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Débats et rencontres de L'Institut Paris Region
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Débats et rencontres de L'Institut Paris Region

Author: L'Institut Paris Region

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L'Institut Paris Region organise régulièrement des rencontres, débats, séminaires... Largement ouverts au public, ces événements permettent de confronter des points de vue entre experts, d'apporter des éclairages sur des questions de société, de donner la parole à des chercheurs, décideurs ou professionnels.
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130 Episodes
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L’ARB îdF et l'Office français de la biodiversité (OFB) ont organisé le 27 juin 2025, à L'Institut Paris Région, la première journée régionale dédiée aux Atlas de la Biodiversité Communale (ABC). Cet événement a permis également de mettre à l’honneur les collectivités lauréates reconnues « Territoires engagés pour la nature » (TEN) pour la période 2025-2028.  110 représentants de collectivités déjà engagées dans la mise en œuvre de leur ABC ou non, reconnues « Territoire engagé pour la Nature » ou non, ont participé à ce rendez-vous qui a été une occasion privilégiée de partager des expériences, de participer à des ateliers d’intelligence collective, et d’échanger sur les initiatives locales en faveur de la biodiversité.Partages et retours d’expérience de collectivités franciliennes sur l’élaboration et la mise en œuvre de leur Atlas de la Biodiversité Communale Enghien-les-Bains (95), Eric Amiet, directeur des services techniquesCommunauté d’Agglomération Melun Val de Seine (77), Sandra Del Rio, responsable du service aménagement durable  et Marine Linglart, URBAN ECOHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’ARB îdF et l'Office français de la biodiversité (OFB) ont organisé le 27 juin 2025, à L'Institut Paris Région, la première journée régionale dédiée aux Atlas de la Biodiversité Communale (ABC). Cet événement a permis également de mettre à l’honneur les collectivités lauréates reconnues « Territoires engagés pour la nature » (TEN) pour la période 2025-2028.  110 représentants de collectivités déjà engagées dans la mise en œuvre de leur ABC ou non, reconnues « Territoire engagé pour la Nature » ou non, ont participé à ce rendez-vous qui a été une occasion privilégiée de partager des expériences, de participer à des ateliers d’intelligence collective, et d’échanger sur les initiatives locales en faveur de la biodiversité.MATINÉEOuverture de la journée Les fondements du dispositif ABC et état des lieux national et francilien, Anaïs Gérard, cheffe de projet Atlas de la biodiversité communale, direction générale, Office Français de la Biodiversité et Margot Minguet, cheffe de projet Appui aux acteurs et mobilisation des territoires, direction régionale Île-de-France, Office Français de la BiodiversitéL’appel à projets « Reconquête de la biodiversité en Île-de-France », Charlotte Martin, chargée de mission nature et biodiversité, Région Île-de-France L’appel à manifestation d’intérêt Inventaires « Inventaires écologiques », Roxane Leverrier, chargée de mission Nature en ville, Métropole du Grand ParisDes outils au service des territoires, Jonathan Flandin, directeur, Agence régionale de la Biodiversité en Île-de-France  Partages et retours d’expérience de collectivités franciliennes sur l’élaboration et la mise en œuvre de leur Atlas de la biodiversité communale Bois-le-Roi (77), David Dintilhac, maire, Maël Citérin, alternant biodiversité communale et Mégane Krouch, chargée de mission biodiversité, Seine-et-Marne EnvironnementParc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse (78-91), François Hardy, chef de la mission Nature Environnement  Célébration et remise des diplômes « Territoire engagé pour la nature » en Île-de-France 2025-2028  En présence de Yann Wehrling, vice-président chargé de la Transition écologique, du climat et de la biodiversité ; Sophie Deschiens, présidente de l’Agence régionale de la biodiversité en Île-deFrance, présidente d’Île-de-France Nature, conseillère régionale d’Île-de-France, déléguée spéciale à la Région circulaire et Amie des animaux et Sébastien Flores, chef du service Mobilisation et accompagnement des entreprises et des territoires, Direction Générale de l’Office Français de la BiodiversitéHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’Institut Paris Region a organisé le jeudi 19 juin 2025 la troisième rencontre francilienne des