LIRE
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Author: Marie-Stéphanie Servos

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Dans LIRE, des personnalités de tous horizons se racontent au travers des livres et écrits qui ont jalonné leur vie.


© LIRE est un podcast pensé, écrit et animé par Marie-Stéphanie Servos. 

Habillage sonore, réalisation, montage et mixage : Alice Krief (Les Belles Fréquences). 

Contact : servosms@gmail.com / https://www.instagram.com/maristeservos 



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65 Episodes
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"Quand on lit, non seulement on ne vieillit pas, mais en plus on multiplie ses vies" examine la toute première invitée de LIRE, la romancière et poétesse Cécile Coulon.À 34 ans, Cécile Coulon a déjà passé plus de la moitié de sa vie à écrire des livres. Son tout premier roman, "Le voleur de vie", elle l'a écrit et publié à seulement 16 ans. Aujourd'hui, elle est l'autrice de 9 romans, d'un roman jeunesse, d'un recueil de nouvelles et de plusieurs recueils de poésies. Car Cécile Coulon, c'est aussi une poésie et une sensibilité éloquentes, et un œil acéré sur sa génération, ses tourments et ses joies, et le monde dans lequel nous vivons. Elle fait partie de cette nouvelle génération de poétesses qui dépoussièrent le genre, notamment grâce aux réseaux sociaux, où elle a été l'une des premières à partager ses mots. Primée à de multiples reprises pour ses écrits, elle est devenue un nom et un visage incontournables de la littérature actuelle, avec un style et un univers singuliers, qui lui ressemblent.Dans cet épisode, nous revenons sur les premiers émois littéraires de Cécile Coulon, de Stephen King à Marguerite Yourcenar en passant par les incontournables ouvrages de son enfance, Chair de poule ou Les trois brigands. Elle me raconte comment de la lecture, elle en est arrivée à l'écriture (et comment elle a bien failli y renoncer), ce que la lecture et l'écriture lui apportent et comment elle envisage l'écriture de ses romans.© LIRE est un podcast pensé, écrit et animé par Marie-Stéphanie Servos. Habillage sonore, réalisation, montage et mixage : Alice Krief (Les Belles Fréquences). Contact : servosms@gmail.com / https://www.instagram.com/maristeservos  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bienvenue dans LIRE, un podcast dans lequel des personnalités de tous horizons se racontent au travers des livres et écrits qui ont jalonné leur vie.Rendez-vous mardi 5 novembre pour le premier épisode ! © LIRE est un podcast pensé, écrit et animé par Marie-Stéphanie Servos. Habillage sonore, réalisation, montage et mixage : Alice Krief (Les Belles Fréquences). Contact : servosms@gmail.com / https://www.instagram.com/maristeservos  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L’épisode que vous écoutez fait partie d’une série sur les liens entre maternité et création artistique.Dans cet épisode, je reçois Tess Dumon. Tess a 33 ans, elle est artiste plasticienne, elle peint, sculpte, et offre à voir un univers multiple et mythologique qui tire sa source dans son histoire personnelle. Mais Tess est aussi mère de deux petites filles, Tosca, qui a presque 3 ans, et Thelma, qui a 4 mois et demi.Ensemble, nous parlons de son entrée dans la maternité, qu’elle a d’abord vécu comme un traumatisme ; de son retour à l’atelier, très rapidement après avoir accouché, et de la dépression du post partum dans laquelle ce nouveau rythme l’a plongée. Elle me raconte aussi comment la maternité l’a sensibilisée au féminisme et à la place réservée aux femmes artistes et mères dans le monde de l’art. On parle aussi d’équilibre de vie, de partage du temps, de comment gérer la frustration que cela induit et de nombreuses autres choses ! Bonne écoute ! •••Pour découvrir le travail de Tess Dumon sur Instagram : https://www.instagram.com/tessdumonMontage et mixage : Alice Krief (Les Belles Fréquences)Musique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdarts_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L’épisode que vous écoutez fait partie d’une série sur les liens entre maternité et création artistique. Dans cet épisode, je vais à la rencontre d’une artiste qui m’est chère : Tiffany Bouelle est en fait la première artiste que j’ai eu la chance et le bonheur d’interviewer dans ce podcast. C’était en 2019. Depuis, elle et moi sommes restées de très proches amies, et avons la joie de partager aujourd’hui une aventure commune, intime et unique, celle de la maternité. Tiffany est non seulement une artiste talentueuse et ambitieuse, comme vous l’entendrez, mais aussi une femme et une mère que j’admire énormément. Dans cet épisode, nous revenons sur son entrée dans la maternité, il y a deux ans, sur la charge et le bonheur que cela implique, sur la pression sociale quand on est mère, mais surtout artiste, sur comment trouver un espace à soi pour créer et beaucoup d’autres choses. Si vous voulez en savoir plus sur le parcours de Tiffany, je vous recommande vivement l’écoute de