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Histoire Vivante ‐ RTS Première
Author: RTS - Radio Télévision Suisse
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Description
Histoire Vivante, une émission quotidienne avec des historiennes, des historiens et des archives pour comprendre comment l'histoire agit dans notre présent. Une émission d'Anaïs Kien. Fichiers disponibles durant 30 jours après diffusion. - Pour un usage privé exclusivement.
1477 Episodes
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Les ouvriers italiens sont nombreux à œuvrer sur les chantiers en altitude dans des conditions extrêmes dans l’après guerre. A ce moment-là, on inaugure jusqu'à dix barrages par an. Mais le travail manuel ne séduit plus les Suisses. Sur le chantier du barrage de la Grande Dixence, les Italiens représentent plus de 90% de la main d’œuvre. Plus globalement, les saisonniers Italiens en Suisse sont 140’000 en 1950 et 600’000 en 1970.
Joël Boissard a réalisé le documentaire : « Les barrages suisses une histoire humaine ». Il raconte son enquête sur les traces des ouvriers champions de ces chantiers pharaoniques au micro de Frédéric Pfyffer.
https://www.rts.ch/play/tv/histoire-vivante/video/les-barrages-suisses-une-histoire-humaine?urn=urn:rts:video:12654535
La culture et le mode de vie à l’italienne font désormais partie de la société suisse, de Bâle à Vevey en passant par Sion et Bienne. Pourtant, si l’Italianità est à la mode aujourd’hui, c’était loin d’être une évidence il y a encore quelques décennies.
Denise Tonella est historienne, directrice du Musée national suisse, elle est au micro de Marie Giovanola.
L’immigration de travail italienne en Suisse, les Gastarbeiter, représente une expérience de vie et une histoire politique et culturelle qui a changé la Suisse. Mais que se passe-t-il dans le regard de ceux qui sont restés au pays ?
Paolo Barcella, historien spécialiste de la migration vers la Suisse et de ses conséquences politiques en Italie est au micro de Valérie Dupont.
Après la Deuxième Guerre mondiale, la croissance et la modernisation exigent une main d’œuvre importante. Des millions d’Italiennes et d’Italiens viennent travailler en Suisse. Les échanges culturels sont intenses mais ne se font pas sans quelques moments d’incompréhension, voire de crispation. La radio et la télévision jouent leur rôle pour trouver une voix/voie pour leur intégration à la société suisse.
Nelly Valsangiacomo est historienne, professeure à l'Université de Lausanne et directrice du Centre des sciences historiques et de la culture. Elle répond aux questions de Laurent Huguenin-Elie.
Les Italiens sont des millions à avoir émigré vers la Suisse, d’abord à la fin du 19ème siècle, puis dans un second mouvement après la Deuxième Guerre mondiale. Ils sont venus pour travailler, dans des conditions souvent très difficiles. Ils n’étaient pas les bienvenus, même si la Suisse avait besoin d’eux, notamment pour ses grands chantiers comme la construction du tunnel du Gothard, pour édifier sa modernité. Les Italiens et les Italiennes formaient d’ailleurs encore en 2023 la population étrangère la plus importante de Suisse.
A la fin des années 1880, la Suisse connaît un tournant dans son histoire démographique : de pays d’émigration, elle devient un pays d’immigration. La Suisse évolue et devient un pays désirable, en premier lieu pour ses Italiens.
Rosita Fibbi est sociologue affiliée au Forum suisse pour l’étude des migrations et de la population à l’université de Neuchâtel. Elle répond aux questions de Marie Giovanola.
https://www.rts.ch/play/tv/les-documentaires-de-la-rts/video/tunnel-du-gothard-le-chantier-du-siecle?urn=urn:rts:video:11235994
Benito Mussolini, docteur de l’université de Lausanne, est une opération dont les promoteurs ont été identifiés dans les épisodes précédents. Mais les antifascistes ont eu leur mot à dire aussi.
Après l’exploration de la sensibilité suisse au fascisme italien, on se tourne vers les opposants de Mussolini et de ses admirateurs avec Colin Rutschmann, auteur d’un mémoire de Master intitulé : Antifascisme sur le territoire lausannois durant l’entre-deux-guerres : Modalités, Antagonismes et Conflictualité.
