Entre 1938 et 1939, la France et la Finlande échangent des collections d’objets. Parmi ces derniers, l’une des œuvres du trésor royal d’Abomey : le kataklè. Considérés par certains comme un don, par d’autres comme un prêt, le statut de propriété de ces objets pourrait compromettre la restitution du kataklè aux autorités béninoises. Mais une décision inattendue va chambouler la fin de l’enquête de Pierre Firtion.
Pour en savoir plus sur ce kataklè et sur la collection de biens finlandais envoyés à Paris en échange, Pierre Firtion s’envole pour Helsinki. Il y retrouve la conservatrice Pilvi Vainonen, qui l’emmène dans les réserves du Musée national de Finlande. Elle lui présente l’un des trésors royaux d’Abomey, pour lequel il se passionne depuis des années. Mais à l’occasion de ce voyage, la directrice du musée lui confie que la propriété du kataklè est au cœur d’un différend…
Dans les inventaires en ligne du Musée du quai Branly, Pierre Firtion identifie une pièce donnée par le colonel Dodds au musée d’ethnographie du Trocadéro. Celle-ci n’a pas été restituée au Bénin. Il s’agit d’un tabouret à trois pieds, dont le nom vernaculaire est : kataklè. Cette pièce aurait été échangée avec un musée finlandais en 1939… mais semble désormais introuvable. Ce n’est qu’après d’intenses recherches, qu’une conservatrice, Pilvi Vainonen, recontacte Pierre Firtion.
« Il n’y a pas 26, mais 27 trésors. » C’est ce qu’une source glisse à l’oreille de Pierre Firtion, qui couvre en novembre 2021 à Cotonou le retour des 26 œuvres du trésor royal d’Abomey. Pendant qu’Emmanuel Macron et Patrice Talon entérinent solennellement la restitution, le journaliste de RFI s’interroge : y aurait-il une œuvre manquante dans la collection de pièces restituées ? Première étape : vérifier que cette pièce existe bel et bien. Pierre Firtion se plonge dans des textes consacrés à l’art béninois et aux restitutions d’œuvres d’art à l’Afrique.
En novembre 2021, la France restitue 26 œuvres du trésor royal d'Abomey au Bénin. Pillées en 1892 par le colonel français Alfred-Amédée Dodds, ces pièces historiques ont été données au Musée d'ethnographie du Trocadéro. Lors des cérémonies de restitution à Cotonou, une source proche du dossier confie au journaliste Pierre Firtion qu’une œuvre serait manquante. Intrigué, il s'interroge : et si c’était vrai ? Pourquoi n'a-t-elle pas été restituée avec les autres ? Où se trouve cette mystérieuse 27e œuvre ? Avec l'aide d'une historienne de l'art et d'une conservatrice d'un musée européen, le journaliste mène l’enquête entre Cotonou et Paris, en passant par Helsinki et Marseille. Plongez dans ce voyage captivant entre passé colonial, art africain et restitution patrimoniale.
Cinquante ans après sa mort, les circonstances du décès d'Omar Blondin Diop dans sa cellule de la prison de Gorée continuent d'interroger. Pour cette deuxième saison d'Enquêtes africaines, Clémentine Méténier et Florence Morice proposent une enquête en 5 épisodes mêlant récit, témoignages de première main et archives sonores.Omar Blondin Diop - Plutôt la mort que l'esclavage, un podcast original RFI.