l’épisode 2 de la toute première saison de Femmes d’arts. Bonne écoute ! •••Pour découvrir le travail de Tiffany Bouelle sur Instagram : https://www.instagram.com/tiffanybouelleMontage et mixage : Alice Krief (Les Belles Fréquences)Musique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdarts_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L’épisode que vous écoutez fait partie d’une série sur les liens entre maternité et création artistique.Dans cet épisode, je reçois une artiste aussi douce que talentueuse : Héléna Soubeyrand. Héléna a longtemps été actrice, avant de se consacrer pleinement à ce qui l’anime depuis longtemps : le dessin. Elle s’est fait remarquer sur les réseaux sociaux grâce à un talent que l’on n'a pas l’occasion de croiser tous les jours : elle est ambidextre. Mais Héléna est aussi mère de deux jeunes enfants, une fille et un garçon, âgés de 4 ans et demi et 9 mois. Ensemble, nous parlons de ce chamboulement immense qu’est l’entrée dans la maternité, à un, puis à deux. On parle aussi de l’influence de la grossesse sur la créativité, de comment trouver son espace à soi, du sentiment paradoxal que cela fait naitre de devoir s’extraire du monde et de la vie familiale pour assouvir son besoin de création, et de nombreuses autres choses. Bonne écoute !•••Pour découvrir le travail de Héléna Soubeyrand : https://www.instagram.com/helenasoubeyrandMontage et mixage : Alice Krief (Les Belles Fréquences) Musique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdarts_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je vais à la rencontre de Cécile Davidovici. Si vous ne connaissez pas encore son travail, je vous recommande de ne pas perdre une minute et d’aller le découvrir sur sa page Instagram, où elle partage son processus créatif et ses œuvres.Cécile a des doigts de fée : elle est brodeuse. Elle imagine et donne vie à des œuvres tissées dont on pourrait jurer qu’il s’agit de peintures ou de photographies, tant elles sont finement réalisées. Les détails, la lumière, la profondeur… Rien n’est laissé au hasard et chaque œuvre est un univers en soi.Je ne vous mens pas, Cécile fait de la magie avec ses doigts.Dans cet épisode, enregistré dans l’intimité de son atelier du 11e arrondissement, Cécile me raconte ses inspirations, son processus créatif, et revient sur son parcours, du cinéma, auquel elle s’est formée à New York, à la broderie et au tissage qu’elle pratique aujourd’hui, à longueur de journée, dans l’atmosphère baignée de lumière de son atelier. Je vous souhaite une bonne écoute.•••Pour découvrir le travail de Cécile Davidoci : www.ceciledavidovici.comPour la suivre sur Instagram : www.instagram.com/ceciledavidoviciCrédits : Femmes d’arts est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdarts_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
💥 BONNE NOUVELLE ! 💥 Le livre "Femmes d'art" est disponible depuis le 3 novembre dans les rayons des librairies. Un immense MERCI à ceux et celles qui l'ont déjà acheté ! Si vous n'avez pas encore votre exemplaire, j'espère du fond du cœur que sa lecture vous plaira.--Quels liens unissent l’art et la mode ? Comment l’un et l’autre s'inspirent mutuellement ? L’art peut-il se porter ? La mode est-elle un art ? Autant de questions pour un sujet passionnant qui m’intéresse beaucoup et depuis longtemps, et que j’avais très envie d’aborder ici sans savoir par où commencer. Il aura fallu une sublime collaboration entre une artiste que j’aime énormément et une créatrice de mode talentueuse pour me mettre le pied à l’étrier. Vous l’aurez compris, cette semaine je ne reçois pas une, mais deux femmes : l’artiste et designer Tiffany Bouelle, que vous avez déjà entendu dans ce podcast, si ce n’est pas le cas rendez-vous à l’épisode 2, et Jessica Troisfontaine, la fondatrice de la marque spécialiste des combinaisons Septem.Ensemble, ces deux femmes incroyables ont donné vie à une combinaison-oeuvre dont Tiffany a imaginé le motif. Ce qui m’a immédiatement plu dans cette collaboration, c’est l’approche davantage artistique que commerciale de celle-ci. On reparle d’ailleurs de ce distinguo très intéressant entre commercial et artistique dans notre échange. Jessica et Tiffany ont donc pensé une œuvre globale, qui va au-delà d’une simple collaboration lors de laquelle un ou une artiste vend un dessin ou une peinture à une marque qui sera reproduit à la chaîne sur un vêtement. Ici, le processus de création de Tiffany a été totalement respecté. Pour réaliser l'œuvre, le motif imprimé de façon aléatoire sur chacune des combinaisons, Tiffany s’est entretenue avec sept femmes dont j’ai eu l’honneur de faire partie. Puis, elle a peint lors d’une performance sur des combinaisons portées par sept autres femmes, comme une immense toile vivante et en mouvement, donnant ainsi vie à des combinaisons-oeuvres.Dans cet échange, Jessica et Tiffany me parlent des rapports qu’elles entretiennent avec l’art et la mode, elles me racontent comment se met en place une collaboration de cette envergure. Elles m’expliquent aussi comment elles souhaitent briser les frontières entre l’art et la mode, et comment la mode peut aider à rendre l’art plus accessible.Cet épisode a été enregistré en direct et en public lors d’une soirée du Club Femmes d’art, dans le sublime écrin du Comité Jacqueline Marval, que je remercie encore chaleureusement pour son accueil. Le reste est dans l'épisode, bonne écoute !