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Eglise de la Trinité
33 Episodes
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Prédication de Fred Bican sur 2 Corinthiens 3
Jésus passe le long de la mer de Galilée et rencontre deux fratries : celle d'André et Simon Pierre, et celle de Jacques et Jean. Il les appelle à le suivre, l'occasion pour nous d'observer leurs réactions et d'en tirer des applications précieuses pour notre propre vie de disciple.
Dans ce texte, nous découvrons que :
1- L'appel à la vie de disciple est un appel à suivre une personne, Jésus
2- L'appel à la vie de disciple est un appel au renoncement
3- L'appel à la vie de disciple est un appel à entrer dans la Grande Mission
Bonne écoute !
Marc a fini son prologue, la transition est complète, Jésus entre maintenant dans son ministère. Dans les chapitres qui vont suivre, Jésus va entrer pleinement dans ses œuvres : il va notamment choisir ses premiers disciples et commencer son ministère de manière éclatante (guérisons et miracles qui confirment sa mission et sa messianité).
Mais le ministère de Jésus, ce n’est pas premièrement les guérisons et les miracles. Et la première chose que Marc veut que l’on retienne du messie promis, c'est son message ! Et c’est exactement la fonction de ces deux versets : annoncer d'emblée le contenu de la proclamation de Jésus.
Bonne écoute !
Nous arrivons à la fin Marc de ce prologue de 13 versets. Marc a mis en évidence que Jésus est plus grand même que le plus grand des prophètes de l'ancienne alliance. Il a souligné que Christ est plus grand qu'Adam, et même que n'importe quel homme créé. Mais il ne peut pas terminer son propos sans affirmer avec force que Jésus est également plus grand et plus fort que l'ennemi de nos âmes, satan lui-même.
Dans ce court passage nous découvrons :
(1) De manière surprenante, c'est l'Esprit de Dieu qui chasse Jésus dans le désert
(2) Satan est un adversaire bien connu des chrétiens, et surtout un tentateur hors norme
(3) La victoire est assurée
Bonne écoute !
Quatrième et dernier chapitre du livre de Ruth ! L'heure est venue pour Yahweh de fermer tous les dossiers en cours : la situation matérielle si critique de Naomi, les intentions de rachat de Boaz ainsi que sa décision de marier Ruth, l'avenir de la lignée du défunt Elimelek... Même si l'espoir a ranimé le coeur des deux veuves, les circonstances semblent insolubles. En effet, un mystérieux individu se dresse entre Boaz et les deux femmes.
Le lecteur attend un grand dénouement. Il a vu le Grand Roi agir discrètement, par petites touches, dans les chapitres précédents. Mais Yahweh va aller au-delà même de toutes les espérances et de toutes les attentes : en intervenant dans la vie de Naomi et de Ruth, c'est tout un peuple qu'il va bénir. À moins que ce ne soit l'humanité entière...
Dans l’étude de ce passage, nous découvrons que :
Dieu est encore à la manoeuvre, faisant rencontrer “par hasard” Boaz et l'homme ayant un droit de rachat avant lui.
Cet homme n'est pas nommé, et c'est un élément important de la trame narrative et du dénouement. Découvrez pourquoi en écoutant le sermon !
Le cadre légal de ce chapitre ne peut pas être contourné. Il nous faut l'aborder, car certains éléments spécifiques doivent être expliqués.
Ce texte contient deux bénédictions : celle des anciens, et celle des femmes de la ville. Et les deux sont éminemment prophétiques...
Le texte se termine sur une généalogie, ce qui a de quoi surprendre. Mais il se trouve qu'elle a beaucoup à nous apprendre !
Bien qu’en apparence, le livre de Ruth se borne à relater une belle histoire se déroulant pendant la période chaotique des Juges, la profondeur de son message reste globalement méconnue. Nombre de ses aspects, en effet, sont profitables, mais ils ne sont malheureusement que rarement exposés durant les temps de prédication.
Les six prédications de cette série :
#1 – Introduction à Ruth : notre Roi approche !
