La COP27 vient de s’achever et c’est sans surprise un 27e échec. La bonne nouvelle, on peut tous agir et ça mon invité du jour l’a bien compris. Après un parcours : EPFL puis un passage en finance de marché, il se tourne finalement vers le conseil en stratégie et devient consultant au BCG. Ces années en tant que consultant se ternissent par une prise de conscience écologique grandissante. Comme il le dit lui-même, il a très vite compris qu’il faisait partie du problème et non de la solution. Après 3 ans dont une année au sein de l’ONG WWF, il démissionne Ensemble on est revenu sur sa prise de conscience écologique, la dissonance cognitive qu’il a ressenti, le role des jeunes diplômés face à l’urgence écologique. Mais également sur la servitude volontaire dont on peut aussi parfois être victime au début de notre carrière. Ce que je retiens de cette discussion, c’est que sans aucun doute Victor a une curiosité débordante qui l’a poussé à comprendre l’urgence écologique, à s’engager et à militer. Victor représente cette jeunesse engagé et résistante qui s’indigne pour plus de justice, de liberté et tout simplement avoir un avenir Je vous souhaite à tous d’avoir votre motif d’indignation.
Je suis actuellement face à l’océan. Il parait si proche et en même, il est si méconnu. Il est actuellement au cœur d’un des enjeux de la COP27, avec l’annonce de Macron interdire l'exploitation des fonds marins. Mon invité du jour est un amoureux de l’océan et a souhaité pallier ce manque de connaissances grâce à la fondation Tara Ccean. Après des études d’ingénieur, il décide d’allier ses connaissances scientifiques et son désir d’agir pour la planète et rejoint la fondation Tara Océan. Tara Océan, c’est une fondation qui soutient la recherche scientifique grâce à une goélette. À son bord, un ensemble de chercheurs, de scientifiques et également d’artistes embarquent pour plusieurs mois. Le but est d’étudier l’océan pour ensuite à leur retour démocratiser leur connaissance et plaider pour sa protection. . Romain est également père de deux enfants, et comme il le dit lui -même avoir des enfants lui a fait prendre conscience de l’inaction et non plus à l’horizon d’une vie humaine mais via également celle de ces enfants. Ensemble on a parlé du pouvoir des jeunes diplômés qui désertent et du rôle de l’océan en tant que puit de carbone. https://www.instagram.com/enfin.podcast/?hl=fr https://fondationtaraocean.org/
L’aventure, on l’entend souvent sans réellement savoir ce que ça représente. Pour certains, cela pourrait s’apparenter à une nuit. Pour d’autres, c’est un événement fortuit, de caractère singulier ou surprenant. Pour d’autres encore, c’est un exploit parfois même inattendu. Pourquoi en voyage embrasse-t-on l’incertitude et le changement, alors que nous organisons au quotidien nos journées à la minute près ? Pour ce désir d’aventure tout simplement C’est ce goût pour l’aventure qui a poussé mon invité du jour à lancer le premier média indépendant d’inspiration outdoor. Vous n’en avez jamais entendu parler ? Il s’agit des Others. Thomas Firh a grandi en région parisienne et est vite rattrapé par une frustration et un besoin de faire cohabiter sa vie citadine, haletante et son désir de reconnexion à la nature. Comme le dit très bien Tristant Savin, aimer l'aventure, c'est pousser une porte sans savoir ce qu'elle cache. Suivre un étranger sans connaître sa destination. C'est le goût du risque. Un premier épisode qui donne le ton de cette nouvelle saison et vous fera patienter jusqu’à votre prochaine sortie en plein air. Instagram : https://www.instagram.com/enfin.podcast/?hl=fr Linkedin : https://www.linkedin.com/company/enfinpodcast
