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Author: Hey Sisters

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Description

HEY SISTERS est un podcast de conversation avec des femmes qui questionnent la société.

Des femmes qui s’engagent, des femmes qui ont une conviction, une expertise, des femmes qui utilisent leurs savoirs ou l’innovation pour le bien commun.
Chacune à sa manière me raconte le parcours qui l'a menée à s'investir pour la planète et l’humanité, et me livre ses combats, ses conseils, ses doutes et ses victoires, et surtout ses espoirs.

Ensemble, au détour de nos conversations, nous tentons de répondre à cette question : à force d’engagement, pourra t-on vaincre les plus grands défis de notre siècle ?
16 Episodes
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Aujourd’hui je reçois Lexie Lexie est étudiante en histoire de l’Art à l’Ecole du Louvre, mais c’est une aussi une farouche militante de la communauté transgenre. Le sujet que nous allons aborder aujourd’hui est un sujet plus complexe que d’habitude, et je vous demanderai de vous mettre dans une posture de bienveillance et d’ouverture pour écouter ce que Lexie a à nous dire. Lexie est une jeune femmes transgenre et la fondatrice d’un mouvement de pédagogie sur le sujet de la transidentité, notamment au travers de son compte instagram @Aggressivelytrans. Toutes les deux, nous parlons de son parcours personnelle, de la reconnaissance de son identité. Nous apprenons à utiliser les bons mots, quelle la différence entre transidentité et transsexualité. Nous discutons de l’importance de la représentation, notamment dans l’art, la littérature et au travers de l’histoire, de féminisme inclusif, de non-binarité et de tellement d’autres choses. Lexie se raconte avec honnêteté et aborde le sujet de la transidentité avec beaucoup de pédagogie. Je suis certaine que comme moi vous apprendrez énormément de chose. Si l’épisode vous plait, vous pouvez me laisser un gentil message et 5 étoiles sur iTunes ou vos autres site d’écoute préféré. Bonne écoute !
Je suis très heureuse d’ouvrir la deuxième saison de Hey Sisters. Pour marquer l’occasion, quoi de mieux que de parler de nous, les meufs ? Et cette conversation je l’ai eu avec Claire Suco, fondatrice de Meuf Paris. Vous ne connaissez pas encore Meuf Paris ? Aller, mais si : les tee shirt  et sweat shirt « « Sans Hermione, Harry serait mort au tome 1 », « Equality is coming » ou encore « Guerrière » : c’est elle ! Meuf Paris c’est une marque de vêtement engagée. L’objectif de Claire : donner plus de pouvoir aux femmes à travers les habits qu’elles portent, en adoptant un discours que tout le monde peut comprendre. Je ne vais pas tergiverser plus longtemps, et je vais plutôt vous envoyer la conversation tout de suite.  Ensemble, nous avons discuté de ce que c’est une meuf, de cinéma, de comment monter une entreprise, de ses convictions pour sa marque, de la différence entre le Made in France et la production responsable. On s’est demandé si l’habit faisaient le moine, on a discuté des injonctions de la société, de harcèlement de rue et du futur de Meuf Paris.  Bonne écoute !
#14 Hyo Jeong - De Busan à Paris, le voyage solo pour autonomiser les femmes by Hey Sisters
Dans l’épisode du jour, je reçois Julie Réjean. Si certaines de vous sont entrepreneures, vous la connaissez peut-être. Julie est notamment la fondatrice du réseau féminin Co-women qui organise tous les mois des rendez-vous autour de sujets de l’entrepreneuriat, comme par exemple comment monter une stratégie digitale. Julie a récemment donné naissance à son deuxième petit garçon, mais lorsque je l’ai reçue pour enregistrer l’épisode, elle entamait son 9è mois de grossesse, et ce que je peux vous dire, c’est que hormis son ventre, rien ne le laissait penser tant elle était dynamique. Bon, Julie est un peu bavarde aussi, mais elle a un coeur gros comme ça. Avec elle, j’ai voulu survoler le monde de l’entreprise et parler de réseau féminin. Nous avons parlé de son parcours et de son expérience notamment sur les marchés dans sa jeunesse et qui lui ont appris le sens des responsabilités. Nous avons aussi parlé de l’appel de la quête du sens à ses 29 ans et comment elle a envoyé boulé ex-petit ami et boulot bien payé pour se lancer à son compte. On discute donc du sens dans le travail, et du switch, mais on enterre aussi le tabou du licenciement et du chômage. Julie me parle aussi de l’isolement de l’entrepreneure, de la solidarité entre femme dans l’entrepreneuriat et de pourquoi elle en est venu à créer un réseau de femmes. Cet épisode s’écoute comme est Julie : le coeur léger et le sourire aux lèvres. Bonne écoute !
