Technical analysis involves studying historical price movements and trading volumes to predict future trends in financial assets. It relies on charts and technical indicators and does not consider the intrinsic value of a company.
Fundamental analysis involves assessing a stock’s intrinsic value by reviewing financial statements, industry trends, and economic factors. It helps investors determine whether a stock is undervalued or overvalued, guiding their investment decisions.
A financial market is a marketplace where financial assets like stocks, bonds, and commodities are traded. These markets help businesses and governments raise capital and enable the efficient allocation of financial resources. Financial markets are vital for economic growth.
Financial assets are monetary instruments that can be traded in financial markets, such as stocks, bonds, and mutual funds. They allow investors to generate income or capital appreciation. Unlike physical assets, financial assets derive their value from contractual claims.
Risk in investing refers to the chance that actual returns may differ from expected ones, possibly leading to a loss of capital. High-risk investments often offer higher potential returns but are more volatile. Diversification is a key method for managing risk by spreading investments across different asset classes.
La finance durable désigne l’ensemble des activités financières visant à améliorer l’intérêt de la collectivité à moyen et à long terme. Elle couvre la finance solidaire, la finance durable et la finance verte. Elle repose sur des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). La finance durable sous-entend : (1) une plus grande transparence des transactions, (2) une meilleure traçabilité des flux de capitaux et (3) une responsabilisation des acteurs. La finance durable a modifié certaines pratiques financières. Ainsi, le pilotage de la performance au sein des organisations est désormais global et intègre les critères ESG. Parallèlement, des agences de notation extra-financière évaluent les risques selon des critères ESG et envoient un signal aux investisseurs socialement responsables. Néanmoins, la question qui se pose au niveau théorique : la finance durable est-elle une finance de continuité compatible avec les théories financières existantes ou une finance de rupture qui implique un nouveau cadre théorique ?
Les premières agences de notation extra-financière ont vu le jour dans les années 1990. Ces agences se sont appuyées sur les critères environnementaux, sociaux et de bonne gouvernance (ESG) élaborés par les institutions internationales comme l’Organisation des Nations Unies (ONU), l’Union européenne (UE) ou encore l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Au fil du temps, le modèle économique de ces agences a gagné en maturité. Malgré le grand essor qu’a connu l’industrie de la notation extra-financière durant les deux dernières décennies, la notation fondée sur les critères ESG n’a pas encore atteint la phase de maturité. En effet, aucun référentiel ESG standardisé n’a pu émerger de la pratique de notation extra-financière. Pour devenir un acteur majeur de la finance durable, les agences de notation extra-financière doivent relever deux défis : renforcer leur légitimité institutionnelle et améliorer la viabilité de leur modèle économique.
La MDBC e-hryvnia : une monnaie banque centrale en projet Dans un contexte international marqué par un attrait croissant pour la technologie blockchain, de nombreux projets de monnaies digitales de banques centrales (MDBC) ont vu le jour. Le projet de MDBC e-hryvnia engagé par la banque centrale d’Ukraine (NBU) est l’un des plus avancés d’Europe. Après avoir défini la notion de MDBC, cet article fait le point sur les attentes de la NBU, les conclusions du projet pilote de MDBC e-hryvnia lancé en 2018 et les obstacles qui restent à lever pour lancer définitivement cette monnaie banque centrale de nouvelle génération.
Fintech, a contraction of "finance" and "technology," refers to companies that use technology to offer innovative financial services that are often more accessible or less expensive than traditional banks. Decentralized finance (DeFi) is a suite of financial services that are not controlled by a central authority. It uses blockchain technology to create financial applications that operate without intermediaries such as banks, financial institutions, or governments.
La finance décentralisée (DeFi) est un ensemble d’activités financières sur cryptoactifs qui ne sont pas contrôlées par une autorité centrale. La Defi repose sur la technologie blockchain via des protocoles décentralisés, désintermédiés et automatisés pour créer des applications financières qui fonctionnent sans intermédiaires tels que les banques, les institutions financières ou les gouvernements.
La « Fintech », contraction de « finance » et de « technologie », désigne une entreprise qui utilise une technologie numérique pour offrir des services financiers innovants, souvent plus accessibles et moins coûteux que ceux proposés par les banques traditionnelles.
