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Food for Europe

Author: European Commission, Directorate General for Agriculture and Rural Development

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Have you ever wondered how food in Europe is produced or where it comes from? ‘Food for Europe’ brings you stories, analysis, and in-depth interviews on agriculture, rural development, and the developments that are transforming the way we shop, eat and cultivate our precious, scattered farmland.

Brought to you by the European Commission’s Directorate-General for Agriculture and Rural Development, the podcast will shed light on the most important European policies for food and agriculture and discuss the ambitions to become a greener and more sustainable Europe.
© European Union, 2021
192 Episodes
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Ernährungssicherheit in der gesamten EU sicherzustellen, ist eine Priorität der Gemeinsamen Agrarpolitik und wird auch in Zukunft eine wichtige Rolle spielen. In unserer 64. Folge von 'Nahrung für Europa' berichten wir vom ersten Tag der EU Agri Food Days 2025 – den Agrar- und Ernährungstagen der Europäischen Union, an dem der Fokus auf Ernährungssicherheit lag. Die dreitägige Veranstaltung, an der Akteure aus den Bereichen Landwirtschaft und Ernährung, darunter Landwirte, Vertreter von Zivilgesellschaft, Wissenschaft und Politik, teilnehmen, ist ein jährliches Forum auf dem die neuesten politischen Trends, Herausforderungen und Chancen im Agrar- und Ernährungssektor der EU diskutiert werden. Der erste Tag war der Ernährungssicherheit gewidmet – und den notwendigen Schritten zur Stärkung der Widerstandsfähigkeit des Agrar- und Ernährungssektors. Ein weiterer Schwerpunkt lag auf der Frage, wie Forschung und Innovation die Wettbewerbsfähigkeit verbessern und wie nachhaltige landwirtschaftliche Praktiken helfen können, die gegenwärtigen klimatischen und ökologischen Herausforderungen zu meistern. Mit dabei waren der deutsche Bio-Milchbauer Felix Riecken, der Wissenschaftler Yann de Mey, der Bio-Unternehmer Lubomir Nokov, die Vertreterin der Junglandwirte Katharina Schobersberger und Barthélemy Lanos von der Europäischen Kommission.
Ensuring food security across the EU is a priority for the current Common Agricultural Policy and the proposed new CAP. For our 64th episode of Food for Europe, we report from day one of the Agri Food Days 2025. This three-day event — encompassing agriculture and food stakeholders, including farmers civil society, academia and policymakers — is an annual forum to deepen and broaden discussions about the latest policy trends, challenges and opportunities in the EU agri-food sector. Day one was dedicated to in-depth discussions about food security and the steps necessary to support the resilience of the agri-food sector. There was also a strong focus on the ways in which research and innovation enhance competitiveness, and how sustainable farming practices can help in adapting to climate and environmental challenges. The programme includes contributions from German regenerative dairy farmer Felix Riecken, academic Yann de Mey, organic entrepreneur Lubomir Nokov, young farmers’ representative Katharina Schobersberger and European Commission official Barthélemy Lanos.
Du 15 au 17 décembre 2025, Bruxelles accueillait la troisième édition des EU Agri-Food Days, comprenez les Journées européennes de l’agroalimentaire. Trois jours au cours desquels tous les acteurs du secteur - agriculteurs, distributeurs, consommateurs, décideurs politiques, ou encore universitaires – ont pu échanger sur les dernières orientations politiques, les défis et les opportunités à saisir. La première journée de l’événement était consacrée à la sécurité alimentaire de l’Union européenne, une priorité de la Politique agricole commune. Un thème que nous avons choisi d’approfondir dans le 64e épisode de Nourrir l’Europe. Au fil du podcast, Barthélemy Lanos, de la Direction générale de l’agriculture et du développement rural de la Commission européenne, revient sur les instruments et mécanismes disponibles pour assurer la sécurité alimentaire de l’UE. Felix Riecken, éleveur laitier en Allemagne, nous parle des vertus de l’agriculture régénératrice qu’il pratique, pour plus de résilience face au changement climatique. Yann de Mey, universitaire néerlandais, évoque la récente mutation des risques pour notre sécurité alimentaire et ses implications politiques, à savoir la montée en puissance de la notion de souveraineté alimentaire. Venu de Bulgarie, Lubomir Nokov, entrepreneur dans le secteur biologique, partage ses convictions sur le potentiel de l’agriculture bio, et Katharina Schobersberger, représentante des jeunes agriculteurs, appelle à des actions fortes pour stimuler le renouvellement générationnel.