•Pour en savoir plus sur la collaboration entre Septem & Tiffany Bouelle : www.septem-paris.comPour suivre Septem et Jessica Troisfontaine sur Instagram : www.instagram.com/septem_paris www.instagram.com/jessica_troisfontaine Pour suivre Tiffany Bouelle sur Instagram : www.instagram.com/tiffanybouelle•Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdart_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
💥 BONNE NOUVELLE ! 💥 Le livre "Femmes d'art" est disponible depuis le 3 novembre dans les rayons des librairies. Un immense MERCI à ceux et celles qui l'ont déjà acheté ! Si vous n'avez pas encore votre exemplaire, j'espère du fond du cœur que sa lecture vous plaira.--Cette semaine, je reçois dans le podcast Emmanuelle Roule. Emmanuelle est designer, céramiste et enseignante, et elle est aussi membre de la saison 1 du Cercle de l’art, dont Femmes d’art est partenaire. Un projet indispensable pour aider les artistes femmes à avoir un revenu régulier imaginé par la brillante artiste et entrepreneure Margaux Derhy. Si vous ne connaissez pas le travail d’Emmanuelle Roule, je vous invite d’ores et déjà à aller le découvrir sur Instagram où elle partage de nombreuses photos de ses œuvres et de son processus créatif. Emmanuelle a un univers très brut et doux à la fois, assez épuré. Ses œuvres, qu’elle imagine et conçoit comme des sculptures, sont lumineuses. Elles questionnent le volume et la matière, dans une approche architecturale de la céramique. Je suis très heureuse de vous proposer cette semaine de plonger dans l’univers d’Emmanuelle Roule, et de découvrir son parcours et sa passion communicative pour le matériau terre. Dans cet épisode, Emmanuelle revient sur son parcours. Elle me raconte comment les hasards de la vie et une intuition très forte ont mis la céramique sur son chemin. Elle me parle très longuement du matériau terre, aux vertus quasi méditatives et qui selon elle constitue l’avenir, pour répondre notamment aux questionnements écologiques et environnementaux dans de nombreux secteurs. Elle revient d’ailleurs sur son projet de recherche, “Patrimoine Vivant”, qu’elle poursuit depuis quelques années. Elle m’explique pourquoi elle a quitté Paris pour Marseille, où elle partage aujourd’hui un espace immense avec Stéphanie Pigaglio, la fondatrice des ateliers Clay. Le reste est dans l'épisode, bonne écoute !•Pour en savoir plus sur le travail de Emmanuelle Roule : www.emmanuelleroule.comPour la suivre sur Instagram : www.instagram.com/__roule__Pour en savoir plus sur le Cercle de l'art : www.lecercle.art et www.instagram.com/lecercledelart •Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdart_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
💥 BONNE NOUVELLE ! 💥 Le livre "Femmes d'art" est disponible depuis le 3 novembre dans les rayons des librairies. Un immense MERCI à ceux et celles qui l'ont déjà acheté ! Si vous n'avez pas encore votre exemplaire, j'espère du fond du cœur que sa lecture vous plaira.--Cette semaine, je reçois une artiste que j’aime beaucoup, et dont j’ai déjà eu l’occasion de vous parler, notamment dans le numéro #0 du Magazine Femmes d’art, publié en octobre dernier et disponible sur le site internet de Femmes d’art (www.femmes-dart.com) Il s’agit de Cécilia Granara. Cécilia est artiste peintre, elle est née en Arabie-saoudite dans une famille de diplomates italiens, ce qui lui a donc permis de passer toute son enfance entre Rome, Chicago, Mexico ou encore Londres puis aujourd’hui Paris. Une éducation cosmopolite qui ne la prédestinait pourtant pas initialement à devenir artiste, comme vous l’entendrez.À tout juste 30 ans, Cécilia Granara est une étoile montante du monde de l’art, elle fait partie de cette génération d’artistes qu’on ne présente déjà plus tant ils et elles sont talentueux et talentueuses et font parler d’eux : il y a, pour ne citer qu’eux Madeleine Roger Lacan, Nathanaëlle Herbelin, Jean Claracq, Simon Martin ou encore Christine Safa, que vous avez déjà entendue dans ce podcast. Si le monde de l’art la connaît déjà, le grand public la découvre encore, à la faveur de nombreuses expositions auxquelles elle participe, en galeries ou en institutions, de Paris jusqu’à Londres. Cécilia Granara a aussi été présentée lors d’un focus qui lui a été consacré par la FIAC en 2021.Si vous ne connaissez pas encore son travail, je vous invite d’ores et déjà à aller le découvrir, sur Instagram notamment où Cécilia partage de nombreuses images de son processus créatif et de ses oeuvres. Vous verrez, son travail, figuratif, joue avec les formes et les couleurs. Il est très instinctif et sensible à la fois, traduisant en peinture des thèmes qui tiennent à cœur à l’artiste. Cécilia Granara nous parle du corps des femmes, de plaisir, de sexualité, de douleurs mais de rêves aussi.Dans cet épisode, Cécilia revient sur son parcours, elle me parle de son cheminement vers l’art et de son univers. Elle me raconte ses inspirations, me parle de son travail, des sujets qu’elle choisit d’aborder mais aussi de son ressenti de femme et d’artiste en école d’art puis sur le marché de l’art. Nous parlons aussi de cette génération d’artistes à laquelle elle appartient, des femmes qu’elle admire et de très nombreuses autres choses. Le reste est dans l’épisode, bonne écoute !