friches. Les deux premières éditions ont permis de mettre en valeur les dispositifs publics d'accompagnement des friches et de faire le lien avec la recherche académique en discutant du devenir des friches. Cette troisième édition a visé à mieux appréhender l’ancrage des friches dans les territoires, dans le cadre des politiques publiques d’aménagement. Espaces abandonnés, désuets et qui ont perdu leur usage ou leur fonction, qui ne sont plus entretenus, qui semblent dégradés… les friches sont aujourd’hui au cœur de toutes les attentions des acteurs de l’aménagement en Île-de-France. Souvent perçues exclusivement comme des réservoirs d’urbanisation, elles offrent des opportunités/des potentiels plus complexes. Au regard de leurs caractéristiques, de leur localisation, du contexte et des dynamiques dans lesquels elles s’inscrivent, il peut être préférable de privilégier des opérations de renouvellement urbain (habitat, industrie, data center, bureaux…), ou au contraire de les désimperméabiliser et de les renaturer afin de répondre à des enjeux environnementaux (carence en espaces verts, inondations, îlots de chaleur urbains…), de préserver celles qui se sont réensauvagées et constituent désormais des réservoirs de biodiversité, ou encore de leur redonner leur vocation d'espace agricole.Page ressource sur les friches--L'Institut Paris RegionRetrouvez toutes nos ressources sur notre site internetRestez informé avec notre newsletter 6clicsSuivez-nous sur LinkedIn, X et FacebookRegardez nos vidéos sur YouTubeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rencontre L'Institut Paris Region / École d'urbanisme de Paris / Chaire Aménager le Grand ParisFace aux enjeux climatiques et écologiques, la prise en considération de la biodiversité, des écosystèmes et plus généralement du vivant s’affirme, depuis une quinzaine d’années, comme une des lignes de force majeure, sinon comme LA ligne de force de redéfinition des projets d’aménagement urbain. Le champ traditionnel de l’urbanisme intègre désormais la thématique de la nature en ville, entrainant une nécessaire acculturation à de nouveaux savoirs issus des sciences du vivant et la convocation de nouveaux professionnels, écologues, agronomes notamment, à la co-production des projets.C’est à cette évolution du périmètre des métiers, des coopérations et des savoirs de l’urbanisme que la troisième rencontre IPR/EUP/Chaire Aménager le Grand Paris propose de porter des éclairages. Elle le fait d’abord à hauteur de trajectoires professionnelles individuelles témoignant d’un chemin interdisciplinaire puis à celle des équipes de projets pour en interroger les espaces de dialogues, les limites ou les frottements. In fine, elle ouvre la question des nouvelles compétences professionnelles qui inviteraient à de nouveaux besoins en formation initiale ou continue.Sur notre site internet : https://www.institutparisregion.fr/amenagement-et-territoires/amenagement/le-vivant-dans-les-metiers-de-la-ville-quelles-evolutions-des-trajectoires-professionnelles-des-cooperations-des-formations/L'Institut Paris RegionRetrouvez toutes nos ressources sur notre site internetRestez informé avec notre newsletter 6clicsSuivez-nous sur LinkedIn, X et FacebookRegardez nos vidéos sur YouTubeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'azote et le phosphore sont indispensables à la vie et à l'agriculture. Ingérés dans la nourriture et excrétés dans les urines et matières fécales humaines, leur fuite vers l'environnement via le réseau d'assainissement conduit à une pollution chronique des rivières et à une dépendance en ressources fossiles et minières pour les engrais agricoles. En séparant ces matières à la source, des initiatives en Île-de-de-France et en Europe montrent qu'il est possible de les revaloriser efficacement en agriculture, d'éviter qu'elles ne polluent l'environnement et d’économiser de grandes quantités d’eau. Les excrétions des Franciliens pourraient ainsi devenir des ressources essentielles pour garantir la sécurité alimentaire.L’Institut Paris Region participe à l’émergence de ce paradigme en partenariat avec la recherche, au travers de publications pédagogiques, de retours d’expériences et en intégrant ce sujet à la planification stratégique portée par le projet de SDRIF-E. Quels territoires d'Île-de-France seraient pertinents pour démarrer de nouvelles initiatives ? Quelles articulations avec les politiques locales ? Comment déployer ces nouvelles pratiques ? Tanguy Fardet, chercheur accueilli à l'Institut dans le cadre d’un projet européen, et des collectivités engagées dans des projets urbains innovants sur leur territoire répondent à ces questions lors de ce petit déjeuner décideurs-chercheurs.Intervenants• Christian THIBAULT, directeur du département Environnement urbain et rural, L’Institut Paris Region Animation :• Brigitte GUIGOU, responsable partenariat recherche à l’Institut Paris RegionIntroduction :• Manuel PRUVOST-BOUVATTIER, ingénieur agronome, chargé d’études Eau et Milieux Aquatiques à L’Institut Paris Region.Interventions :• Tanguy FARDET, chargé de recherche au Laboratoire Eau, Environnement, Systèmes Urbains (LEESU), à l’École Nationale des Ponts et Chaussées.