Lien : Les informations sur le colloque « Présences fascistes en Suisse. Autour du doctorat honoris causa de Benito Mussolini (1937) » et l’exposition « Docteur Mussolini. Un passé sensible » : https://www.labo-histoire.ch/evenement/pour-une-histoire-globale-du-fascisme/.
Pour en savoir bien plus sur cette affaire, rendez-vous dans les pages de la Liberté ce vendredi et dès demain dans celles de 24Heures, nos deux partenaires pour cette série.
Après la Deuxième Guerre mondiale, il n’était plus de bon ton de défendre l’œuvre de Benito Mussolini. Quand on mentionnait le doctorat honoris causa que l’Unil lui avait décerné, on entendait souvent des alibis : au minimum une erreur de casting, voire un piège tendu par la diplomatie fasciste. Aujourd’hui après le Livre blanc de 1987 puis les différentes recherches et le rapport du comité d’experts de 2022, ces arguments n’opèrent plus aussi bien qu’avant. En 1937, on savait que le fascisme italien réprimait toutes oppositions à l’intérieur et on savait, après la conquête de la Lybie et de l’Ethiopie, que c’était un gouvernement prédateur à l’extérieur. On sait aussi que Mussolini a séduit en Suisse.
C’est justement sur cette force d’attraction en territoire helvète que l’historien Marc Perrenoud s’est penché pour comprendre le contexte de ces honneurs universitaire rendus à Mussolini en 1937.
Lien : Les informations sur le colloque « Présences fascistes en Suisse. Autour du doctorat honoris causa de Benito Mussolini (1937) » et l’exposition « Docteur Mussolini. Un passé sensible » : https://www.labo-histoire.ch/evenement/pour-une-histoire-globale-du-fascisme/.
Il y a l’histoire des années suisses de Mussolini, entre 1902 et 1904, et puis il y a le récit qu’on brode ensuite pour transformer l’épisode en légende merveilleuse, en expérience créatrice de son génie politique, en tout cas pour ses partisans. Du maçon immigré au Duce, le mythe de Mussolini passe par la Suisse.
C’est Simone Visconti, qui nous l’explique. Il est historien et auteur d’un doctorat bien réel celui-là, sur les années de formation de Mussolini et la place qu’elles occupent ensuite dans la propagande fasciste. Une propagande qui a déjà démontré son efficacité en 1937, au moment où l’université de Lausanne prépare son 400e anniversaire et l’octroi de ce fameux doctorat honoris causa.
Lien : Les informations sur le colloque « Présences fascistes en Suisse. Autour du doctorat honoris causa de Benito Mussolini (1937) » et l’exposition « Docteur Mussolini. Un passé sensible » : https://www.labo-histoire.ch/evenement/pour-une-histoire-globale-du-fascisme/.
Pour justifier le doctorat honoris causa, l’Université de Lausanne célèbre les liens de Mussolini avec la Suisse, arguments classiques.
Nous regardons de plus près la part de sa biographie en Suisse avec Simone Visconti, historien et auteur d’une thèse qui s’intéresse particulièrement aux années de formation de Mussolini sur le territoire suisse entre 1902 et 1904.
Lien : Les informations sur le colloque « Présences fascistes en Suisse. Autour du doctorat honoris causa de Benito Mussolini (1937) » et l’exposition « Docteur Mussolini. Un passé sensible » : https://www.labo-histoire.ch/evenement/pour-une-histoire-globale-du-fascisme/.
En 1937, l’Université de Lausanne décerne un doctorat honoris causa à Benito Mussolini et honore celui qui est au sommet de son parcours de dictateur. L’affaire rebondit depuis des décennies : que faire de cette distinction si solennelle envers une des figures les plus sombres du XXème siècle ?
Un doctorat honoris causa représente une belle distinction. L’université qui le décerne honore une personnalité, voire une célébrité, pour l’associer à son histoire. Chacun partage un petit bout de son prestige avec l’autre pour briller plus fort aux yeux du monde.
Avec Nadja Eggert, chercheuse en éthique à l’université de Lausanne et directrice du groupe d’experts, co-auteure, avec Gabrielle Duboux, du dernier rapport en date sur les circonstances de l’octroi d’un doctorat honoris causa à Mussolini en 1937.
Lien : Les informations sur le colloque « Présences fascistes en Suisse. Autour du doctorat honoris causa de Benito Mussolini (1937) » et l’exposition « Docteur Mussolini. Un passé sensible » : https://www.labo-histoire.ch/evenement/pour-une-histoire-globale-du-fascisme/.