The European Union has 160 million hectares of forests, which corresponds to 40 per cent of its territory. Forests are an economic and ecological wealth that are directly impacted by many threats: global warming, parasites, diseases, storms and of course, fires. It is impossible to ignore the devastating fires that ravage the forests of southern Europe every summer. How are European forests doing today? How can they be protected and repaired? In the 63rd episode of Food for Europe we take you to Portugal, where Jorge Brito, executive secretary of the Coimbra region, looks back at the measures put in place to regenerate the forest ravaged by deadly fires in 2017 and ensure the protection of the population. Pierre Hermans, forester and founder of the private firm Sylva Nova, explains how he integrates global warming into the solutions he offers to his clients across Europe. Finally, Jérémie Crespin, policy officer at the European Commission's Directorate-General for Agriculture and Rural Development, a specialist in forests, discusses the state of European forests and the role of the Common Agricultural Policy to prevent forest fires.
L’ Union européenne compte 160 millions d’hectares de forêts. C’est 40% de son territoire. Une richesse économique et écologique directement impactée par le réchauffement climatique. Parasites, maladies, tempêtes, et bien sûr, incendies : impossible d’ignorer les feux de forêt dévastateurs qui dévorent le sud de l’Europe chaque été. Comment se portent les forêts européennes aujourd’hui ? Comment les protéger et les réparer ? Dans le 63ème épisode de Nourrir l’Europe nous vous emmenons au Portugal, où Jorge Brito, secrétaire exécutif de la Région de Coimbra, revient sur les mesures mises en place pour régénérer la forêt ravagée par des incendies meurtriers en 2017 et assurer la protection de la population. Pierre Hermans, forestier et fondateur du cabinet privé Sylva Nova, explique comment il intègre le réchauffement climatique dans les solutions qu’il propose à ses clients à travers l’Europe. Enfin, Jérémie Crespin, chargé de mission à la Direction générale de l’agriculture et du développement rural de la Commission européenne, spécialiste des forêts, revient sur l’état des forêts européennes et sur le rôle de la Politique agricole commune pour éviter les incendies.
Die Europäische Union verfügt über 160 Millionen Hektar Wald. Das sind 40 % ihres Territoriums. Ein wirtschaftlicher und ökologischer Reichtum, der direkt von der globalen Erwärmung beeinflusst wird: Schädlinge, Krankheiten, Stürme und natürlich Brände – die verheerenden Feuer, die jeden Sommer die Wälder Südeuropas verwüsten, sind nicht zu übersehen. Wie geht es den europäischen Wäldern heute? Wie kann man sie schützen und wiederherstellen? In der 63.Folge von „Nahrung für Europa” nehmen wir Sie mit nach Portugal, wo Jorge Brito, Exekutivsekretär der Region Coimbra, auf die Maßnahmen eingeht, die ergriffen wurden, um den 2017 von verheerenden Bränden zerstörten Wald wiederaufzuforsten und den Schutz der Bevölkerung zu gewährleisten. Pierre Hermans, Förster und Gründer des privaten Beratungsunternehmens Sylva Nova, erklärt, wie er die globale Erwärmung in die Lösungen einbezieht, die er seinen Kunden in ganz Europa vorschlägt. Schließlich berichtet Jérémie Crespin, Referent in der Generaldirektion Landwirtschaft und ländliche Entwicklung der Europäischen Kommission und Spezialist für Wälder und Waldbrände, über den Zustand der europäischen Wälder und ihren Platz in der Gemeinsamen Agrarpolitik.
