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Et demain, on fait quoi?
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Et demain, on fait quoi?

Author: Pavillon de l'Arsenal

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Description

Lancé en avril 2020 pendant le confinement, le forum collaboratif « Et demain, on fait quoi ? » à invité architectes, étudiants, ingénieurs, paysagistes, promoteurs, professionnels de l’immobilier, urbanistes, usagers … à publier leurs contributions pour questionner l’après et réfléchir sur de nouvelles manières de Faire et faire coïncider les attentes et besoins de la ville où l'on vit et celle dont on vit. Près de 200 contributions ont été rassemblées et partagées en ligne mais également dans une exposition ouverte pour la réouverture du Pavillon de l’Arsenal le 16 juin 2020.
Après ce temps des contributions individuelles, est venu celui de la discussion et du débat. Le Pavillon de l’Arsenal en partenariat avec tema.archi a lancé une série d’émissions, en public et sur les réseaux sociaux, pour questionner les différentes propositions recueillies dans le cadre du forum en ligne « Et demain, on fait quoi ? »
4 Episodes
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Quelques mois après nos retrouvailles avec la ville, qu'en est-il de nos attentes pour demain ? Dans cette quatrième rencontre « Et demain, on fait quoi ? » lancé par le Pavillon de l'Arsenal en partenariat avec tea.archi, David Abittan et ses invités échangent autour des problématiques de la résilience, du réemploi et plus généralement de l'environnement. Pour le philosophe de la ville et de l'architecture Philippe Simay, c'est la création d'un Green New Deal de la construction qui serait salvatrice, incluant notamment une formation concrète aux métiers du réemploi. Séverine Chapus, qui s'interrogeait durant le confinement sur le principe actif de la ville, aimerait, de son côté, continuer à bénéficier de toutes les initiatives d'entraide et de partage qui fleurissaient alors. Une adaptation qui convient parfaitement à l'ingénieur Frank Boutté, vigilant sur la nécessité, selon lui, de « ne pas tout remettre en question à l'aune de la crise ». Une idée que ne renieraient pas les architectes de l'Atelier Aïno, pour qui la crise sanitaire doit nous rappeler, outre la nécessité de « faire mieux avec moins », également celle d'envisager « ce que l'on ne fera pas ». Rencontre avec Franck Boutté, ingénieur, Séverine Chapus, Directrice générale adjointe - Grands projets mixtes, BNP Paribas Real Estate, Elise Giordano, architecte Atelier Aïno et Philippe Simay, philosophe, David Abittan, tema.archi
Troisième rencontres « Et demain, on fait quoi ? » lancé par le Pavillon de l'Arsenal en partenariat avec tea.archi, dans laquelle David Abittan et ses invités s'interrogent sur quelles leçons pouvons tirer de cette période inédite et quelle direction prendre pour construire le monde d'après ? Selon Raphaël Ménard, nous avons atteint, avec cette crise, « le pic de l'architecture », qui doit à l'avenir se faire « la capsule de repli, l'abri confortable et résilient » autonome en toute situation. L'architecte Paul Landauer, de son côté, fait le constat de l'absence de deux archétypes primitifs et révélateurs que sont le grenier et la tombe tandis que Alice Frémeaux relève l'urgence de « faire prendre place aux femmes, partout », ces victimes et stratèges du confinement et de l'espace domestique. Alors demain, on « stoppe l'engrenage »; nous intime l'architecte Susanne Eliasson, pour désormais s'adapter, au-delà de l'anticipation, car « demain, nous aurons besoin d'être à la fois proches et distants les uns des autres. La ville permet cela. Rencontre avec Susanne Eliasson, architecte, Alice Frémeaux, urbaniste, Paul Landauer, architecte, Raphaël Ménard, président d'AREP. David Abittan, tema.archi
Dans ce deuxième opus de rencontres « Et demain, on fait quoi ? » lancé par le Pavillon de l'Arsenal en partenariat avec tea.archi, David Abittan et ses quatre invités questionnent, au travers des limites révélées par nos espaces urbains, la reconsidération de la nature et plus généralement de l'environnement dans nos vies. Alors que la crise sanitaire a permis à une « nature non autorisée » de fleurir en ville comme se plaît à l'observer l'architecte Jean Bocabeille, l'étudiante Violette Soleilhac rappelle de son côté le rôle de la profession dans la définition de l'habitat rural de demain, réinterrogé par les événements récents. Eulalie Blanc, qui aide à la prise en compte des usagers dans la mise en oeuvre de projets urbains, définit la ville de demain à partir d'une liste d'enjeux qu'elle devrait prendre en compte, tandis que Philippe Madec, chantre de l'architecture frugale, appelle à se rassembler pour atteindre enfin le "mieux avec moins ». Rencontre avec Jean Bocabeille, architecte, Violette Soleilhac, étudiante, Eulalie Blanc, associée et directrice de l'antenne Parisienne de DVTup, Philippe Madec, architecte - urbaniste. David Abittan, tema.archi
Lors de cette première rencontre du cycle de rencontres « Et demain, on fait quoi ? » lancé par le Pavillon de l'Arsenal en partenariat avec tea.archi, David Abittan et trois auteurs débattront avec le public et les internautes en live des limites de l'architecture de nos logements et de la désarticulation des espaces publics de nos villes révélées par la crise sanitaire. La stratégie de lutte contre les pandémies doit, pour l'architecte Pascal Rollet, passer par une reconsidération de nos logements comme des biens de première nécessité. Pour la paysagiste Mélanie Gasté, il faut repenser la ville par ses vides, ces espaces qui articulent services et équipements entre eux pour créer « un maillon de continuité du vivant », le sociologue Jean-Louis Violeau invite, de son côté à tirer des leçons du postmodernisme et de ses nombreux prolongements. Rencontre avec Mélanie Gasté, ingénieur paysagiste, Pascal Rollet, architecte, Jean-Louis Violeau, sociologue. David Abittan, tema.archi
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