, d' une idée originale de Ramsès Kefi et Rachid Laireche.Dans cet épisode, Ramsès Kefi nous a parlé de son processus d'écriture et de sa passion pour les histoires, que ce soit dans le journalisme ou dans la littérature. On a aussi échangé sur les attentes du milieu et du public sur des histoires se déroulant dans les quartiers populaires. Parmi les oeuvres citées dans le podcast :Lectures du moment :Sous nos peaux de Maïram GuisséKiffe kiffe demain de Faïza GuèneTropique de la violence de Nathacha AppanahJames de Percival EverettRéférences : Ses plus gros souvenirs de lectures restent les BD : Lucky Luke, Leonard, Les aventures de Chick Bill.Livres de prédilection :Les matins de Jenin de Susan AbulhawaLes Misérables de Victor HugoKiffe kiffe demain de Faïza GuèneTous Les livres de Omar Benlaâla dont Tu n’habiteras jamais ParisFrançois Ruffin, la revanche des bouseux de Rachid lairecheCinq dans tes yeux d'Hadrien BelsEnregistrement : Dialna.FrMontage réalisé par Nadia Bouchenni pour Dialna.frVisuel : Dialna.frPhotos : Nora Noor pour Dialna.frMusique d’illustration : Pelagic par Density & Time
Bonjour, et bienvenue dans Jamais sans mon livre, sur Dialna, le podcast qui parle de littérature du point de vue des racisé.e.s.Pour ce nouvel épisode, en public, à FGO-Barbara, on est ravies d’accueillir un auteur qu’on adore lire, Abdellah Taïa. Cet auteur marocain a sorti fin août 2024 son dernier ouvrage, le très beau Le Bastion des larmes, publié chez Julliard.Dans ce roman, le personnage principal, Youssef est un prof de lettres marocain qui vit en France depuis de nombreuses années. Apres la mort de sa mère, il revient à Salé, sa ville natale, à la demande de ses soeurs pour revendre l’appartement familial. C'est l’occasion pour Youssef de se souvenir de son enfance, de la violence, des fantômes du passé, notamment Najib, un ami et amant de sa jeunesse.Dans cet épisode, Abdellah Taïa nous a parlé de son processus d'écriture et de la source d'inspiration sans fin qu'est sa famille, essentiellement sa mère et ses soeurs, ainsi que de son rapport à la langue française utilisée par la bourgeoisie marocaine pour mépriser les classes sociales pauvres. Il nous a aussi parlé de son amour pour le cinéma, lui qui est également réalisateur.Parmi les oeuvres citées dans le podcast :Références : Le pain nu de Mohamed Choukri, les films d'Ingmar Bergman, dont : À travers le miroir ou encore Cris et chuchotements. Les films de Robert Bresson, la biographie de Francis Bacon. Jihad Al- Muhibbin (Le combat des amoureux) et La mariée de Grenade de Jirjii Zaydan, le film Bidâya wa nihâya (Commencement et fin) de Salah Abou Seif, adapté du livre de Naguib Mahfouz.Lecture du moment : Les mémoires d’Ingmar Bergman : Laterna magica.Livres de recommandation :Jihad Al- Muhibbin de Jirjii ZaydanLettres portugaises de Gabriel-Joseph Lavergne-GuilleraguesLes années d’Annie ErnauxLe pain nu de Mohamed Choukri Enregistrement : FGO-BarbaraMontage réalisé par Nadia Bouchenni pour Dialna.frVisuel : Dialna.frPhotos : Nora Noor pour Dialna.frMusique d’illustration : Pelagic par Density & Time
Bienvenue dans les Conversations Dialna #19 !Pour ce nouvel épisode, nous revenons avec un épisode enregistré l'hiver dernier, dans lequel nous revenons sur la pratique sportive en tant que femme racisée, sa nécessité et les problèmes liés au haut niveau.Quels sont les déclics nécessaires pour se lancer ? Comment se dépasse-t-on sainement ?Pour en discuter, deux femmes dont le sport fait partie intégrante de leur vie.Inès Beraich est une professionnelle de la santé et une athlète polyvalente, qui s'est spécialisée dans la course, et plus particulièrement, le marathon. Elle a commencé la course à pied après un accident de voiture. Les médecins étaient catégoriques : elle ne pourrait plus pratiquer de sport et l’incertitude régnait quant à sa capacité à marcher. Son rêve