Le thème central de Ruth, résumé ici par la phrase “notre roi approche” n’est certes pas évident au premier coup d’oeil. Il faut prendre le temps de contextualiser le livre, d’essayer de se placer dans une position semblable à celle des premiers destinataires. Pour ce premier sermon, nous nous sommes donc concentrés sur quelques remarques introductives nécessaires à la compréhension de Ruth dans son ensemble
#2 – Ruth 1:1-5 : Le Roi s’en va…
À bien des égards, les cinq premiers versets sont fondamentaux pour comprendre l’ensemble du livre. Ils servent d’introduction et établissent la trame dans laquelle les personnages vont progressivement se révéler. Or, le moins que l’on puisse dire, c’est que le récit s’ouvre sur une perspective très négative : l’attitude d’Elimelek et celle de sa famille sont clairement dépeintes comme une succession d’endurcissements contre la souveraineté de Dieu.
#3 – Ruth 1:6-22 : Le retour du Roi.
Cette prédication clôt la lecture du chapitre 1. Nous y voyons Naomi et ses belles-filles se mettre en route pour regagner Bethlehem de Juda. Sur le chemin, un dialogue s’ensuit, et Naomi demande à ses belles-filles de retourner en Moab…
#4 – Ruth 2:1-23 : Le Roi se révèle.
Naomi et Ruth sont bien arrivées à Bethlehem. Dans une société dominée par l’activité agraire, elles ne peuvent faire autre chose que glaner, une activité dangereuse durant la période des Juges… Mais voici que Boaz, un personnage important, rentre en scène !
#5 – Ruth 3:1-18 : Le Roi change le mal en bien.
Le chapitre 3 situe les évènements à la toute fin de la moisson, soit plusieurs semaines plus tard. La situation des deux femmes reste précaire, et elles vont bientôt perdre toute opportunité de glaner. Certes, il reste ce champ que Naomi a à vendre, mais les deux femmes ne tiendront pas longtemps avec cela… L’heure est donc aux grandes décisions : que doivent faire Naomi et Ruth pour leur avenir ?
#6 – Ruth 4:1-22 : Le Roi agit au-delà de toute espérance !
Dans le chapitre 4, le lecteur attend un grand dénouement. Il a vu le Grand Roi agir discrètement, par petites touches, dans les chapitres précédents. Mais Yahweh va aller au-delà même de toutes les espérances et de toutes les attentes : en intervenant dans la vie de Naomi et de Ruth, c’est tout un peuple qu’il va bénir. À moins que ce ne soit l’humanité entière…
Après avoir montré que Jésus est plus grand que le plus grand des prophètes. de l'ancienne alliance (Marc 1.1-8), Marc entend poursuivre sur le même ton, en démontrant ce qui distingue le Christ de l'ensemble de l'humanité. Le récit du baptême de Jésus, un événement relaté de manière très semblable par les autres évangiles, lui offre cette opportunité.
Deux choses surprennent, dans le passage de Marc 1.9-11 :
(1) Il est difficile de comprendre pourquoi Jésus doit-il se faire baptiser d'un baptême qu'il savait être temporaire et visant à exprimer la repentance, alors que lui-même n'a jamais péché ?
(2) Pourquoi l'Esprit descend-il à la manière d'une colombe sur Jésus et une voix tonne-t-elle du ciel ?
Réponse dans cette prédication !
Bonne écoute
La popularité de l'Evangile de Marc est très récente, dans l'histoire de l'Eglise. Ce texte a longtemps été considéré comme une pâle copie de Matthieu, de sorte qu'il a longtemps été considéré comme un "Évangile de seconde zone". Malgré son style très direct, sans détail inutile ni fioriture, ce texte a beaucoup à nous apprendre, et nous sommes très heureux de nous y plonger pendant les prochains mois !
