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Ecole du Sabbat – BLOG DES ÉDITIONS VIE ET SANTÉ

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Toutes les langues comportent des mots qui sont si riches et qui ont une signification si profonde qu’ils sont difficiles à traduire convenablement avec un seul mot dans une autre langue. De tels mots exigent une étude approfondie de leur usage dans la Bible pour comprendre l’étendue de leur signification. Lisez 1 Rois 3.6, Psaumes 57.3, Psaumes 66.20, Psaumes 143.8 et Michée 7.20. De quelle manière la miséricorde et la bonté de Dieu s’étend-elle à ses êtres créés ? En hébreu, le terme chesed (miséricorde) est l’un des mots les plus riches et les plus profonds de l’Ancien Testament. Il décrit l’amour
Lisez 1 Timothée 3.16, 17. Dans quel but la Bible nous a-t-elle été donnée ? La Bible a été écrite en témoignage de l’œuvre de Dieu dans l’histoire, de son plan pour racheter l’humanité déchue, et pour nous instruire dans toutes les voies de la justice. Le Seigneur a choisi de le faire dans un langage humain, rendant ainsi visibles ses idées et ses pensées à travers des mots humains. En rachetant Israël de l’Égypte, Dieu a choisi une nation précise pour communiquer son message à tous les peuples. Il a permis à cette nation de communiquer sa Parole par l’intermédiaire de
SABBAT APRÈS-MIDI Étude de la semaine : Dt 32.46, 47 ; 1 R 3.6 ; Nb 6.24-26 ; Gn 1.26, 27 ; Gn 2.15-23 ; 15.1-5. Verset à mémoriser : Prenez ce livre de la loi et mettez-le à côté du coffre de l’alliance du Seigneur, votre Dieu ; il sera là comme témoin contre toi (Deutéronome 31.26.). Les milliards d’habitants de la terre parlent plus de 6000 langues. La Bible a été traduite intégralement dans plus de 600 langues, et le Nouveau Testament ou d’autres portions ont été traduites dans plus de 2500 langues également. Cela fait beaucoup de langues différentes, mais en même temps, cela fait moins
Lisez Ellen G. White, « Que faire des doutes ? », pp. 93-100, dans Le meilleur chemin, et le document « Methods of Bible Study » Section 1: “Bible Study: Presuppositions, Principles, and Methods”, Section 2: “Presuppositions Arising from the Claims of Scripture” Section 3: “Principles for Approaching the Interpretation of Scripture.” (On peut trouver Methods of Bible Study en anglais sur www.adventistbiblicalresearch.org/materials/bible-interpretation-hermeneutics/methods-bible-study). « En abordant l’étude de la Parole, mettez de côté vos idées préconçues. Vous n’atteindrez jamais la vérité en étudiant les Écritures pour défendre vos idées personnelles. Laissez-les de côté et écoutez, le cœur contrit, ce que le Seigneur va vous dire. La Parole donne
Lisez Néhémie 8.1-3, 8. Pourquoi une compréhension claire de l’Écriture est-elle importante pour nous, non seulement en tant qu’individus, mais en tant qu’église ? Dans la Bible, la question la plus importante est la question du salut et de la manière dont nous sommes sauvés. Après tout, qu’est-ce qui, à part cela, a de l’importance à long terme ? Quel est l’intérêt, comme Jésus nous l’a dit, de gagner tout ce que le monde offre si nous perdons notre âme (Mt 16.26) ? Mais savoir ce que la Bible enseigne à propos du salut dépend en grande partie de l’interprétation. Si nous abordons et
Lisez Jean 9.39-41 et Jean 12.42, 43. Qu’est-ce qui a empêché les personnes dans ces passages d’accepter la vérité du message biblique ? Quelles paroles d’avertissement et de prudence peut-on retirer de ces incidents ? C’est facile avec le recul de considérer avec mépris les chefs religieux qui rejetèrent Jésus malgré des preuves aussi flagrantes. Cependant, nous devons prendre garde de ne pas nourrir une attitude similaire au sujet de sa Parole. C’est indéniable, le péché a radicalement modifié, déchiré et brisé notre relation avec Dieu. Le péché affecte tous les domaines de notre existence humaine. Il affecte également notre capacité à
