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Author: Dialna

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Description

Jamais Sans Mon Livre, Paroles de Femmes, ou encore les Conversations Dialna sont les podcasts réalisés par l'équipe du magazine culturel en ligne, Dialna.fr, dédié aux personnes issues de l'immigration post-coloniale.
Tous les mois, des lecteurs et lectrices nous parlent de leur rapport à la lecture, des femmes d'origine nord -africaine échangent sur leurs expériences.
68 Episodes
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Pendant la période du mois de Ramadan (et peut-être même après), Dialna a voulu donner la parole aux femmes musulmanes en France. Nous vous proposons une série de témoignages de femmes musulmanes françaises, aux origines diverses, portant le voile ou non.  Nous sommes donc allées à la rencontre de plusieurs femmes musulmanes, portant le voile ou pas, pour qu’elles nous racontent leur quotidien en France, mais aussi leur histoire, leur parcours, et leur craintes. Pour ce septième épisode, nous vous présentons Sabrina, communicante et ancienne journaliste qui a "environ la trentaine". Elle est française, d'origine algérienne, et musulmane. Le bien-être et la lutte contre les injustices font partie intégrante de sa personnalité. Dans ce long dernier épisode, Sabrina parle de son expérience de femme musulmane en France et à l'étranger, mais aussi de ses réactions quasiment épidermiques quand on aborde les oppressions que vivent les femmes portant un foulard, ainsi que les polémiques stériles récurrentes. Les photos et les informations sur ses recommandations sont à retrouver sur Dialna.fr
Pendant la période du mois de Ramadan (et peut-être même après), Dialna a voulu donner la parole aux femmes musulmanes en France. Nous vous proposons une série de témoignages de femmes musulmanes françaises, aux origines diverses, portant le voile ou non.  Nous sommes donc allées à la rencontre de plusieurs femmes musulmanes, portant le voile ou pas, pour qu’elles nous racontent leur quotidien en France, mais aussi leur histoire, leur parcours, et leur craintes. Pour ce cinquième épisode, nous vous présentons Marietou. Elle a 18 ans, est étudiante en droit à la Sorbonne. Française d'origine sénégalaise, elle vit à Sevran, et porte le voile depuis deux ans maintenant. Dans cet entretien, elle nous raconte les changements de regards sur elle depuis ce choix, ses craintes pour son avenir et son quotidien.  Les photos et les informations sur ses recommandations sont à retrouver sur Dialna.fr
Pendant la période du mois de Ramadan (et peut-être même après), Dialna a voulu donner la parole aux femmes musulmanes en France. Nous vous proposons une série de témoignages de femmes musulmanes françaises, aux origines diverses, portant le voile ou non.  Nous sommes donc allées à la rencontre de plusieurs femmes musulmanes, portant le voile ou pas, pour qu’elles nous racontent leur quotidien en France, mais aussi leur histoire, leur parcours, et leur craintes. Pour ce quatrième épisode, nous vous présentons Nawale. Elle a 28 ans, travaille en tant que technicienne en laboratoire, et est très engagée dans l'afroféminisme. Française d'origine comorienne, elle a fait une partie de ces études à Mayotte, île majoritairement musulmane. Aujourd'hui, elle utilise son blog et sa chaîne youtube pour répondre aux différentes polémiques. Elle nous parle de son parcours, de sa détermination face aux discriminations en tout genre et de ses envies.  Les photos et les informations sur ses recommandations sont à retrouver sur Dialna.fr