est de courir les six plus grands marathons du monde, les "World Marathon Majors", avant l’âge de 25 ans, afin de devenir la sixième femme au monde, la première française et la première marocaine à réaliser cet exploit. Asmaa Niang est une judokate franco-maroco-sénégalaise. Son rêve d'enfance, c'était de participer aux Jeux Olympiques, coûte que coûte. Son palmarès est impressionnant : 6 fois championne d'Afrique, 10 fois médaillée en open international, médaillée aux Jeux méditerranéens, et deux participations aux JO : Rio (2016) et Tokyo (2021). Aujourd'hui elle est thérapeute et accompagne des sportifs dans leur préparation. En 2024, elle sort un livre, "A bras le corps" aux éditions Faces Cachées. Podcast enregistré par Dialna.frProduit par Nadia Bouchenni et Nora NoorMontage réalisé par Nadia BouchenniMusique : Ahwach amazigh traditionnel
Bonjour, et bienvenue dans Jamais sans mon livre, sur Dialna, le podcast qui parle de littérature du point de vue des racisé.e.s. Pour ce nouvel épisode, le deuxième en public, à La Flèche d'or, on est ravies d’accueillir un auteur qu’on adore lire, Karim Kattan. Cet auteur palestinien a sorti fin août 2024 son 3e ouvrage (et 2e roman), L'Eden à l'aube, publié chez Elyzad. Ce nouveau roman raconte une histoire d’amour belle et violente entre Gabriel et Isaac, deux jeunes hommes très différents qui se rencontrent à Jerusalem Est. Une histoire remplie de merveilleux, de contes mais aussi de tragique. Dans cet épisode, Karim nous parle de son processus d'écriture, de la nécessité de pouvoir continuer à s'inventer par la fiction et de ses habitudes de lecteur. Lecture du moment : Jour de ressac de Maylis de Kerangal Références littéraires : Beaucoup de science-fiction et de fantasy, mais aussi beaucoup d'auteur.e.s classiques comme Colette, Amélie Nothomb, Raja Shehadeh, Gabriel Garcia Marquez, Salman Rushdie, et de nombreux écrivains du réalisme magique. Enregistrement : La Flèche d’or Montage réalisé par Nadia Bouchenni pour Dialna.fr Visuel : Dialna.fr Photos : Seedawi Saïda pour Dialna.fr Musique d’illustration : Pelagic par Density & Time
Bienvenue dans les Conversations Dialna #18 ! Aujourd’hui nous allons faire un bilan des élections de juin, d’un point de vue psychologique. Moment traumatique pour nous toustes, pendant lequel on a vu la France basculer dans une ambiance nauséabonde et tendue, cet épisode électoral a aussi été le témoin d'un soubresaut citoyen et militant. Que nous en reste-t-il aujourd'hui et quelles en ont été les conséquences sur notre santé mentale ? Pour en discuter, nous avons rendez-vous avec deux personnes qui se distinguent par leur vision à la fois humaine et politique. - Fatma Bouvet de la Maisonneuve est psychiatre et autrice. Elle a notamment fondé la première consultation d'alcoologie pour femmes à l'hôpital Sainte-Anne à Paris. Elle s'intéresse aux liens entre les faits sociaux et les souffrances psychiques, et s'est rapidement consacrée à la santé mentale des femmes. Vous avez pu notamment l'entendre avec certains de ses patients dans le documentaire sonore de France culture "Je me suis fait la guerre", ou comment être un "bon arabe". Elle vient de sortir un ouvrage : “Debout, tête haute ! manifeste pour répondre au racisme” chez Carton rouge. - Sarah Bennani est étudiante, créatrice du podcast "Les Percées" et cofondatrice du mouvement de la Jeunesse Populaire. Elle a lancé ce mouvement en plein cœur de cette crise politique et a rassemblé des milliers de jeunes des quartiers populaires pour appeler à voter en faveur du NFP, dans le but de faire barrage au Rassemblement National. (L'épisode a été enregistré à la rentrée, juste après la nomination du gouvernement Barnier.) Podcast enregistré par Dialna.fr Produit par Nadia Bouchenni et Nora Noor Montage réalisé par Nadia Bouchenni Musique : Ahwach amazigh traditionnel