•Pour découvrir le travail de Cécilia Granara : www.ceciliagranara.com Pour la suivre sur Instagram : www.instagram.com/ceciliagranara •Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdart_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
💥 BONNE NOUVELLE ! 💥 Le livre "Femmes d'art" est disponible depuis le 3 novembre dans les rayons des librairies. Un immense MERCI à ceux et celles qui l'ont déjà acheté ! Si vous n'avez pas encore votre exemplaire, j'espère du fond du cœur que sa lecture vous plaira.--Cette semaine, c’est l’une des plus grandes photographes mexicaines que je reçois dans le podcast : Graciela Iturbide. Si ce nom est peu connu en France, Graciela Iturbide est pourtant un monument de la photographie, connue notamment pour avoir immortalisé les traditions des communautés indigènes et la vie quotidienne de son pays, le Mexique.J’ai eu la chance de pouvoir la rencontrer à Paris, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain qui lui consacre jusqu’au 29 mai 2022 une sublime exposition qui retrace toute sa carrière, de ses premiers travaux aux plus récents. Graciela Iturbide, c’est une femme dont la seule présence impressionne, mais qui rayonne par sa douceur et sa gentillesse à l’instant même où elle vous parle. Son parcours, comme vous l’entendrez dans cet épisode, c’est celui d’une femme inspirante et courageuse dont le destin semblait désigné dès la naissance à cause de son genre. Son histoire était écrite : Graciela, comme la plupart des femmes de son époque, ne ferait pas d’études et attendrait patiemment un mari avant de devenir mère au foyer.Mais son histoire, Graciela Iturbide a voulu la réécrire par elle-même : à 27 ans, elle brise le carcan que la société lui impose, et prend le pouvoir sur sa vie. Elle divorce et reprend des études de cinéma. Se dessine progressivement ensuite une carrière de photographe et une vie à sillonner le Mexique et le monde à la rencontre de cultures qu’elle immortalise avec son objectif. Dans cet épisode, Graciela revient longuement sur son parcours. Elle me raconte ses débuts en photographie, ses voyages au Mexique mais aussi tout autour du monde. Elle me raconte les séries photographiques qui l’ont le plus marquée, me parle de son atelier, un lieu très spécial à ses yeux, et évoque la part de l’intime dans son travail. Le reste est dans l’épisode, bonne écoute !•Ce podcast a été réalisé en partenariat avec la Fondation Cartier pour l'art contemporain. Remerciements à Pascale Fougère, traductrice, qui a su faire de cet échange un moment fluide. •Pour en savoir plus sur l'exposition consacrée par la Fondation Cartier pour l'art contemporain à Graciela Iturbide : www.fondationcartier.com/expositions/graciela-iturbide•Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdart_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
💥 BONNE NOUVELLE ! 💥 Le livre "Femmes d'art" est disponible depuis le 3 novembre dans les rayons des librairies. Un immense MERCI à ceux et celles qui l'ont déjà acheté ! Si vous n'avez pas encore votre exemplaire, j'espère du fond du cœur que sa lecture vous plaira.Cette semaine, je vous emmène à la rencontre de Béatrice Bissara.Béatrice Bissara est artiste pluridisciplinaire. Longtemps, à cause de la pression qui l’entourait, notamment familiale, elle s’est sentie interdite de créer, jusqu’au jour où elle a eu un flash, comme elle le raconte dans cet épisode, qui lui a presque imposé son destin, celui de devenir artiste. Pendant des années, elle s’est donc formée, d’abord à la sculpture puis au dessin, à la peinture, pour devenir aujourd’hui une artiste complète, dont la palette n’a pas de limites, et qui explore les médiums comme on choisirait le bon pinceau pour peindre le bon sujet. J’ai découvert le travail de Béatrice très récemment, et j’ai eu un énorme coup de cœur pour sa série Cosmos, des peintures profondes, d’un bleu imposant, qu’elle applique par couches avant de venir inciser dedans. On est presque hypnotisés par ces peintures, et on l’est tout autant des autres œuvres créées par Béatrice. Dans cet épisode, qui a été enregistré en direct et en public au Studio Artera, le 10 février dernier lors d’un afterwork du Club Femmes d’art, Béatrice et moi parlons de son parcours, elle revient sur un voyage qui l’a marquée, et au cours duquel elle a eu une révélation, l’amenant, enfin, à prendre le bon chemin, le sien, et à devenir artiste. Nous parlons aussi de créativité et de nombreuses autres choses. Le reste est dans l'épisode, bonne écoute !•Pour en savoir plus sur Béatrice Bissara : www.beatricebissara.comSuivez Béatrice Bissara sur Instagram : www.instagram.com/beatricebissaraPour en savoir plus sur le Studio Artera : www.studioartera.com•Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdart_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