• Charlotte PICARD, directrice adjointe à la Direction recherche et innovation de Rosny-sous-Bois.• Isabelle FÄH, chef de projet TiliaRessources complémentaires : https://www.institutparisregion.fr/environnement/valoriser-les-nutriments-excretes-par-les-franciliens/_______________________________L'Institut Paris RegionRetrouvez toutes nos ressources sur notre site internetRestez informé avec notre newsletter 6clicsSuivez-nous sur LinkedIn, X et FacebookRegardez nos vidéos sur YouTubeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette table ronde réunit des experts pour discuter de l'utilisation des données dans la gestion des risques climatiques. Les intervenants, issus de divers domaines (AXA Climate, InfoClimat, Sigeif et L'Institut Paris Region), soulignent l'importance des données pour améliorer la connaissance des aléas (inondations, vagues de chaleur, retrait-gonflement des argiles), affiner les référentiels et passer à l’action. Ils abordent les défis liés à l’absence de standards communs, à la variabilité des données selon les territoires et à leur accessibilité, tout en insistant sur le besoin de vulgarisation et de collaboration entre scientifiques, collectivités, entreprises et citoyens. Des exemples concrets, comme les réseaux participatifs d’InfoClimat ou les études de résilience du Sigeif, illustrent comment les données permettent de prioriser les actions et sensibiliser. Enfin, l’IA est évoquée comme un outil prometteur pour accélérer les prévisions et traitements, malgré des enjeux de temporalité, de gouvernance et d’impact environnemental (data centers).Avec Aurélien Boiselet (Axa Climate), Sébastien Brana (infoClimat), Matthieu Renoy (Sigeif), Erwan Cordeau (L'Institut Paris Region), Ludovic Faytre (L'Institut Paris Region)__La semaine francilienne de la donnée et de l'IA est un événement organisé par la Région Île-de-France, L'Institut Paris Region et Île-de-France Mobilités. L'édition 2025 était proposée en partenariat avec le Département du Val-de-Marne.Consultez toutes les ressources en ligne sur notre site www.institutparisregion.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bertrand Coquard, vice-président Smart City à Saint-Quentin-en-Yvelines (230 000 habitants, 17 000 entreprises), présente un projet d’IA appliqué à la mobilité. Situé au sud-ouest de l’Île-de-France, ce territoire innovant (sièges d’Airbus, Renault, etc.) vise à mieux comprendre les déplacements via l’IA. Objectifs : analyser les flux multimodaux (voiture, vélo, train), fiabiliser les modèles de trafic, compter les véhicules sans capteurs et évaluer l’attractivité des zones économiques.L’IA croise des données variées (GPS voitures/téléphones, INSEE, cartographie, satellites) pour modéliser les comportements sans capteurs physiques, atteignant 90 % de précision. Une plateforme offre alors des indicateurs et des prévisions. Résultats : optimisation multimodale (trottinettes, navettes) et plaidoyer pour plus de transports publics. Réplicable (ex. : Grand Reims), le coût varie de 50 000 à 200 000 €, avec une stratégie data préalable essentielle.__La semaine francilienne de la donnée et de l'IA est un événement organisé par la Région Île-de-France, L'Institut Paris Region et Île-de-France Mobilités. L'édition 2025 était proposée en partenariat avec le Département du Val-de-Marne.Consultez toutes les ressources en ligne sur notre site www.institutparisregion.