Léonore est la dirigeante de Voxe.org, une plateforme non partisane qui donne aux 18-35 ans les outils pour décrypter et agir sur la vie politique. Sa promesse : vous faire aimer les élections.  Le 26 mai 2019 vont avoir lieu les élections européennes et c’est pour comprendre les enjeux de ces élections, et de manière plus générale comprendre la crise de la démocratie et le rôle des jeunes générations, que j’ai invitée Léonore à mon micro.  Parce que soyons honnête, qui comprend tout à la politique, politique européenne, écologique, budgétaire, les programmes de nos représentants ? Pas grand monde. Et quand on sait qu’en 2014, 73% des électeurs de moins de 35 ans n'avaient pas voté aux élections européennes, on comprend qu’une initiative comme celle de Léonore est primordiale.  C’est un épisode vraiment passionnant et je vous invite à l’écouter même en dehors d’échéance politique parce que Léonore nous permet de comprendre ce qui fait la base même de notre vie en société, et tout ça avec simplicité et pédagogie.  Au cours de notre conversation, Léonore me raconte comment elle en est venue à s’intéressée à ce sujet, de son expérience à l’ONU à NY - petit spoiler, il y a une histoire assez cocasse de chaise.  On parle de la jeunesse, de digital, de Black Miror et de chatbot, avec une petit démystification. On parle aussi bien sur des élections européennes, de la politique de manière générale, de comment faire le tri, de ce qu’est à ses yeux la vraie démocratie et des progrès que l’on a encore à faire, oui même en France, pour l’atteindre.
Marita est une artiste. La première fois que j’ai été en contact avec elle, cela c’est fait au travers de l’un de ses dessins. Elle est la fondatrice d’un compte Instagram qui s’appelle Women & Flowers. Elle y diffuse ses illustrations de moments de la vie courante, mais aussi et surtout de personnes qui croisent sa route et qu’elle ne veut pas oublier. Vous pourriez rouvrir vos manuels de philosophies de lycée, et vous replonger dans les fameuses questions sur le beau, l’utilité de l’art, etc. Mais cet épisode est bien plus sympa et agréable à suivre qu’un cours. La question de la portée politique de l’oeuvre artistique est une question qui ne cesse de se poser. Peut-on concilier dans une oeuvre à la fois un aspect esthétique et politique ? A qui appartient l’art à l’heure d’Instagram et du repost en masse ? Vous verrez que Marita a une réponse assez surprenant sur ce point. Elle me raconte comment elle est en venue à l’illustration - petit spoiler, ça s’est fait par hasard, car Marita était dans les lettres avant d’être dans le dessin - et comment elle en est arrivée à partager ses créations sur le web. On parle aussi d’où vient l’inspiration, du métier de publiciste - avec des référence à Mad Men évidemment - parce que Marita est ce qu’on appelle une slasheuse, c’est à dire une personne qui mène plusieurs activités en parallèle. On se pose la question de savoir si son art est une forme d’engagement et on parle des discussions qu’elle suscite par ses dessins. On aborde aussi la question de l’appropriation culturelle et on parle de l’acte militant qu’elle a mené en abandonnant le lissage de ses cheveux crépus et des réactions que cela a suscité dans son entourage. J’ai pu lire un jour quelque part qu’il y avait plus important dans la vie que les cheveux mais que c’était un bon endroit pour commencer la révolution, et c’est ça l’engagement que mène Marita. Un engagement quotidien et une révolution discrète mais concrète. Marita est jeune, c’est à ce jour la plus jeune de mes invitées, mais elle fait preuve d’un regard critique sur la société n’a d’égal que son enthousiasme. Bonne écoute.