💥 BONNE NOUVELLE ! 💥 Le livre "Femmes d'art" est disponible depuis le 3 novembre dans les rayons des librairies. Un immense MERCI à ceux et celles qui l'ont déjà acheté ! Si vous n'avez pas encore votre exemplaire, j'espère du fond du cœur que sa lecture vous plaira.Cette semaine, je reçois Charlotte Ketabi-Lebard, fondatrice de la galerie Ketabi Projects. Vous la connaissez peut-être déjà, car je l’avais interviewée dans le numéro #0 du Magazine Femmes d’art, paru en octobre dernier et que vous pouvez toujours lire sur le site internet www.femmes-dart.com . Elle faisait la une du magazine, aux côtés de dix autres galeristes qui incarnent pour moi la nouvelle génération. Non pas parce qu’elles sont jeunes, ni parce que leur projet est jeune, mais bien parce qu’elles abordent ce métier avec un nouveau regard, imprégné des parcours de leurs aînées, mais aussi marqué par la volonté d’innover en proposant une offre différente. Charlotte Ketabi fait donc partie de cette génération là. J’avais très envie de l’interview à nouveau, en prenant davantage le temps, car je dois dire que je l’admire beaucoup. Elle sait exactement ce qu’elle veut, depuis qu’elle est toute petite : déjà, elle voulait être galeriste. Aujourd’hui, elle mène son entreprise avec des idées bien précises, dont celles de représenter des artistes qui la font vibrer, uniquement. J’ai donc voulu en savoir plus sur son parcours, lui aussi, impressionnant. Vous l’entendrez, elle a fait ses armes chez l’une des plus grandes galeristes française et internationale, Nathalie Obadia, que vous avez déjà entendu dans le podcast. Charlotte est entrée à la galerie en stage, et en moins de cinq ans, elle devenait l’une de ses directrices. Une prouesse donc. Charlotte est aussi maman de deux enfants en bas-âge, ce qui ne l’empêche pas de mener de front une brillante carrière… sans mettre de côté non plus sa vie familiale. La preuve, donc, que tout est possible à celui ou celle qui désire ardemment. Dans cet épisode, j’ai questionné Charlotte sur tous ces sujets. Nous avons parlé du challenge que cela représente de monter sa propre galerie, de ce que l’on prend, et de ce que l’on laisse de ses aînées galeristes ; nous avons bien sûr parlé des artistes qu’elle représente, dont plusieurs femmes : Audrey Guttman, qui est collagiste, et Inès Longevial, une artiste que l’on ne présente plus et qui cumule des centaines de milliers d’abonnés sur Instagram. Je le précise car, vous l’entendrez, c’est un sujet dont nous parlons dans l’épisode : la façon dont le marché de l’art et les collectionneurs classiques accueillent un ou une artiste qui s’est d’abord fait connaître du grand public et des réseaux sociaux avant d’être connu.e du monde de l’art. Le reste est dans l’épisode !Bonne écoute !•Pour en savoir plus sur Ketabi Projects : www.ketabiprojects.artSuivez Ketabi Projects sur Instagram : www.instagram.com/ketabiprojects •Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdart_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
💥 BONNE NOUVELLE ! 💥 Le livre "Femmes d'art" est disponible depuis le 3 novembre dans les rayons des librairies. Un immense MERCI à ceux et celles qui l'ont déjà acheté ! Si vous n'avez pas encore votre exemplaire, j'espère du fond du cœur que sa lecture vous plaira.Je suis ravie de vous retrouver pour ce tout premier épisode de Femmes d’art en 2022. Il est encore temps alors je vous souhaite une très belle année, qu’elle puisse être remplie de joie, de rire et d’étonnement et bien sûr, d’art, d’expos et de podcasts, incontournables outils pour garder cet émerveillement constant sur le monde. Cet épisode de Femmes d’art a été enregistré en direct et en public au Comité Jacqueline Marval, début janvier à Paris, un lieu incroyable qui a accueilli le tout premier afterwork du Club Femmes d’art de 2022. A mon micro, Camille Roux dit Buisson. Elle est la directrice du Comité, dont l’objectif est de mettre en lumière l’histoire et les œuvres de Jacqueline Marval, une femme profondément moderne et pionnière, artiste incontournable du début du XXe.Proche des Fauves, au parcours digne des plus jolis romans historiques, Marval est pourtant aujourd’hui assez peu connue. Pendant un temps, elle a même disparu complètement de l’histoire de l’art, alors même qu’elle bénéficiait à l’époque d’une renommée aussi bien française qu’internationale. C’est un hasard et un coup de foudre artistique qui ont amené le père de Camille, Raphaël Roux dit Buisson, à (re)découvrir cette femme, il y a quarante ans. Depuis, la famille Roux dit Buisson met tout en œuvre pour que Marval retrouve la place qu’elle mérite dans l’histoire de l’art, et dans les institutions culturelles. Une aventure