L'Union européenne est l'un des plus grands producteurs mondiaux de céréales. Mais depuis trois ans, le secteur est pris en étau entre des prix planchers sur des marchés internationaux volatils et la hausse des coûts de production. Sans parler de l’impact des aléas climatiques sur les rendements. Comment vont les céréaliers aujourd’hui ? Quelles sont les perspectives pour les céréales européennes ? Le 62ème épisode de Nourrir l’Europe tente de répondre à ces questions. Eric Thiroin, céréalier français et président de l’Association générale des producteurs de blé, nous rapporte la dégradation de la compétitivité et du moral de la profession dans l’Union européenne depuis le début de la guerre en Ukraine. Guillaume Jacquemin, sélectionneur céréales au Centre de recherche agronomique de Wallonie, nous explique comment se créent, dans l’UE, les nouvelles variétés de céréales résistantes aux évolutions du climat. Et Philippe Mitko, responsable des relations extérieures de Soufflet Négoce by InVivo, décrypte ce qui détermine les prix des céréales sur les marchés internationaux et l’exposition des producteurs européens aux effets de change. Enfin, Justyna Wrobel, qui dirige l’équipe en charge des céréales, des oléagineux, des légumineuses et du riz dans l’unité cultures arables de la Direction générale de l’agriculture et du développement rural de la Commission européenne, revient sur la nature du soutien apporté par la Politique agricole commune aux céréaliers européens dans cette période difficile et sur les pistes envisagées pour renforcer la compétitivité du secteur.
The European Union is one of the world's largest producers of cereals. But for the past three years, the sector has been caught between low prices on volatile international markets and rising production costs, not to mention the impact of climate change on yields. How are cereal farmers doing today? What is the outlook for European cereals? The 62nd episode of Food for Europe attempts to answer these questions. Eric Thirouin, a French cereal farmer and president of the General Association of Wheat Producers, reports on the deterioration in the competitiveness and morale of the profession in the European Union since the start of the war in Ukraine. Guillaume Jacquemin, cereal breeder at the Agricultural Research Centre of Wallonia, explains how new varieties of cereals that are resistant to climate change are being created. And Philippe Mitko, head of external relations at Soufflet Négoce by InVivo, tells us about the factors that determine the prices of cereals on international markets and the exposure of European producers to exchange-rate fluctuations. Finally, Justyna Wrobel, who heads the cereals, oilseeds, pulses and rice team in the Arable Crops Unit of the European Commission's Directorate-General for Agriculture and Rural Development, discusses the nature of the support provided by the Common Agricultural Policy to European cereal producers in this difficult period, and the ways in which the sector's competitiveness can be strengthened.
Die Europäische Union ist einer der weltweit größten Getreideproduzenten. Seit drei Jahren jedoch befindet sich der Sektor in einer Zwickmühle zwischen Tiefstpreisen auf volatilen internationalen Märkten und steigenden Produktionskosten. Ganz zu schweigen von den Auswirkungen der Klimakatastrophe auf die Erträge. Wie geht es den Getreidebauern heute? Wie sehen die Aussichten für europäisches Getreide aus? Antworten auf diese Fragen gibt es in dieser 62. Folge von 'Nahrung für Europa'. Eric Thiroin, französischer Getreidebauer und Vorsitzender der Association générale des producteurs de blé (Allgemeiner Verband der Weizenproduzenten), berichtet über die Verschlechterung der Wettbewerbsfähigkeit und der Stimmung in der Branche in der Europäischen Union seit Beginn des Krieges in der Ukraine. Guillaume Jacquemin, Getreidezüchter am Wallonischen Agarforschungszentrum, erklärt, wie in der EU neue Getreidesorten gezüchtet werden, die gegen Klimaveränderungen resistent sind. Und Philippe Mitko, Leiter der Abteilung für Außenbeziehungen bei der französischen Getreidehandelsgrupp Soufflet Négoce by InVivo, analysiert, was genau die Getreidepreise auf den internationalen Märkten bestimmt und inwiefern die europäischen Erzeuger den Wechselkursschwankungen ausgesetzt sind. Schließlich berichtet Justyna Wrobel, Leiterin des Teams für Getreide, Ölsaaten, Hülsenfrüchte und Reis in der Abteilung Ackerkulturen der Generaldirektion Landwirtschaft und ländliche Entwicklung der Europäischen Kommission, über die Art der Unterstützung, die die Gemeinsame Agrarpolitik den europäischen Getreidebauern in dieser schwierigen Zeit gewährt, und über die geplanten Maßnahmen zur Stärkung der Wettbewerbsfähigkeit des Sektors.