Dans ce dernier épisode, Arnaud Zajtman et Esdras Ndikumana mettent bout à bout les différents éléments qui ont été abordés durant le podcast et les analysent. Ainsi se dessinent les contours d’un complot rassemblant différents acteurs qui voulaient la mort du président congolais Laurent-Désiré Kabila. Pour un partage plus facile, ce podcast a été mis en ligne en version mono allégée. Vous avez aussi la possibilité d'écouter ici une version stéréo en haute qualité.À propos du podcast « L'assassinat de Laurent-Désiré Kabila, un thriller congolais » :Le 16 janvier 2001, le président congolais Laurent-Désiré Kabila, le tombeur du Maréchal Mobutu, est tué dans son bureau à Kinshasa par l’un de ses gardes du corps. L’assassin est abattu alors qu’il sort du bureau en courant.85 personnes sont condamnées, les unes à la mort, les autres à de lourdes peines de prison. Vingt ans après les faits, le vendredi 8 janvier 2021, les 23 derniers détenus condamnés dans cette affaire ont finalement été libérés. Mais étaient-ils vraiment coupables ?Qui sont les vrais commanditaires de l’assassinat du Président congolais ? Pourquoi le soir de l’assassinat, onze ressortissants libanais ont-ils été exécutés à leur tour dans la capitale congolaise ?Dans un podcast original signé Arnaud Zajtman et Esdras Ndikumana, RFI propose une grande enquête en quatre épisodes avec des témoignages-clefs et de rares archives sonores. Réalisation : Nicolas Benita et Simon Decreuze.Musique : Simon Decreuze.Avec la participation de la sonothèque de RFI.Les auteurs dédient ce podcast à leur consœur Ghislaine Dupont, journaliste de RFI assassinée aux côtés de Claude Verlon au Nord-Mali en 2013, qui a beaucoup contribué à briser le silence entourant les 85 condamnés de cette affaire criminelle.Ce podcast contient des extraits des films « Meurtre à Kinshasa. Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ? », un documentaire de Marlène Rabaud et Arnaud Zajtman, produit par Entre Chien et Loup, ICTV Solferino, avec le soutien de la FWB, de la RTBF, du WIP et de France Télévisions, ainsi que des extraits de « Adieu l'enfer », de M. Rabaud et A. Zajtman, produit par Esprit libre Production, avec Arte Reportage.
Enterrement en catimini, archives perdues, enquête avortée… 50 ans après les faits, les circonstances exactes de la mort d’Omar Blondin Diop restent obscures. Les défenseurs de la version officielle se font rares, et d’anciens collaborateurs de Léopold Sédar Senghor commencent à briser le silence. Pendant ce temps, la famille d’Omar poursuit sa quête de vérité et entretient la mémoire de l’aîné de la fratrie Diop. Alors que la jeunesse sénégalaise affiche une soif de figures héroïques, que reste-t-il d’Omar Blondin Diop dans le récit national sénégalais ?Avec Cheikh Hamallah Diop, frère d’Omar Blondin Diop ; Mamarame Seck, conservateur du musée historique de Gorée ; Moustapha Niasse, ancien directeur de cabinet de Léopold Sédar Senghor ; Gérard Bosio, ancien conseiller diplomatique et culturel du président Senghor ; Dialo Diop, frère d’Omar ; Jean-Pierre Biondi, ancien conseiller audiovisuel au cabinet du président Senghor ; Roland Colin, ancien directeur de cabinet du président du conseil de Senghor ; Cheikh Guissé, artiste sénégalais ; Aminata Touré, dite Mimi Touré, ancienne ministre de la Justice du Sénégal ; Ibrahima Thioub, historien sénégalais ; Felwine Sarr, intellectuel sénégalais ; Florian Bobin, biographe d’Omar ; Souleymane Gueye, membre du secrétariat général du mouvement FRAPP (Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine) qui a "France dégage" pour slogan.
Cofondateur du mouvement des jeunes marxistes-léninistes du Sénégal, Omar Blondin Diop devient une figure des milieux universitaires et contestataires de Dakar. Alors que le Sénégal de Léopold Sédar Senghor s’apprête à accueillir le président français Georges Pompidou, des actions visant les symboles de l’impérialisme français sont organisées. Face à un pouvoir de plus en plus répressif, Omar Blondin Diop part se former à la lutte armée dans un camp d’entraînement palestinien en Syrie et se rapproche du mouvement des Black Panthers, à Alger. Il franchit un à un les paliers de la violence révolutionnaire.Mais comment un étudiant de 24 ans, promis à un avenir brillant, se retrouve-t-il arme à la main dans la froideur de l’hiver syrien ?Avec Alioune Sall, dit Paloma, ami d’Omar Blondin Diop ; Dialo Diop, frère d’Omar ; Florian Bobin, biographe d’Omar.
Condamné à trois ans de prison pour atteinte à la sûreté de l’État, Omar Blondin Diop est incarcéré dans la prison de l’île de Gorée. Le 11 mai 1973, il est retrouvé sans vie dans sa cellule. Les autorités sénégalaises présentent d’emblée cette mort comme un suicide par pendaison ; la famille Diop n’y croit pas une seconde. Les policiers anti-émeutes sont déployés dans les rues de Dakar, où des cortèges se forment. À l’aide de témoins de première main et en interrogeant les archives, Florence Morice et Clémentine Méténier auscultent la thèse officielle du suicide et retracent les débuts de l’enquête judiciaire qui sera stoppée nette par le pouvoir sénégalais.Avec Alioune Sall, dit Paloma, ami d’Omar ; Antoine Lefébure, ami d’Omar ; Antoine Gallimard, éditeur français, ami d’Omar ; Cheikh Hamallah et Ousmane Blondin Diop, frères d’Omar ; Florian Bobin, biographe d’Omar ; Mamadou Moustapha Touré, juge d’instruction ; Mbaye Dieng, avocat de la famille Blondin Diop.RFI remercie le réalisateur sénégalais Djeydi Djigo et la société Sol Invictus d'avoir permis la diffusion d'un extrait de l'interview du juge Moustapha Touré issu du documentaire « Omar Blondin Diop, un revolté » (2021) présenté en sélection officielle au Fespaco.
