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Faites entrer l'accusé
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Faites entrer l'accusé

Author: RMC Crime

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La plus célèbre émission du monde judiciaire est désormais disponible en podcast. Avec Dominique Rizet, l’expert du programme depuis sa création, plongez au cœur des enquêtes de Faites entrer l’accusé.
131 Episodes
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Faites entrer l’accusé s’intéresse ce soir à Suzanne Barou de la Lombardière de Canson, héritière d’une richissime famille dont le nom a été donné au célèbre papier à dessin. Très tôt mariée à son cousin germain, la jeune épouse refuse pourtant le destin qui lui est assigné : elle quitte son mari pour une femme de dix ans son aînée. Et puis, pour assurer un train de vie aisé, elle dilapide l’héritage de son père, après sa mort, revendant antiquités précieuses et toiles de maître dispendieuses. Cette attitude prodigue ne passe pas inaperçue, surtout lorsqu’une œuvre du peintre baroque Bartolomé Esteban Murillo, "Le Gentilhomme sévillan", devient un objet de convoitise, puisqu’elle fait partie d’une collection personnelle que l’héritière gère depuis 1958. Le Louvre souhaiterait l’acquérir, Suzanne de Canson n’y est pas favorable. Pendant ce temps, une certaine Joëlle Pesnel, artiste-peintre, ancienne gérante d’un bar de Toulon, est entrée dans la vie de la riche dame. A partir de là, les ennuis vont commencer...
Faites entrer l’accusé s’intéresse ce soir à Suzanne Barou de la Lombardière de Canson, héritière d’une richissime famille dont le nom a été donné au célèbre papier à dessin. Très tôt mariée à son cousin germain, la jeune épouse refuse pourtant le destin qui lui est assigné : elle quitte son mari pour une femme de dix ans son aînée. Et puis, pour assurer un train de vie aisé, elle dilapide l’héritage de son père, après sa mort, revendant antiquités précieuses et toiles de maître dispendieuses. Cette attitude prodigue ne passe pas inaperçue, surtout lorsqu’une œuvre du peintre baroque Bartolomé Esteban Murillo, "Le Gentilhomme sévillan", devient un objet de convoitise, puisqu’elle fait partie d’une collection personnelle que l’héritière gère depuis 1958. Le Louvre souhaiterait l’acquérir, Suzanne de Canson n’y est pas favorable. Pendant ce temps, une certaine Joëlle Pesnel, artiste-peintre, ancienne gérante d’un bar de Toulon, est entrée dans la vie de la riche dame. A partir de là, les ennuis vont commencer...
Faites entrer l’accusé s’intéresse ce soir à Suzanne Barou de la Lombardière de Canson, héritière d’une richissime famille dont le nom a été donné au célèbre papier à dessin. Très tôt mariée à son cousin germain, la jeune épouse refuse pourtant le destin qui lui est assigné : elle quitte son mari pour une femme de dix ans son aînée. Et puis, pour assurer un train de vie aisé, elle dilapide l’héritage de son père, après sa mort, revendant antiquités précieuses et toiles de maître dispendieuses. Cette attitude prodigue ne passe pas inaperçue, surtout lorsqu’une œuvre du peintre baroque Bartolomé Esteban Murillo, "Le Gentilhomme sévillan", devient un objet de convoitise, puisqu’elle fait partie d’une collection personnelle que l’héritière gère depuis 1958. Le Louvre souhaiterait l’acquérir, Suzanne de Canson n’y est pas favorable. Pendant ce temps, une certaine Joëlle Pesnel, artiste-peintre, ancienne gérante d’un bar de Toulon, est entrée dans la vie de la riche dame. A partir de là, les ennuis vont commencer...
Anaïs Guillaume, une jeune Ardennaise d’une vingtaine d’années, disparaît dans la nuit du 16 au 17 avril 2013. Elle venait de passer la soirée avec Philippe Gillet, un éleveur de vaches installé à Fromy, dans la région Grand Est. Elle connaissait très bien cet homme, puisqu’elle avait effectué un stage au sein de sa ferme, dans le cadre de sa formation en bac professionnel en 2011. Gillet et Guillaume étaient très vite devenus amants. Quelques heures après la disparition de la jeune femme, on repère sa voiture dans une forêt, à la frontière belge. Le véhicule est entièrement brûlé. L’enquête s’oriente alors vers l’agriculteur. En 2019, des restes d’Anaïs Guillaume seront retrouvés sur sa propriété. Le suspect sera une première fois condamné en 2019 à vingt-deux ans de réclusion criminelle pour la mort de son ancienne stagiaire. En 2021, la cour d’assises d’appel de la Marne alourdira cette peine à trente ans, mais disculpera Gillet par rapport au décès de son épouse Céline, le 3 janvier 2012, dans des circonstances étranges. Longtemps, l’accusé avait été soupçonné du meurtre de cette femme.
