Alexis Gautier est un artiste basé à Bruxelles et en Bretagne. Son travail explore les relations qui interviennent entre les transactions culturelles, les collaborations et la construction de récits. Souvent réalisé en collaboration, son travail ouvre un espace propice aux échanges et à l'appropriation, tissant des rencontres, des explorations et des malentendus. L’artiste documente ses recherches et ses interventions au travers de textiles, sculptures, vidéos, narrations et dessins. Découvrez son exposition "L'heure de la soupe" au M Museum à Leuven dès le 16 septembre 2021.
Pâle Mâle est une collaboration artistique entre Tom Castinel, designer, et Antonin Horquin, artiste, qui propose des créations dans les domaines de l’écriture, de la vidéo et de l’aménagement d’intérieur. Retrouvez-les à Bruxelles dans le cadre du festival Trouble du 7 au 11 juillet 2021.
Julie Stephen Chheng est designer graphiste, elle travaille autour du papier, du livre et des nouvelles technologies pour découvrir des formes nouvelles de narration. C’est au cours de sa formation, à l’École des arts décoratifs de Paris, que Julie Stephen Chheng a rencontré Étienne Mineur, co-fondateur du studio Volumique, avec lequel elle travaille aujourd’hui en tant qu’auteure/designer. En parallèle, elle explore les possibilités de la scénographie, que ce soit en réalité augmentée ou en papier. Retrouvez le parcours urbain Uramado AR dans les espaces du See U à Bruxelles, jusqu'au 30 septembre 2021.
Dans le cadre du Kunstenfestivaldesarts, Chassol nous propose un intriguant portrait visuel et sonore de Bruxelles, pour lequel il s’est imprégné de la démographie ainsi que de la vocalité polyglotte et polyphonique de la ville. Accompagné de quelques habitants, il a parcouru une ville en temps de pandémie presqu’entièrement privée de poésie musicale.
Marion Siéfert est autrice, metteuse en scène et performeuse. Nous la rencontrons dans le cadre du spectacle _jeanne_dark_ qu'elle présente en ligne, en collaboration avec le Vooruit à Gand.
Pour ce deuxième épisode d'EXTRA 2021, nous rencontrons Justine Emard dans le cadre de sa participation à l'exposition "Humans/Machines" au Pavillon pop-up, nouvel espace dédié aux cultures numériques à Namur. L'artiste nous fait découvrir son univers où des rencontres, à la lisière entre le réel et le virtuel, prennent vie.
Dans le cadre de la nouvelle édition d'EXTRA, parcours de création contemporaine française en Belgique, et de l'exposition "Le Déracinement" au Z33 à Hasselt, l'artiste Mathieu Kleyebe Abonnenc nous présente son travail et évoque notamment l’histoire coloniale et son histoire familiale.
Daniel Blanga Gubbay, directeur artistique du Kunstenfestivaldesarts à Bruxelles, évoque les conséquences de la crise sanitaire liée au COVID-19 ainsi que les nombreuses coopérations franco-belges organisées dans le cadre du festival.
La chorégraphe Nacera Belaza est née en Algérie et vit en France depuis l’âge de cinq ans. Empreint du double héritage des formes de danse traditionnelles et de celles, abstraites, de la danse contemporaine, son travail défie toute tentative de description ou de classification.
Céline Pelcé est diplômée en architecture intérieure à l’école Boulle, et en design culinaire à l’ESAD de Reims. Travaillant les deux disciplines dans un premier temps, Céline Pelcé choisit en 2015 de favoriser le médium culinaire comme mode d’expression artistique. Prenant source dans les domaines de la sociologie, la mythologie et l’architecture, ses recherches s’axent sur la compréhension des territoires et des paysages à travers notre rapport à la nourriture, ses croyances, et ses rituels.
Marion Pinaffo et Raphaël Pluvinage proposent des expériences à la frontière des sciences et du design.
Carole Talon-Hugon est professeur de philosophie à l’Université Nice Sophia Antipolis et spécialiste d’esthétique et de philosophie des arts. Carole Talon-Hugon est également Présidente de la Société française d’Esthétique qui réunit les chercheurs et les praticiens de l’art et de l’esthétique. Elle est directrice de la publication de la nouvelle revue d’esthétique (Presses Universitaires de France) et directrice de la rédaction de la revue NOESIS, éditée par le CRHI.