Pendant la période du mois de Ramadan (et peut-être même après), Dialna a voulu donner la parole aux femmes musulmanes en France. Nous vous proposons une série de témoignages de femmes musulmanes françaises, aux origines diverses, portant le voile ou non.  Nous sommes donc allées à la rencontre de plusieurs femmes musulmanes, portant le voile ou pas, pour qu’elles nous racontent leur quotidien en France, mais aussi leur histoire, leur parcours, et leur craintes. Pour ce troisième épisode, nous vous présentons Danya. Elle a 29 ans, est mère de 3 enfants. Anciennement chef de projt en informatique, Danya a fondé son blog, omama.fr et se lance dans une carrière de chargé de marketing en freelance. Son choix de porter le voile, et le regard différent porté sur elle l'ont poussée à repenser le monde du travail. Elle nous parle de son parcours et des projets qu'elle veut lancer face aux diverses polémiques en France.  Les photos et les informations sur ses recommandations sont à retrouver sur Dialna.fr
Pendant la période du mois de Ramadan (et peut-être même après), Dialna a voulu donner la parole aux femmes musulmanes en France. Nous vous proposons une série de témoignages de femmes musulmanes françaises, aux origines diverses, portant le voile ou non.  Nous sommes donc allées à la rencontre de plusieurs femmes musulmanes, portant le voile ou pas, pour qu’elles nous racontent leur quotidien en France, mais aussi leur histoire, leur parcours, et leur craintes. Pour ce deuxième épisode, nous vous présentons Meryam. Elle a 20 ans et est étudiante en carrières sociales. Meryam a très coeur de parler des insultes et agressions que les femmes musulmanes voilées ou pas subissent au quotidien. Elle nous parle de son parcours scolaire et de ses réactions faces aux diverses polémiques en France.  Les photos et les informations sur ses recommandations sont à retrouver sur Dialna.fr
Pendant la période du mois de Ramadan (et peut-être même après), Dialna a voulu donner la parole aux femmes musulmanes en France. Nous vous proposons une série de témoignages de femmes musulmanes françaises, aux origines diverses, portant le voile ou non.  Nous sommes donc allées à la rencontre de plusieurs femmes musulmanes, portant le voile ou pas, pour qu’elles nous racontent leur quotidien en France, mais aussi leur histoire, leur parcours, et leur craintes. Pour ce premier épisode, nous vous présentons Wahiba. Elle a 26 ans, est développeur web, et porte le voile. Elle est aussi passionnée par les podcasts et a créé la superbe newsletter Podcasts101. On l'écoute nous parler de son parcours, de sa vie de jeune femme musulmane en France. Les photos et les informations sur ses recommandations sont à retrouver sur Dialna.fr
Pendant la période du mois de Ramadan (et peut-être même après), Dialna a voulu donner la parole aux femmes musulmanes en France. Nous vous proposons une série de témoignages de femmes musulmanes françaises, aux origines diverses, portant le voile ou non.  Nous sommes donc allées à la rencontre de plusieurs femmes musulmanes, portant le voile ou pas, pour qu’elles nous racontent leur quotidien en France, mais aussi leur histoire, leur parcours, et leur craintes. Pour ce sixième épisode, nous vous présentons Liza. Elle a 21 ans, est étudiante en lettres. Elle porte le voile depuis quelques années et a du faire face à une islamophobie grandissante. Liza est aussi l'une des co-fondatrice du collectif féministe Nord-Africain "Nta Rajel?". Dans cet entretien, elle nous raconte la violence des comportements allant jusque de la déshumanisation permanente auxquels elle doit faire face.  Les photos et les informations sur ses recommandations sont à retrouver sur Dialna.fr
Dans ce nouvel épisode de "Jamais sans mon livre", nous recevons Leila. Pour les portraits photo, elle a choisi "Afrofem" du collectif Mwasi. Elle évoque son appétit de lectures engagées liées au féminisme et à l'anti racisme décolonial, ainsi que son goût pour les romans, et la recherche de représentation.  Comme toujours, les photos sont à retrouver sur notre site Dialna.Fr .
Dans ce nouvel épisode de "Jamais sans mon livre", nous recevons Randa. Pour les portraits photo, elle a choisi "Les damnés de la terre" de Frantz Fanon, mais en anglais, puisque Randa est anglophone. Du coup, c'est une première pour le podcast, l'épisode est en anglais. Elle évoque l'aspect décolonial de ses lectures, ainsi que son amour des livres depuis son plus jeune âge, mais aussi, sa démarche de recherche d'auteures racisées. Comme toujours, les photos sont à retrouver sur notre site Dialna.Fr .