Cette semaine, Guillaume Bourin expose les huit premiers versets de ce qui est connu comme le "prologue" de Marc (Mc 1.1-13). Ces huit versets décrivent le ministère de Jean de manière très précise. Voici les points relevés dans cette prédication :
(1) Ce texte ne se focalise pas sur Jean-Baptiste, mais sur Jésus-Christ
(2) Le ministère de Jean-Baptiste ne fait que préparer celui de Christ
(3) Le message de Jean-Baptiste ne vise qu'à annoncer Jésus-Christ
Bonne écoute !
Dernier message de l'année à l'Eglise réformée baptiste de la Trinité. L'occasion d'aborder un thème parfois traité de manière abusive, parfois complètement ignoré : la collecte dans l'Église.
Dans le passage de 1 Corinthiens 16.1-4, nous apprenons :
(1) Que la collecte est un commandement
(2) Qu'elle obéit à des principes bien définis
(3) Qu'elle mérite un traitement important.
Bonne écoute !
On insiste souvent sur la belle histoire de Noël : le petit enfant dans la crèche, les mages qui viennent lui offrir des présents, avec le bœuf et l’âne à côté, et des parents souriants. Cette image est pourtant truffée d’erreur : tout d’abord au moment où les mages visitent Jésus, il loge dans une maison (v11) et le petit enfant avait probablement entre 1 et 2 ans. Ensuite, même si la visite des mages est en soi positive, le contexte dans lequel elle se produit est assez dramatique, de sorte que Noël n’est pas seulement une occasion de nous réjouir de la naissance du Christ : c’est aussi une opportunité de nous souvenir que quelque chose ne tourne pas rond au sein de cette humanité…
Ce texte nous offre trois grandes leçons, que nous voulons regarder ensemble :
(1) Il est possible d’être très près de Dieu et de passer à côté de lui sans le rencontrer
(2) Il est possible d’être très loin de Dieu et malgré tout d’entrer en relation avec lui
(3) Quiconque entend l'Evangile est invité à venir à Christ
Bonne écoute !
Ce texte bien connu de la naissance de Jésus-Christ est propre à l'Evangile de Matthieu. Le miracle de l'incarnation y est dépeint avec beaucoup de sobriété, mais il ne peut que susciter notre étonnement.
Dans ce texte, nous découvrons :
(1) Quel grand miracle présider à l'incarnation de Jésus-Christ
(2) Qui est Jésus-Christ –Emmanuel, Dieu avec nous
(3) Ce qui est attendu d'un "juste"
Bonne écoute !
La généalogie qui introduit l'Évangile de Matthieu est sélective. C’est à dire que le but de Matthieu n’est pas l’exhaustivité : son agenda est a avant tout théologique.
Elle nous offre au moins trois leçons :
(1) Dieu tient toujours ses promesses
(2) Le péché est universel
(3) Il y a grâce en Jésus.
Bonne écoute !
Jusqu’ici dans cette série, nous avons surtout vu Jude mettre en garde ses lecteurs contre les faux docteurs et leur donner des critères objectifs pour savoir les identifier et identifier leurs enseignements. Mais, concrètement, qu’est-ce que ces lecteurs pouvaient donc faire ? Comment devaient-ils réagir ?
Jude leur donne donc, pour finir sa lettre, quatre conseils pratique pour faire face à l’hérésie dans leur communauté, quatre exhortations pour lutter efficacement contre l’influence de ces faux docteurs.
(1) Souvenez-vous de la Parole de Dieu
(2) Enracinez-vous dans la piété
(3) Ayez compassion de ceux qui sont dans l'erreur
(4) Confiez-vous dans la souveraineté de Dieu
Bonne écoute !
Il s'agit là d'un texte difficile : Jude ne mâche pas ces mots envers les faux docteurs qui se sont infiltrés dans l’Eglise de ceux qui le lisent. Le ton alarmant prouve que la situation est critique et qu’il s’agit pour Jude d’être clair avec eux. Dans cette longue description de ceux qui ravagent l'Eglise, nous pouvons discerner cinq critères utiles pour évaluer ceux que l’on peut qualifier de « faux docteur » ou « faux professant »
Évaluons ensemble cette liste de critères et voyons ce que nous pouvons en retirer.