Anaïs Guillaume, une jeune Ardennaise d’une vingtaine d’années, disparaît dans la nuit du 16 au 17 avril 2013. Elle venait de passer la soirée avec Philippe Gillet, un éleveur de vaches installé à Fromy, dans la région Grand Est. Elle connaissait très bien cet homme, puisqu’elle avait effectué un stage au sein de sa ferme, dans le cadre de sa formation en bac professionnel en 2011. Gillet et Guillaume étaient très vite devenus amants. Quelques heures après la disparition de la jeune femme, on repère sa voiture dans une forêt, à la frontière belge. Le véhicule est entièrement brûlé. L’enquête s’oriente alors vers l’agriculteur. En 2019, des restes d’Anaïs Guillaume seront retrouvés sur sa propriété. Le suspect sera une première fois condamné en 2019 à vingt-deux ans de réclusion criminelle pour la mort de son ancienne stagiaire. En 2021, la cour d’assises d’appel de la Marne alourdira cette peine à trente ans, mais disculpera Gillet par rapport au décès de son épouse Céline, le 3 janvier 2012, dans des circonstances étranges. Longtemps, l’accusé avait été soupçonné du meurtre de cette femme.
Anaïs Guillaume, une jeune Ardennaise d’une vingtaine d’années, disparaît dans la nuit du 16 au 17 avril 2013. Elle venait de passer la soirée avec Philippe Gillet, un éleveur de vaches installé à Fromy, dans la région Grand Est. Elle connaissait très bien cet homme, puisqu’elle avait effectué un stage au sein de sa ferme, dans le cadre de sa formation en bac professionnel en 2011. Gillet et Guillaume étaient très vite devenus amants. Quelques heures après la disparition de la jeune femme, on repère sa voiture dans une forêt, à la frontière belge. Le véhicule est entièrement brûlé. L’enquête s’oriente alors vers l’agriculteur. En 2019, des restes d’Anaïs Guillaume seront retrouvés sur sa propriété. Le suspect sera une première fois condamné en 2019 à vingt-deux ans de réclusion criminelle pour la mort de son ancienne stagiaire. En 2021, la cour d’assises d’appel de la Marne alourdira cette peine à trente ans, mais disculpera Gillet par rapport au décès de son épouse Céline, le 3 janvier 2012, dans des circonstances étranges. Longtemps, l’accusé avait été soupçonné du meurtre de cette femme.
Ils trempaient dans l’huile, puis dans l’eau, les billets qu’ils dérobaient, comme dans la chanson. Cela donnait non pas un escargot tout chaud, mais la possibilité de financer d’autres braquages, jusqu’à l’attaque de trop, le 30 mars 2006. Avant cette date, les malfaiteurs ont commis plusieurs vols, avec une méthode ingénieuse, qui leur permettait d’accéder aux mallettes a priori inviolables, sans que l’argent en papier ne soit maculé d’une encre indélébile : d’abord, l’introduction du corps gras dans les petites valises entrouvertes par une pince-monseigneur, puis la récupération des billets enduits, enfin le séchage pour leur rendre une apparence convenable. En tout, le gang a accumulé 1,5 million d’euros, avant d’être arrêté : seul le chef a échappé à la justice en se suicidant, alors qu’il était sur le point d’être neutralisé. Condamnés par la cour d’assises de Lyon, tous les accusés ont aujourd’hui retrouvé la liberté.
Ils trempaient dans l’huile, puis dans l’eau, les billets qu’ils dérobaient, comme dans la chanson. Cela donnait non pas un escargot tout chaud, mais la possibilité de financer d’autres braquages, jusqu’à l’attaque de trop, le 30 mars 2006. Avant cette date, les malfaiteurs ont commis plusieurs vols, avec une méthode ingénieuse, qui leur permettait d’accéder aux mallettes a priori inviolables, sans que l’argent en papier ne soit maculé d’une encre indélébile : d’abord, l’introduction du corps gras dans les petites valises entrouvertes par une pince-monseigneur, puis la récupération des billets enduits, enfin le séchage pour leur rendre une apparence convenable. En tout, le gang a accumulé 1,5 million d’euros, avant d’être arrêté : seul le chef a échappé à la justice en se suicidant, alors qu’il était sur le point d’être neutralisé. Condamnés par la cour d’assises de Lyon, tous les accusés ont aujourd’hui retrouvé la liberté.