Dans ce nouvel épisode de "Jamais sans mon livre", nous recevons Diaratou, autrice de "Maman noire et invisible" et présidente de l'association Diveka (diversity and kids). Elle nous parle du livre qu'elle a choisi de prendre pour ses portraits ( Je ne sais pas quoi faire des gentils blancs de Brit Bennett), de ses habitudes de lecture, de représentation des minorités et de son association. Les photos sont à retrouver sur Dialna.Fr .
Dans ce nouvel épisode de "Jamais sans mon livre", nous retrouvons Rachid. Il nous parle du livre qu'il a choisi de prendre pour ses portraits, de ses habitudes de lecture, et de ce que la lecture lui procure. Les photos sont à retrouver sur Dialna.Fr .
Dans ce nouvel épisode de "Jamais sans mon livre", nous retrouvons Fatine, qui nous a donné rendez-vous dans une médiathèque. Elle nous parle du livre qu'elle a choisi de prendre pour ses portraits, de ses habitudes de lecture, et de comment lui est venu l'amour de la lecture, jusqu'à l'écriture. Les photos sont à retrouver sur Dialna.Fr .
Dans ce nouvel épisode de "Jamais sans mon livre", nous retrouvons Zineb, jeune maroco-belge et passionnée de livres. Elle nous parle du livre qu'elle a choisi de prendre pour la série de photos, de son goût démesuré des livres et de ses habitudes de lecture. Les photos sont à retrouver sur Dialna.Fr .
Bienvenue dans Jamais sans mon livre, sur Dialna, le podcast qui parle de littérature du point de vue des racisé.e.s. Aujourd’hui nous recevons une autrice qui a sorti son premier roman en 2022, au Seuil, Deux secondes d'air qui brûle. Il s'agit de Diaty Diallo.   Dans ce premier roman, il est question d’un drame qui se produit dans une cité. On y voit comment les habitants du quartier y réagissent, comme une déflagration. Lectures références :  J’aime lire,  Chair de poule, Harry Potter pour la lecture jeunesse La poésie de Paul Verlaine, et d'Arthur Rimbaud, à l'adolescence Virginie Despentes Abdallah Taïa Diaty était en train de lire deux ouvrages : L'art de la joie de Goliarda Sapienza et La vie lente d'Abdallah Taïa et trouve beaucoup de points communs entre ces deux écritures. Elle nous a aussi beaucoup parlé de rap français, notamment l'usage du langage chez Kekra, mais aussi de PNL et de Guy2Bezbar. Ses livres de prédilection :  Sous le règne de Bone de Russell Banks la trilogie de Vernon subutex  de Virginie Despentes Un oeil en moins de Nathalie Quintane Chassés de la lumière de James Baldwin et la poésie de May Ayim récemment traduit en français Merci à C.O.Z.Y. de nous accueillir pour l’enregistrement de ce podcast ! Enregistrement (chez C.O.Z.Y.) et montage réalisé par Nadia Bouchenni pour Dialna.fr Visuel : Dialna.fr Photos : Nadia Bouchenni pour Dialna.fr Musique d’illustration : Pelagic par Density & Time
Bienvenue dans les Conversations Dialna #16 ! Aujourd'hui, nous allons parler d'écriture. Pour une femme racisée, est ce un acte purement créatif, complètement militant ou les deux ? Peut on s’inventer des utopies dans cet imaginaire créé par l'écriture et également dans nos vies ?  Pour en parler, nous avons rendez vous avec trois autrices qui ont pour particularité d’être en résidence d’écriture dans des structures parisiennes, avec l’aide de la région Ile de France, partenaire de cette résidence. Cet épisode est enregistré en public, au FGO-Barbara, dans le cadre d’un partenariat avec notre première invitée, Nawel Ben Kraïem, elle-même en résidence au FGO-Barbara. Nous avons souvent parlé de Nawel Ben Kraïem sur Dialna, essentiellement pour sa formidable musique. Elle y aborde une poésie intime qui interroge son monde intérieur ainsi que le monde qui l’entoure, nourrie de sa double culture française et tunisienne. Son premier recueil de poésie, J’abrite un secret, paru en 2021 et porté par Les Éditions Bruno Doucey, est un itinéraire intime et géographique, un passage de l’enfance à l’âge adulte.  