Hello à tous, c’est Clémence au micro, Je voulais vous introduire personnellement cette quatrième saison d’ENFIN qui sera d’ailleurs la dernière…. J’ai de nouveaux projets professionnels et malheureusement je n’aurai plus suffisamment de temps à consacrer à ENFIN mais je serais ravie de partager cette aventure avec vous donc si certains souhaitent rejoindre le podcast n’hésitez pas à m’envoyer un message. Bon l’été est déjà bien entamé, j’image que certains sont sûrement déjà partis en vacances ou attendent patiemment les leurs. Bon, l’été est déjà bien entamé, j’image que certains sont sûrement déjà partis en vacances ou attendent patiemment les leurs. On le répétera jamais assez, il est urgent qu’on change de paradigme et qu’on modifie nos habitudes pour lutter contre le réchauffement climatique. On est le 15 juillet la semaine prochaine, il va faire 40 degrés à Paris. 40 degrés. L’objectif, c’est de réduire notre empreinte carbone à 2 tonnes de CO2. Pour vous donner un ordre de grandeur Paris-NY, c’est 2,3tonnes de CO2. À force de compter et recompter l'addition salée de leur empreinte, le carbone nous pose cette question : peut-on encore voyager ? Parce que oui aller aux Maldives pour chiller sur la plage, défoncer la biodiversité, exploser son empreinte carbone est ce que ça fait vraiment sens ? Et puis est ce que c’est vraiment ça voyager ? Le voyage, commence-t-il uniquement lorsque l’on est arrivé à destination ? Est-il nécessaire de partir loin pour voyager ? C’est quoi la véritable aventure ? On n'y échappera pas notre rapport au voyage et au temps va évoluer. La réponse sera collective ou ne sera pas. Il faut réhabiliter le véritable voyage. Celui de la découverte, de la patience et de la déambulation. De l’incertitude et de la contemplation. Maintenant, que nous savons qu’il n’est plus nécessaire de partir loin. Qu’il n’est plus nécessaire de partir longtemps. Faisons un pas de plus et agissons. Comme le dit très bien sylvain tesson, l’homme libre possède le temps, l’homme qui maîtrise l’espace est simplement puissant. Bref je ne vous en dis pas plus pour le moment et vous laisse découvrir cette nouvelle saison qui j’espère vous frémir d’envie et vous inspirera de nouveaux voyages.
Pour ce nouvel épisode on est parti à la rencontre de Mary, la fondatrice de la première crémerie végétale en France. Cet épisode a été tourné directement dans leur crémerie végétale, pleine de couleur. A l'image de Mary, il y a une joie de vivre contagieuse. Mary à coeur de partager avec générosité sa gourmandise tout en démocratisant la nourriture vegan. Comme elle le dit elle même, "chaque petit changement compte et oui le changement est possible". Ensemble, on est revenu sur son cheminement pour devenir vegan grâce notamment à la méditation, ses débuts dans le secteur du luxe où elle a découvert l’artisanat et la création de Jay & Joy qu’elle a monté avec son mari. En bonus, vous allez même pouvoir découvrir ce qui se cache derrière la recette des fromages végétales. Musique : Lança Perfume - Rita Lee Instagram : https://www.instagram.com/enfin.podcast/?hl=fr Linkedin : https://www.linkedin.com/company/enfinpodcast Jay & Joy : https://www.jay-joy.com/
Pour ce nouvel épisode, j’ai voulu rencontrer Bérénice Leconte la fondatrice de VG Patisserie, la première pâtisserie végan. Alors végan, c’est un mot qui fait peur. Pourtant, face au réchauffement climatique, tendre de plus en plus vers ces régimes alimentaires est plus que nécessaire. On est de plus en plus sensibiliser à l’impact de la viande sur la pollution de l’air, mais si on pousse le raison. Le réchauffement climatique ne s’arrête pas aux gaz à effet de serre, il faut aussi prendre en compte, la déforestation, la pollution de l’eau et surtout la sur-exploitation des espèces. Avec Bérénice, j’ai voulu mieux comprendre ce régime alimentaire encore terni par des clichés, les végans mangent que de l’herbe, c'est des militants extrémistes, des rabat-joies bref Dans cet épisode, on revient sur la création de VG Pâtisserie, la manière dont nos pâtisseries préférées ont été re-visitées pour être vegan, mais également son passage en grand groupe qui s’est soldé par une démission et a été un catalyseur pour faire son CAP Pâtisserie. Une discussion sans langue de bois, ou elle aborde notamment la difficulté du secteur de la restauration, encore très dure et malheureusement peu valorisé.