Die 61. Folge von 'Nahrung für Europa' befasst sich mit der INLB/FSDN-Konferenz, die im Oktober alle Akteure des Informationsnetzes landwirtschaftlicher Buchführungen (INLB) in Brüssel zusammengebracht hat. Es war eine Gelegenheit, das 60-jährige Bestehen des Netzwerks zu feiern, aber auch einen Blick in die Zukunft zu werfen, da sich das INLB zum Informationsnetzwerk zur wirtschaftlichen Nachhaltigkeit landwirtschaftlicher Betriebe (FSDN) weiterentwickelt. Die Buchhaltungsdatenbank spielte nicht nur eine entscheidende Rolle bei der Bewertung der Auswirkungen der Agrarpolitik und deren Anpassung, sondern ermöglichte den Landwirten auch einen Überblick über ihre Betriebsführung. Im Bereich der Wissenschaft gibt es unzählige Forschungsarbeiten, die durch die im Netzwerk in allen Mitgliedstaaten erhobenen Daten ermöglicht wurden. Durch die Einbeziehung von Umwelt- und Sozialdaten spiegelt das FSDN die jüngsten Entwicklungen der Gemeinsamen Agrarpolitik sehr genau wider. Es werden nur Landwirte befragt, die sich freiwillig dazu bereit erklären. Um den Mehrwert von INLB und FSDN besser zu verstehen, hat 'Nahrung für Europa' auf der Konferenz Patrizia Engelhart-Getzinger, eine junge österreichische Landwirtin, die das Netzwerk seit Jahren mit Daten versorgt, interviewt. Katre Kirt, Leiterin der Abteilung INLB/FSDN am Estnischen Zentrum für ländliche Forschung und Wissen, berichtet über die Herausforderungen, denen sich die Datenerfasser in ihrem Land gegenübersehen. Alessandra Kirsch, Agraringenieurin und Doktorin der Agrarökonomie und -politik in Frankreich, erklärt, wie das INLB ihre Forschungsarbeit beeinflusst hat, die auch heute noch für die Europäische Kommission von Nutzen ist. Und Bence Tóth, stellvertretender Leiter der Abteilung 'Analyse und Perspektiven' der Generaldirektion Landwirtschaft und ländliche Entwicklung der Europäischen Kommission, erläutert den Zeitplan für den Übergang vom INLB zum FSDN.
The 61st episode of Food for Europe looks back at the conference held on 17 October 2025 in Brussels that brought together all the players in the Farm Accountancy Data Network, FADN. It was an opportunity to celebrate the 60th anniversary of the network but also to look to the future with the evolution of the FADN into Farm Sustainability Data Network (FSDN). While the accounting database has played a key role in assessing the impact of agricultural policies and adjusting them, it has also provided farmers with a better understanding of the management of these policies. As for the academic world, there are countless research works made possible by this field data that is made available across all Member States. By integrating environmental and social data, the FSDN aims to reflect the impact of recent developments in the Common Agricultural Policy and shape its evolution in the future. Only farmers who volunteer will be involved. To fully understand the added value of FADN and FSDN, Food for Europe spoke on the fringes of the conference to Patrizia Engelhart-Getzinger, a young Austrian farmer who has been feeding the network with data for years. Katre Kirt, who heads the FADN/FSDN unit at the Estonian Centre for Rural Research and Knowledge, talks about the challenges faced by data collectors in her country. Alessandra Kirsch, an agricultural engineer with a PhD in agricultural economics and policy in France, explains how the FADN has fuelled her research, which is still useful to the European Commission today. Finally, Bence Tóth, deputy head of unit for analysis and outlook of the European Commission's Directorate-General for Agriculture and Rural Development, explains the timeline for the implementation of FSDN and expands on issues raised by the other podcast guests.