Fatima Daas est une autrice française d’origine algérienne. Elle grandit à Clichy-sous-Bois. Au collège, elle commence à écrire ses premiers textes. Elle est diplômée d'une licence de lettres modernes et d'un master en création littéraire. La Petite Dernière, son premier roman, est publié en 2020 chez Notabilia. Il est désormais traduit en neuf langues. Grace Ly est écrivaine et podcasteuse. Elle co-anime le podcast Kiffe ta race avec Rokhaya Diallo qui plonge dans les questions raciales en France. En 2018, elle publie chez Fayard son premier roman, Jeune fille modèle. Elle est également l’autrice du livre pour enfants Est-ce que tu as faim ?, illustré par Mélody Ung aux éditions On ne compte pas pour du beurre. L’ouvrage évoque les langages de l’amour entre une petite fille et sa grand-mère qui ne dit jamais "je t’aime" mais commence toujours par demander "est-ce que tu as faim ?". A la fin de la conversation, nos invitées et nous-mêmes avons proposé des recommandations de travaux culturels faits par des femmes racisées : Nawel Ben Kraïem : La discrétion de Faiza Guene Fatima Daas : L’amour de nous-mêmes d’Erika Nomeni Grace Ly : le travail de l’illustratrice Julie Daravan Chea et surtout son documentaire Ton français est parfait Nora Noor : White tears and brown scars de Ruby Ahmed Nadia : L’impasse de Bab El Saha, de Sahar Khalifa On vous conseille aussi d'écouter notre Conversation #2 avec Faiza Guène et Kaoutar Harchi ("Ecrit-on pour soi ou pour les autres ?") Podcast enregistré par les équipes du FGO-BARBARA Produit par Nadia Bouchenni et Nora Noor Montage réalisé par Nadia Bouchenni Musique : Ahwach amazigh traditionnel  
Bienvenue dans Jamais sans mon livre, sur Dialna, le podcast qui parle de littérature du point de vue des racisé.e.s. Aujourd’hui nous recevons un auteur qui a sorti son 3e roman, lors de la rentrée littéraire 2023, "Le caprice de vivre", aux éditions Elyzad. Il s’agit de Jadd Hilal. Après "Des ailes au loin" et "Une baignoire dans le désert", Jadd Hilal revient donc avec ce troisième roman, dans lequel il est question d'amour, d'amitié, de désir, et d'identité, arabe en particulier. On y suit donc les relations entre trois amis, colocataires, trentenaires à Paris, tous d'origine arabe : Souleymane, Warda et Houmam. Références : "Le petit Nicolas", "Marcellin Caillou" de Sempé, les séries "Max et Lili" de Dominique de Saint-Mars et Serge Bloch, ou encore "TomTom et Nana" de Bernadette Després et Jacqueline Cohen, pour les souvenirs d'enfance. Les écrits de Diderot ou Montesquieu, comme "Lettres persanes", pour les souvenirs de lectures universitaires. Il cite également "Syllogismes de l’amertume" d'Emile Cioran. Jadd Hilal était en train de lire deux ouvrages en même temps. L'un en sciences humaines et l'autre en fiction, comme il aime alterner : l'essai "La géographie, ça sert, d'abord, à faire la guerre", d'Yves Lacoste et le roman "Crétin des Alpes !" de Dominique Fabre. Ses livres de prédilection : - "Pauvre petit blanc" de Sylvie Laurent - "L’orientalisme" d’Edward Saïd - "Le milieu de l’horizon" de Roland Buti - "Marcellin Caillou" de Sempé - "Le passeur" de Lois Lowry Merci à C.O.Z.Y. de nous accueillir pour l'enregistrement de ce podcast ! On vous en parle bientôt.... Enregistrement (chez C.O.Z.Y.) et montage réalisé par Nadia Bouchenni pour Dialna.fr Visuel : Dialna.fr Photos : Nadia Bouchenni pour Dialna.fr Musique d’illustration : "Pelagic" par Density & Time