Pour ce nouvel épisode, on continue sur le thème de la food avec Tigrane Seydoux le fondateur de Big Mamma. J’étais ravie de pourvoir le compter parmi les invités d’ENFIN a et très touché qu’il prenne 1h pour revenir sur son aventure entrepreneuriale. Big Mamma vous le savez sûrement, c’est des restaurants italiens et une dark kitchen Napoli gang. Ce que vous connaissez sûrement moins c’est leur engagement écologique et social. Entreprise à mission et B Corp, ils ont à cœur d’essayer d’avoir un impact le plus positif possible et de promouvoir la méritocratie. Ensemble, on est revenu sur son parcours, la rencontre avec Victor son associé, les débuts de Big Mamma, le label B Corp, les enjeux de réduction carbone pour un restaurant et leurs prochains challenges. Mais surtout et c’est ce qui m’a le plus marqué, la manière dont son éducation l’a façonné en grandissant dans une fratrie de 5 ans. Et la force de caractère qu’il a bâti après avoir connu jeune deux événements tragiques avec la perte de sa mère et d’un de ses grands frères. Aujourd’hui, et vous vous en rendrez compte très vite durant l’épisode, il accorde énormément d’importance aux liens familiaux, à sa femme et ses enfants, et s’occupe de toute la branche Hospitality et ressources humaines de Big Mamma. D'ailleurs, vous êtes de plus en plus à nous envoyer des messages sur vos choix professionnels et la dualité dont vous faites face entre vos convictions personnelles et vos choix professionnels. Du coup, on vient de lancer un channel Discord pour pouvoir discuter ensemble : https://discord.gg/cV7H6mYGFK. Musique : Sara perche ti amo - Ricchi E poveri Instagram : https://www.instagram.com/enfin.podcast/?hl=fr Linkedin : https://www.linkedin.com/company/enfinpodcast Discord : https://discord.gg/cV7H6mYGFK
Grâce à mon invité du jour, vos plats végétariens ont une toute autre saveur. En tant que végétarien, on va pas se mentir, il y a certains moments conviviales qui peuvent devenir un peu plus compliqué. A l’approche du printemps, la saison des barbecues commence. Quand t’es le végétarien de la bande tu te retrouves souvent à manger la salade verte ou les pommes de terre. C’est pas très fun. Alliant son envie d’entreprendre à sa volonté d’avoir un impact, Guillaume Dubois co-fonde les nouveaux fermiers en 2019. Leur objectif : proposer un substitut à la viande. Aujourd’hui la viande c’est 15% des émissions de GES dans le monde. Rien que ca. C’est d’ailleurs lorsqu’il en prend conscience qu’il décide de se lancer. Ensemble on est revenu sur son engagement écologique, le choix de passer par la case conseil avant d’entreprendre, le challenge de lancer une boite juste avant le covid et sa vision de la gastronomie française et notamment comment elle va être amenée à évoluer. D’ailleurs, lors de l’enregistrement la startup s’appelait encore les nouveaux fermiers mais il s’appelle depuis peu Happyvore Musique : Vendredi sur mer - Le Lac Instagram : https://www.instagram.com/enfin.podcast/?hl=fr Linkedin : https://www.linkedin.com/company/enfinpodcast HappyVore : https://happyvore.com/?msclkid=98472cf781ad16c9064d4e70115f837e
Hello c’est Clémence au micro. Je voulais vous introduire personnellement cette nouvelle saison. Face au réchauffement climatique, on a un tous un pote qui nous rabâche à longueur de journée qu’il faut qu’on fasse notre part, notamment qu’il est urgent de changer notre manière de nous alimenter. Il a pas tord, mais entre nous, au quotidien ça peut parfois être très compliqué. Ors l'impact est réel. En tant que français, notre empreinte carbone est en moyenne de 10 tonnes par an. L'objectif est de la réduire à 2 tonnes pas an pour limiter le réchauffement climatique à 2 degrés. Et dans cet effort, notre alimentation n’est pas à sous estimer : la part de notre alimentation représente 