La TSR, c’est le visage quotidien de la Suisse romande et bien avant que les femmes n’obtiennent le droit de vote et le droit d’occuper, à égalité, l’espace et les affaires publiques, on y voit des femmes et on parle aux femmes. Monteuses, speakerines, journalistes, réalisatrices, productrices, cheffes, maquilleuses, sans oublier les pigistes, elles s’affichent à l’écran, dans les couloirs de la TSR et les salles techniques, dans les rarissimes grèves aussi. Witold Langlois s‘entretient avec l’historienne des médias Roxane Gray pour Histoire Vivante.
Roxane Gray et Marie Sandoz "Une télévision allumée. Les arts dans le noir et blanc du tube cathodique" dans la Revue d’Histoire du cinéma.
Au début de l’histoire de la TSR, le TJ était donné depuis Zurich, moyens techniques limités obligent, puis il a été rapatrié à Genève. De là, il s’est régionalisé, localisé, réorganisé. Le TJ de la TSR a vu défiler nombre de journalistes, présentateurs et présentatrices devenues célèbres ou oubliées. Witold Langlois retrace pour Histoire Vivante l’arbre généalogique professionnel de Philippe Revaz et Jennifer Covo avec l’historienne des médias Anne-Katrin Weber.
Anne-Katrin Weber et Mireille Berton La télévision du Téléphonoscope à YouTube. Pour une archéologie de l’audiovision aux éditions Antipodes.
Qui dit "Nouvelle Vague" pense tout de suite aux monstres sacrés du cinéma français, même si Jean-Luc Godard se baladait parmi eux. Mais la Suisse a, elle aussi, eu ses réalisateurs cultes de la "nouvelle vague helvétique" comme Claude Goretta ou encore Alain Tanner. Tous ont fait leurs armes à la TSR, dès ses débuts en 1954, à une époque où le cinéma suisse n’existait presque pas, la fiction encore moins et la seule plateforme qui s’offrait aux cinéastes en devenir était la télévision. La TSR et le cinéma, une longue complicité aux multiples facettes qui fête aussi ses 70 ans en 2024. Witold Langlois s’entretient pour Histoire Vivante avec l’historienne Roxane Gray pour nous refaire le film.
Roxane Gray et Marie Sandoz Une télévision allumée. Les arts dans le noir et blanc du tube cathodique dans Revue d’Histoire du cinéma.
Temps Présent, magazine de reportages emblématiques de la TSR n’aurait pas existé sans l’émission Continents sans visa. Pour ce deuxième épisode d’Histoire Vivante consacré à l’histoire de la TSR, Witold Langlois, s’entretient avec l’historien des médias François Vallotton, et ils nous racontent toute l’importance de ces deux programmes phares du service public télévisé romand.
François Vallotton Au-delà du service public : pour une histoire élargie de la télévision en Suisse, 1960 à 2000 éditions UNIL et François Vallotton, Jean-Yves Mollier, Jean-François Sirinelli Culture de masse et culture médiatique » éditions PUF.
Dans cette nouvelle série, Histoire Vivante plonge dans l’histoire de la Télévision Suisse Romande pour célébrer ses 70 ans. Créée en 1954, en lieu et place de la Télévision genevoise, la TSR est vite reconnue pour la qualité de ses programmes. C’est le grand moment télé avec ses émissions emblématiques : Carrefour, Temps Présent, Regards, Madame TV, Continents sans Visa, son fameux « TJ » et ses émissions pour enfants… Des stars, des figures familières, des femmes et des hommes qui transforment l’audiovisuel de service public romand.
Commençons par le commencement et évoquons les constantes adaptations aux avancées technologiques et aux tendances sociétales de notre télévision. Toute la vie de la TSR jusqu’à 2012, avec un clap de fin pour mieux renaître sous l’entité RTS. Witold Langlois a rencontré pour Histoire Vivante l’historien des médias François Vallotton. Ensemble ils reviennent sur les origines de la TSR et retracent ses premières décennies.
François Vallotton, Jean-Yves Mollier, Jean-François Sirinelli Culture de masse et culture médiatique aux éditions PUF et Collectif - Raymond Vouillamoz La TSR a 50 ans. Album de famille 1954-2004 aux éditions TSR.