Toujours dans le cadre du festival Hébé de l'association Team.Sama, ayant eu lieu à Mont-de-Marsan, en septembre 2023, Dialna a animé une rencontre littéraire autour du roman L'amour de nous-mêmes avec l'autrice Erika Noméni et son éditrice, Marie Hermann. Marie Hermann est donc éditrice et fondatrice des éditions Hors d’atteinte qui publie de nombreux romans et essais notamment féministes. Erika Nomeni est autrice et  artiste pluri disciplinaire : compositrice, rappeuse et DJ.  Aloé est une femme noire, lesbienne, en surpoids, précaire. Elle est la définition même de l'intersectionnalité. Et elle se pose de nombreuses questions, notamment sur sa place et sa valeur dans le marché de l'amour. Dans une forme de roman épistolaire, l'autrice tente de comprendre ses relations amoureuses, amicales, familiale. Un texte percutant sur l'amour de soi, et le rapport à la race en amour, au regard de l'autre. "J'avais le sentiment d'avoir trop d'amour à vendre sur le marché de l'amour - et je l'ai encore aujourd'hui. Mais petit à petit, je commence à comprendre que si j'en ai autant pour les autres, c'est que je n'en ai pas suffisamment pour moi-même." Nous avons évoqué les thématiques du roman, l'amour de soi bien entendu, le blacklove, les relations amoureuses, mais aussi ce fameux regard féminin, la thématique de ce festival, sous un prisme lesbien et racial comme il est présent dans l'ouvrage. Enregistrement réalisé par Team.Sama Montage fait par Dialna.fr Visuel : Dialna.fr Photos : Gabrielle - Terramna Musique d'illustration : Lockdown par Baribal & Pold Source: https://soundcloud.com/pold-music
Bienvenue dans Les Conversations Dialna #15 ! Cet épisode a été enregistré en public lors du Festival Hébé, organisé par l'association féministe Team.Sama, à Mont-de-Marsan, dans les Landes, en septembre 2023. La thématique de ce festival était le "female gaze". Alors chez Dialna, nous l'avons adaptée à notre sauce pour discuter du "white female gaze"et du rapport de domination qu'il implique entre femmes blanches et racisées. Le "female gaze" est avant tout un outil d'empouvoirement, dans la lutte pour l'égalité des genres, de l'émancipation des femmes, dans un système patriarcal. Dans l'art, il s'agit de renverser le déséquilibre de la mauvaise représentation des femmes pour plaire aux désirs des hommes. Néanmoins, très souvent dans le milieu féministe, l'angle mort de la race est nié. Ce "female gaze" est trop souvent un regard pauvre, intrusif et porteur d'oppressions de la part des femmes blanches sur les femmes racisées. C'est de ce "white female gaze" que nous allons parler avec nos invitées. Myriam Le Nahelec est en reconversion professionnelle dans le développement web et s'est investie dans le passé auprès de l'association Team.Sama. Elle n'a de cesse de s'interroger et s'éduquer au quotidien sur les questions de discrimination. Togolaise par sa mère et Bretonne par son père, elle a grandi entre ces deux mondes qui font partie intégrante de son identité. Pulandevii est artiste et analyste culturelle, avec une formation de sociologue. Originaire d'Inde, elle crée du contenu autour de ses expériences en France. Pulandevii créé le dialogue sur les idées préconçues sur les communautés sud asiatiques et questionne l'appropriation culturelle, notamment sur des sujets comme le Yoga. Fatima Khemilat est Docteure en sociologie. Elle a travaillé sur le traitement des minorités musulmanes en France et leur représentation. Fatima est également spécialisée sur des questions sociales comme la lutte contre les discriminations raciales, de genre et les violences sexistes et sexuelles. Avec nos invitées, nous avons évoqué les intrusions dans nos vies intimes, notre rapport au corps, à l'apparence, nos vies personnelles et les obstacles et bien entendu le vol de savoir.  