3,3 tonnes d’équivalent CO2 quand on mange régulièrement de la viande ou du poisson. C’est environ 30%. Un régime végétarien, c’est pratiquement deux fois moins : 1,7 tonnes d'équivalent CO2. Plus globalement, le secteur agricole c’est 20% des émissions de GES en France. C’est le deuxième pôle le plus émetteur après les transports. Et vu qu’il nous reste plus que 3 ans ça vaut le coup de se bouger non ? Mais qu’est ce qu’on fait ? Dans cette nouvelle saison, on est parti à la rencontre d’entrepreneurs engagés qui ont trouvé des solutions pour vous permettre de réduire le gaspillage alimentaire, votre consommation de viandes en particulier de bœuf, avoir une cantine bio, manger local, favoriser la permaculture ou encore l’un des célèbres restaurateurs italiens qui nous livrera les secrets de leur label B Corp. Une nouvelle saison plein de surprise qui j’espère vous plaira et vous fera saliver
La pause-dej au boulot, c'est souvent un sandwich attrapé à la volée ou une salade dans un bol en carton. Ca rime souvent avec rapidité, sur-emballage, mauvais rapport qualité prix et surtout c’est rarement bon. Après quelques années en banque, c’est également le constat que fait notre invité du jour. Antoine Michaud a décidé de lancer Ideel Garden. Le principe : une cantine connectée avec des plats bons, frais, et bio à un prix abordable. Dès le départ, ils ont intégré le zéro-déchet avec la consigne et depuis peu, ils ont également mis en place toute une logique anti-gaspi. Ensemble, on est revenu sur la rencontre avec son associé, les débuts d’Ideel garden, ses premiers échecs et plein de conseils pour les jeunes entrepreneurs. J’espère que ce deuxième épisode vous plaira ! Musique : Felicity - Hologramme Instagram : https://www.instagram.com/enfin.podcast/?hl=fr Linkedin : https://www.linkedin.com/company/enfinpodcast Ideel Garden : https://ideelgarden.com/
Ce nouvel épisode va vous plonger dans le monde fascinant des océans. Lors de ses études, Martin Colognoli part en échange en Australie dans une université spécialisée sur les récifs coralliens. Puis, il commence sa carrière professionnelle en Indonésie dans une structure d'exportation de coraux et autres animaux marins destinés à l'aquariophilie. Rapidement rattrapé par ses convictions il se rend compte qu'il participe malgré lui à un pillage de cette vie marine. Un désastre aussi bien pour l'environnement marin que pour les populations côtières. Il décide alors de se consacrer à la protection des récifs coralliens : l'un des écosystèmes les plus riches au monde et également les plus fragiles et menacés. Il co-fonde l'ONG "Coral Guardian" dans le but de protéger les écosystèmes coralliens à travers l'implication des communautés qui en dépendent. Martin Colognoli est également photographe comme il le dit lui même la science informe et l’art provoque l’émotion. Musique : RJ2D - Ghostwriter Instagram : https://www.instagram.com/enfin.podcast/?hl=fr Linkedin : https://www.linkedin.com/company/enfinpodcast Martin Colognoli : Martin Colognoli Photography
Pour ce nouvel épisode, on aborde l’océan sous un autre aspect : les plaidoyer à Bruxelles. Au micro d’ENFIN, Yana Prokofyeva engagée auprès de l’association Surfrider Foundation, nous raconte sa vie de lobbyiste à Bruxelles. Son rôle ? Plaidoyer pour intégrer l'océan dans le futur régime climatique. Le but ? Adapter le cadre législatif aux enjeux de protection et de préservation de l’océan, de renforcer la politique environnementale, et de faire évoluer le modèle économique vers une transition écologique. Et ce n’est pas de tout repos. Elle nous a d’ailleurs livré des anecdotes sur l’industrie du tabac …. Avec elle, on a tenté de mieux comprendre le rôle du lobbying, son influence sur la démocratie et son avenir face au contre-pouvoir croissant des citoyens.