Bienvenue dans Jamais sans mon livre, sur Dialna, le podcast qui parle de littérature du point de vue des racisé.e.s. Aujourd’hui c’est une première, nous faisons un épisode live et en public, à la Flèche d’or qu’on remercie de nous recevoir ! Et pour l’occasion, nous recevons une autrice qui est citée dans au moins 3 épisodes sur 4, notre trésor national, Faïza Guène, à l’occasion de la sortie de son 7e roman, "Kiffe kiffe hier ?" (publié chez Fayard), la suite de "Kiffe kiffe demain", son premier roman, sorti il y a 20 ans. Dans ce nouveau roman, on retrouve notre bonne vieille copine, Doria, l'héroïne du premier. Elle n’a pas perdu de son sens de l’observation et de l’humour et se pose toujours autant de questions sur le sens de la vie et le reste. A 35 ans, elle est mariée à Steve mais est sur le point de divorcer, a un fils et plus de travail. On retrouve aussi sa chère mère, Yasmina, son pote Hamoudi, sa “tante” Zohra et ses fils... Dans cet épisode, Faïza Guène nous parle de son processus d'écriture sur cette suite, 20 après. Comment elle a retrouvé la voix de Doria en la faisant évoluer. Puis on a discuté de ses habitudes de lectrice. Lecture du moment : "Jacaranda" de Gaël Faye Auteurs et livres de prédilection : tout James Baldwin Toni Morrison : "L’oeil le plus bleu" Kateb Yacine : "Nedjma" Assia Djebar : "L’amour, la fantasia" Enregistrement : La Flèche d'or Montage réalisé par Nadia Bouchenni pour Dialna.fr Visuel : Dialna.fr Musique d’illustration : Pelagic par Density & Time
Bienvenue dans les Conversations Dialna #17 ! Aujourd’hui nous allons parler de journalisme. Être une femme nord-africaine et journaliste, qu'est-ce que cela représente aujourd'hui en France ? On l’a déjà abordé, être une femme nord-africaine c’est être à la croisée de nombreuses discriminations : sexisme, racisme, voire islamophobie. Qu’en est il dans ce milieu intellectuel, voire élitiste ? Et comment on se projette dans cette profession en tant que femme nord-africaine. C'est ce que nous allons tenter de raconter avec nos invitées. (L'épisode a été enregistré début avril, bien avant la période électorale actuelle). Donia Ismail est une jeune journaliste spécialisée dans les discriminations et également le monde arabe. Elle a écrit notamment pour le Courrier de l'Atlas, et Slate. Elle est également la créatrice de l'excellent podcast Allô 213. Hassina Mechai est journaliste et écrit pour différents médias, sur les questions de politiques étrangères mais aussi françaises, ainsi que sur les questions des droits humains. Elle a été la co-autrice du livre “L’Etat d’urgence (permanent)" publié chez Meltingbook, qui revenait sur l’état d’exception qu’a permis l’état d’urgence après les attentats de 2015 et sur les nombreuses perquisitions et assignations à domiciles subis par des milliers de musulmans en France. Pendant la conversation, nous avons parlé de la formidable association de journalistes anti-racistes et racisé.e.s, AJAR, dont nous vous conseillons de suivre le travail. Si vous êtes journaliste anti-racistes et racisé.es, n'hésitez pas à adhérer. Pour les autres, vous pouvez les soutenir dans leur travail incroyable. Références citées : "The Elements of journalism" de Bill Kovach et Tom Rosentiel "Why I write" de George Orwell Recommandations : Hassina Mechai : "Littérature et révolution" de Joseph Andras et Kaoutar Harchi (Editions Divergences) Donia Ismail : "Tropiques toxiques - Le scandale du chlordécone" de Jessica Oublié (Editions Les Escales) Nora Noor : le compte Instagram de la journaliste palestinienne (Gaza) de Bisan Owda : @wizard_bisan1 Nadia Bouchenni : "Our women on the ground - Essays by Arab Women Reporting from the Arab World" de Zahra Hankir, avec la contribution de Christiane Amanpour Podcast enregistré par Dialna.fr Produit par Nadia Bouchenni et Nora Noor Montage réalisé par Nadia Bouchenni Musique : Ahwach amazigh traditionnel