Le 61ème épisode de Nourrir l’Europe revient sur la conférence du 17 octobre qui a réuni à Bruxelles tous les acteurs du Réseau d’information comptable agricole, le RICA. L’occasion de fêter les 60 ans du réseau mais aussi de se tourner vers l’avenir avec l’évolution du RICA en Réseau d’information sur la durabilité économique des exploitations agricoles ou RIDEA. Si la base de données comptables a joué un rôle capital pour évaluer l’impact des politiques agricoles et les ajuster, elle a aussi permis aux agriculteurs d’avoir une vue d’ensemble de leur gestion. Quant au monde académique, on ne compte plus les travaux de recherche rendus possibles par ces données de terrain communes à tous les États-membres. En intégrant des données environnementales et sociales, le RIDEA veut refléter l’évolution récente de la Politique agricole commune. Seuls les agriculteurs qui se porteront volontaires seront sollicités. Pour bien comprendre la valeur ajoutée du RICA et du RIDEA, Nourrir l’Europe a tendu son micro, dans les allées de la conférence, à Patrizia Engelhart-Getzinger, une jeune agricultrice autrichienne qui alimente le réseau en données depuis des années. Katre Kirt, qui dirige l’unité RICA/RIDEA au Centre estonien de recherche et de connaissances rurales, nous parle des défis rencontrés par les collecteurs de données dans son pays. Alessandra Kirsch, ingénieure agronome et docteure en économie et politique agricole en France, nous explique comment le RICA a alimenté ses travaux de recherche, encore utiles aujourd’hui à la Commission européenne. Enfin, Bence Tóth, chef adjoint de l’unité Analyse et Perspectives de la direction générale de l’agriculture et du développement rural de la Commission européenne explique le calendrier de mise en place du RIDEA et répond aux questions soulevées par les autres invités du podcast.
Das Durchschnittsalter der Landwirte in der Europäischen Union liegt bei fast 60 Jahren. Der Generationswechsel – also dafür zu sorgen, dass jüngere Landwirte den Beruf ergreifen, um die Kontinuität zu gewährleisten – gehört daher zu den dringendsten Prioritäten der Gemeinsamen Agrarpolitik. Es geht nicht nur darum, die Lebensmittelproduktion aufrechtzuerhalten, so wichtig dies auch ist. Es geht auch darum, die einzigartigen Landschaften Europas zu pflegen und sein ländliches Erbe zu bewahren. Die Landwirtschaft ist eng mit der Geschichte, Kultur und Gesellschaft Europas verflochten, und jedes Mal, wenn ein Landwirt aufhört, verlieren wir ein Stück unserer Identität als Europäer. Für Folge 60 von 'Nahrung für Europa' sind wir nach Irland gereist, um mehr über die Herausforderungen und Chancen des Generationswechsels in einem Land zu erfahren, dessen Wirtschaft von qualitativ hochwertigen Lebensmitteln für den Export abhängt. Wir treffen den irischen Junglandwirt des Jahres 2024, Chris Cahill, der eine Partnerschaft mit einem älteren Landwirt, Tony McCormack, eingegangen ist. Da Tony keine Nachfolgemöglichkeiten hatte, entschied er sich für eine Partnerschaft, die gut funktioniert: Tony stellt das Land und seine Erfahrung zur Verfügung, während Chris technische Kompetenz und Innovationskraft in den expandierenden Betrieb einbringt. Wir sprechen auch mit Patrick Brady vom Land Mobility Service über dessen Arbeit zur Förderung des Generationswechsels durch für beide Seiten vorteilhafte Vereinbarungen, die sicherstellen, dass junge Landwirte über die Ressourcen verfügen, die sie benötigen, um voranzukommen. Und wir treffen Ruth Fennell, Beraterin bei Teagasc, einem landwirtschaftlichen Beratungsdienst, der Lösungen anbietet, zur Unterstützung junger Landwirte und ihres Traums, ihren Lebensunterhalt mit der Landwirtschaft zu verdienen.
