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Author: Grand Palais

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GrandPalaisRmn est un établissement culturel public, placé sous la tutelle du ministère de la Culture et de la Communication.

GrandPalaisRmn est le premier opérateur culturel européen. L’établissement détient un ensemble de savoir-faire unique dans le domaine artistique et culturel : organisation d’expositions, accueil des publics, médiation culturelle et numérique, édition de livres, gestion de boutiques de musées, ateliers d’art,
agence photographique, acquisitions d’œuvres d’art pour les collections nationales, accueil de grands salons et d’événements…
Notre institution n’a qu’une ambition, permettre la rencontre du plus grand nombre avec l’art – l’art de toutes les cultures, de toutes les époques, et sous toutes ses formes : beaux-arts, création contemporaine, photographie, mode, danse, musique…
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Épisode 8 : Rodrigue

Épisode 8 : Rodrigue

2024-04-1807:19

Épisode 8 : Rodrigue by Grand Palais
Épisode 7 : Trois couleurs by Grand Palais
Une discussion avec Susana Gàllego Cuesta, directrice du musée des Beaux-arts de Nancy et Laure Pressac, directrice de l'ingénierie culturelle chez Beaux Arts & Cie et commissaire de la saison Sur les murs dédiée au graffiti historique par le Centre des monuments nationaux, modérée par Cécile Cloutour, coordinatrice générale de la Fédération de l'Art Urbain. À travers le graffiti, le street art ou le néo-muralisme, l’art urbain regroupe des formes artistiques qui s’exposent dans l’espace public depuis une soixantaine d’année. Aux origines illégales, ces œuvres protéiformes sont généralement éphémères mais s’invitent parfois dans des lieux d’exposition, signe de leur possible institutionnalisation. Elles côtoient aussi d’autres écritures et traces de rue, témoins du temps passé qui nourrissent l’imaginaire et façonnent la mémoire collective. Dès lors, quelles sont les valeurs patrimoniales de l’art urbain ? Comment aborder ces cultures et ces œuvres parfois virales, anonymes ou mal comprises ? Quels pourraient être les rôles des institutions culturelles et des artistes dans cette transmission ?
Kashink a une moustache dessinée sur les lèvres et elle peint à la bombe sur les murs du monde entier. Artiste engagée, elle a choisi l’univers de la rue, une forme d’art public, pour toucher le plus grand nombre. Son œuvre colorée, généreuse et explosive bouscule les codes esthétiques et la définition de l’identité. Kashink a participé à l’exposition en peignant une fresque très représentative du travail qu’elle réalise dans le monde entier. Artiste activiste, elle évoque lors de cette rencontre sa vision de l’art et son engagement.
L'exposition revisite l’histoire de l'art urbain et montre l'impact des nouvelles technologies sur le travail des artistes de ce milieu. Des premiers graffeurs new-yorkais aux peintures réalisées ou filmées à l’aide de drones, en passant par les grandes fresques murales des années 2000, le numérique permet de découvrir l’art urbain sous toutes ses facettes. Cette conférence à deux voix présentera le parcours de l’exposition, son propos et les expériences numériques innovantes qui sont proposées aux visiteurs.
Depuis les premiers collages, il n’est plus étonnant de trouver des objets communs en lieu et place de peintures et de sculptures. Il en est de même en littérature, comme on le voit dans Tender Buttons de Gertrude Stein. Cette conférence reviendra sur les représentations du quotidien dans les productions artistiques bien au-delà du simple effet de rupture ou de la manifestation temporaire d’un art qui vouerait un culte au banal par provocation.
Compositeur, poète, peintre, philosophe, John Cage est un artiste multiple. Par ses expérimentations formelles, il cherche à trouver un langage artistique fondé sur le commun de l’expérience du quotidien, du banal. Mais le commun, chez Cage, est aussi la traduction d’un intérêt pour la communauté, celle de penseurs et d’artistes qui participent avec lui à repenser l’expérience démocratique.
Proposée par la Rmn-Grand Palais, la conférence de Brigitte Koyama-Richard, spécialiste de la culture japonaise, dépeint l’extraordinaire popularité de Mucha au Japon. Alphonse Mucha demeure l’un des artistes les plus appréciés au Japon. La beauté, la grâce et la sensualité qui se dégagent de ses portraits féminins fascinent les Japonais qui ne cessent de s’en inspirer depuis plus d’un siècle. Les mangas ne sont pas en reste et offrent de nombreuses couvertures dans le style de ce grand artiste. Lors de cette conférence seront évoquées les œuvres des artistes japonais influencés par Mucha, de la fin du XIXe siècle aux mangas.
