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Le Maroc a célébré cette semaine la fête du trône, marque en cette année 2024 par les 25 ans de règne du roi Mohammed VI. L'occasion de tirer le bilan économique de l'action royale.
L'économie iranienne traverse actuellement une période de grande turbulence, marquée par des sanctions internationales sévères, une inflation galopante et une dévaluation marquée de la monnaie nationale. Les revenus pétroliers, autrefois la principale source de revenus du pays, ont chuté de manière drastique, accentuant les difficultés économiques. À cela s'ajoutent des problèmes internes de corruption et de mauvaise gestion, aggravant une situation déjà précaire.
Les transferts de fonds des Marocains résidant à l'étranger (MRE) ont atteint près de 115,15 milliards de dirhams (MMDH) à la fin de décembre 2023, contre 110,72 MMDH l'année précédente, selon l'Office des Changes. Ces transferts enregistrent ainsi une augmentation de 4% par rapport à décembre 2022, précise l'Office dans ses indicateurs mensuels des échanges extérieurs de décembre 2023.
Alors que de nombreux bacheliers célèbrent la fin de leurs études secondaires, une nouvelle étape cruciale s'ouvre devant eux : choisir la voie de l'enseignement supérieur. Cette décision, souvent perçue comme un tournant majeur dans la vie académique et professionnelle des jeunes, est marquée par des enjeux économiques de taille qui méritent une attention particulière. Le premier défi est le coût des études supérieures. Selon les pays et les institutions, les frais de scolarité peuvent varier considérablement, influençant ainsi le choix de la filière et de l'établissement.
A l'aube du second tour de l'élection législative en France, il s'avère que le Rassemblement national (RN) et le Nouveau Front populaire (NFP) sont politiquement opposés, mais leurs propositions économiques présentent des similarités. Les deux partis prônent une économie française repliée sur elle-même, stimulée par la dépense publique et un bouclage budgétaire illusoire, reflétant leurs obsessions respectives.
Les prix du pétrole ont évolué autour de 100 dollars le baril la semaine dernière, après avoir connu une certaine volatilité au cours des mois précédents. D'un côté, les inquiétudes liées à un ralentissement économique mondial pèsent sur les prix. De l'autre côté, la demande soutenue de la part des pays asiatiques, notamment la Chine et l'Inde, soutient les prix. Ces pays en développement connaissent une forte croissance économique et leur consommation d'énergie augmente rapidement.
C'est une bonne nouvelle./ Les exportations marocaines vers l'Espagne ont augmenté de 4% au cours du premier trimestre de cette année 2024. Quant aux Émirats, ils sont les principaux investisseurs arabe au Maroc. Le pays émirati occupe la deuxième place mondiale en termes d'investissements dans le royaume marocain.
L'inflation a atteint 69,8% sur un an en Turquie, d'après des données officielles publiées ce vendredi. Depuis plusieurs mois, le président turc s'efforce sans succès de maîtriser cette inflation galopante. Ce manque de résultats a conduit son parti à subir une lourde défaite lors des dernières élections municipales.
L'inflation a atteint un nouveau sommet de 40 ans à 8,6% en mai aux Etats-Unis, alimentant les pressions sur la Fed pour qu'elle resserre davantage sa politique monétaire. La Fed a déjà prévu deux hausses de taux d'intérêt d'un demi-point de pourcentage pour les réunions de juin et juillet.
Du 21 au 26 mai 2024, Béni Mellal au Maroc a accueilli la deuxième édition du SITAG, l'événement visait à mettre en lumière les innovations dans le secteur agricole, y compris les avancées dans l'agriculture biologique. Le SITAG a été une vitrine pour les nouvelles technologies et les méthodes durables appliquées à l'agriculture au Maroc.
Le programme de reconstruction suite au séisme d'Al Haouz progresse conformément aux prévisions. Les priorités sont de reconstruire les maisons dans des zones à faible risque sismique, de concevoir des plans adaptés et d'impliquer les familles dans les efforts de reconstruction. À ce jour, 59.438 ménages ont été recensés comme bénéficiaires d'aides financières et 4.233 logements ont fait l'objet d'interventions.
La guerre menée par la Russie en Ukraine a déstabilisé les chaînes d’approvisionnement et mis à rude épreuve les systèmes alimentaires en Afrique et au Moyen-Orient, soulignant leur vulnérabilité et la nécessité d’accroître leur résilience.
Le FMI vient de publier son rapport annuel sur le Maroc. Le document salue les différents progrès budgétaires et économiques. Selon ce rapport, l'économie marocaine a une fois de plus fait preuve de résilience aux chocs négatifs en 2023. L'activité économique s'est accélérée. L'inflation a ralenti, et le déficit du compte courant s'est réduit malgré les vents contraires liés à la pénurie d'eau, le tremblement de terre de Septembre 2023 et une croissance plus faible dans la zone euro.
Le gouvernement espagnol a confirmé son objectif de ramener le déficit public à 3% du PIB en 2024. Cette réduction est rendue possible par la croissance économique et par la maîtrise des dépenses publiques. L'économie espagnole a enregistré une croissance de 0,7% au premier trimestre 2024, soit le double de la moyenne de la zone euro. Cette performance est attribuée à la forte demande intérieure et à la résilience du secteur touristique.
L'indice des prix à la consommation a enregistré en mars une hausse de 0,9% par rapport au même mois de l'année 2023. Le détail des augmentations montre des variations. Les poissons et fruits de mer ont vu la plus forte hausse avec 11,6%, suivis par les fruits à 3,1%, les légumes à 2,5%, et les viandes à 1,7%. Les pressions inflationnistes ont commencé à diminuer progressivement sur deux trimestres consécutifs à la fin de 2023.
Conflits régionaux, tensions sur les chaînes d’approvisionnement, chamboulements technologiques ou enjeux climatiques : les sources d’incertitudes pour les entreprises se sont multipliées ces derniers mois. C’est ce que révèle le sondage annuel réalisé par le cabinet de conseil KPMG auprès de 1 300 dirigeants d’entreprises internationales, sur leurs opinions et analyses économiques.
Le Maroc, comme de nombreux pays du monde, se trouve à la croisée des chemins d'une transformation digitale majeure. L'intelligence artificielle (IA) et les autres technologies numériques sont en train de révolutionner tous les secteurs d'activité, et il est essentiel que le pays dispose d'une main-d'œuvre qualifiée pour saisir les opportunités offertes par cette révolution.
Alors que les investisseurs placent des milliards dans les outils d’IA générative, le monde de l'économie commence à se poser des questions. Les progrès rapides de la technologie ont attiré l’attention des investisseurs en capital-risque, qui ont injecté des milliards de dollars dans le secteur.
Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) appelle à intensifier les peines relatives à l'exploitation des personnes vulnérables à des fins de mendicité et à renforcer l'efficacité des programmes de protection sociale au Maroc. Il s'agit d'établir une politique économique qui protège notamment les enfants, les femmes, les personnes âgées et les personnes handicapées.
La politique d'investissement du Maroc table sur un projet d'investissement global de 45 milliards de dollars d'ici 2050. L'espagne sera en lice pour participer à cette dynamique. Pour rappel, le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, a salué le « grand effort » déployé par le Maroc en faveur de la modernisation de son économie.