Maxime a un parcours hors du commun. Après des études à l'Essec, il commence par la case conseil et part 2 ans en Irak. Il revient ensuite en France, et prend un job en start-up. Sa vie personnelle change, il part en voyage en Alaska, lit le livre « Comment tout peut s’effondrer ? » de Pablo Servigne. Il décide alors de tout quitter et de s’engager en tant que volontaire sur le Bob Baker, un bateau de Sea Shepherd au large de l'Afrique. Il est également auteur de bandes dessinées (la première sortira en juin prochain). Ensemble, on est revenu sur l’urgence écologique, les conséquences désastreuses de la sur-pêche, les inspirations de cette nouvelle génération engagée et sur la remise en question de nos modes de vie occidentaux. Cet échange m'a vraiment fait réfléchir sur quelle place je voulais laisser au sens dans ma vie. C'est un peu pipeau dit comme ça, mais plus globalement quelle place j'ai envie de donner à mon engagement écologique dans ma vie au quotidien. Vous me direz si vous aussi ? Musique : Un monde nouveau - Feu! Chaterton Instagram : https://www.instagram.com/enfin.podcast/?hl=fr Linkedin : https://www.linkedin.com/company/enfinpodcast
Pour le 3ème épisode de cette saison sur la protection de l'océan, j’ai eu la chance de recevoir Lamya Essemlali. Pour ceux qui ne la connaissent pas encore, Lamya Essemlali a co-fondé l’antenne française de Sea Shepherd, l’ONG qui agit pour sauver la biodiversité marine. Connue pour sa stratégie d’action directe, l’ONG tente de rendre visible les crimes environnementaux qui ont lieu en haute mer. Braconnage, sur-pêche, dauphins échoués, tortues massacrées ou baleines tuées. Lamya Essemlali est sur tous les fronts pour sauver la vie marine. “Es-tu prête à risquer ta vie pour une baleine ?” C’est la question que lui pose Paul Watson, le jour où ils se rencontrent lors d’une conférence à Paris en 2005. C’est lui qui a fondé Sea Shepherd en 1977. Lamya répond oui. Elle est touchée par son discours et la philosophie biocentrique du Sea Shepherd : placer la vie animale au centre de tout et non pas l’humain. L’engagement est immédiat. La question prend tout son sens lorsqu’elle embarque pour sa première mission en Antarctique, sur les traces des bateaux usines japonais. Mère d’une petite fille, ensemble nous sommes revenues sur la nécessité de protéger l’océan pour préserver l’espèce humaine, mais également sur les missions qui l’ont marqué et les moteurs de son engagement et à ma grande surprise ce n’est pas l’espoir. Si vous souhaitez soutenir l'association vous pouvez participer à la course Run for the planet. Sea Shepherd : https://seashepherd.fr/ Instagram : https://www.instagram.com/enfin.podcast/ Runfortheplanet : https://runforplanet.fr/
Au micro d'Enfin, Sylvain fleury revient sur son aventure entrepreneuriale et sur le défi qu'il s'est lancé allier sa passion et l'écologie. Il co-fonde wyve_surf : une alternative aux planches de surf polluantes et très fragiles. Le concept ? Grâce à l'impression 3D, les planches wyve sont crées sur-mesure et fabriquées en plastique bio-sourcé. Un épisode ne surtout pas louper si vous êtes fan de surf Site internet : https://www.wyvesurf.com/ Instagram ENFIN : https://www.instagram.com/enfin.podcast/
