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Histoire Vivante ‐ RTS Première
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Histoire Vivante ‐ RTS Première

Author: RTS - Radio Télévision Suisse

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"Histoire Vivante", une émission quotidienne avec des historiennes, des historiens et des archives pour comprendre comment l'histoire agit dans notre présent. Une émission d'Anaïs Kien. Fichiers disponibles durant 30 jours après diffusion. - Pour un usage privé exclusivement.
1666 Episodes
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Un gouvernement militaire américain s’est installé au Japon après sa défaite en 1945. Pour transformer cette société nippone, ses institutions politiques et économiques sont prises en main et une nouvelle constitution est rédigée avec d’avantage d’égalité entre les sexes et le renoncement solennel du Japon à toute idée de guerre. Apparemment la collaboration se passe plutôt bien mais la Guerre froide bouleverse les règles de cette occupation. Michael Lucken est professeur à l'Inalco et membre de l'Institut Universitaire de France. Il a publié Les Occupants - Américains au Japon après la Seconde Guerre mondiale (Editions La Découverte, 2025).
La guerre du Pacifique a été un théâtre-clé de la deuxième Guerre Mondiale. C’est là que les Etats-Unis entrent en guerre et c’est aussi là qu’elle se termine avec les bombes atomiques larguées sur Hiroshima et Nagasaki. Alors qu’en Europe, les Alliés se partagent les territoires du Reich pour l’occuper et le dénazifier, au Japon, seuls les Etats Unis restent durablement pour modeler un nouveau Japon compatible avec un projet démocratique. Michael Lucken est professeur à l'Inalco et membre de l'Institut Universitaire de France. Il a publié Les Occupants - Américains au Japon après la Seconde Guerre mondiale (Editions La Découverte, 2025).
Décidée au cours de la guerre, la dénazification de l’Allemagne et de ses pays alliés est à l’œuvre depuis 1945. Mais à quel moment l’arrêter et pour quel résultat?? A quel moment fermer les commissions, archiver les questionnaires et les dossiers d’enquête avec la certitude que la société allemande est épurée des valeurs du nazisme et prête à se projeter dans la suite de son histoire?? Avec Emmanuel Droit, directeur de Sciences Po Strasbourg, spécialiste de l’histoire de l’Allemagne, qui a récemment publié : La Dénazification, posthistoire du IIIe Reich (Presses universitaires de France, 2024)
A la fin de la Première guerre mondiale, en 1919, les vainqueurs avaient puni collectivement les Allemands avec d’énormes réparations de guerre à verser, le désarmement, la confiscation des colonies, bref la banqueroute assurée pour les décennies suivantes. Les effets ravageurs de ce traité de Versailles avaient largement servi à la propagande nazie. Mais cette fois, en 1945, la stratégie est différente?: dénazifier la société doit assurer la réintégration de l’Allemagne dans le cortège des nations démocratiques, sans racisme et sans dictature, pour reconstruire une paix durable sans esprit de vengeance. Emmanuel Droit est historien, spécialiste de l’histoire de l’Allemagne et auteur du livre Dénazification, posthistoire de IIIe Reich (Presses universitaires de France). Des commissions des questionnaires, des enquêtes, la dénazification est une grande ambition pour l’avenir mais la vérité n’est pas si simple à trouver.