C'est un épisode un peu particulier parce qu’aujourd’hui je ne reçois pas une mais deux femmes incroyables, Lonia et Sacha Posternak. Lonia et Sacha sont entrepreneures et soeurs. Ensemble elles ont fondé l’important et l’importante, deux sites de curation des actualités qui sont… et bien vraiment importantes. Alors que les buzz sans intérêt se multiplient, que les algorithmes sélectionnent les actualités selon le taux de clics et que l’information afflue de toute part, l’Important et l’Importante sélectionne chaque jour l’information qui a du sens Lonia et Sacha revendiquent une approche humaine et participative. L’Important, présent sur twitter, nous parle de sujets généraux tandis que L’Importante, elle, est une communauté présente sur Instagram qui relaye les actualités liées à la conditions des femmes à travers le monde. J’ai reçu Lonia et Sacha une semaine après la journée internationale des droits des femmes et ça avait été une période très dense en terme d’actualité liées aux femmes, mais ce sujet est un sujet de tous les jours, et pas seulement du 8 mars. Au cours de notre conversation, elles me racontent les avantages de créer une entreprise en famille, entre soeur, de leur switch vers l’entrepreneuriat, on parle aussi bien sûr de la condition des femmes, de l’importance de relayer et de s’engager à tous les niveaux, ainsi que de ces nouvelles générations qui ont à coeur de défendre l’égalité. Vous verrez qu’elles sont très complémentaires et j’espère que vous aurez autant que moi envie de suivre ce qu’elles font et de vous engager comme elles pour ce qui est vraiment important. Bonne écoute !
Quand Mariam entre chez vous, c’est un peu cliché mais c’est tellement vrai, c’est un rayon de soleil qui rentre avec elle. En l’espace de 2 seconde, vous êtes conquis•e•s par son sourire et son rire tonitruant et tellement chaleureux - vous aurez l’occasion de l’entendre plusieurs fois au cours de l’épisode. Mariam est la Directrice pédagogique de Thot, l’école diplomante de langue française pour les réfugiés et les personnes en exil. Mariam a un parcours marqué par le volontarisme et un peu d’aide du hasard qu’elle a su saisir, et qui l’a conduite à Chicago avant de la ramener à Paris. Elle me raconte son histoire, l’importance de saisir chaque opportunité et de faire des sacrifices, son amour pour l’enseignement. Elle me parle aussi bien sûr de son travail pédagogique avec les réfugiés, des rencontres magiques qu’elle a pu faire grâce à cela et de l'accompagnement des réfugiés en France. J’espère qu’à la fin de l’épisode elle vous aura communiqué comme à moi autant sa bonne humeur que l’envie d’aller à la rencontre de l’inconnu. Bonne écoute !
Dans cet épisode je reçois Mathilde. Mathilde est créatrice de contenus, journaliste, auteure. Mais avant Mathilde est une amoureuse. Amoureuse des voyages, du Cameroun où elle a un peu vécu, amoureuse de l’amour lui-même et de l’ambition. Je vous dis ça, parce qu’elle est la fondatrice Des Ambitieuses, un beau projet éditorial à 360 degrés regroupant vidéos, articles, et autres formats. Son but est d'inscrire toutes les ambitions féminines, en partant à la rencontre des femmes dans la ville, espace miroir de notre société. Mathilde porte, elle, l'ambition de sortir de l'impératif de rapidité des médias actuels pour recréer un lien privilégié avec le lecteur.  Mathilde me parle du livre qui a marqué son adolescence, du rapport de la campagne à la ville, de son expérience au Cameroun, de sexisme dans les médias, de l’ambition féminine, de Burning Man, de faire face aux refus ou encore du pouvoir de l’amour.
La pollution numérique est un nouveau fléaux encore peu connu du grand public, est pourtant son impact écologique est phénoménal. Heureusement, des chercheurs se penchent déjà sur la questions. Parmi eux, Sophie, chercheuse en physique des matériaux, se consacre à la réduction énergétique de ce qu’on nomme les supra-supercalculateurs, des ordinateurs puissance 10 000 qui font tourner les monde, de Google à l’armée. Sophie est dynamique et particulièrement brillante. Ensemble on parle de créer son propre destin, du sexisme dans le domaine de la science mais également des biais culturels, de pollution numérique, de recyclage des déchets électronique ou encore d’écologie.
Si vous êtes entrepreneure vous même ou fréquentez des entrepreneurs dans votre entourage et avez l’habitude de parler de startup, alors ce nom ne vous sera certainement pas inconnu. Anaïs est la directrice de publication de Maddyness, le média référence startups et entrepreneuriat en France. Au cours de la conversation Anaïs me parle de son entrée dans l’univers des médias par la petite porte, de la start-up nation et de la responsabilité des journalistes, de l’intérêt des startups aujourd’hui, de comment concilier rentrée d’argent et impact positif, de comment un média peut trouver son business modele. On parle également de féminisme et de me too, mouvement auquel Anaïs a participé activement, et de bien d’autres choses encore.
Dans ce 5è épisode, je reçois Caroline Rossi-Gendron, chercheuse. En bonne littéraire que je suis, prononcez les mots nanotechnologie, protium ou supra-molécule, et je vous répondrai : “Plait-il ?” Ces trois mots font partie du domaine de la chimie, domaine que je ne connaissais pas ou peu avant de rencontrer Caroline qui, vous vous en douterez, est donc scientifique, chimiste pour être un peu plus précise - et passionnée par son domaine de recherche.
