DiscoverFaites entrer l'accusé
Faites entrer l'accusé
Claim Ownership

Faites entrer l'accusé

Author: RMC Crime

Subscribed: 6,521Played: 98,198
Share

Description

La plus célèbre émission du monde judiciaire est désormais disponible en podcast. Avec Dominique Rizet, l’expert du programme depuis sa création, plongez au cœur des enquêtes de Faites entrer l’accusé.
113 Episodes
Reverse
Le mari, la femme, l’amant. Et le mobile : l’argent. Une configuration classique qui engendre un nouveau fait divers. En 1995, sur une route de Corse, une voiture quitte la route et plonge dans un ravin. Marc Van Beers, un fiscaliste bruxellois de trente-six ans, est retrouvé mort.Son épouse, vingt-six ans, en réchappe. Son témoignage interroge : elle raconte aux gendarmes qu’elle a réussi à sauter juste avant la chute du véhicule. Elle a ensuite descendu cent-quarante mètres de la falaise abrupte, à la recherche de son mari. Elle a fini par le retrouver. Mais il était trop tard. L’autopsie accentue les doutes : la victime était déjà morte avant l’accident.Alors, quoi ? Au fil des investigations, un soupçon émerge : la veuve, Aurore Martin, aurait fomenté un sombre complot avec son amant Peter Uwe Schmitt. Le motif de cette action ? Plusieurs assurances-vie, pensent les enquêteurs. Le problème, c’est que les deux complices ont touché l’argent un peu trop vite et qu’ils ont mené grand train en Floride où ils se sont réfugiés. Le FBI finira par les rattraper et la justice française leur demandera légitimement des explications...
Le mari, la femme, l’amant. Et le mobile : l’argent. Une configuration classique qui engendre un nouveau fait divers. En 1995, sur une route de Corse, une voiture quitte la route et plonge dans un ravin. Marc Van Beers, un fiscaliste bruxellois de trente-six ans, est retrouvé mort.Son épouse, vingt-six ans, en réchappe. Son témoignage interroge : elle raconte aux gendarmes qu’elle a réussi à sauter juste avant la chute du véhicule. Elle a ensuite descendu cent-quarante mètres de la falaise abrupte, à la recherche de son mari. Elle a fini par le retrouver. Mais il était trop tard. L’autopsie accentue les doutes : la victime était déjà morte avant l’accident.Alors, quoi ? Au fil des investigations, un soupçon émerge : la veuve, Aurore Martin, aurait fomenté un sombre complot avec son amant Peter Uwe Schmitt. Le motif de cette action ? Plusieurs assurances-vie, pensent les enquêteurs. Le problème, c’est que les deux complices ont touché l’argent un peu trop vite et qu’ils ont mené grand train en Floride où ils se sont réfugiés. Le FBI finira par les rattraper et la justice française leur demandera légitimement des explications...
Le mari, la femme, l’amant. Et le mobile : l’argent. Une configuration classique qui engendre un nouveau fait divers. En 1995, sur une route de Corse, une voiture quitte la route et plonge dans un ravin. Marc Van Beers, un fiscaliste bruxellois de trente-six ans, est retrouvé mort.Son épouse, vingt-six ans, en réchappe. Son témoignage interroge : elle raconte aux gendarmes qu’elle a réussi à sauter juste avant la chute du véhicule. Elle a ensuite descendu cent-quarante mètres de la falaise abrupte, à la recherche de son mari. Elle a fini par le retrouver. Mais il était trop tard. L’autopsie accentue les doutes : la victime était déjà morte avant l’accident.Alors, quoi ? Au fil des investigations, un soupçon émerge : la veuve, Aurore Martin, aurait fomenté un sombre complot avec son amant Peter Uwe Schmitt. Le motif de cette action ? Plusieurs assurances-vie, pensent les enquêteurs. Le problème, c’est que les deux complices ont touché l’argent un peu trop vite et qu’ils ont mené grand train en Floride où ils se sont réfugiés. Le FBI finira par les rattraper et la justice française leur demandera légitimement des explications...