The average age of a farmer in the European Union is almost 60. The task of generational renewal – ensuring younger farmers take up the profession to ensure continuity – is therefore among the most urgent priorities of the Common Agricultural Policy. It’s not only a question of maintaining food production, important though that is. It’s also about caring for Europe’s unique landscapes and nurturing its rural heritage. Farming is deeply intertwined with Europe’s history, culture and society, and every time a farmer leaves the land, we lose a piece of our identity as Europeans. For episode 60 of Food for Europe, we have travelled to Ireland to discover more about the challenges and opportunities of generational renewal in a country whose economy depends on high-value, high-quality food products for export. We meet Irish Young Farmer of the Year 2024, Chris Cahill, who has entered into a farm partnership with an older farmer, Tony McCormack. Tony’s lack of succession options led him to consider a partnership arrangement, and it’s working well – with Tony providing the land and experience, and Chris bringing technical excellence and innovation to the farm’s expanding operations. We also talk to Patrick Brady from the Land Mobility Service and its work to promote generational renewal through mutually beneficial arrangements that ensure young farmers have the resources they need to move forward. And we meet Ruth Fennell, an adviser with Teagasc, a farm advisory service that is driving new initiatives that deliver solutions to support young farmers and their dreams of making a living from the land.
A l’occasion du lancement, par la Commission européenne, d’une nouvelle stratégie pour susciter des vocations dans l’agriculture, Nourrir l’Europe consacre son 60ème épisode à la question du renouvellement générationnel dans le secteur. Il y a urgence : alors que l’âge moyen des agriculteurs est de 57 ans dans l’UE, la relève n’est, à ce jour, pas assurée. Au cœur du problème pour les jeunes : l’accès au foncier et aux financements. Trouver des solutions est fondamental pour notre sécurité alimentaire et la préservation de nos campagnes. Nous vous emmenons en Irlande à découverte du Service de mobilité foncière (Land Mobility Service), qui met en relation des jeunes sans terre et des agriculteurs plus âgés qui souhaitent lever le pied, afin de les faire travailler ensemble. Chris Cahill, jeune agriculteur élu jeune éleveur de l’année en 2024, et Tony McCormack, propriétaire exploitant, nous parlent de leur partenariat réussi dans l’élevage laitier. Patrick Brady, leur conseiller du Land Mobility Service, nous explique les tenants et les aboutissants de sa mission. Ruth Fennell, conseillère spécialisée dans l’agriculture collaborative à l’Autorité irlandaise de développement de l’agriculture et de l’alimentation, Teagasc, nous expose le contexte irlandais et les autres pistes explorées pour faciliter l’installation des jeunes. Enfin, Sandra Sanmartin, chargée de mission au sein de l'unité « durabilité sociale » de la Direction générale de l’agriculture et du développement rural de la Commission européenne, évoque les grandes lignes de la nouvelle stratégie visant à rendre les professions agricoles plus attrayantes.
C'est un sujet récurrent dans Nourrir l‘Europe : le mécontentement des agriculteurs face à la charge administrative. Au cœur du malaise : les longues heures consacrées à remplir des formulaires perçus parfois comme incompréhensibles, qui conditionnent l’obtention des subventions européennes. Or ces aides sont devenues indispensables à la survie des exploitations dans un contexte où les prix des denrées agricoles ne couvrent pas toujours les coûts de production. Le 59e épisode du podcast s‘intéresse aux solutions proposées par la Commission européenne pour faciliter la vie des agriculteurs. Ces solutions se présentent sous la forme d’un important train de mesures dit paquet de simplification, qui doit encore être approuvé par les autres institutions européennes. Pour nous expliquer le contexte et le contenu du paquet de simplification, nous avons tendu notre micro à Carl Ljungqvist, un jeune éleveur suédois, aux conseillers agricoles Lovisa Filipsson en Suède et John Greaney en Irlande et à Bence Mayor, chef adjoint de l'unité « Durabilité économique » à la Direction générale de l’Agriculture et du développement rural de la Commission européenne.
Regular listeners will be familiar with the frustrations that European farmers face, trying to comply with the rules and regulations of the Common Agricultural Policy. In Episode 59 of "Food for Europe," we discuss the plans underway to simplify those rules and regulations and help farmers get their subsidy payments earlier. At this stage, however, the plan is still a work in progress. For the package to take effect, it must first be approved by other EU institutions – such as the European Parliament and the Council. Our guests this time are Bence Major, Deputy Head of Unit for Economic Sustainability at the Commission's Directorate General for Agriculture and Rural Development; John Greaney, Project Advisor, Teagasc, Ireland; Carl Ljungqvist, farmer, Jönköping, Sweden and Lovisa Filipsson, Agricultural Advisor, Jönköping, Sweden.