Lisez Actes 17.16-32. Dans Actes 17, Paul tente de délivrer le message évangélique dans un nouveau contexte : la philosophie de la culture grecque. De quelle manière des contextes culturels différents affectent-ils la manière dont nous évaluons l’importance des différentes idées existantes ? Il est utile d’avoir une connaissance de la culture du Proche Orient pour comprendre certains passages bibliques. « Par exemple, la culture hébreu attribuait la responsabilité à un individu pour des actes qu’il n’avait pas commis mais pour lesquels il avait laissé faire. Par conséquent, les auteurs inspirés des Écritures attribuent couramment à Dieu une responsabilité active là où dans
La Bible a été écrite dans des langues très anciennes : l’Ancien Testament a été rédigé principalement en hébreu, avec quelques passages en araméen, tandis que le Nouveau Testament a été écrit en grec koinè. La majorité de la population mondiale aujourd’hui ne parle pas ni ne lit ces langues anciennes. C’est pourquoi la Bible doit être traduite dans différentes langues modernes. Mais, comme tout bon traducteur le sait, toute traduction implique toujours une forme d’interprétation. Certains mots dans une langue n’ont pas toujours d’équivalent exact dans une autre. L’art et la manière de traduire puis d’interpréter les textes s’appelle « l’herméneutique. »
Lisez Luc 24.36-45. Qu’est-ce qui empêchait les disciples, qui connaissaient bien l’Écriture, de voir le véritable sens de la Parole de Dieu, même alors que les événements qu’elle avait prédits s’étaient déroulés devant eux ? Nul ne vient au texte de l’Écriture sans aucune idée préconçue. Chaque personne qui lit qui étudie l’Écriture, vient à la Bible avec une histoire particulière et une expérience personnelle qui ont forcément un impact sur le processus d’interprétation. Même les disciples avaient leurs propres idées de qui était le Messie et de ce qu’il était censé faire, sur la base des attentes de leur époque.
SABBAT APRÈS-MIDI Étude de la semaine : Lc 24.36-45 ; 1 Co 12.10 ; 1 Co 14.26 ; Ac 17.16-32 ; Jn 12.42, 43. Verset à mémoriser : Or, sans la foi, il est impossible de lui plaire, car celui qui s’approche de Dieu doit croire que celui-ci est et qu’il récompense eux qui le recherchent (Hébreux 11.6.). Lire la Bible signifie également interpréter la Bible. Mais comment faire ? Quels principes suivons-nous ? Comment, disons, abordons-nous les différents types d’écrits que l’on y trouve ? Par exemple, le passage que nous lisons est-il une parabole, un rêve prophétique-symbolique, ou bien un récit historique ? La décision d’une question aussi importante que
Dans le chapitre sur l’interprétation biblique du Handbook of Seventh-day Adventist Theology, lisez en anglais les sections sur The Analogy of Scripture : “Scripture Is Its Own Interpreter,” The Consistency of Scripture, et The Clarity of Scripture, pp. 64–66. « Celui qui étudie la Bible doit l’approcher avec un esprit toujours disposé à apprendre. Nous ne cherchons pas dans ses pages de quoi étayer nos opinions, mais la Parole de Dieu. Une véritable connaissance de la Bible ne peut être acquise qu’avec l’aide de l’Esprit qui l’a donnée. Pour atteindre cette connaissance, nous devons en vivre. Ce que Dieu nous commande, nous
Lisez Ésaïe 8.20. Pourquoi est-il toujours important de renvoyer à la loi et au témoignage bibliques comme les normes de notre enseignement et notre doctrine ? Qu’est-ce que cela signifie pour le ministère des prophètes qui ne font pas partie du canon biblique ? Quand il est question de sola Scriptura (l’Écriture seule), les adventistes du septième jour sont inévitablement confrontés à la question de savoir quoi faire d’Ellen G. White, qui était également inspirée par Dieu et a été une messagère du Seigneur auprès de son peuple du reste. Quelle est la relation entre ses écrits et l’Écriture ? Même une lecture
La Bible peut fonctionner comme son propre interprète uniquement parce qu’il y a une unité sous-jacente de l’Écriture. Sans cette unité, l’Écriture ne pourrait pas être la lumière qui révèle sa propre signification, où une portion de l’Écriture en interprète d’autres et devient ainsi la clé pour comprendre les passages associés. Lisez Luc 24.27, 44, 45. De quelle manière Jésus renvoie-t-il à l’Écriture pour expliquer qui il est ? Qu’est-ce que cela nous apprend sur la manière dont nous devons employer l’Écriture ? Ce qu’il y a de beau avec le fait que l’Écriture interprète l’Écriture, c’est qu’elle éclaire davantage sa propre