Le 19 octobre 2008, à Saint-Lambert-du-Lattay, en Maine-et-Loire, un garde-chasse retrouve un corps, pendu à la poutre d’un appentis agricole. Il s’agit de celui d’Aurélien Pioger, un jeune homme de 28 ans qui venait de finir la saison des vendanges. Si dans un premier temps le suicide e est évoqué, un certain nombre d’anomalies, ainsi que les traces de coups sur son visage intriguent les gendarmes. Très vite, l'enquête s'oriente vers l'hypothèse d'un meurtre déguisé. Car en effet, Aurélien a été victime d’une très violente « punition collective » de la part de certains autres vendangeurs.
Le 19 octobre 2008, à Saint-Lambert-du-Lattay, en Maine-et-Loire, un garde-chasse retrouve un corps, pendu à la poutre d’un appentis agricole. Il s’agit de celui d’Aurélien Pioger, un jeune homme de 28 ans qui venait de finir la saison des vendanges. Si dans un premier temps le suicide e est évoqué, un certain nombre d’anomalies, ainsi que les traces de coups sur son visage intriguent les gendarmes. Très vite, l'enquête s'oriente vers l'hypothèse d'un meurtre déguisé. Car en effet, Aurélien a été victime d’une très violente « punition collective » de la part de certains autres vendangeurs.
Le 19 octobre 2008, à Saint-Lambert-du-Lattay, en Maine-et-Loire, un garde-chasse retrouve un corps, pendu à la poutre d’un appentis agricole. Il s’agit de celui d’Aurélien Pioger, un jeune homme de 28 ans qui venait de finir la saison des vendanges. Si dans un premier temps le suicide e est évoqué, un certain nombre d’anomalies, ainsi que les traces de coups sur son visage intriguent les gendarmes. Très vite, l'enquête s'oriente vers l'hypothèse d'un meurtre déguisé. Car en effet, Aurélien a été victime d’une très violente « punition collective » de la part de certains autres vendangeurs.
Laëtitia Perrais a 18 ans lorsqu'elle croise la route de Tony Meilhon. Il vient de sortir de prison où il a déjà passé onze ans. Laëtitia Perrais, quant à elle, a passé une enfance difficile en famille d'accueil. En janvier 2011, à Pornic, elle est retrouvée poignardée, étranglée et démembrée. Son parcours, durant les dernières heures de sa vie, a rapidement permis aux gendarmes de remonter à son meurtrier. Quand Tony Meilhon est arrêté et accusé du meurtre de Laëtitia Perrais, Nicolas Sarkozy, alors président de la République, dénonce la remise en liberté de Meilhon. Tandis que les juges se mettent en grève, l'opinion publique est divisée. A-t-on vraiment laissé en liberté, sans aucune surveillance, un dangereux criminel ? Très vite, l'affaire devient emblématique des failles du système judiciaire.
Laëtitia Perrais a 18 ans lorsqu'elle croise la route de Tony Meilhon. Il vient de sortir de prison où il a déjà passé onze ans. Laëtitia Perrais, quant à elle, a passé une enfance difficile en famille d'accueil. En janvier 2011, à Pornic, elle est retrouvée poignardée, étranglée et démembrée. Son parcours, durant les dernières heures de sa vie, a rapidement permis aux gendarmes de remonter à son meurtrier. Quand Tony Meilhon est arrêté et accusé du meurtre de Laëtitia Perrais, Nicolas Sarkozy, alors président de la République, dénonce la remise en liberté de Meilhon. Tandis que les juges se mettent en grève, l'opinion publique est divisée. A-t-on vraiment laissé en liberté, sans aucune surveillance, un dangereux criminel ? Très vite, l'affaire devient emblématique des failles du système judiciaire.
Laëtitia Perrais a 18 ans lorsqu'elle croise la route de Tony Meilhon. Il vient de sortir de prison où il a déjà passé onze ans. Laëtitia Perrais, quant à elle, a passé une enfance difficile en famille d'accueil. En janvier 2011, à Pornic, elle est retrouvée poignardée, étranglée et démembrée. Son parcours, durant les dernières heures de sa vie, a rapidement permis aux gendarmes de remonter à son meurtrier. Quand Tony Meilhon est arrêté et accusé du meurtre de Laëtitia Perrais, Nicolas Sarkozy, alors président de la République, dénonce la remise en liberté de Meilhon. Tandis que les juges se mettent en grève, l'opinion publique est divisée. A-t-on vraiment laissé en liberté, sans aucune surveillance, un dangereux criminel ? Très vite, l'affaire devient emblématique des failles du système judiciaire.