Comment bien gagner une guerre et s’assurer que ce sera la dernière?? Le 2 septembre 1945, Hitler et ses alliés sont vaincus, la guerre est terminée. Mais si la partie militaire du conflit prend fin, comment extraire le poison du nazisme et du fascisme dans ces Etats qui ont mené une guerre totale avec 50 à 80 millions de morts?? Les forces d’occupation alliées victorieuses entreprennent de dénazifier la société allemande et d’établir une société démocratique au Japon. Mettre les vaincus à genoux comme l’avait fait le traité de Versailles en 1919 n’a pas fonctionné - la punition avait même nourri le ressentiment - on tente une autre stratégie. Si «?dénazifier?» est un mot que l’on pensait relégué dans les caves de l’histoire, c’était sans compter sur les capacités de recyclage de l’histoire de nos contemporains. Ce mot est réapparu dans la bouche de Vladimir Poutine, qui lançait sa guerre en Ukraine le 24 février 2022. Avec Emmanuel Droit, directeur de Sciences Po Strasbourg, spécialiste de l’histoire de l’Allemagne, qui a récemment publié : La Dénazification, posthistoire du IIIe Reich (Presses universitaires de France, 2024).
24 août 1572, des milliers de protestants sont massacrés à Paris, puis dans plusieurs villes de France. Peu d'images en gardent la trace, mais un tableau de François Dubois, exposé au MCBA à Lausanne, met en scène plusieurs moments du massacre dans un même cadre. Peint par un protestant exilé, ce tableau raconte aussi les suites de la Saint-Barthélemy : les conversions forcées, les fuites, et l'arrivée de réfugiés protestants jusqu'en Suisse. Avec Nicolas Le Roux, historien, spécialiste des guerres de religion. Patrick Cabanel, historien du protestantisme en France. Naïma Ghermani, historienne, spécialiste de l'exil et notamment du Refuge huguenot en Suisse.
Un escargot géant défile à Berne en 1928. Il mesure deux mètres de haut et avance lentement, comme les droits politiques des femmes en Suisse. Derrière cette image spectaculaire, des divisions entre féministes et des décennies de combats. Le droit de vote ne sera accordé qu'en 1971, bien après les pays voisins. Avec Pauline Milani, historienne à l'Université de Fribourg, spécialiste de l'histoire des femmes et du genre en Suisse.
Un hélicoptère sur un toit, une file de personnes qui attendent de monter. À Saïgon, en avril 1975, cette image raconte la fin d'une guerre de vingt ans. La chute du Vietnam du Sud pour les uns, la libération pour les autres. Mais ce cliché dit aussi l'abandon, la panique contenue, et les lendemains d'un conflit qui marque durablement les corps et les mémoires. Avec Laurence Monnais, historienne, professeure à l'Université de Lausanne et à l'Institut des Humanités en Médecine du CHUV, spécialiste de l'histoire de la médecine en Asie du Sud-Est. Note : L'image célèbre de l'évacuation par hélicoptère sur le toit d'un immeuble à Saïgon, prise par le photographe Hubert van Es en avril 1975, est soumise à des droits d'auteur. Elle ne peut être reproduite ici, mais peut être consultée sur le site de J. Paul Getty Museum : https://www.getty.edu/art/collection/object/1096F7?utm_source
On tourne la page de l'album et apparaît, en 1972, la première photo de la Terre entière, capturée par la mission Apollo 17. Un cercle bleu marbré de blanc sur fond noir. Cette image devenue célèbre raconte un tournant : un regard nouveau sur notre planète, entre conquête spatiale, rivalité Est-Ouest et prise de conscience écologique. Avec Alexandre Chollier, géographe et chercheur spécialisé dans les représentations de l'espace, auteur du livre November?November?: En route pour la Lune, la Terre en tête (Éditions La Baconnière).
La conférence de Yalta, Blue Marble, la chute de Saïgon, l'escargot des femmes à Berne ou encore la Saint-Barthélemy : certaines images disent bien plus que ce qu'elles montrent. Cette série explore cinq instantanés d'histoire, commentés par des historien·nes, pour en éclairer le contexte, le poids symbolique ou politique. Un album sonore à parcourir comme on feuillette une mémoire collective, image après image. Trois hommes emmitouflés posent devant une rangée de militaires. Cette photo très officielle, prise en février 1945 à Yalta, symbolise bien plus qu'une rencontre : elle met en scène les Alliés en train de préparer la paix des vainqueurs et de dessiner le partage du monde. Un cliché emblématique d'une diplomatie en manteaux d'hiver, mais aussi de tensions à venir. Avec Jenny Raflik, professeure d'histoire contemporaine à l'Université de Nantes, spécialiste des relations internationales et de la guerre froide.