familiale et artistique qui les mènent de Paris à Moscou en passant par Séoul, où Marval sera bien exposée. Petit teasing d’ailleurs : certaines de ses œuvres seront visibles dès le mois de mars au Musée du Luxembourg à Paris, dans le cadre de l’exposition Pionnières.Dans cet épisode, Camille revient sur l’aventure familiale autour de Jacqueline Marval. Elle nous raconte bien sûr le parcours de Marval, tragique et romanesque, de Grenoble, dont elle est originaire, à Paris. Camille évoque aussi sa trajectoire artistique, comment et pourquoi Marval était une artiste hors-normes, avant-gardiste et pionnière, qui brisait déjà de nombreux codes ; et pour la toute première fois, elle parle de façon publique d’une analyse sur laquelle travaille son père depuis près de quarante ans : et si, l’une des œuvres les plus connues de Marval avait inspiré… l’une des œuvres les plus connues au monde, Les Demoiselles d’Avignon de Picasso ? Finalement, la question que l’on se pose dans cet épisode est la suivante : comment l’une des artistes françaises les plus connues du XXe siècle a-t-elle tout simplement été oubliée après une éblouissante carrière ? Le reste est dans l’épisode et vous verrez, c’est passionnant !Bonne écoute !•Pour en savoir plus sur le Comité Jacqueline Marval : www.jacqueline-marval.com & www.instagram.com/comitejacquelinemarval•Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdart_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
💥 BONNE NOUVELLE ! 💥 Le livre "Femmes d'art" est disponible depuis le 3 novembre dans les rayons des librairies. Un immense MERCI à ceux et celles qui l'ont déjà acheté ! Si vous n'avez pas encore votre exemplaire, j'espère du fond du cœur que sa lecture vous plaira.Cette semaine, je vous parle de l’histoire incroyable de Vivian Maier, cette gouvernante américaine devenue, après sa mort, une figure emblématique de l’histoire de la photographie.Cette histoire fascinante, c’est Anne Morin qui nous la raconte. Anne Morin est commissaire d’expositions et directrice de diChroma photography. Elle est surtout à l’origine de la très belle exposition que consacre en ce moment même le musée du Luxembourg au travail de Vivian Maier. Dans cet épisode, nous revenons ensemble sur la vie de Vivian Maier. Celle d’une photographe hors pair qui a figé l'Amérique du milieu du 20e siècle dans des milliers et des milliers de pellicules, dont une grande partie n’a jamais été développée de son vivant, et qu’elle n’a jamais montrée. Celle aussi, d’une gouvernante restée toute sa vie dans l’anonymat, mais qui avait un besoin quasi vital de photographier son environnement immédiat, la ville, et ses contemporains. Une femme en quête d’identité dans une société qui ne laissait peu de place aux oubliés, dont elle faisait partie, et qui s’est longuement cherchée dans un travail d’autoreprésentations, à travers les milliers d’autoportraits qu’elle a laissé. Mais son histoire ne serait pas aussi incroyable sans l’intervention du hasard, de la chance ou du destin, et si ses archives étaient restées dans des cartons comme cela devait être le cas. Car oui, à quelques minutes près, Vivian Maier l’artiste, la photographe, n’aurait jamais vu le jour. C’est toute cette histoire sur laquelle nous revenons dans cet épisode : qui était Vivian Maier ? Comment a-t-elle vécu, photographié ? Qu’est-ce que son travail dit d’elle, de la société dans laquelle elle vivait ? Et comment est-elle sortie de l’ombre pour devenir l’immense photographe que l’on connaît aujourd’hui, alors même qu’elle n’était plus ? Anne Morin dira cela dans cet épisode : "Vivian Maier était extrêmement libre, c’est cela qui fait la densité de son œuvre maintenant." Le reste est dans l'épisode ! Bonne écoute !•Pour en savoir plus sur l'exposition, qui se tient au Musée du Luxembourg jusqu'au 16 janvier 2022 : www.museeduluxembourg.fr/fr/agenda/evenement/vivian-maier•Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdart_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
💥 BONNE NOUVELLE ! 💥 Le livre "Femmes d'art" est disponible depuis le 3 novembre dans les rayons des librairies. Un immense MERCI à ceux et celles qui l'ont déjà acheté ! Si vous n'avez pas encore votre exemplaire, j'espère du fond du cœur que sa lecture vous plaira.Cette semaine, je reçois Sandra Hegedüs. Sandra est collectionneuse, mécène et activiste de l’art.Elle est aussi la fondatrice, en 2009, du SAM Art Projects, qui a vocation à promouvoir la création artistique contemporaine en décernant notamment un prix pour l’art contemporain et en organisant des résidences d'artistes. Pour résumer, Sandra est surtout une grande passionnée d’art, ce que l’on remarque immédiatement lorsque l’on passe le pas de la porte de son appartement. C’est ici qu’elle me reçoit, au milieu d’une profusion d'œuvres - dont beaucoup de femmes - dans le 14e arrondissement, à quelques pas de l’Observatoire de Paris.C’est un matin froid du début de l’hiver, mais Sandra Hegedüs me reçoit chaleureusement, dans l’intimité de son appartement baigné de lumière et rempli d'œuvres, du sol au plafond. Ensemble, nous parlons de son parcours, de son passé d’artiste au Brésil mais aussi dans l’audiovisuel ; on parle également de sa collection, qu’elle a débuté en 2005, et dans laquelle elle m’emmène faire un tour ; nous évoquons aussi la notion d’engagement dans l’art, le SAM Art Projects et de nombreuses autres choses.Le reste est dans l'épisode !Bonne écoute !•Pour suivre Sandra Hegedüs sur son compte Instagram : www.instagram.com/sandramulliezhegedusPour en savoir plus sur le SAM Art Projects : www.samartprojects.org•Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdart_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