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christophe Libert (Région Île-de-France) présente "Ma Région près de chez moi", une application lancée en 2025 sur iledefrance.fr, qui recense 40 000 actions régionales géolocalisées depuis 2016. L’IA traduit les données administratives à l'IRIS en informations claires pour le grand public, malgré des défis de localisation (ex. : lycées, gares) et d’impact variable (distance, temps, population).Séverine Albe Tersiguel (L'Institut Paris Region) introduit la base de données des équipements (270 000 points géolocalisés), couvrant petite enfance, santé, culture, etc., avec une hiérarchisation (rayonnement, taille). L’équipomètre, une carte interactive, visualise ces données par commune, comparant dotations et accessibilité.Stéphanie Lesellier (L'Institut Paris Région) détaille "Tout à 20 minutes", une étude (2021-2024) pour la Région, analysant l’accès aux équipements en Grande couronne (pied, vélo, voiture). Sur 70 000 mailles INSEE, elle identifie les zones blanches (ex. : 36 % sans accès pédestre à la culture) et propose de renforcer les polarités et les modes actifs, malgré des limites (qualité des données, effets de frange).__La semaine francilienne de la donnée et de l'IA est un événement organisé par la Région Île-de-France, L'Institut Paris Region et Île-de-France Mobilités. L'édition 2025 était proposée en partenariat avec le Département du Val-de-Marne.Consultez toutes les ressources en ligne sur notre site www.institutparisregion.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pierre Riou, directeur du programme UrbaIA à Paris-Saclay, présente ce projet qui combine intelligence artificielle (IA) et urbanisme pour anticiper l’impact environnemental des décisions territoriales. Soutenu par France 2030 et la Banque des Territoires, UrbaIA s’inscrit dans une dynamique nationale et internationale promouvant une IA frugale, moins gourmande en ressources. À Paris-Saclay, riche en laboratoires et innovation, l’objectif est d’utiliser l’IA pour modéliser les PLU, simuler des scénarios d’aménagement en 3D (îlots de chaleur, pollution) et aider les urbanistes et élus, sans les remplacer. Le projet, sur trois ans, teste trois zones pilotes, vise la réplicabilité et l’explicabilité des décisions, tout en impliquant citoyens et experts via une concertation territoriale. L’infrastructure, encore en définition, sera souveraine et française.__La semaine francilienne de la donnée et de l'IA est un événement organisé par la Région Île-de-France, L'Institut Paris Region et Île-de-France Mobilités. L'édition 2025 était proposée en partenariat avec le Département du Val-de-Marne.Consultez toutes les ressources en ligne sur notre site www.institutparisregion.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Michel Médic est en charge des projets IA à L'Institut Paris Region. Il explique comment l'Institut mobilise l’IA pour produire des données dans plusieurs domaines. Par exemple, l'IA est utilisée pour analyser des photographies aériennes et images satellites dans le cadre d'identification de places de parking (pour le potentiel solaire) ou de piscines (en partenariat avec les pompiers), ou encore des chantiers.D'autres usages de l'IA sont également expérimentés, avec des modèles de langage (LLM) qui explorent des documents internes ou le web (Web scraping). On s'aperçoit que l’IA demande une préparation minutieuse des données et nécessite des investissements importants en termes d'infrastructure, mais elle simplifie énormément la création de données utiles pour en urbanisme ou pour la prévention des risques naturels.__La semaine francilienne de la donnée et de l'IA est un événement organisé par la Région Île-de-France, L'Institut Paris Region et Île-de-France Mobilités. L'édition 2025 était proposée en partenariat avec le Département du Val-de-Marne.Consultez toutes les ressources en ligne sur notre site www.institutparisregion.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mathieu Porte, coordinateur des activités IA à l’Institut National de l’Information Géographique et Forestière (IGN), présente l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) pour décrire et suivre les transformations du territoire français, dans un contexte de bouleversements écologiques rapides. L’objectif est de fournir des outils aux pouvoirs publics et à la société pour comprendre et piloter ces changements, comme l’artificialisation des sols, l’évolution des forêts ou du trait de côte.Il illustre cela avec le suivi de l’occupation des sols, basé sur des orthophotos aériennes haute résolution (20 cm/pixel) prises tous les trois ans par l’IGN. Grâce à l’IA, notamment l’apprentissage profond, ces images sont "sémantisées" : chaque pixel est classé (bâtiments, routes, végétation, etc.) dans une nomenclature d’environ 16 catégories. Bien que perfectible (limites comme les zones masquées par les arbres ou petites erreurs de classification), cette méthode marque un progrès significatif par rapport à une simple image brute, permettant un suivi fin et régulier à l’échelle nationale.Le processus repose sur des jeux