Gertrude Stein est l'autrice d'une œuvre extrêmement fournie, explorant tous les genres (romans, poèmes, pièces de théâtre, livrets d'opéras...) pour mieux les remettre en question. Devant ces textes qui peuvent paraître troublants, la critique a parfois parlé de langue ou de poésie "cubiste". Dans cette conférence, on s'interrogera sur le sens et la pertinence de cette analogie en s'appuyant sur la lecture commentée de poèmes choisis. Avec Chloé Thomas, enseignante-chercheuse
Dès 1905, Gertrude Stein et Pablo Picasso, fraîchement arrivés à Paris, nouent une amitié étroite. De ce dialogue artistique entre le peintre et l’écrivain naît le cubisme, ainsi qu’une postérité immense sur la scène américaine du vingtième siècle. Dans cette conférence, les commissaires présentent leur exposition conçue comme une traversée dans les avant-gardes picturales et littéraires. Avec Cécile Debray, conservatrice générale du patrimoine, présidente du Musée national Picasso-Paris et Assia Quesnel, historienne de l’art Jusqu'au 28/01/2024
En guise de présentation de son travail, Daniel Walravens vous propose un parcours pictural, un cheminement à travers la couleur. Il met en perspective cette relation singulière dans laquelle l’influence du peintre-coloriste interagit avec ses créations couleurs pour l’industrie.
Lors de sa présentation au Salon de 1875, Manet a été très critiqué pour sa toile Argenteuil, en particulier pour le bleu de la Seine, jugé beaucoup trop intense. Mais qu'est-ce qu'un bleu « trop » bleu et pourquoi les critiques se sont-ils acharnés sur ce bleu? Répondre à cette question nous entraînera dans une plongée au cœur de la matérialité de la couleur autour des débats de l'époque concernant les pigments industriels et synthétiques. Avec Georges Roque, directeur de recherche honoraire au CNRS
Consacrée à la réception de Monet au XXe siècle, la conférence se focalise sur l’une de ses manifestations les plus singulières : la « chasse » aux motifs impressionnistes. La recherche du site représenté par un tableau se mue, dès l’entre-deux-guerres, en une entreprise collective de mémoire, pour aboutir à la valorisation, tant savante que touristique, du territoire normand. Avec Hadrien Viraben, docteur en histoire de l’art
L’actrice Sarah Bernhardt (1844-1923) eut le génie d’attirer à elle nombre d’artistes qui furent fascinés par sa forte personnalité. Alphonse Mucha fut l’un des plus prolifiques. Pour elle, il imagina de somptueuses affiches de théâtre, des costumes de scène, des bijoux, des portraits et participa à la décoration de son théâtre dans un style nouveau qui marqua l'époque. La conférence évoquera comment les images de « La Divine » créées par Mucha façonnèrent aussi celles d’une Femme qui en fit rêver bien d'autres.
Programmée par la Rmn-Grand Palais, cette conférence de Véronique Vienne explore l’étonnante filiation entre l’Art nouveau et les artistes hippies des sixties. Le premier voyage d’Alphonse Mucha aux Etats Unis date de 1904, mais ce n’est qu’en 1966, soixante ans plus tard, que les américains vont découvrir le « style Mucha ». Ses affiches Art Nouveau vont inspirer toute une génération de musiciens hippies en quête de motifs « psychédéliques » capables d’évoquer les étranges sonorités de leurs guitares électriques. Comment les séduisantes sirènes de Mucha, assises dans l’écrin de leur abondante chevelure, sont-elles devenues le symbole des délires acoustiques des groupes rock californiens? Heureux hasard que la rencontre fortuite qui a présidé au renouveau américain de l’Art Nouveau parisien. De nos jours, on assiste à un véritable engouement pour les itérations de l’œuvre de Mucha par l’intelligence artificielle — étrange phénomène qui est dans le prolongement de l’engouement des hippies pour les affiches psychédéliques. Véronique Vienne a travaillé pendant 40 ans aux Etats-Unis dans le monde de la presse comme directrice artistique, rédactrice/conceptrice, et publiciste pour des médias dans le domaine de la mode et de la culture. Elle est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le design, le graphisme, la direction artistique, et les pratiques de la création. Bilingue, elle écrit des articles en français ou anglais pour des magazines d’art et des catalogues d’exposition, dont Mucha Affichiste, pour le Musée du Luxembourg, à Paris, en 2018. Elle a été finaliste, en 2017, du « Rome Prize » de l’American Academy in Rome, section Design.