💥 BONNE NOUVELLE ! 💥 Le livre "Femmes d'art" est disponible depuis le 3 novembre dans les rayons des librairies. Un immense MERCI à ceux et celles qui l'ont déjà acheté ! Si vous n'avez pas encore votre exemplaire, j'espère du fond du coeur que sa lecture vous plaira. Cette semaine je reçois Joana Vasconcelos. Joana est artiste peintre, sculptrice. Elle vit et travaille au Portugal, et c’est de son studio à Lisbonne et en zoom, qu’elle m’a accordé un peu de temps pour parler de son parcours et de son travail ; c’était en mars dernier, le monde était encore à demi confiné et j’étais en train d’écrire mon livre, dans lequel Joana figure. Vous connaissez sans doute le travail de Joana Vasconcelos, puisqu’il est incontournable, et surtout, monumental. Elle a plusieurs fois été exposée en France, et elle a notamment été la première femme à exposer au Château de Versailles, en 2012, une expérience au goût cependant un peu amer pour elle, puisqu’une de ses œuvres à tout simplement été censurée. Joana me raconte justement ce que le fait d’être très régulièrement “la première femme” induit en fait. Elle a dû faire face à des critiques mais aussi à des doutes sur sa capacité à créer des œuvres monumentales… Dans cet épisode, nous parlons donc de son travail, de ses inspirations et de son engagement en faveur des droits humains notamment. Bref, je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode.Bonne écoute !•Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdart_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
💥 LE LIVRE "FEMMES D'ART" EST DISPONIBLE EN PRÉCOMMANDE ! 💥Pour commander votre exemplaire, rendez-vous sur le lien ci-dessous :livre.fnac.com/a16129961/Marie-S…Origin=Awin936387Cet épisode a été enregistré en direct et en public à la galerie Dutko, dans le cadre du Club Femmes d’art. Cette semaine, je reçois l’une des figures de l’abstraction, la peintre Monique Frydman.Née en 1953, elle a étudié aux Beaux-arts de Toulouse avant de s’installer à Paris en 1964.Mais Monique Frydman est aussi une militante féministe, puisqu’elle s’est longuement engagée au sein du Mouvement de libération des femmes dans les années 1960, et dans de nombreux autres collectifs, notamment d’artistes femmes. À cette période, elle s’arrête même de peindre pour se consacrer entièrement à son militantisme. Elle ne revient à l’atelier qu’en 1975, avec une série de 200 dessins, très éloignés du travail pour lequel on la connaît aujourd’hui, à savoir un travail très coloré et abstrait. Ces dessins, qui sont restés jusque là dans l’intimité de son atelier, Monique Frydman en présente une sélection en ce moment même et jusqu’au 30 octobre à la galerie Dutko. L’exposition s’appelle “My Perfect Body”, c’est un titre très ironique et voici pourquoi : Ces dessins de corps n’ont en effet rien de parfait, bien au contraire. Ils représentent des corps de femmes qui ne correspondent en rien aux codes de l’époque et à la représentation faite des corps de femmes par les hommes. Dans cette série, Monique Frydman montre, à travers son regard à elle, une image violente du corps féminin, on y voit des corps sans tête, parfois démembrés. La couleur est déjà là, mais, aussi joyeuse puisse-t-elle être, c’est une image violente qu’elle donne à voir.On peut être surpris, on peut être subjugués, on peut ne pas aimer, en tout cas, on ne peut pas rester insensibles à cette série de dessins. Dans cet épisode, nous évoquons le parcours de Monique Frydman, nous parlons de ce que cela signifie, qu’être une femme artiste, dans les années d’effervecence et de libération de la France des années 60-70. On parle bien sûr de féminisme, de l’importance des collectifs d’artistes femmes et de biais inconscients, entre autres choses. Bref, je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode. Bonne écoute !•Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdart_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