Es kommt bei 'Nahrung für Europa' immer wieder zur Sprache: die Unzufriedenheit der Landwirte mit dem Verwaltungsaufwand: die Stunden, die sie damit verbringen, Formulare auszufüllen und Subventionen zu beantragen – ohne die sie angesichts der niedrigen Preise für landwirtschaftliche Erzeugnisse nicht überleben könnten –, die Unsicherheit hinsichtlich der Zahlungen und auch die aus ihrer Sicht oft unverständlichen Vorschriften… In dieser 59. Folge des Podcasts geht es um die Antwort der Europäischen Kommission auf diese Unzufriedenheit: das Vereinfachungspaket, das darauf abzielt, die Arbeit der Landwirte zu erleichtern. Das Paket liegt auf dem Tisch, derzeit handelt es sich um einen Vorschlag der Kommission, der noch von den anderen europäischen Institutionen genehmigt werden muss. Um uns die Hintergründe und den Inhalt des Vereinfachungspakets zu erklären, haben wir mit Bence Mayor von der DG Agri gesprochen, mit dem jungen Landwirt Carl Ljungqvist, aus Jönköping in Südschweden, sowie mit den Landwirtschaftsberatern Lovisa Filipsson (Jönköping) und John Greaney (Dublin, Irland).
Rejoignez-nous dans Nourrir l’Europe pour découvrir les lauréats des EU Organic Awards 2025 – les Prix européens du bio. Les Prix européens du bio récompensent l'excellence dans les domaines de l'agriculture biologique, de la production alimentaire et du développement durable à travers l'Europe. Ils mettent à l'honneur les personnes, les entreprises et les initiatives qui repoussent les limites de l'innovation biologique, promeuvent des pratiques respectueuses de l'environnement et soutiennent la biodiversité. En récompensant l'excellence dans le secteur biologique, ces prix contribuent à sensibiliser le public à l'importance de l'agriculture bio pour la santé, l'environnement et la viabilité des communautés locales dans les zones rurales européennes. Chaque année, les prix attirent un large éventail de candidats, allant des petits agriculteurs aux grands producteurs, en passant par les chercheurs et les entrepreneurs. Ce qui les unit tous, c'est leur engagement à produire des aliments sans pesticides ni engrais synthétiques, dans le respect du bien-être animal et en faveur de pratiques agricoles durables. Remporter un prix européen de l'agriculture biologique peut ouvrir les portes de nouveaux marchés et partenariats. Plus important encore, cela incite d'autres acteurs du secteur à adopter des méthodes plus durables et à réfléchir de manière créative à la manière de répondre à la demande croissante de produits bio. Alors que le mouvement biologique continue de se développer à travers l'Europe, les Prix européens du bio constituent une plateforme puissante pour célébrer et encourager un système alimentaire plus vert et plus durable.
Join Food for Europe as we meet the winners of the 2025 EU Organic Awards. The EU Organic Awards celebrate the very best in organic farming, food production and sustainability across Europe. They shine a spotlight on individuals, businesses and initiatives that are pushing the boundaries of organic innovation, promoting environmentally friendly practices and supporting biodiversity. By recognizing excellence in the organic sector, the awards help raise awareness about the importance of organic farming for health, the environment and the viability of local communities in Europe’s countryside. Each year, the awards attract a diverse range of nominees—from small-scale farmers to large producers, researchers, and entrepreneurs. What ties them all together is a commitment to producing food that is free from synthetic pesticides and fertilizers, that respects animal welfare and that supports sustainable agricultural practices. Winning an EU Organic Award is a mark of prestige that can open doors to new markets and partnerships. More importantly, it inspires others in the sector to adopt more sustainable methods and to think creatively about how to meet the growing demand for organic products. As the organic movement continues to grow across Europe, the EU Organic Awards serve as a powerful platform to celebrate and encourage a greener and more sustainable food system.
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