Au fond des bois de Compiègne, derrière la porte de la belle maison des Mannechez, se cachait l’enfer. Pendant plus de 10 ans, Denis Mannechez et sa femme ont trompé tout le monde. Sous l’image d’une famille idéale, le couple, qui s’offrait les plus belles motos et avait construit son avion de tourisme, martyrisait ses enfants. À commencer par les deux ainées, Virginie et Betty, que le père a violées pendant des années, au vu et au su de la mère. Retour sur une affaire unique dans les annales judiciaires françaises, celle de « l'inceste consenti ».
Au fond des bois de Compiègne, derrière la porte de la belle maison des Mannechez, se cachait l’enfer. Pendant plus de 10 ans, Denis Mannechez et sa femme ont trompé tout le monde. Sous l’image d’une famille idéale, le couple, qui s’offrait les plus belles motos et avait construit son avion de tourisme, martyrisait ses enfants. À commencer par les deux ainées, Virginie et Betty, que le père a violées pendant des années, au vu et au su de la mère. Retour sur une affaire unique dans les annales judiciaires françaises, celle de « l'inceste consenti ».
Au fond des bois de Compiègne, derrière la porte de la belle maison des Mannechez, se cachait l’enfer. Pendant plus de 10 ans, Denis Mannechez et sa femme ont trompé tout le monde. Sous l’image d’une famille idéale, le couple, qui s’offrait les plus belles motos et avait construit son avion de tourisme, martyrisait ses enfants. À commencer par les deux ainées, Virginie et Betty, que le père a violées pendant des années, au vu et au su de la mère. Retour sur une affaire unique dans les annales judiciaires françaises, celle de « l'inceste consenti ».
De 1993 à 2004, dans toute la France, Raoul Becquerel a violé et séquestré des femmes. Il leur a également extorqué de l’argent. Ce marginal à l’enfance difficile, qui a vécu dans divers foyers d’accueil, est condamné à une peine de douze ans de prison, en 1994, pour viol. Sa victime à vingt-et-un ans. Lui en a vingt. A trente ans, il a déjà passé la moitié de sa vie en prison, lorsqu’il est remis en liberté sous contrôle judiciaire, à la suite d’une grave erreur d’une magistrate de la Gironde, chargée du dossier. Le multirécidiviste était en détention préventive, attendant son procès pour un nouveau crime. Dans un premier temps, pris en charge par une association d’aide aux détenus, il se rendra aux services de police pour pointer, mais disparaîtra à la veille de comparaître. Il sera finalement arrêté quelques semaines plus tard. En 2006, le verdict de la cour d’assises de l’Oise est proportionnel à la gravité des actes commis : la perpétuité, avec une peine de sûreté de dix-huit ans.
De 1993 à 2004, dans toute la France, Raoul Becquerel a violé et séquestré des femmes. Il leur a également extorqué de l’argent. Ce marginal à l’enfance difficile, qui a vécu dans divers foyers d’accueil, est condamné à une peine de douze ans de prison, en 1994, pour viol. Sa victime à vingt-et-un ans. Lui en a vingt. A trente ans, il a déjà passé la moitié de sa vie en prison, lorsqu’il est remis en liberté sous contrôle judiciaire, à la suite d’une grave erreur d’une magistrate de la Gironde, chargée du dossier. Le multirécidiviste était en détention préventive, attendant son procès pour un nouveau crime. Dans un premier temps, pris en charge par une association d’aide aux détenus, il se rendra aux services de police pour pointer, mais disparaîtra à la veille de comparaître. Il sera finalement arrêté quelques semaines plus tard. En 2006, le verdict de la cour d’assises de l’Oise est proportionnel à la gravité des actes commis : la perpétuité, avec une peine de sûreté de dix-huit ans.