La Suisse, une terre de refuge pour les célébrités. On ne compte plus le nombre de stars qui ont séjourné dans ce pays et celles qui y résident encore aujourd'hui. Les raisons de ces exils sont variées : fiscalité, climat, paysage, situation géographique, mais avant tout la tranquillité. La discrétion des Helvètes, valeur érigée en vertu convient très bien à ces résidents qui souffrent parfois de leur trop plein de notoriété. En 1952, c'est une star mondiale qui décide de poser sa canne et son chapeau dans le canton de Vaud. Charlie Chaplin vient de se voir retirer son visa de résident aux Etats-Unis pour cause de sympathie avec les communistes. La chasse aux sorcières menée par le sénateur McCarthy et le FBI d'Edgard Hoover à Hollywood propulsent l'artiste en tête d'affiche du dénigrement à la sauce guerre froide. Eugene, le fils de Chaplin, né en Suisse peu de temps après son arrivée, nous reçoit dans la maison familiale de Corsier-sur-Vevey, devenue musée en 2016. Olivia Baliguet est responsable de la communication du Chaplin's World, l'ancien maison des Chaplin devenue musée. https://www.chaplinsworld.com/
La Suisse n'est pas qu'un repère de célébrités en retraite et de gauchistes en quête de tranquillité dans une Europe où ils sont pourchassés. Le 25 août 1944, Paris est libéré. Quatre jours plus tard, Gabrielle Chanel, très célèbre créatrice de mode, est arrêtée, interrogée et très rapidement relâchée grâce à l'appui d'un certain… Winston Churchill. En septembre de la même année, elle décide de quitter la France et se réfugie à Lausanne. Elle y retrouve son amant, un espion allemand, pour poursuivre quelques années encore une relation amoureuse qui lui a déjà valu des soupçons de collaboration avec le nazisme. Célèbre et riche, Coco Chanel passe huit ans en exil volontaire dans la capitale vaudoise. Entre les suites des palaces de la Riviera et une maison qu'elle loue à Lausanne, elle fréquente le petit cercle des collaborateurs en fuite. Un parcours que la journaliste Marie Fert a retracé dans son livre, Gabrielle Chanel, les années d'exil, paru aux Editions Slatkine en 2021. https://www.slatkine.com/fr/editions-slatkine/74905-book-07211030-9782832110300.html
Refuges suisses -Episode 3/5 : Mikhail Bakounine Au XIXème siècle, les révolutions en Europe sont nombreuses, et avec elles la répression qui s'abat invariablement sur les adeptes des théories politiques nouvelles de gauche. La Suisse jouit d'une image de terre d'accueil pour de nombreux intellectuels qui fuient l'hostilité de leurs terres d'origine. Le pays est considéré comme un laboratoire à ciel ouvert où les théories libérales, radicales, puis socialistes et anarchistes se vivent au quotidien. A ce moment-là, la création de l'Etat fédéral en 1848 est perçue comme la seule concrétisation réussie d'une révolution libérale. Au milieu de l'Europe, la Suisse semble donc très prometteuse et notamment pour Mikhaïl Bakounine, philosophe russe révolutionnaire et théoricien de l'anarchie politique. Florian Eitel est historien, conservateur au Nouveau Musée Bienne et auteur d'une thèse sur les anarchistes de Saint-Imier. Il répond à Pierre Jenny. Kristina Schulz est historienne à l'Université de Neuchâtel et nous emmène sur les traces de Bakounine, au micro de Pierre Jenny. https://www.intervalles.ch/wp-content/uploads/2022/09/vallon-eitel-long.pdf
