Avec Gwendal, nous évoquons notre rapport à notre propre solitude, comme un besoin de s'échapper de cette saucisse dans laquelle nous vivons, en s'efforçant de se départir de la culpabilité d'assumer son besoin d'être seul, impacté par la frénésie urbaine, les effusions sociales et des lieux aussi terrifiants que les open-spaces. La quête de solitude nécessite-t-elle un esprit chevaleresque ?
Avec Alexis, nous nous appliquons à énumérer et démystifier les paradoxes qui constituent cet homme mondain et casanier, viandard amoureux d'une végane, brouillon rangé, table ouverte ; et bien qu'effrayé de la vitesse depuis sa hauteur vertigineuse, nous prendrons le temps de répondre à la question : peut-on être sincèrement paradoxal ?
Avec Pierre, nous veillons à vous expliquer ce que renferme la notion d'asexualité, et tandis que nous ouvrons des tiroirs sans jamais réellement parvenir à tous les fermer, c'est dans des éclats de rire et avec des récits pimentés d'anecdotes savoureuses que nous tentons de répondre à la question : comment vivre son asexualité dans une société ultra sexualisée ?
Avec Eugénie, dans une discussion mêlée de nos anecdotes personnelles sur notre rapport au corps, de constats sur l'impact douloureux du regard des autres et de la petite fierté de réaliser que nous avons grandi et nous nous sommes détachées de certaines injonctions, nous tentons de répondre à la question : comment dépasser les obstacles qui mènent à l’acceptation de notre corps ?
Avec Louise, notre échange ponctué d'anecdotes peu glorieuses et de déboires cocasses nous permet de répondre à la question : est-ce que tout l'intérêt de faire des rencontres ne serait pas plutôt l'occasion d'avoir des histoires à raconter à nos amis, sans forcément être l'opportunité de rencontrer le grand amour ?
Avec Carla, entre anecdotes de nos lieux de vie et de passage, nous tentons de répondre à la question : peut-on apprendre à créer un sentiment d'appartenance à un lieu et se sentir chez soi quand on est loin de ce que l'on a connu ?
Avec Marion, dans un échange entrecoupé d'une palanquée de tergiversations, nous tentons de répondre à la question : à quoi ça rime de faire des collections ?
Avec Margot, Marine et Enzo, on tergiverse sur de nombreux sujets, guidés par des questions incongrues et audacieuses. On parle de nos gros mots préférés, de crottes de nez, de notre apocalypse de rêve ou encore de notre dernier fou rire.
Avec Héloïse, entre anecdotes et idées de recettes, on s'extasie à propos de notre passion commune : manger et faire à manger.
A l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, le 8 mars, j'ai demandé aux femmes qui m'entourent de me parler d'une femme qui les inspire.
Avec Maëlla, on parle de la notion de créativité et sa place dans le quotidien, notamment lorsqu'être créatif fait partie de son métier.
Dans cet épisode hors série, je parle toute seule. Du monde au balcon version Saint Valentin, c'est comme si Juliette était sur son balcon sans Roméo pour lui donner la réplique. Vous m'entendrez partir dans tous les sens à propos de l'amour, et des amours, notamment de ceux qui m'ont émus dans des œuvres que je chérie et que j'ai envie de vous faire découvrir.
Avec Emeline, on tente de répondre à la question : l'âge adulte nous épargne-t-il de lier des liens forts en amitié ?
Avec Aude, nous cherchons à savoir ce qui signifie vraiment "avoir un gros caractère".
Antoine nous éclaire en répondant à la question : ça fait quoi de bosser dans un univers politique ?
Avec Youna (@lune.encapricorne), nous tentons de répondre à la question : est-il possible de révéler toutes les facettes de sa personnalité dans toutes les relations de sa vie ?
Pour l'épisode 6, je suis accompagnée de Valentin aka Kay Hotic, et nous répondons à la question : comment l'expression de soi ouvre-t-elle la voie à un sentiment de liberté et d'émancipation ? Sa douce voix nous plonge dans l'univers du Drag pour parler de confiance en soi, d'appropriation de facettes de sa personnalité, de trouver l'expression de soi et d'accomplissement dans la créativité. Suivant l'adage " Fake it until you make it ", assumons d'être techno pouf, soyons le main character.
Avec Floriane, on cherche à répondre à la question : comment concilier l'envie d'assumer des responsabilités sur plusieurs fronts et le défi de se faire respecter malgré une grosse poitrine ? Et ce, même si ces deux éléments n'ont strictement rien à voir
Avec Vivien, nous tentons d'expliquer pourquoi selon nous le pet est la blague la plus drôle
Avec François, nous répondons à la sempiternelle question : l'amitié entre les femmes et les hommes existe-t-elle, ou n'est-elle qu'une tendre utopie ?