Du plateau d’un film de Jean-Luc Godard à l’avant-garde de la révolte étudiante de Mai-68 aux côtés de Daniel Cohn-Bendit, Omar Blondin Diop délaisse peu à peu les bancs de l'École normale supérieure de Saint-Cloud pour s'inscrire dans les mouvements révolutionnaires de l'époque. Florence Morice et Clémentine Méténier racontent les premières années du parcours militant de ce jeune intellectuel sénégalais. Premier Sénégalais à intégrer la prestigieuse école française, Omar Blondin Diop est un personnage bouillonnant, atypique et iconoclaste. Révolution culturelle chinoise, guerre du Vietnam, Mai-68, Omar se nourrit de tout… et est surveillé de près par les services de renseignements français, qui le classent dans leurs fichiers en tant qu’extrémiste avant de l’expulser du territoire.Avec Antoine Gallimard, éditeur français, ami d’Omar Blondin Diop ; Florian Bobin, biographe d’Omar ; Mustapha Saha, ami d’Omar ; Antoine Lefébure, ami d’Omar ; Ibrahima Thioub, historien sénégalais ; Alioune Diop et Cheikh Hamallah Diop, frères d’Omar.
Le 11 mai 1973, Omar Blondin Diop, 26 ans, est retrouvé mort dans sa cellule de la prison de l’île de Gorée. Cet intellectuel et militant sénégalais était un fervent opposant à la politique menée par le président Léopold Sédar Senghor, ami du président français Georges Pompidou, dans un contexte post-indépendance. 50 ans ont passé et pourtant la figure d’Omar Blondin Diop ressurgit. Dans cet épisode, Clémentine Méténier et Florence Morice retracent les grandes étapes d’un parcours hors norme, une vie aussi brève qu’intense. Icône de la jeunesse militante panafricaine, Omar Blondin Diop apparaît aujourd’hui dans le panthéon des figures célèbres du Black Power. S’il s’inscrit dans la lignée de Malcolm X, Winnie Mandela, Cheikh Anta Diop ou Thomas Sankara, ses premières actions ont bel et bien lieu à Paris. Avec Serigne Mansour Fall, alias Madzoo, artiste sénégalais ; Dialo Diop, frère d’Omar Blondin Diop ; Antoine Gallimard, éditeur français, ami d’Omar ; Alioune Sall, dit Paloma, ami d’Omar ; Aguibou Diarrah, cousin éloigné d’Omar ; Florian Bobin, biographe d’Omar ; Felwine Sarr, intellectuel sénégalais.