Le Professeur Roland Pérez a été l’un des pionniers des sciences de gestion en tant que discipline universitaire en France. Sa trajectoire est celle d’un universitaire accompli et très actif dans la société. Il a été le témoin et l’acteur engagé de la naissance et de l’autonomisation des sciences de gestion et de leur développement à l’université française, et cela dans différents champs : la comptabilité et la finance, la stratégie et la gouvernance. Cet intérêt intellectuel qui déborde des frontières étroites des disciplines académiques, avec un intérêt particulier pour la responsabilité sociale, est dû à ses valeurs humanistes fortes. Il y a donc à la fois un certain eclectisme au niveau des sujets abordés, et une posture très cohérente, solidement ancrée dans l’humanisme et résolument tournée vers l’action (institutionnelle). Labex Entreprendre et Montpellier Recherche en Management (MRM) Interview réalisée par Peter WIRTZ.
Les Objectifs de Développement Durable édictés par les Nations-Unies en 2015 dans le cadre de l’Agenda 2030 représentent une feuille de route pour les populations, la planète, la prospérité et la paix. Ils s’inscrivent dans une vision de transformations du monde pour assurer sa transition vers un développement durable en éradiquant la pauvreté. Mais à mi-parcours, en septembre 2023, les Nations-Unies révèlent le retard pris : 15% seulement de ces ODD sont atteints, il manque entre 5 400 et 6 400 milliards de dollars pour satisfaire l’Agenda 2030. Dès lors, la sphère financière doit orienter et tracer l’épargne vers ces ODD grâce aux instruments qui existent (ISR, impact investing…) mais à cette fin, la volonté politique est indispensable pour (re)mettre la finance de la société et de la planète.
Les agences de notation (rating) sont des entreprises privées dont le rôle consiste à évaluer le risque de défaut ou risque de crédit d’un émetteur de titres de dettes (à court et/ou long terme). A la suite d’une analyse financière recontextualisée dans le moment et l’environnement, une note est donnée – comprise entre « AAA » et « D ». Cette note synthétise le risque de crédit à l’exclusion de tout autre, et est révisée régulièrement.
La politique monétaire, menée par la banque centrale, a pour objet de fournir des liquidités au système bancaire nécessaires à la croissance de la zone monétaire avec l’objectif principal de stabilité des prix. La banque centrale oriente alors l’économie en mouvementant ses taux directeurs (à la hausse pour juguler l’inflation ou à la baisse pour relancer l’économie).
La capitalisation boursière représente la valeur marché ou boursière des capitaux propres d’une entreprise. Elle est égale au nombre total d’actions en circulation multiplié par le cours de bourse. Le nombre total d’actions en circulation équivaut au total du nombre d’actions émises moins le nombre d’actions auto-détenues. La capitalisation boursière permet de classer les entreprises cotées ou les bourses entre elles ; elle sert également de base pour le calcul du Price Earning Ratio.
Une action est une valeur mobilière représentative d’une part de capital d’une société de capitaux privés. Elle est négociable en bourse si l’entreprise s’est introduite sur le marché financier. Son cours de bourse, répondant à la loi de l’offre et la demande, dépend de la santé financière de l’émetteur. Tout actionnaire dispose d’un certain nombre de droits : le droit de vote en assemblées générales, le droit au dividende – part du bénéfice de l’entreprise, droit à l’information, droit de mener des actions en justices contre les dirigeants, droit au boni de liquidation, droit de souscription/attribution lors des augmentations de capital.
Nous étudions si la représentation des détenteurs d’obligations au sein des conseils d’administration peut être un mécanisme de discipline de marché efficace pour réduire le risque bancaire, en utilisant un ensemble de données unique combinant des informations sur les détenteurs d’obligations et les conseils d’administration des banques européennes cotées. Nos résultats montrent que l’influence des représentants des détenteurs d’obligations au sein des conseils d’administration des banques réduit significativement le risque bancaire sans avoir d’impact sur la rentabilité.
Cet ouvrage collectif explore l’intégration des critères environnementaux, sociaux, et de gouvernance (ESG) dans l’évaluation financière des entreprises. Il lie la valeur financière à la durabilité et détaille les impacts indirects de l’activité économique sur l’environnement. Plus qu’un livre théorique, il sert de guide pratique, illustrant avec des études de cas comment incorporer les préoccupations ESG pour révéler la valeur réelle d’une entreprise dans un monde écologiquement conscient. Il souligne les bénéfices et les défis, tels que la nécessité de données fiables, et synthétise les avancées académiques récentes dans le domaine. Il peut être un outil utile à tous ceux qui s’intéressent à une finance plus responsable et durable.
Le resserrement quantitatif est une stratégie utilisée par les banques centrales pour réduire délibérément la liquidité dans le système financier. Cela se fait en vendant des titres publics, ce qui diminue les réserves excédentaires des banques et réduit la masse monétaire globale.