de données d’apprentissage massifs, créés manuellement par des photo-interprètes sur des zones variées (urbaines, agricoles, forestières), pour entraîner des modèles IA capables de généraliser à tout le territoire. L’enjeu principal est de gérer la diversité du réel (climats, saisons, types de bâtiments) pour assurer la robustesse des modèles. Environ 1 000 km² de données annotées permettent de cartographier 550 000 km², soit un effet d’amplification considérable, rendant l’IA essentielle pour accélérer et scaler ces descriptions.Les résultats, diffusés via l'outil "CoSIA" (Couverture du Sol par Intelligence Artificielle) en accès libre, servent à suivre l’artificialisation des sols (politique "zéro artificialisation nette") ou à des analyses thématiques (nature en ville, continuité écologique). Cette approche est adaptable à d’autres domaines, comme la cartographie 3D (LIDAR HD) ou agricole, avec la même philosophie : produire des données d’entraînement pour appliquer l’IA à grande échelle.Les échanges révèlent des usages concrets (comptage d’arbres par des collectivités), des défis (temporalité des données, fixée à trois ans par les contraintes de prise de vue aérienne), et des perspectives (détection ciblée des changements). L’IGN a mobilisé 5 à 10 spécialistes IA, avec des phases externalisées, sur un projet démarré en 2018 et stabilisé en 2021. Enfin, les données et modèles ouverts (via des challenges comme FLAIR) stimulent la recherche et réduisent les barrières à l’entrée pour d’autres acteurs.__La semaine francilienne de la donnée et de l'IA est un événement organisé par la Région Île-de-France, L'Institut Paris Region et Île-de-France Mobilités. L'édition 2025 était proposée en partenariat avec le Département du Val-de-Marne.Consultez toutes les ressources en ligne sur notre site www.institutparisregion.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Petit déjeuner décideurs-chercheurs du 6 novembre 2024L’Île-de-France a expérimenté dès les années 2000 l’accompagnement public des copropriétés. L’enjeu est de taille : 40 % des logements franciliens se situent dans des copropriétés. Or, malgré la montée en puissance des dispositifs publics, l’action locale exclut encore trop souvent un acteur incontournable de la gestion des copropriétés : le syndic.Une recherche financée par le PUCA et pilotée par L’Institut Paris Region vise à faire connaître les syndics professionnels, leurs pratiques et leurs contraintes. Nombre d’entre eux revendiquent un ancrage territorial fort et une bonne connaissance de leur périmètre d’implantation et de leurs immeubles. Alors que les collectivités territoriales ont besoin de partenaires compétents pour prévenir la dégradation des copropriétés et accompagner leur rénovation énergétique, comment ces acteurs peuvent-ils mieux travailler ensemble ? Comment tenir compte des syndics et de leurs besoins dans les politiques locales ciblant le parc privé ?Ce petit-déjeuner a été l’occasion de mieux comprendre le fonctionnement des cabinets de syndics en Île-de-France et de débattre des conditions pouvant faciliter ou freiner la construction de relations constructives et partenariales entre syndics et collectivités territoriales.Intervenants : OUVERTURE• Nicolas BAUQUET, directeur général de L’Institut Paris Region.ANIMATION• Brigitte GUIGOU, responsable partenariat recherche à L’Institut Paris Region.INTRODUCTION• Éva SIMON, responsable du programme de recherche du Plan Urbanisme Construction Architecture « (Ré)gé(né)rer les copropriétés: connaître et comprendre les copropriétés, les mobiliser pour la ville durable ».• Franziska BARNHUSEN, chargée de projets et Anne-Claire DAVY, sociologue urbaniste à L’Institut Paris Region.INTERVENTIONS• Claire JUILLARD, sociologue indépendante spécialiste de la ville, du logement et des marchés immobiliers.• Laurence CHANLOY, syndic et responsable de l’agence Foncia Marne-la-Vallée.