Pierre-Alain Poirier a étudié la peinture à la Kunsthoschule Berlin-Weißensse tout en validant un diplôme en image imprimée à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts décoratifs de Paris en 2012. C’est dans son atelier Berlinois qu’il engage un travail sculptural, fait d’artefacts glanés autour de son atelier. En 2014, il poursuit de nouvelles études à la Villa Arson dont il sort diplômé en 2016. Tarek Lakhrissi est un artiste et poète basé à Paris. Ses travaux ont été présenté à la Hayward Gallery (London, UK), Grand Palais (FIAC Paris, FR), La Galerie, CAC (Noisy-Le-Sec, FR), Palais de Tokyo (Paris, FR), Fondation Gulbenkian (Paris, FR), Fondation Lafayette Anticipations (Paris, FR), CRAC Alsace (Altkirch, FR), Bétonsalon (Paris, FR), INHA (Paris, FR), La Gaité Lyrique (Paris, FR), Auto Italia South East (Londres, GB), SMC/CAC (Vilnius, LT), Kim? (Riga, LV), Artexte (Montréal, CA), Confort Moderne (Poitiers, FR), Printemps de Septembre (Toulouse), Circa Projects (Newcastle, RU), Zawya (Caire, EG) L’Espace Arlaud (Lausanne, CH), ou encore à Zabriskie (Genève, CH). Il fait partie des artistes sélectionnés pour la vingt-deuxième Biennale de Sydney NRIN (2020).
Arrivée en France en 1977 à l’âge de 3 ans, diplômée de l’Ecole Nationale des Beaux-Arts de Lyon en 2002, l’artiste marocaine Latifa Echakhch est porteuse d’un héritage culturel double, plaçant au centre de son travail la question de l’identité et les phénomènes récurrents de la société de contrôle.
Eric Minh Cuong Castaing est artiste associé au Ballet National de Marseille (2016-2019). Diffusé en France et en Europe, ses travaux chorégraphiques explorent les modes relationnels, les représentations et la perception des corps au XXIe siècle, interrogeant les dualités réel/fiction, nature/culture, organique/artificiel. Il met ainsi en relation les corps et la danse envisagés dans leur pluralité et les nouvelles technologies (robots humanoïdes, drones, réalité augmentée…) dans des processus de création “in socius”, liés à des réalités sociétales en partenariat avec des institutions en dehors du champs de l’art (laboratoire de recherche, école, hôpital…).
Christian Rizzo fait ses débuts artistiques à Toulouse où il monte un groupe de rock et crée une marque de vêtements, avant de se former aux arts plastiques à la villa Arson à Nice et de bifurquer vers la danse de façon inattendue. Dans les années 1990, il est interprète en Europe auprès de nombreux chorégraphes contemporains, signant aussi parfois les bandes sons ou la création des costumes. En 1996, il fonde l’association fragile et crée des performances, des installations, des pièces solos ou de groupes en alternance avec d’autres commandes pour l’opéra, la mode et les arts plastiques. Depuis, plus d’une quarantaine de productions ont vu le jour, sans compter les activités pédagogiques. Christian Rizzo intervient régulièrement dans des écoles d’art en France et à l’étranger, ainsi que dans des structures dédiées à la danse contemporaine.
Edgar Sekloka, ancien acolyte de Gaël Faye au sein du groupe Milk, Coffee and Sugar, et lauréat du Prix des Musiques d’Ici 2018, propose dans son nouveau spectacle Musique Noire une synthèse réussie entre rap et chanson, qu’il colore de diverses influences puisées dans les Musiques du Monde et le blues. Accompagné du chanteur, percussionniste Koto Brawa et du guitariste Jean-Baptiste Meyer-Bisch, il distille sans concession ses mots, dénonçant les aliénations des temps modernes, à travers des chroniques sociales du quotidien, tout en propageant sa bienveillance fortement contagieuse.
Smail Kanouté est un artiste, issu de l’ENSAD, à la fois graphiste, plasticien et danseur. Il a dansé pendant 2 ans dans Bitter Sugar de Raphaëlle Delaunay et il danse également dans le spectacle Heroes de Radhouane El Meddeb depuis 2014. Il présenta des performances au CENTQUATRE-PARIS, à Mains d’œuvres, à l’Institut du Monde Arabe, à la Basilique de Saint Denis, à l’Institut des Cultures d’Islam.
Bintou Dembélé est une danseuse et chorégraphe française reconnue comme l’une des pionnières de la danse hip-hop en France. À partir de 2002, elle affirme sa démarche de chorégraphe en créant la compagnie Rualité. Revisitant la Street Dance au prisme de la musique répétitive et des polyphonies rythmiques, ses chorégraphies explorent les mémoires rituelle et corporelle, les cultures de la marge, les zones d’ombres de l’Histoire coloniale et postcoloniale, les stratégies de réappropriation et de marronnage.