Pour cette nouvelle saison, on a décidé de faire un focus sur la protection de l’océan. Au programme, ce ne sera pas seulement des interviews avec des entrepreneurs, mais également des artistes, des activistes ou encore des fondateurs d’association. Tous et toutes engagé.es dans la protection de l’écosystème marin. Aujourd’hui, l’océan recouvre 70 % de la surface planète et 50 % de l’oxygène que l’on respire provient de l’océan. Pour reprendre la fameuse phrase de Paul Watson : "si l’océan meurt, nous mourrons avec" Aujourd’hui, tout cet écosystème est menacé : pollution plastique, sur-pêche , acidification de l’océan, eutrophisation, réchauffement climatique, fonte des glaces et j’en passe. Et tous ces phénomènes sont liés à 100 % à l’activité humaine. Je suis intimement persuadée que si l’ensemble de la population avait toutes l’information nécessaire tout ceci ne serait jamais arrivé. Mais on peut encore changer les choses et éviter un désastre planétaire. L’objectif de cette nouvelle saison est de vous sensibiliser en vous donnant l’information nécessaire et les solutions existantes. J’espère que cette nouvelle saison vous plaira, vous inspirera et vous poussera à vous aussi vous engager à votre échelle. Si vous souhaitez d’ailleurs que l’on aborde certains sujets en particulier, n’hésitez pas à nous écrire directement sur instagram. On sera ravie de vous répondre. Bonne écoute Lien Instagram : https://www.instagram.com/enfin.podcast/
Malaury Morin est une amoureuse de l'océan. Conscience de la menace qui pèse aujourd'hui, elle décide de fonder Blutopia et Studio Plouf avec son compagnon. Le but : sensibiliser le plus grand nombre au désastre climatique et les pousser à agir pour la préservation de l'océan. Comment ? Elle a réalisé avec son compagnon Julien Gerbert un documentaire qui présente des solutions pour sauvegarder les océans : l’autre confort. Ils sont d'ailleurs en train de préparer leur deuxième documentaire. On entend souvent dire que le poumon de la terre est l’Amazonie et on oublie pourtant que l’autre poumon de la planète, c’est l’océan. Nous respirons 1 fois sur 2 grâce au phytoplancton présent dans l’océan qui se comporte comme les plantes vertes avec la photosynthèse. ( Essayez de respirer qu'1 fois sur 2 .... C'est compliqué.). Dans ce podcast, nous parlons avec Malaury de l'aventure de Blutopia, de ses projets et de son amour pour l’océan.
C'est durant ses études qu’elle prend conscience de l’urgence écologique. D’abord grâce à ses colocataires, puis en écoutant une conférence d'Aurélien Barrau sur les conséquences de la hausse de température. Ce réchauffement climatique, elle le subit directement et observe dors à déjà une perte de la biodiversité en Bourgogne, sa région natale. Après plusieurs expériences professionnelles en banque, elle comprend les rouages du système et décide de les bousculer. Elle co-fonde Green-got et devient une entrepreneuse du changement. Son but, créer la première banque engagée contre le réchauffement climatique et arrêter les milliards investis dans les énergies fossiles. Au micro d'Enfin, elle nous raconte son parcours audacieux, d'étudiante rêveuse à entrepreneuse engagée.
Dans ce nouvel épisode on donne la parole à Alexis Normand, CEO de Greenly. Greenly, c'est une entreprise qui permet aux particuliers et aux entreprises d'évaluer et diminuer leur impact carbone. Un épisode plein de bons sens qui vous permettra notamment de savoir quels leviers les entreprises tech peuvent activer pour diminuer leur impact carbone.
Nicolas Rohr, co-fondateur de Faguo, revient sur le début de la création de Faguo, la croissance fulgurante de la marque et les nouveaux enjeux écologiques et sociaux auxquels ils sont désormais confrontés. Une belle success story française qui a réussi à imposer une marque de chaussures responsables et écologiques dans un secteur drivé par la fast-fashion.