Dans cet épisode, je reçois Nayla Fahed, fondatrice de la Lebanese Alternative School. Nayla est libanaise, je la rencontre à l’occasion du Techfugees Global Summit qui a eu lieu en octobre à Station F. Pour ceux et celles qui ne connaissent pas, Techfugees est un réseau international d’initiavites, de recherches et de technologies qui oeuvrent à trouver des solutions pour et avec les réfugiés. Nayla fait partie des solution maker invités à Paris pour le sommet de 2018 et pour partager ses solutions, ses problématiques et ses convictions. Son ONG libanaise, la Libanese Alternative Learning, a pour vocation d’amener l’éducation vers les enfants qui en ont été écartés au Liban, notamment dans les camps de réfugiés. Au cours de notre conversation, Nayla nous parle de sa participation à Techfugees et de la situation des réfugiés au Liban (0’44), du numérique comme pont pour faire revenir les enfants vers l’éducation (2’11), de l’importance d’aller sur le terrain quand on monte un projet (3’37), de son parcours, de la littérature à l’hôpital puis aux camps de réfugiés (4’00), de la Lebanese Alternative Learning et des ses méthodologies (8’00), de l’accès au numérique sur les terrain humanitaire et de la solution technologique qu’elle a trouvé (13’30), de la difficulté d’allié ONG ou projet à impact social avec budget, financement et business modèle (17’44), de la nécessité d’adaptation culturelle et linguistique et de la demande des réfugiés d’apprendre des langues étrangères (20’00), du monde de l’humanitaire pas si rose, entre corruption et jalousie (25’53), de la problématique des réfugiés et de l’espoir apporté par la tech (29’30), du besoin de structuration du monde des initiatives de solutions (31’21), ainsi que le rapport de la population locale avec les réfugiés et de la peur de l’autre (35’25).
Dans cet épisode, je reçois Cyrielle Hariel. Cyrielle est journaliste positive, et elle est surtout l’une des femmes les plus engagées que je connaisse. Au cours de notre conversation, Cyrielle me parle de ce que c’est que d’être journaliste pour elle et ce qu’elle aime dans son métier (03’00), de comment elle fait face à la fatigue (06’04), de l’importance du droit et l’accès à l’information (07’17), de son histoire et la naissance de sa mission (09:00), des fameux change makers (15’02), de la rencontre qui l’a le plus marquée (17:00), de la notion d’interdépendance (19’54) - au passage, un petit hommage à Elise Lucet (29’00) - de la compatibilité de l’argent des grands groupes avec la poursuite de solutions durables (26’45), de la nécessité de se déculpabiliser tout en faisant des petits gestes qui ont du sens (30’22), du dérèglement climatique et ses terrible répercutions sur l’ensemble de la planète (36’21), de la foi (39’10), ainsi que de son expérience en Amazonie et les richesses que nous procure la nature (41’51).
Dans ce second épisode de Hey Sisters, j’ai le plaisir de recevoir Marjorie Paillon à mon micro. Au cours de notre conversation, Marjorie et moi discutons des buzzword de l’écosystème startup et la réalité de la Startup Nation (3’10), de Tech for Good et des impacts concrets des datas (9’25), de l’âge de raison du numérique et l’importance de le mettre au service du bien commun (12’20), de son parcours de journaliste de Washington à Paris en passant par la Silicon Valley (16’55), de la crise des fake news (20’00), de la conciliation de l’intérêt commun avec la recherche de profit (26’30), des fondements d’internet, entre liberté, régulation et démocratie (31’00) ainsi que d’être une femme dans le numérique ou la science et les biais genrés dans la tech (38’30).
Dans ce premier épisode de Hey Sisters, je reçois Laura Brown, entrepreneure et fondatrice de Phoenix Brain Rising. Au cours de notre conversation, Laura et moi parlons un peu de son parcours, de son histoire, au travers de son enfance et de ses études, dans lesquels elle puise son engagement (2'27), du pouvoir de la communication (8'29), de ses débuts “culottés” dans l’univers de la mode (19'19), de l’impact du digital et de la vitesse sur la relation entre les industries de la mode et la “vraie vie” (31'30), de sa définition de l’innovation et de l’alliance entre esthétisme et rse (37'35), de la nouvelle vague de solutions alternatives et de la problématique de la gestion des déchets (46'40), de son aventure entrepreneuriale Phoenix (56'00) et des plus grands défis de l’industrie de la mode, avec un petit appel au président français (1'02'00).
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