💥 LE LIVRE "FEMMES D'ART" EST DISPONIBLE EN PRÉCOMMANDE ! 💥Pour commander votre exemplaire, rendez-vous sur le lien ci-dessous :livre.fnac.com/a16129961/Marie-S…Origin=Awin936387Cette semaine, je reçois Marie Docher. Marie Docher est photographe, mais elle est aussi et surtout l’une des premières en France à avoir ouvert le débat sur l’invisibilisation des femmes photographes au sein des institutions et dans les manifestations culturelles.Avec son blog, Atlantes & Cariatide, qu’elle lance en 2014, elle se donne deux missions : celle de compter les femmes pour que les femmes comptent, et pour cela d’interpeller les institutions culturelles et les festivals photographiques. Pendant plusieurs années, elle écrit sous pseudonyme masculin, pour être entendue, et pour dénoncer l’absence de femmes photographes, artistes et photo journalistes.En 2018, elle fonde aussi la plateforme Visuelle.art pour décrypter, à l’aide d’interviews de spécialistes, l’influence du genre dans l’art. Au fil des années, à force de travail, et malgré la violence qui était parfois la seule réponse qu’on lui octroyait, Marie Docher n’a rien lâché, et sous son impulsion, les lignes ont fini par bouger. Au risque qu'aujourd'hui, certains s’emparent de cette question comme d’un outil marketing. Dans cet épisode, nous parlons d’invisibilisation des femmes dans la photographie et plus largement dans l’histoire de l’art, de l’importance de l’âge dans une carrière d’artiste et de nombreuses autres choses. Mais nous revenons aussi sur le parcours de Marie, sur ses engagements et l’impact qu’ils ont eu sur sa carrière de photographe. Je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode !Bonne écoute !•Pour en savoir plus sur "Atlantes & Cariatides", le blog fondé par Marie Docher en 2014 pour interpeller les directions d'institutions et de festivals : www.atlantesetcariatides.wordpress.comPour découvrir ses interviews réalisées dans le cadre de son projet, "Visuelles.art" : www.visuelles.art•Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdart_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
⭐⭐⭐ JE VOUS PARLE DU LIVRE « FEMMES D’ART » ⭐⭐⭐Bonjour à toutes et à tous ! Aujourd’hui, je vous parle un peu plus en détails de « Femmes d’art », mon livre qui sortira en librairie dans un mois pile, le 26 octobre, et qui est d’ores et déjà disponible à la précommande via le lien suivant : https://livre.fnac.com/a16129961/Marie-Stephanie-Servos-Femmes-d-art?awc=12665_1630616685_37b51081363effd1ca5d533d1b800793&ectrans=1&Origin=Awin936387A quoi va ressembler le livre ? Que pourra-t-on trouver dedans ? Je réponds à toutes ces questions dans cet épisode. Voici un petit sommaire pour vous repérer : 00’00 INTRODUCTION00’20 Comment est né le projet ? 01’05 A quoi ressemble le livre ?01’45 Que pourra-t-on trouver dedans / de quoi parle-t-il ? 04’17 Quel est l’objectif du livre ? 04’35 Ou sera-t-il vendu ? 04’49 Est-ce qu’il y aura des signatures ? Pour être au courant des dates de signatures, rendez-vous sur le compte Instagram de @femmesdart_ ou dans la newsletter mensuelle (pour s’inscrire, il suffit d’envoyer un mail à femmesdart@gmail.com).A très vite ! Marie-Stéphanie•Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdart_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
💥 LE LIVRE "FEMMES D'ART" EST DISPONIBLE EN PRÉCOMMANDE ! 💥Pour commander votre exemplaire, rendez-vous sur le lien ci-dessous : https://livre.fnac.com/a16129961/Marie-Stephanie-Servos-Femmes-d-art?awc=12665_1630487741_990b28cc030c3126ab4b7076cc7ce677&ectrans=1&Origin=Awin936387Cette semaine et pour ouvrir la saison 3 de Femmes d’art, ce n’est pas une artiste que je vous propose de découvrir mais un couple d’artistes. Je vous emmène au Musée d’art Moderne de Paris découvrir l’œuvre incroyable et prolifique d’Anni et Josef Albers, deux artistes pionniers de l’abstraction, issus de l’école du Bauhaus. C’est l’un des rares couples d’artistes à avoir à l’époque été présentés sur un pied d’égalité. Pendant des années, depuis leur rencontre en 1922 au Bauhaus et leur mariage trois ans plus tard, ils se sont nourris mutuellement, inspirés, ont échangé, sur les formes, les couleurs, les techniques, sans jamais pour autant créer d'œuvre commune. Lui travaille d’abord la peinture, puis le verre, elle, le textile. Il est un véritable maestro de la couleur, expérimentant notre rapport aux couleurs dans une série extraordinaire de plus de 3000 œuvres, “Homage to the square”, des carrés de couleurs imbriqués les uns dans les autres. Elle est une praticienne exceptionnelle de l’art textile, cherchant constamment à créer des pièces sophistiquées toujours colorées et joyeuses, inspirées tantôt de la dactylographie, tantôt des arts textiles précolombiens. Pour en parler, j’ai la chance d'être accompagnée dans cet épisode de la passionnante Julia Garimorth, elle est conservatrice en chef, responsable des collections contemporaines du Musée d’art moderne de Paris et commissaire de l’exposition qui rend hommage à Anni et Josef Albers, “L’art ou la vie” qui est montrée jusqu’au 9 janvier 2022 au musée. Bonne écoute !•Pour en savoir plus sur l'exposition "Anni et Josef Albers : L'art et la vie" : www.mam.paris.fr/fr/expositions/exposition-anni-et-josef-albers•Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie ServosMusique libre de droitswww.femmes-dart.comwww.instagram.com/femmesdart_Contact : femmesdart@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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