On pourrait croire l'histoire sortie d'un roman d'espionnage : A l'automne 1966, le romancier québécois, Hubert Aquin, est expulsé de Suisse. On lui oppose une population étrangère trop nombreuse sur le territoire. Arrivé quelques mois plus tôt pour s'établir durablement en Suisse, l'homme a surtout un passé qui pourrait contrarier les autorités : Ancien militant de l'indépendance du Québec passé dans la clandestinité. Jugé dans son pays, interné quelque temps en hôpital psychiatrique, il s'établit à Lausanne au printemps 1966 pour y vivre et y écrire. Alertées de sa présence, les polices cantonale et fédérale le surveillent et placent son téléphone sur écoute. Elles craignent qu'Hubert Aquin ne joue le rôle d'un agent de liaison entre les indépendantistes québécois et jurassiens. Ces-derniers sont très actifs cette année-là. Pour comprendre cet accueil épineux d'Hubert Aquin en Suisse, Pierre Jenny a rencontré Claude Hauser, professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Fribourg et co-directeur du Centre suisse d'études sur le Québec et la francophonie. Il nous emmène au Canada, et plus précisément dans le Québec des années 1960 qui vit à l'heure de la Révolution tranquille. https://www.erudit.org/fr/revues/globe/2010-v13-n1-globe3916/044640ar.pdf
La Suisse, terre de refuge, est une réalité variable au cours de l'histoire. Des premiers réfugiés protestants de la Saint-Barthélemy au XVIème siècle aux familles ukrainiennes de notre temps présent. Cet accueil ne raconte pas les trajectoires de celles et ceux qui s'arrachent à leur histoire, à leur premier territoire. Dans cette série, Histoire vivante explore ces nouvelles vies de nombreux anonymes et quelques célébrités en Suisse pour le meilleur, mais pas toujours. 1956, un vent de liberté souffle sur une partie de l'Europe l'Est après la mort de Staline. On demande plus au socialisme qui promettait beaucoup. Le 23 octobre, plus de 10'000 personnes manifestent à Budapest, un nouveau gouvernement est nommé. Mais le 4 novembre un millier de chars soviétiques entrent dans la ville pour rappeler que l'heure de l'autonomie politique n'est pas encore à l'ordre du jour. La répression fait plus de 2'500 morts côté hongrois, 700 côté soviétique. Pour 200'000 Hongroises et Hongrois, c'est l'exode. Dix mille réfugiés trouvent refuge en Suisse. Parmi eux, Agota Kristof, arrivée en Suisse en 1956 avec son mari et sa fille, élabore en exil une littérature où la brutalité du déracinement occupe une place centrale. On la suit dans son itinéraire avec Tiphaine Robert historienne et spécialiste de l'immigration hongroise en Suisse, au micro de Pierre Jenny. https://www.jfb.hu/lettres/tiphaine-robert-des-migrants-et-des-revenants
A Belfast, un quart de siècle après les accords du Vendredi saint qui ont mis fin au conflit nord-irlandais, les murs qui séparent les quartiers catholiques et protestants sont toujours en place. Chaque communauté a sa propre interprétation de l'histoire irlandaise et britannique et cette histoire parallèle est représentée sur des fresques toujours renouvelées de part et d'autre de ce qu'on appelle encore les murailles de la paix. Etienne Duval a rencontré un spécialiste de ce conflit, l'anthropologue Dominic Bryan, professeur à la Queen's University de Belfast.
Du Mexique à la Palestine en passant par Berlin, Belfast et les conquêtes d'Alexandre le Grand, les murs incarnent des tentatives ratées de l'histoire. Toujours pour séparer, mais très souvent franchis ou débordés. Vers l'an 140 de notre ère, l'Empire romain construit un mur très loin des siens, sur le sol de l'Ecosse actuelle. Une frontière verticale conçue pour séparer et se protéger de ceux qu'ils ont nommés les Barbares. Une tentative qui intervient par ailleurs vingt ans après la construction du mur d'Hadrien. Etienne Duval en parle avec Séverine Peyrichou, en charge de la valorisation du mur d'Antonin, puisque ce patrimoine est classé par l'UNESCO depuis 2008. Avec Laurent Flutsch, archéologue, ancien directeur du Musée romain de Lausanne-Vidy.