Jamais sans mon livre avec Soufiane Khaloua. Bienvenue dans Jamais sans mon livre, sur Dialna, le podcast qui parle de littérature du point de vue des racisés.  Aujourd’hui, nous recevons l’auteur d’un premier roman, Soufiane Khaloua. Professeur de français dans le secondaire, il a sorti La vallée des Lazahars en début d'année 2023, aux éditions Agullo. Dans ce premier roman, Soufiane raconte une saga familiale, une guerre des clans, avec des frères ennemis, mais aussi une histoire d’amour. Le tout, sous fond de question d’identité, d’appartenance à un lieu, à une terre avec ce lien invisible qui nous y unit.  Avec Soufiane, nous avons parlé de son roman, de son processus d’écriture, mais aussi des lectures qui l’ont marqué et de ses habitudes de lecteur. Références : Honoré de Balzac et son talent pour les descriptions. Solal, Belle du seigneur d'Albert Cohen, mais aussi Marcel Proust pour le style. Edmond Dantes, le personnage de fiction du roman Le Comte de Monte-Cristo d'Alexandre Dumas comme référence romanesque pour son personnage d'Haroun. La saga Harry Potter de J. K. Rowling avec laquelle il a grandi, ainsi que les romans jeunesse de Philip Pullman. Son coup de coeur pour les romans d'Amine Maalouf, notamment Samarcande, avec lequel il a découvert le poète Omar Khayyam. Parmi les rares auteurs maghrébins qu'il a lus, Mohamed Choukri, avec Le pain nu l'a particulièrement touché. Il relit souvent Donna Tartt qui a gagné le Prix Pullitzer en 2014 avec Le Chardonneret. C'est son premier roman, Le maître des illusions qui l'a particulièrement marqué qu'il relit. Il a aimé lire Annie Ernaux, ainsi qu'Elena Ferrante, notamment pour mieux écrire les personnages féminins. Soufiane Khaloua était en train de lire l'un des romans préférés d'un de ses amis, Mémoires d'Hadrien de Marguerite Yourcenar. Ses livres de prédilection : Tous les tomes de A la recherche du temps perdu de Marcel Proust Solal d'Albert Cohen : solal l'oeuvre de Fiodor Dostoïevski qui a bcp inspiré Cohen Le maître des illusions de Donna Tartt Les romans d'heroic fantasy de Robin Hobb Merci à FGO Barbara de nous accueillir dans leurs studios pour enregistrer ce podcast !
Jamais sans mon livre avec Emilie Tôn Bienvenue dans Jamais sans mon livre, sur Dialna, le podcast qui parle de littérature du point de vue des racisés. Aujourd’hui nous recevons Emilie Tôn, une journaliste mais aussi autrice d’un superbe premier roman, "Des rêves d’or et d’acier", sorti en 2022, chez l’excellente maison d’édition Hors d’atteinte. Dans ce roman, Emilie raconte l’histoire de son père, Liem, vietnamien, d’une minorité musulmane, entremêlée de ses souvenirs d’enfance avec sa famille. On y lit son enfance, sa vie entre le Vietnam, le Cambodge, la Thaïlande et finalement la France. Mais on y apprend surtout une histoire coloniale peu connue, les guerres, les déracinement, la perte de proches.. Nous avons bien entendu discuté de son roman, son processus d'écriture, mais aussi des lectures qui l'ont marquée. Les lectures du moment d'Emilie sont : "Vivre à ta lumière" d'Abdellah Taïa "Comme nous existons" de Kaoutar Harchi Quelques lectures qui l'ont marquée : "Ce que le jour doit à la nuit" de Yasmina Khadra "Leurs enfants après eux" de Nicolas Mathieu "L'art de perdre" d'Alice Zeniter Des lectures jeunesse comme la collection Souris noire, "Le petit Nicolas" ou encore "L'herbe bleue". Des lectures d'adolescence comme les oeuvres de Virginie Despentes ou d'Amélie Nothomb Ses livres de prédilection sont : "L'art de perdre" d'Alice Zeniter "Un homme, ça ne pleure pas" de Faïza Guène Les oeuvres de Ocean Vuong "Tokyo Vice" de Jake Adelstein Merci à FGO Barbara de nous accueillir dans leurs studios pour enregistrer ce podcast !
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