Il faut distinguer fratrie et fraternité. Sans être nécessairement frères et sœurs de sang, certains ressentent un sentiment fraternel, d’autres pas. Mais ce sentiment, s’il naît, ne fera le plus souvent que succéder au premier ressenti qui fait vivre l’arrivée d’un frère ou d’une sœur comme l’irruption d’un ou d’une rival(e). L’amour fraternel porte la marque de cette ambivalence, comme en témoigne la relation entre Claude Monet et son frère
Qui était Léon Monet, industriel pionnier de la chimie des couleurs et soutien actif de l’impressionnisme dès la naissance du mouvement ? La commissaire de l’exposition revient sur l’histoire de cet homme, sur ses liens avec son frère et les impressionnistes, ainsi que sur sa collection, qui constitue le cœur de l’exposition. Avec Géraldine Lefebvre, docteure en histoire de l’art et commissaire de l’exposition.
Quel avenir pour Venise? Programmée par la Rmn-Grand Palais, une discussion sur l’avenir de Venise, son histoire, sa situation et les actions mises en place pour sa préservation. Avec Isabelle Autissier, présidente du WWF France, auteur de « Le Naufrage de Venise », aux éditions Stock, Elisabeth Crouzet-Pavan, historienne, professeur à Sorbonne Université, Philippe Rahm, architecte, et Ernesto Ottone Ramirez, sous-directeur général pour la Culture à l’Unesco. Modération : Olivier Tosseri, écrivain et journaliste, correspondant pour la presse française à Rome Isabelle Autissier est la première femme à avoir accompli un tour du monde à la voile en solitaire. Elle est l’auteur de romans, de contes et d’essais. Elle préside la fondation WWF France. Après Soudain, seuls (2015) et Oublier Klara (2019) chez Stock, Le Naufrage de Venise est son cinquième roman. Élisabeth Crouzet-Pavan est professeur d’histoire à Sorbonne Université. Elle est l’auteur de nombreux livres consacrés à l’histoire de l’Italie des derniers siècles du Moyen Âge et de la première Renaissance. Son dernier ouvrage Venise XVe - XXIe a reçu le Prix du Livre d’Histoire de l’Europe 2022. Philippe Rahm est architecte, diplômé de l'École polytechnique fédérale de Lausanne et docteur en architecture de l'université Paris-Saclay. Il dirige le bureau Philippe Rahm architectes à Paris, actif dans les champs de l'architecture, de l'urbanisme et du paysage. Il est l’auteur du Jardin météorologique (B2, 2019), de l’Histoire naturelle de l'architecture : comment le climat, les épidémies et l'énergie ont façonné la ville et les bâtiments (Pavillon de l’Arsenal, 2020) et des Écrits climatiques (B2, 2020). Ernesto Ottone Ramirez est sous-directeur général pour la culture de l'UNESCO. Ernesto Ottone Ramirez a été ministre de la culture, des arts et du patrimoine du Chili de 2015 à 2018. Il a notamment créé un département des premiers peuples, une unité des migrants et a renforcé les lois sur les droits d'auteur et les protections du patrimoine.
Si la Saxe est restée une puissance de second rang au sein du Saint-Empire romain germanique, sa capitale, Dresde, se caractérise dès la Renaissance par sa splendeur architecturale et son rayonnement artistique. C’est plus particulièrement au XVIIIe siècle que deux souverains mécènes métamorphosèrent la cité en « Florence de l’Elbe ». Avec Philippe Poindront, historien de l’art.
De la Venise du XVIe siècle aux compositions de Nono et de Xenakis, les musiciens n’ont cessé d’explorer ce sujet de la spatialisation sonore. Les images de l’exposition « Venise révélée » qui invitent le visiteur à une immersion visuelle spectaculaire, sont accompagnées d’une envoutante composition musicale spatialisée, imaginée par David Chalmin. Immersion sonore, mise en scène spatiale, technologies 3D, la magie opère, ouvre de nouveaux espaces, et intensifie les sensations du visiteur. Autour de David Chalmin, compositeur et auteur de la musique de l’exposition, Franck Madlener, directeur de l’Ircam, et Zad Moultaka, compositeur et plasticien, commenteront cette mise en espace du son et évoqueront leurs plus récentes recherches et mises en œuvre dans ce domaine. Modération Marion Mirande, dramaturge, responsable éditorial à l’Opéra de Paris.
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