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Diseurs de beaux textes
278 Episodes
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Le thème du voyage est un thème traditionnel dans la littérature quand il est initiatique. Ici Charles Baudelaire démontre la vanité du voyage. Il conclut son recueil Les fleurs du mal par le thème de la mort, le voyage suprême. Ce poème, Le voyage, a été écrit en 1859.
Introduction
Prelude
Prelude
L'ouvrage s'ouvre sur une citation d'Aimé Césaire (Discours sur le colonialisme) :
« Je parle de millions d'hommes à qui on a inculqué savamment la peur, le complexe d'infériorité, le tremblement, l'agenouillement, le désespoir, le larbinisme. »
Il s'agit de faire une analyse, d'un point de vue psychologique de ce que le colonialisme a laissé en héritage à l'humanité, et ceci en partant du rapport entre le Noir et le Blanc. C'est tout un jeu de définitions qui se font par différenciation, et pour cela le premier chapitre pose des bases de linguistique. Fanon opère des va-et-vient entre d'une part les expériences qu'il a recueillies durant sa propre existence d'étudiant et de médecin, ainsi que dans les témoignages littéraires contemporains (Senghor, Césaire, Mayotte Capécia...), et d'autre part les analyses de philosophes (Sartre, mais aussi Michel Leiris, Georges Mounin, Marie Bonaparte, Alfred Adler). Sa thèse est que la colonisation a créé une névrose collective dont il faut se débarrasser. Il en décrit toutes les stratifications pour permettre une prise de conscience de la part des Antillais et, secondairement, des Noirs d'Afrique et des Français blancs.
3e chapitre
Nous aimerions rester toujours sereins... Mais la vie nous bouscule, nos démons intérieurs se réveillent : alors, nous nous angoissons, nous nous désespérons, nous nous éparpillons. Nous souffrons. Au travers de 25 histoires et de leurs enseignements, ce livre vous propose d'avancer, à votre rythme et à votre manière, sur le chemin de l'équilibre et de la sérénité. "Il y a des jours comme ça où ton âme est sereine : tu te sens doucement bien. Tout est clair et calme en toi. Rien, absolument rien ne te manque. Tout ce dont tu as besoin est là..." Christophe André. Une leçon de sagesse au plus près du quotidien ! ?Christophe André est médecin psychiatre à l'hôpital Sainte-Anne, à Paris. Il a notamment publié L'Estime de soi, Imparfaits, libres et heureux, Les États d'âme, Psychologie de la peur ou encore Vivre heureux, qui sont d'immenses succès.
Éloge de la Poésie... Bruits extérieurs... Intervention poétique spontanée
Pascal Depresle est né le 15 octobre 1966 à Montluçon. Passionné de lettres et d'écriture, son parcours chaotique l'a amené à traverser la France durant 30 années passées comme manager dans le monde du transport, et à s'enrichir de toutes ces cultures et rencontres de gens authentiques attachés à leur terroir. Après un accident de la vie, cet auvergnat passionné éclectique de musique et de littérature, tels Fallet, Faulkner ou la poésie du moyen-âge comme Brel, Brassens ou Eric Clapton... s'est lancé un nouveau défi, un nouveau projet de vie, qu'il tente de relever aujourd'hui, défi où l'écriture est partie prenante.
"Du plus loin que je me souvienne, dès que j'ai pu tenir un crayon, j'ai su que c'était pour la vie"
Pascal Depresle, un auteur à découvrir ou a redécouvrir :
Editeur : http://editions-sydney-laurent.fr/liv...
L origine de la guerre, la querelle...
Un texte de Pascal Depresle
Recoins
Poésie
Livre I et II Les Pensées pour moi-même (en grec ancien : Τὰ εἰς ἑαυτόν, Ta eis heauton, littéralement « Les [choses] pour soi-même »), souvent simplement intitulé Pensées, est le titre d'une série de réflexions divisées en douze livres, rédigées en grec entre 170 et 180 par l'empereur Marc Aurèle qui régna de 161 à 180 apr. J.-C., et écrites au moins partiellement pendant ses campagnes militaires. Les Pensées n'étaient au départ qu'un journal, ne devant ni être publié ni révélé au public mais au contraire être détruit à la mort de l'auteur. Comme il n'est pas destiné à être lu par quiconque sauf son auteur, le texte est adressé à Marc Aurèle lui-même. L'empereur s'y adresse de nombreux reproches, réexpose périodiquement les mêmes idées et se donne des exercices afin d'une part de ne pas céder aux multiples tentations et facilités auxquelles il est exposé, d'autre part de persévérer dans la voie de la philosophie qu'il reconnaît comme la seule mesure de la valeur d'un homme.
6e épisode : Ne pas ruminer
"Matin"tient donc à la fois du bilan, du constat que toute révolte, aussi légitime soit-elle pour affirmer son identité, doit s'assigner un but et une aspiration à un monde meilleur. C'est à cette interrogation sur l'avenir que répond le texte.
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Par ce texte, Agbosssahessou, poète béninois, tente de saisir le fait
poétique. Et il semble le rechercher dans une comparaison avec la nature. En
fait, la nature est considérée par bon nombre d’écrivains comme le premier des
artistes ou mieux, leur modèle parce qu’elle est perçue comme le réceptacle de
tout ce qui est censé fournir l’inspiration à l’homme.
Ma saison océanienne c'est celle que je trouve là, posée comme une femme en robe de soie, dans le Pacifique. Un absolu visage. C'est celle que je contente et que j'écris. C'est celle qui chante, qui chante ma vie, celle qui inonde de soleils l'été et l'hiver. C'est celle qui change en saison des saisons toutes les couleurs du rouge à l'ocre, du bleu au noir. Ce recueil de poèmes c'est une pause dans le temps, c'est un souvenir. C'est une jeunesse qui s'en va, ponctuée d'erreurs, c'est ce qui n'est plus, c'est ce qui était. Ma saison océanienne c'est un arc en ciel dans le clair obscur, dans l'amour-amer du monde. C'est un absolu visage. C'est ce qui était.
L'espérance