• Pascal LAGUILLY, adjoint au maire de Noisy-le-Grand délégué à l’Habitat au schéma directeur foncier et aux grands projets et conseiller territorial à Grand Paris Grand Est.Ressources en ligne : https://www.institutparisregion.fr/societe-et-habitat/habitat-et-logement/le-syndic-de-copropriete-acteur-du-territoire-en-ile-de-france/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sous l’effet de la loi dite « Avenir professionnel » du 5 septembre 2018, la voie de l’apprentissage s’est considérablement développée en France et particulièrement en Île-de-France, avec plusieurs études qui viennent éclairer les dynamiques à l’œuvre. Parmi les phénomènes étudiés les ruptures de contrats d’apprentissage soulèvent des inquiétudes, aussi bien à l’échelle nationale qu’à l’échelle francilienne.Après une présentation du contexte institutionnel et un état des lieux de l’apprentissage en Île-de-France, ce séminaire, initié par le département Emploi formation (OREF) de L’Institut Paris Region, cherchera à mieux comprendre les diverses causes et différents contextes responsables des ruptures de contrat, ainsi que leurs conséquences pour l'apprenti, l'organisme de formation et l'entreprise. La caractérisation de ces ruptures aura pour objectif d'identifier quelles peuvent être les mesures préventives.PROGRAMME9 h 15 : Mot d'accueil : Nicolas BAUQUET, directeur général de L'Institut Paris Region  9 h 30 : Les politiques publiques en matière d’apprentissageEmmanuel BÉZY, chef du département solidarités emploi, DRIEETS d'Île-de-FranceVincent VERGÈS, directeur de l’Insertion et de l’Apprentissage, Conseil Régional d’Île-de-France 10 h : Développement de l’apprentissage et ruptures de contrat, les facteurs de risquesStéphanie DIBY, chargée d’études et de statistiques, SESE, DRIEETS Île-de-FranceSaïda MOUSAID, chargée d’études, département Emploi Formation (OREF), L'Institut Paris Region Nicolas FARVAQUE, directeur du pôle Recherche et études, cabinet ORSEU Leïla MOKEDDEM, consultante senior, cabinet Itinere ConseilQuestions-Réponses 11 h 15 : Anticiper et accompagner les situations de ruptures, des OFA témoignentGwénaëlle BARTHELEMY, directrice de l'animation commerciale chez L'École supérieure de la banqueAngélique LE LANDAIS, coordinatrice, formatrice, Stephenson FormationJawad EL MOUNACHIT, chef de projet inclusion, Stephenson FormationYannis VERMEULEN, adjoint de direction, chargé du suivi socio-éducatif, référent handicap, BTP CFA Île-de-France Questions-Réponses  12 h 30 : Conclusion : Claire PEUVERGNE, directrice du département Emploi Formation, L'Institut Paris Region  Débats animés par Olivier Zanetta, journaliste.Retrouver les ressources de l'événement Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'Institut Paris Region organise un cycle de quatre conférences sur la territorialisation des politiques de santé en Île-de-France. Un événement proposé en partenariat avec L’Observatoire régional de santé d’Île-de-France, La Chaire Santé de Sciences Po, Sciences Po Saint-Germain-en-Laye et le Laboratoire Printemps de l’Université Paris-Saclay.Depuis plusieurs décennies, les inégalités sociales et spatiales de santé constituent en France une préoccupation constante des politiques publiques de santé. Elles se caractérisent par des écarts importants de l’espérance de vie ou la plus forte probabilité d’être atteint de telle ou telle pathologie selon le groupe social auquel on appartient ou selon son lieu de résidence. Et, elles résultent d’une multitude de déterminants sociaux (genre, revenu, scolarité, soutien social...) qui s’accompagnent, selon les territoires, des inégalités d’accès à l’offre de soins et à l’emploi. C’est pourquoi la manière dont, au niveau local, on appréhende la santé et ce qui l’influence a un impact sur les politiques publiques privilégiées, sur les moyens accordés pour rendre l’offre de soins accessible et de qualité et ceux consacrés aux causes des inégalités en menant des politiques éducatives, de lutte contre l’insalubrité des logements ou encore contre la pollution et le chômage.Comment les pouvoirs publics dont les collectivités territoriales et leurs groupements relèvent-ils le défi de l’équité en santé au niveau des territoires ? Comment intègrent-ils ces enjeux d’inégalités dans la fabrique de leur politique de santé publique et dans sa mise en œuvre ? Quels outils d’analyse territoriale (données, cartes) peuvent-être mobilisés pour établir des diagnostics des disparités territoriales en matière de santé ? Voilà quelques-unes des questions auxquelles cette séance a tenté d’apporter des éléments de réponse en s’appuyant sur les regards croisés du directeur de la Direction Santé Publique de l’ARS, d’une sociologue travaillant depuis plusieurs années sur des terrains franciliens et d’experts de l’ORS.Intervenants :• Luc GINOT, directeur de la Santé Publique, Agence Régionale de Santé, Île-de-France• Sabine HOST, chargée d’études Environnement et Santé et Laetitia FIRDION, démographe, Observatoire régional de santé Île-de-France• Laure PITTI, sociologue, Université Sorbonne Paris Nord / Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociauxAnimation :Brigitte GUIGOU, responsable partenariat recherche à L’Institut Paris RegionVoir les ressources