Jude écrit à ses lecteurs une lettre alarmiste : de faux croyants se sont introduits au milieu d'eux et menacent la viabilité de l'Église. Alors qu'il avait prévu de poursuivre une correspondances d'exhortation et d'encouragement, il se voit obligé de mettre les pieds dans le plat et d'aborder de front ce problème.
Jude nous offre ainsi une importante leçon quant à notre foi : il existe des menaces sérieuses qu’on ne peut ignorer, des menaces qui nécessitent que nous réagissions avec fermeté, quitte à abandonner les projets que nous avons en cours...
Les introductions des lettres du Nouveau Testament sont souvent d’une importance capitale : elles révèlent des éléments clés sur l’auteur et ses destinataires, elles indiquent les thèmes clés qui seront abordés, et elles offrent des indices précieux sur l’Eglise du premier siècle.
Les deux premiers versets de Jude ne dérogent pas à la règle. Nous y apprenons qui est l’auteur (car plusieurs Jude peuvent prétendre à ce rôle!), quelle est la qualité de ses destinataires, et la relation spéciale qu’il entretient avec eux.
Bonne écoute !
Il faut que les histoires finissent un jour, même quand elles se fondent dans la réalité de l'Histoire. Avec la mort d'Élisée, les cycles narratifs des deux prophètes les plus impressionnants de l'Ancien Testament prend fin.
La mort d'Elisée est bien moins spectaculaire que l'enlèvement d'Elie, mais elle a de nombreuses leçons à offrir au lecteur moderne, notamment :
1. La mort atteint l'ensemble des êtres humains
2. Tous les pleurs ne se valent pas
3. Un homme de Dieu n'abandonne jamais son peuple
4. La mort n'est pas la fin !
Bonne écoute !
Petit retour en arrière : à la fin de sa séquence de dépression à Horeb, YHWH donne une mission à Elie (1 Rois 19.15-16) : « Va, reprends ton chemin par le désert jusqu'à Damas ; quand tu seras arrivé, tu conféreras l'onction à Hazaël pour qu'il soit roi sur Aram. Tu conféreras l'onction à Jéhu, fils de Nimshi, pour qu'il soit roi sur Israël ; et tu conféreras l'onction à Elisée, fils de Shaphath, d'Abel-Mehola, pour qu'il soit prophète à ta place. » Manifestement, de ces trois choses, Elie n’en a accompli qu’une : oindre Elisée comme prophète à sa place…
Que se passe-t-il, lorsque la Parole de YHWH n’est pas expressément obéie ? Dieu change-t-il ses plans ? Loin s’en faut, comme ce récit nous le démontre 😉
Bonne écoute !
Il y a certains rendez-vous divins qui sont positifs, d'autres qui ne sont pas ceux que nous attendions. La femme de ce récit s'attendait-elle, par exemple, à ce qu'un famine la frappe de plein fouet, l'obligeant à fuir et à abandonner tous ses biens ? Certainement pas. Cependant, nous ne devons pas penser que Dieu est un "distributeur de bénédictions" et que son action ne se limite qu'à ce qui nous fait du bien.
C'est exactement ce que ce texte de 2 Rois 8.1-6 nous rappelle, au moyen de trois grandes leçons :
(1) Rien n'est jamais acquis, dans ce monde
(2) Rien n'est simple, dans ce monde
(3) Rien n'est le fruit du hasard, dans ce monde
Bonne écoute !
La guerre syro-ephraïmite fait rage –c'est probablement l'un des antagonismes les plus amers du IXème siècle avant Jésus-Christ. Alors qu'Elisée a miraculeusement délivré son peuple dans un passé proche, la guerre continue continue et la Syrie presse Israël de près. La ville de Samarie est assiégée, il n'y a plus de nourriture, et c'est alors que le péché se manifeste sous son jour le plus hideux... Mais au milieu de cette situation chaotique, désespérée, il y a un rayon d'espoir : quatre lépreux, animés de la crainte de Dieu, seront le vecteur de la délivrance divine !
Lisons ensemble ce récit incroyable de la délivrance de Samarie !