Cet épisode examine comment le régime de Joseph Kabila, successeur de son père assassiné le 16 janvier 2001, a décidé de fermer les yeux sur les condamnations massives, jusqu’à en faire un dossier tabou. Certains condamnés parviendront à s’évader. Depuis leur exil, ils racontent comment ils ont réussi à conquérir leur liberté. Dans leur tentative de faire la lumière sur l’assassinat, Arnaud Zajtman et Esdras Ndikumana examinent aussi les différents mobiles possibles du crime et de ceux qui sont accusés d’y être liés : est-ce ce monopole sur le diamant que Mzee Kabila a attribué à un homme d’affaires israélien et qui a faché la communauté libanaise ? Est-ce cette mise à mort par le clan Kabila du Général Anselme Masasu, cet ancien compagnon de route qui avait recruté les propres gardes du corps de Laurent-Désiré Kabila ? Pour un partage plus facile, ce podcast a été mis en ligne en version mono allégée. Vous avez aussi la possibilité d'écouter ici une version stéréo en haute qualité.À propos du podcast « L'assassinat de Laurent-Désiré Kabila, un thriller congolais » :Le 16 janvier 2001, le président congolais Laurent-Désiré Kabila, le tombeur du Maréchal Mobutu, est tué dans son bureau à Kinshasa par l’un de ses gardes du corps. L’assassin est abattu alors qu’il sort du bureau en courant.85 personnes sont condamnées, les unes à la mort, les autres à de lourdes peines de prison. Vingt ans après les faits, le vendredi 8 janvier 2021, les 23 derniers détenus condamnés dans cette affaire ont finalement été libérés. Mais étaient-ils vraiment coupables ?Qui sont les vrais commanditaires de l’assassinat du Président congolais ? Pourquoi le soir de l’assassinat, onze ressortissants libanais ont-ils été exécutés à leur tour dans la capitale congolaise ?Dans un podcast original signé Arnaud Zajtman et Esdras Ndikumana, RFI propose une grande enquête en quatre épisodes avec des témoignages-clefs et de rares archives sonores. Réalisation : Nicolas Benita et Simon Decreuze.Musique : Simon Decreuze.Avec la participation de la sonothèque de RFI.Les auteurs dédient ce podcast à leur consœur Ghislaine Dupont, journaliste de RFI assassinée aux côtés de Claude Verlon au Nord-Mali en 2013, qui a beaucoup contribué à briser le silence entourant les 85 condamnés de cette affaire criminelle.Ce podcast contient des extraits des films « Meurtre à Kinshasa. Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ? », un documentaire de Marlène Rabaud et Arnaud Zajtman, produit par Entre Chien et Loup, ICTV Solferino, avec le soutien de la FWB, de la RTBF, du WIP et de France Télévisions, ainsi que des extraits de « Adieu l'enfer », de M. Rabaud et A. Zajtman, produit par Esprit libre Production, avec Arte Reportage.
Dans ce deuxième épisode, Arnaud Zajtman et Esdras Ndikumana reviennent sur les événements qui se sont produits après l’assassinat du président congolais au sein du Palais de Marbre, le 16 janvier 2001. Dans les heures qui suivent, à Kinshasa et dans ses environs, les autorités procèdent à une série d’arrestations, mais, petit à petit, elles étendent leur coup de filet bien au-delà des suspects initiaux.Les deux journalistes examinent les pistes qui ont été suivies, et qui ont conduit à des poursuites contre 135 suspects devant la Cour d’ordre militaire de Kinshasa, en 2002-2003.Pour un partage plus facile, ce podcast a été mis en ligne en version mono allégée. Vous avez aussi la possibilité d'écouter ici une version stéréo en haute qualité.À propos du podcast « L'assassinat de Laurent-Désiré Kabila, un thriller congolais » :Le 16 janvier 2001, le président congolais Laurent-Désiré Kabila, le tombeur du Maréchal Mobutu, est tué dans son bureau à Kinshasa par l’un de ses gardes du corps. L’assassin est abattu alors qu’il sort du bureau en courant.85 personnes sont condamnées, les unes à la mort, les autres à de lourdes peines de prison. Vingt ans après les faits, le vendredi 8 janvier 2021, les 23 derniers détenus condamnés dans cette affaire ont finalement été libérés. Mais étaient-ils vraiment coupables ?Qui sont les vrais commanditaires de l’assassinat du Président congolais ? Pourquoi le soir de l’assassinat, onze ressortissants libanais ont-ils été exécutés à leur tour dans la capitale congolaise ?Dans un podcast original signé Arnaud Zajtman et Esdras Ndikumana, RFI propose une grande enquête en quatre épisodes avec des témoignages-clefs et de rares archives sonores. Réalisation : Nicolas Benita et Simon Decreuze.Musique : Simon Decreuze.Avec la participation de la sonothèque de RFI.Les auteurs dédient ce podcast à leur consœur Ghislaine Dupont, journaliste de RFI assassinée aux côtés de Claude Verlon au Nord-Mali en 2013, qui a beaucoup contribué à briser le silence entourant les 85 condamnés de cette affaire criminelle.Ce podcast contient des extraits des films « Meurtre à Kinshasa. Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ? », un documentaire de Marlène Rabaud et Arnaud Zajtman, produit par Entre Chien et Loup, ICTV Solferino, avec le soutien de la FWB, de la RTBF, du WIP et de France Télévisions, ainsi que des extraits de « Adieu l'enfer », de M. Rabaud et A. Zajtman, produit par Esprit libre Production, avec Arte Reportage.