sur le cycleHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Petit déjeuner décideurs-chercheurs du 17 septembre 2024La réflexion sur la sobriété immobilière, à savoir augmenter la densité humaine sans augmenter la densité bâtie, n’a jamais été vraiment entamée et les scrupules qui l’ont freinée semblent légitimes. Pourtant, l’idée que la réponse aux besoins en logements ne peut être que quantitative est largement discutable compte-tenu, par exemple, du faible taux d’occupation du pavillonnaire dans certains secteurs de l’Ouest francilien. Réfléchir à la notion de sobriété immobilière et, au-delà, aux questions de fluidité des parcours résidentiels et d’optimisation des usages du logement est plus que jamais nécessaire.Comment, par exemple, réhabiliter les logements des cœurs de bourg en envisageant des projets intergénérationnels pour des retraités dont le pavillon serait devenu trop grand ou trop difficile à entretenir ? Quelles modalités de cohabitation ou de coexistence favoriser pour ceux qui souhaiteraient rester dans leur logement tout en bénéficiant d’un complément de revenu ? Comment « mettre en confiance » pour favoriser une juste occupation du parc en mutualisant son usage ?OUVERTURENicolas BAUQUET, directeur général de L’Institut Paris RegionANIMATIONBrigitte GUIGOU, responsable partenariat recherche à L’Institut Paris RegionINTRODUCTION Sandrine BEAUFILS, démographe à L’Institut Paris RegionLucile METTETAL, géographe urbaniste à L’Institut Paris RegionINTERVENTIONS Jean-Marie HALLEUX, professeur de géographie économique, Université de Liège Bérangère PAINEAU, directriceAdelaïde VANNIER, responsable Yvelines sud et Essonne, à Ensemble 2 générationsConsultez les ressources en lien avec cette séance sur le site de L'Institut Paris RegionHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Petit déjeuner décideurs-chercheurs du 5 septembre 2024Étape stratégique pour la formation et l’accès à l’emploi, l’Île-de-France attire et brasse de nombreux flux de populations. Dès lors, se pose la question des liens que les Franciliens entretiennent avec ce vaste territoire d’opportunités. Dans quelle mesure la région parvient-elle à « arrimer » des habitants dont presque la moitié sont nés ailleurs, en leur permettant de dérouler leur parcours de vie et d’investir les lieux ?En décembre 2023, L’Institut Paris Region a publié une étude sur l’ancrage territorial, analysant les résultats d’une enquête menée auprès de 3 800 personnes représentatives de la population régionale. Cette étude a révélé que le sentiment d’appartenance à l’Île-de-France ne concerne pas uniquement les natifs, que l’attachement à son lieu de résidence est souvent synonyme d’implication locale, ou encore que la diversité culturelle des habitants est considérée comme une richesse propre à la région.Ce petit déjeuner a été l’occasion de débattre des principaux résultats de cette enquête avec une chercheuse et un élu local. Les échanges ont permis d'explorer ce que la notion d’ancrage nous dit sur les trajectoires des Franciliens et sur les liens qu’ils nourrissent avec la région.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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L'Institut Paris Region organise un cycle de quatre conférences sur la territorialisation des politiques de santé en Île-de-France. Un événement proposé en partenariat avec L’Observatoire régional de santé d’Île-de-France, La Chaire Santé de Sciences Po, Sciences Po Saint-Germain-en-Laye et le Laboratoire Printemps de l’Université Paris-Saclay.Cette séance introductive revient sur le processus actuel de territorialisation de la santé en France, soulignant qu’il va au-delà de la simple opposition entre déconcentration et décentralisation. Il est marqué par un renforcement de la prise en charge politique des enjeux de santé par les collectivités territoriales, qui ne doit toutefois pas être considéré comme une rupture. Depuis longtemps, les collectivités territoriales sont impliquées dans les questions de santé, avec des initiatives telles que l’hygiénisme municipal, les services de PMI, les centres de santé municipaux, sans oublier le rôle des maires dans les conseils d’administration des établissements hospitaliers.De plus, depuis l’adoption de la loi Hôpital, patient, santé et territoire (HPST) en 2009, qui a notamment instauré les ARS, la France a progressivement mis en place une territorialisation accrue des politiques de santé, se manifestant par la multiplication des dispositifs locaux tels que les contrats locaux de santé (CLS) et les communautés