Ils trempaient dans l’huile, puis dans l’eau, les billets qu’ils dérobaient, comme dans la chanson. Cela donnait non pas un escargot tout chaud, mais la possibilité de financer d’autres braquages, jusqu’à l’attaque de trop, le 30 mars 2006. Avant cette date, les malfaiteurs ont commis plusieurs vols, avec une méthode ingénieuse, qui leur permettait d’accéder aux mallettes a priori inviolables, sans que l’argent en papier ne soit maculé d’une encre indélébile : d’abord, l’introduction du corps gras dans les petites valises entrouvertes par une pince-monseigneur, puis la récupération des billets enduits, enfin le séchage pour leur rendre une apparence convenable. En tout, le gang a accumulé 1,5 million d’euros, avant d’être arrêté : seul le chef a échappé à la justice en se suicidant, alors qu’il était sur le point d’être neutralisé. Condamnés par la cour d’assises de Lyon, tous les accusés ont aujourd’hui retrouvé la liberté.
Le 15 juillet 2010, à Épernay dans la Marne, les pompiers reçoivent un coup de fil d’un homme affolé. Il s’agit de Sylvain Dromard, un habitant de Saint-Martin d’Ablois. Ce dernier affirme avoir découvert, en rentrant chez lui, son épouse, dans une mare de sang, au beau milieu de la cuisine. Selon lui, sa femme, Laurence, a été attaquée par un cambrioleur qui lui a porté des coups violents à la tête. Elle meurt, lors de son arrivée à l’hôpital. Mais les gendarmes ont du mal à croire à la thèse du cambriolage. De plus, Sylvain Dromard porte des traces suspectes sur le corps.
Le 15 juillet 2010, à Épernay dans la Marne, les pompiers reçoivent un coup de fil d’un homme affolé. Il s’agit de Sylvain Dromard, un habitant de Saint-Martin d’Ablois. Ce dernier affirme avoir découvert, en rentrant chez lui, son épouse, dans une mare de sang, au beau milieu de la cuisine. Selon lui, sa femme, Laurence, a été attaquée par un cambrioleur qui lui a porté des coups violents à la tête. Elle meurt, lors de son arrivée à l’hôpital. Mais les gendarmes ont du mal à croire à la thèse du cambriolage. De plus, Sylvain Dromard porte des traces suspectes sur le corps.
Le 15 juillet 2010, à Épernay dans la Marne, les pompiers reçoivent un coup de fil d’un homme affolé. Il s’agit de Sylvain Dromard, un habitant de Saint-Martin d’Ablois. Ce dernier affirme avoir découvert, en rentrant chez lui, son épouse, dans une mare de sang, au beau milieu de la cuisine. Selon lui, sa femme, Laurence, a été attaquée par un cambrioleur qui lui a porté des coups violents à la tête. Elle meurt, lors de son arrivée à l’hôpital. Mais les gendarmes ont du mal à croire à la thèse du cambriolage. De plus, Sylvain Dromard porte des traces suspectes sur le corps.
Le 28 juillet 2014, Bernadette Cogis, une veuve de 67 ans, a été retrouvée égorgée devant la porte de sa villa, à Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. La présence d’une bouteille d’essence et de plusieurs départs de feu prouvent que son assassin lui a tendu un piège, pour obliger la veuve à sortir de chez elle. Lorsqu'elle a mis le pied dehors, il s’est acharné, en la poignardant de plusieurs coups de couteau. Plus tard, les gendarmes découvrent que la victime a entretenu une relation intime avec Hervé Robino, son jardinier de septembre 2013 à mai 2014.
Le 28 juillet 2014, Bernadette Cogis, une veuve de 67 ans, a été retrouvée égorgée devant la porte de sa villa, à Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. La présence d’une bouteille d’essence et de plusieurs départs de feu prouvent que son assassin lui a tendu un piège, pour obliger la veuve à sortir de chez elle. Lorsqu'elle a mis le pied dehors, il s’est acharné, en la poignardant de plusieurs coups de couteau. Plus tard, les gendarmes découvrent que la victime a entretenu une relation intime avec Hervé Robino, son jardinier de septembre 2013 à mai 2014.
Le 28 juillet 2014, Bernadette Cogis, une veuve de 67 ans, a été retrouvée égorgée devant la porte de sa villa, à Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. La présence d’une bouteille d’essence et de plusieurs départs de feu prouvent que son assassin lui a tendu un piège, pour obliger la veuve à sortir de chez elle. Lorsqu'elle a mis le pied dehors, il s’est acharné, en la poignardant de plusieurs coups de couteau. Plus tard, les gendarmes découvrent que la victime a entretenu une relation intime avec Hervé Robino, son jardinier de septembre 2013 à mai 2014.