Dans ce premier épisode, Arnaud Zajtman et Esdras Ndikumana explorent l’ambiance de fin de règne qui régnait à Kinshasa pendant les semaines qui ont précédé l’assassinat du président congolais Laurent-Désiré Kabila et les éventuels signes avant-coureurs. Le 16 janvier 2001, Kinshasa bruisse de rumeurs et c’est de la Belgique, l’ancienne puissance coloniale, qu’est venue la confirmation de la mort du président de la République démocratique du Congo. Avec l’aide du régime, Joseph Kabila succède à son père assassiné. Pour un partage plus facile, ce podcast a été mis en ligne en version mono allégée. Vous avez aussi la possibilité d'écouter ici une version stéréo en haute qualité.À propos du podcast « L'assassinat de Laurent-Désiré Kabila, un thriller congolais » :Le 16 janvier 2001, le président congolais Laurent-Désiré Kabila, le tombeur du Maréchal Mobutu, est tué dans son bureau à Kinshasa par l’un de ses gardes du corps. L’assassin est abattu alors qu’il sort du bureau en courant.85 personnes sont condamnées, les unes à la mort, les autres à de lourdes peines de prison. Vingt ans après les faits, le vendredi 8 janvier 2021, les 23 derniers détenus condamnés dans cette affaire ont finalement été libérés. Mais étaient-ils vraiment coupables ?Qui sont les vrais commanditaires de l’assassinat du Président congolais ? Pourquoi le soir de l’assassinat, onze ressortissants libanais ont-ils été exécutés à leur tour dans la capitale congolaise ?Dans un podcast original signé Arnaud Zajtman et Esdras Ndikumana, RFI propose une grande enquête en quatre épisodes avec des témoignages-clefs et de rares archives sonores. Réalisation : Nicolas Benita et Simon Decreuze.Musique : Simon Decreuze.Avec la participation de la sonothèque de RFI.Les auteurs dédient ce podcast à leur consœur Ghislaine Dupont, journaliste de RFI assassinée aux côtés de Claude Verlon au Nord-Mali en 2013, qui a beaucoup contribué à briser le silence entourant les 85 condamnés de cette affaire criminelle.Ce podcast contient des extraits des films « Meurtre à Kinshasa. Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ? », un documentaire de Marlène Rabaud et Arnaud Zajtman, produit par Entre Chien et Loup, ICTV Solferino, avec le soutien de la FWB, de la RTBF, du WIP et de France Télévisions, ainsi que des extraits de « Adieu l'enfer », de M. Rabaud et A. Zajtman, produit par Esprit libre Production, avec Arte Reportage.
Vingt ans après les faits, l'assassinat du président congolais Laurent-Désiré Kabila n'est pas vraiment une affaire classée. RFI propose une enquête en quatre épisodes mêlant récit, témoignages et archives sonores. Le 16 janvier 2001, Laurent-Désiré Kabila, le tombeur du Maréchal Mobutu, est tué dans son bureau à Kinshasa par l’un de ses gardes du corps. L’assassin est abattu alors qu’il sort du bureau en courant.85 personnes sont condamnées, les unes à la mort, les autres à de lourdes peines de prison. Vingt ans après les faits, le vendredi 8 janvier 2021, les 23 derniers détenus condamnés dans cette affaire ont finalement été libérés. Mais étaient-ils vraiment coupables ?Qui sont les vrais commanditaires de l’assassinat du Président congolais ? Pourquoi le soir de l’assassinat, onze ressortissants libanais ont-ils été exécutés à leur tour dans la capitale congolaise ?Dans un podcast original signé Arnaud Zajtman et Esdras Ndikumana, RFI propose une grande enquête en quatre épisodes avec des témoignages-clefs et de rares archives sonores. Une enquête qui conduit l’auditeur du cœur du pouvoir congolais jusqu’au nord de la Suède, non loin du cercle arctique.Réalisation : Nicolas Benita et Simon Decreuze.Musique : Simon Decreuze.Avec la participation de la sonothèque de RFI.Les auteurs dédient ce podcast à leur consœur Ghislaine Dupont, journaliste de RFI assassinée aux côtés de Claude Verlon au Nord-Mali en 2013, qui a beaucoup contribué à briser le silence entourant les 85 condamnés de cette affaire criminelle.Ce podcast contient des extraits des films « Meurtre à Kinshasa. Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ? », un documentaire de Marlène Rabaud et Arnaud Zajtman, produit par Entre Chien et Loup, ICTV Solferino, avec le soutien de la FWB, de la RTBF, du WIP et de France Télévisions, ainsi que des extraits de « Adieu l'enfer », de M. Rabaud et A. Zajtman, produit par Esprit libre Production, avec Arte Reportage.