Mars 2018. La mission de la Croix-Rouge a été un succès. 95% des soldats ont pu être identifiés. Geoffrey Cardozo et Julio Aro sont nominés pour le prix Nobel de la paix par une université argentine. Deux avions quittent Buenos Aires avec à bord des centaines de membres des familles des disparus, en direction des Falklands selon la dénomination britannique. Au cimetière, que beaucoup découvrent pour la première fois, presque toutes les tombes portent enfin des noms. C’est un très grand moment d’émotion pour tous. Geoffrey Cardozo qui n’a cessé de penser à la douleur des mères, voit l’aboutissement d’une mission.   Avec Julio Aro ancien combattant argentin, Gaby Cociffi, journaliste argentine, le docteur Morris Tidball-Binz de la Croix Rouge internationale et la voix de Jorge Luis Borges lisant un de ses poèmes.   Une enquête d’Anne Brunswic en collaboration avec Yvan Amar. Avec la voix de l’acteur Alain Berlioux (Julio Aro et Borges).
En 2016, Geoffrey Cardozo a 66 ans. Désormais entièrement libre de ses mouvements, il se rend pour la première fois en Argentine. Son but est de rencontrer les familles des soldats inconnus et de convaincre les plus hésitantes de donner des échantillons d’ADN. A son retour en Europe, il est contacté par Morris Tidball-Binz, un médecin légiste qui se présente au nom de la Croix Rouge Internationale à Genève. Cardozo bondit de joie. L’organisation de la mission d’identification requiert beaucoup de compétence de de diplomatie. En juin 2017, elle est à pied d’œuvre. Cardozo la rejoint aux Malouines et 35 ans après la guerre, il retrouve « son » cimetière. Avec le docteur Morris Tidball-Binz, médecin légiste expert en identification sur les théâtres de guerre, chef de mission de la Croix-Rouge internationale. Une enquête d’Anne Brunswic en collaboration avec Yvan Amar.
Dans l’épisode précédent, nous avons laissé Geoffrey Cardozo en 1983, décoré par la reine Elizabeth II pour son engagement humanitaire aux Malouines. Nous sommes maintenant en 2008. Cardozo, colonel retraité, rencontre par hasard à Londres l’ancien combattant argentin Julio Aro. Celui-ci est prêt à tout entreprendre pour l’identification de ses camarades enterrés aux Malouines. Il faudra plus de 8 ans pour surmonter d’innombrables obstacles politiques, diplomatiques, psychologiques et techniques. Durant ce long combat, Cardozo est obligé de rester dans l’ombre en Europe mais Julio trouve à Buenos Aires une alliée de poids, la journaliste vedette Gaby Cociffi. Avec Julio Aro qui soutient les vétérans argentins et leurs familles à travers la fondation No me olvides et Gaby Cociffi, journaliste argentine aujourd’hui retraitée. Une enquête d’Anne Brunswic en collaboration avec Yvan Amar. Avec la voix de l’acteur Alain Berlioux (Julio Aro).
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Comments (3)

Xavier Seux-Baverez

une nouvelle émission passionnante pour tous les francophones. Merci la Suisse ! Rigueur et qualité sont au rendez-vous.

May 11th
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Patrick Bibas

Quel parti pris! La journaliste qui s'est innocemment muée en militante ne remet jamais en question la rhétorique arabe ( colonie quand on s'installe sur sa propre terre? territoires palestiniens ou Judée, étymologiquement "Terre des Juifs "?, etc... ). Un peu plus de culture historique et d'équilibre dans ses prisés de position auraient rendu cette série plus digne d'intérêt. Encore un peu de travail et de professionnalisme ! Dommage.

Jul 13th
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Jad Dadda

Juste excellent . Il y a un réel travaille derrière et un e volonté d'informer le publique.

Apr 29th
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