Invoquer l’Écriture seule n’a pas beaucoup de sens si le texte de la Bible n’est pas clair dans sa signification. Lisez Matthieu 21.42 ; Matthieu 12.3, 5 ; Matthieu 19.4 ; Matthieu 22.31 ; Marc 12.10, 26 ; Luc 6.3 ; Matthieu 24.15, et Marc 13.14. Qu’implique le fait que Jésus renvoie constamment à l’Écriture au sujet de la clarté du message qu’elle porte ? Le témoignage biblique est sans ambiguïté : la Bible est suffisamment claire dans ce qu’elle enseigne. La Bible est tellement claire qu’elle peut être comprise indifféremment par des enfants et des adultes, notamment dans ses enseignements les plus fondamentaux. Et pourtant, les occasions
La Bible elle-même affirme que toute Écriture est inspirée de Dieu (2 Tm 3.16) et qu’aucun message de prophète, dans l’Écriture, ne relève d’une interprétation particulière et que c’est portés par l’Esprit saint que des humains ont parlé de la part de Dieu (2 P 1.20, 21). Avec Dieu comme auteur suprême de la Bible, nous pouvons partir du principe que les différentes parties de l’Écriture concernant ses enseignements clé forment une unité fondamentale et sont en harmonie. Lisez Tite 1.9 et 2 Timothée 1.13. Pourquoi l’unité de la Bible est-elle importante pour notre foi ? Ce n’est que sur la base de son
Depuis leurs débuts, les adventistes du septième jour se considèrent comme le peuple du Livre, c’est-à-dire comme des chrétiens qui croient en la Bible. En affirmant le principe scripturaire de sola Scriptura (par l’Écriture seule), nous reconnaissons l’unique autorité de la Bible. L’Écriture seule est le standard de notre théologie et l’autorité suprême pour la vie et la doctrine. Les autres sources, comme l’expérience religieuse, la raison humaine, ou la tradition, sont soumises à la Bible. En fait, le principe de sola Scriptura était prévu pour sauvegarder l’autorité de l’Écriture afin qu’elle ne dépende pas de l’église et de son
SABBAT APRÈS-MIDI Étude de la semaine : 1 Co 4.1-6 ; Tt 1.9 ; 2 Tm 1.13 ; Mc 12.10, 26 ; Lc 24.27, 44, 45 ; Es 8.20. Verset à mémoriser : Car la Parole de Dieu est vivante, agissante, plus acérée qu’aucune épée à deux tranchants ; elle pénètre jusqu’à la division de l’âme et de l’esprit, des jointures et des moelles ; elle est juge des sentiments et des pensées du cœur (Hébreux 4.12.). L’affirmation protestante de « l’Écriture seule » (sola Scriptura) a élevé l’Écriture au rang de seul standard et seule source décisive en matière de théologie. Contrairement à la théologie catholique romaine, qui mettait l’accent sur l’Écriture
Lisez Ellen G. White, « Les Écritures, notre sauvegarde, » pp. 435-441, dans Le grand espoir. La tradition, l’expérience, la culture, la raison, et la Bible sont toutes présentes dans notre réflexion sur la Parole de Dieu. La question décisive est : laquelle de ces sources a le dernier mot et l’autorité suprême dans notre théologie ? C’est une chose que d’affirmer la primauté de la Bible, mais c’en est une autre que de laisser la Bible, par le ministère du Saint-Esprit, affecter et changer notre vie. En un sens, la culture, l’expérience, la raison, et même la tradition, en soi, ne sont pas nécessairement
Le Saint-Esprit, qui a révélé et inspiré le contenu de la Bible à des êtres humains, ne nous conduira jamais dans la direction opposée à la Parole de Dieu, ou loin de la Parole de Dieu. Pour les adventistes du septième jour, la Bible a plus d’autorité que les traditions humaines, l’expérience, la raison, ou la culture. Seule la Bible est la norme suivant laquelle tout le reste doit être mis à l’épreuve. Lisez Jean 5.46, 47 ; et Jean 7.38. Pour Jésus-Christ, la Bible est la source suprême pour comprendre les questions spirituelles. Comment la Bible confirme-t-elle que Jésus est
Lisez 2 Corinthiens 10.5, 6 ; Proverbes 1.7 et Proverbes 9.10. Pourquoi l’obéissance à Christ dans nos pensées est-elle si importante ? Pourquoi la crainte du Seigneur est-elle le début de la sagesse ? Dieu nous a donné la capacité de penser et de raisonner. Toute activité humaine et tout argument théologique supposent une capacité à réfléchir et à tirer des conclusions. Nous ne cautionnons pas une foi déraisonnable. Après le siècle des Lumières, cependant, la raison humaine prit un nouveau rôle, un rôle prépondérant, notamment dans la société occidentale, qui va bien au-delà de notre capacité à réfléchir et à parvenir à