L’affaire Rodica Negroiu rappelle à bien des égards l’affaire Simone Weber. Une région semblable : la Lorraine. Un mobile : l’argent. Un mode opératoire similaire : le poison. Le 14 décembre 1990, Raymond Jactel, un militaire à la retraite, meurt d’un accident cardiaque à l’hôpital de Nancy. En fait, il a été empoisonné à la digoxine, un médicament utilisé contre diverses affections du cœur. Rapidement, une aide-soignante d’origine roumaine est soupçonnée, d’autant qu’elle semble liée à la disparition suspecte de ses deux précédents maris. La femme incriminée sera finalement jugée en 1999 par la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle. Rodica Negroiu a été condamnée à vingt ans de réclusion criminelle. Elle est sortie de prison le 24 janvier 2015.
L’affaire Rodica Negroiu rappelle à bien des égards l’affaire Simone Weber. Une région semblable : la Lorraine. Un mobile : l’argent. Un mode opératoire similaire : le poison. Le 14 décembre 1990, Raymond Jactel, un militaire à la retraite, meurt d’un accident cardiaque à l’hôpital de Nancy. En fait, il a été empoisonné à la digoxine, un médicament utilisé contre diverses affections du cœur. Rapidement, une aide-soignante d’origine roumaine est soupçonnée, d’autant qu’elle semble liée à la disparition suspecte de ses deux précédents maris. La femme incriminée sera finalement jugée en 1999 par la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle. Rodica Negroiu a été condamnée à vingt ans de réclusion criminelle. Elle est sortie de prison le 24 janvier 2015.
L’affaire Rodica Negroiu rappelle à bien des égards l’affaire Simone Weber. Une région semblable : la Lorraine. Un mobile : l’argent. Un mode opératoire similaire : le poison. Le 14 décembre 1990, Raymond Jactel, un militaire à la retraite, meurt d’un accident cardiaque à l’hôpital de Nancy. En fait, il a été empoisonné à la digoxine, un médicament utilisé contre diverses affections du cœur. Rapidement, une aide-soignante d’origine roumaine est soupçonnée, d’autant qu’elle semble liée à la disparition suspecte de ses deux précédents maris. La femme incriminée sera finalement jugée en 1999 par la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle. Rodica Negroiu a été condamnée à vingt ans de réclusion criminelle. Elle est sortie de prison le 24 janvier 2015.
Le mari, la femme, l’amant. Et le mobile : l’argent. Une configuration classique qui engendre un nouveau fait divers. En 1995, sur une route de Corse, une voiture quitte la route et plonge dans un ravin. Marc Van Beers, un fiscaliste bruxellois de trente-six ans, est retrouvé mort.Son épouse, vingt-six ans, en réchappe. Son témoignage interroge : elle raconte aux gendarmes qu’elle a réussi à sauter juste avant la chute du véhicule. Elle a ensuite descendu cent-quarante mètres de la falaise abrupte, à la recherche de son mari. Elle a fini par le retrouver. Mais il était trop tard. L’autopsie accentue les doutes : la victime était déjà morte avant l’accident.Alors, quoi ? Au fil des investigations, un soupçon émerge : la veuve, Aurore Martin, aurait fomenté un sombre complot avec son amant Peter Uwe Schmitt. Le motif de cette action ? Plusieurs assurances-vie, pensent les enquêteurs. Le problème, c’est que les deux complices ont touché l’argent un peu trop vite et qu’ils ont mené grand train en Floride où ils se sont réfugiés. Le FBI finira par les rattraper et la justice française leur demandera légitimement des explications...
Le mari, la femme, l’amant. Et le mobile : l’argent. Une configuration classique qui engendre un nouveau fait divers. En 1995, sur une route de Corse, une voiture quitte la route et plonge dans un ravin. Marc Van Beers, un fiscaliste bruxellois de trente-six ans, est retrouvé mort.Son épouse, vingt-six ans, en réchappe. Son témoignage interroge : elle raconte aux gendarmes qu’elle a réussi à sauter juste avant la chute du véhicule. Elle a ensuite descendu cent-quarante mètres de la falaise abrupte, à la recherche de son mari. Elle a fini par le retrouver. Mais il était trop tard. L’autopsie accentue les doutes : la victime était déjà morte avant l’accident.Alors, quoi ? Au fil des investigations, un soupçon émerge : la veuve, Aurore Martin, aurait fomenté un sombre complot avec son amant Peter Uwe Schmitt. Le motif de cette action ? Plusieurs assurances-vie, pensent les enquêteurs. Le problème, c’est que les deux complices ont touché l’argent un peu trop vite et qu’ils ont mené grand train en Floride où ils se sont réfugiés. Le FBI finira par les rattraper et la justice française leur demandera légitimement des explications...
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