professionnelles territorialisées de santé (CPTS). Parallèlement, se développent des initiatives de collectivités territoriales, en lien avec les enjeux de pénurie d’offre locale de soins (« déserts médicaux »), d’environnement/santé, d’urbanisme favorable à la santé…, qui indéniablement ont été renforcées par la crise de la COVID-19. La création de délégation santé ou/et d’une compétence santé par nombre d’intercommunalités est révélatrice de cette montée en puissance des municipalités et de leurs groupements, qui contribue à modifier la configuration des systèmes locaux de santé.OuvertureNicolas BAUQUET, directeur général de L’Institut Paris RegionNathalie BELTZER, directrice de l’Observatoire régional de santé Île-de-FranceAnimation Daniel BENAMOUZIG, sociologue, directeur de recherche au CNRS, titulaire de la Chaire Santé de Sciences Po et chercheur au Centre de Sociologie des Organisations (CNRS et Sciences Po)Avec Patrick HASSENTEUFEL, professeur de science politique à l’université Paris-Saclay/ IEP de Saint-Germain-en-Laye, membre du Laboratoire PrintempsVéronique GARNIER, référente de la commission Santé de l’Association des maires d’Île-de-France (AMIF), adjointe au maire de Croissy-sur-Seine en charge de la santé globale, première vice-présidente de l’Association Élus Santé Publique et Territoires (ESPT)Tanguy LE GOFF, politiste à la mission Gouvernance, L’Institut Paris RegionPage ressource sur le site de L'Institut Paris RegionHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tri des déchets alimentaires, où en est-on cinq mois après l'échéance ?Retour sur la matinale déchets et économie circulaire de L'Institut Paris Region du 21/05/2024Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’Institut Paris Region a organisé le 4 avril 2024 la deuxième rencontre francilienne des friches. Après une première édition 2023 qui a fait une large place aux dispositifs d'accompagnement public, notre souci cette année est de mobiliser le monde de la recherche pour éclairer le devenir des friches.Espaces abandonnés, désuets et qui ont perdu leur usage ou leur fonction, qui ne sont plus entretenus, qui semblent dégradés… les friches sont aujourd’hui au cœur de toutes les attentions des acteurs de l’aménagement en Île-de-France. Souvent perçues exclusivement comme des réservoirs d’urbanisation, elles ont un potentiel d'usages plus riche. Au regard de leurs caractéristiques, de leur localisation, du contexte et des dynamiques dans lesquels elles s’inscrivent, il peut aussi bien être préférable de privilégier des opérations de renouvellement urbain (habitat, industrie, data center, bureaux…), ou au contraire de les désimperméabiliser et de les renaturer afin de répondre à des enjeux environnementaux (carence en espaces verts, inondations, îlots de chaleur urbains…), de préserver celles qui se sont réensauvagées et constituent désormais des réservoirs de biodiversité, ou encore de remettre en état des espaces agricoles.PROGRAMMEOuverture : Sébastien Alavoine, directeur général adjoint de L’Institut Paris RegionQuatre tables rondes :Les enjeux émergents des friches en Île-de-France, Sarah Dubeaux (Lifti), Damien Delaville et Nicolas Laruelle (L'Institut Paris Region).Éclairer et accompagner la réurbanisation des friches d'espaces bâtis - exemple de la transformation en écoquartier à dominante habitat de la friche industrielle de Pont des Gains à Breuillet (91), Marguerite Mesnet (Région Île-de-France), Anne-Sophie Malapère et Élodie Meyer (commune de Breuillet), Yoan Miot (Latts).Éclairer et accompagner le renoncement à l'urbanisation de friches d'espaces ouverts - exemple de la création de "Réserve naturelle" d'Épinay-sur-Seine (93), Anne Viallatoux, (Epinay-sur-Seine), Marion Brun (Laboratoire de recherche en projet de paysage (Larep), Interfriches), Gwendoline Grandin (Agence régionale de la biodiversité, L'Institut Paris Region).Éclairer et accompagner la transformation des friches en vue non pas d'un nouvel usage "définitif" mais d'usages temporaires successifs (hébergement ou activés temporaires, économie circulaire liée à un ou des chantiers de construction à proximité, grands événements...) - exemple d'une friche urbaine à Stains (93), Camille Picard (Toits Temporaires Urbains), Léo Mariasine (L'Institut Paris Region).Animation : Brigitte Guigou, L’Institut Paris RegionConsulter nos ressources en ligne : https://www.institutparisregion.fr/amenagement-et-territoires/la-rencontre-des-friches/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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