De 1993 à 2004, dans toute la France, Raoul Becquerel a violé et séquestré des femmes. Il leur a également extorqué de l’argent. Ce marginal à l’enfance difficile, qui a vécu dans divers foyers d’accueil, est condamné à une peine de douze ans de prison, en 1994, pour viol. Sa victime à vingt-et-un ans. Lui en a vingt. A trente ans, il a déjà passé la moitié de sa vie en prison, lorsqu’il est remis en liberté sous contrôle judiciaire, à la suite d’une grave erreur d’une magistrate de la Gironde, chargée du dossier. Le multirécidiviste était en détention préventive, attendant son procès pour un nouveau crime. Dans un premier temps, pris en charge par une association d’aide aux détenus, il se rendra aux services de police pour pointer, mais disparaîtra à la veille de comparaître. Il sera finalement arrêté quelques semaines plus tard. En 2006, le verdict de la cour d’assises de l’Oise est proportionnel à la gravité des actes commis : la perpétuité, avec une peine de sûreté de dix-huit ans.
Déjà condamné en mai 2021 à 20 ans de réclusion criminelle pour avoir tué le caporal Arthur Noyer, Nordahl Lelandais affronte de nouveau les juges, cette fois pour le meurtre de Maëlys, la fillette qui avait disparu lors d’un mariage à la fin de l’été 2017. L’énigmatique suspect, ancien maître-chien militaire de 38 ans, comparaîtra pour le meurtre précédé de l’enlèvement et de la séquestration de l’enfant de 8 ans.
Déjà condamné en mai 2021 à 20 ans de réclusion criminelle pour avoir tué le caporal Arthur Noyer, Nordahl Lelandais affronte de nouveau les juges, cette fois pour le meurtre de Maëlys, la fillette qui avait disparu lors d’un mariage à la fin de l’été 2017. L’énigmatique suspect, ancien maître-chien militaire de 38 ans, comparaîtra pour le meurtre précédé de l’enlèvement et de la séquestration de l’enfant de 8 ans.
Déjà condamné en mai 2021 à 20 ans de réclusion criminelle pour avoir tué le caporal Arthur Noyer, Nordahl Lelandais affronte de nouveau les juges, cette fois pour le meurtre de Maëlys, la fillette qui avait disparu lors d’un mariage à la fin de l’été 2017. L’énigmatique suspect, ancien maître-chien militaire de 38 ans, comparaîtra pour le meurtre précédé de l’enlèvement et de la séquestration de l’enfant de 8 ans.
Joseph Vincensini, cinquante-et-un ans, était le gérant d’une boîte de nuit et d’un bar à Corte : il y organisait des parties de poker, où l’on misait parfois très gros Il a été assassiné à son domicile le 24 janvier 2005. On a coupé la tête de la victime, avant de donner le reste de son corps en pâture aux cochons. Xavier Luciani, restaurateur dans la même commune, considéré comme le principal instigateur de ce crime, a pris trente ans de réclusion en 2010. Ses deux complices, Sébastien Guidicelli et Dominique Pasqualaggi, ont respectivement été condamnés à des peines de quinze ans et vingt-cinq ans de prison. Quel est le mobile de ce meurtre aussi sauvage ? Faites entrer l’accusé revient sur cette sordide affaire, où plane l’ombre de la mafia et des nationalistes.
Joseph Vincensini, cinquante-et-un ans, était le gérant d’une boîte de nuit et d’un bar à Corte : il y organisait des parties de poker, où l’on misait parfois très gros Il a été assassiné à son domicile le 24 janvier 2005. On a coupé la tête de la victime, avant de donner le reste de son corps en pâture aux cochons. Xavier Luciani, restaurateur dans la même commune, considéré comme le principal instigateur de ce crime, a pris trente ans de réclusion en 2010. Ses deux complices, Sébastien Guidicelli et Dominique Pasqualaggi, ont respectivement été condamnés à des peines de quinze ans et vingt-cinq ans de prison. Quel est le mobile de ce meurtre aussi sauvage ? Faites entrer l’accusé revient sur cette sordide affaire, où plane l’ombre de la mafia et des nationalistes.
loading
Comments (3)

رویا

🤝

Jan 26th
Reply

Didic Alves

on a plus de podcast ???

Dec 16th
Reply (1)
loading
Download from Google Play
Download from App Store