L'exposition « Décors. Chefs-d’œuvre des collections » au Château de Prangins, célébrant son 25e anniversaire en 2023, se plonge dans l'histoire de l’ameublement et des décors. La directrice, Helen Bieri Thomson, guide la visite de cette exposition qui explore l'histoire des objets du quotidien, qu'ils soient remarquables ou banals, dévoilant ainsi la vie quotidienne de manière inédite. Un exemple saisissant est le salon suisse de la salle 505 du Metropolitan Museum à New York, provenant du village alpin de Flims et datant des années 1680. Œuvre du menuisier Thaddäus Acker de Feldkirchen, cette pièce richement ouvragée en bois mêle motifs traditionnels locaux et inspiration Renaissance, offrant également un aperçu des préoccupations de l'époque, notamment la crainte d'une invasion de l'Empire ottoman. Le salon, auparavant propriété du Kaiser Friedrich Museum de Berlin, illustre comment des objets en apparence frivoles peuvent capturer et transmettre des aspects profonds de l'histoire.
Rencontre avec Helen Bieri Thomson, historiene de l’art et directrice du Château de Prangins.
Histoire Vivante se plonge dans les décors des lieux où l’on habite, les lieux de vies que l’on choisit, que l’on subit, ceux qu’on a inventé pour y vivre tous les jours, entre la chambre, le salon, la cuisine, et les espaces multiples et spécifiques qu’on nomme notre intérieur. Une histoire intime et particulière qui raconte toute une société.
Aujourd’hui, nous explorons l'histoire des lieux de vie, des intérieurs choisis ou subis, mettant en lumière l'évolution de la décoration d'intérieur du XVIIIe siècle au XXIe siècle. À travers des chefs-d'œuvre du Musée national suisse, nous examinons comment des éléments tels que le mobilier, les revêtements muraux, les lampes et les objets de décoration révèlent le mode de vie, les goûts, les valeurs et les occupations des habitants. L'exposition « Décors. Chefs-d’œuvre des collections » au Château de Prangins souligne l'importance de la décoration en tant qu'expression de l'identité, explorant l'art suisse de créer des espaces intérieurs chaleureux et évoquant l'invention de cet art entre artisanat et design, marquant la rencontre entre la main experte et l'industrie. En réfléchissant sur la manière dont la décoration d'intérieur reflète qui nous sommes ou ce que nous voulons montrer de nous-mêmes, l’exposition souligne la pertinence continue de cet art dans la société contemporaine.
Rencontre au Château de Prangins avec Ludivine Proserpi, co-commissaire de l’exposition « Décors. Chefs d’œuvre des collections ».
Dans cet épisode, on s’intéresse à l’histoire des intérieurs modestes, de ceux qu’on ne conserve pas, des héritages de rien, du douillet à l’insalubre, de ces décors intérieurs qui longtemps n’intéressaient pas les musées. Mais au Château de Prangins, le siège romand du musée national suisse, on a voulu la raconter cette histoire de la majorité des appartements et des maisons habités par les Suisses et les Suissesses.
On commence par une pièce de théâtre avec Helen Bieri Thomson, parce que c’est là qu’apparait aussi un de ces intérieurs modestes, dans les décors de théâtre des demeures privées.
Pour retrouver l’intérieur des habitats les plus ordinaires, ceux qu’on ne photographie pas très souvent, il a fallu un peu d’ingéniosité aux commissaires de l’exposition. Ils ont réussi à saisir ces habitats sans apprêt dans l’empreinte de la violence criminelle. Ambiance polar. Une rencontre avec Mathieu Perri, co-commaissaire de l’exposition « Décors. Chefs d’œuvre des collections » au Château de Prangins.
L’intérieur de nos maisons et de nos appartements en dit beaucoup sur notre histoire et sur notre présent. Histoire Vivante enquête sur l’histoire des décors intérieurs, des plus sophistiqués aux plus modestes et parmi les nombreux objets qui composent ce qui fait une maison, il y a bien sûr les murs. Dans la nouvelle exposition permanente « Décors. Chefs d’œuvre des collections » consacrée à ces décors intérieurs du Château de Prangins, on trouve un trésor avec une histoire presque épique : un papier peint comme vous n’en avez jamais vu.
Proposer une exposition sur les intérieurs, c’est s’interroger sur notre manière d’habiter, notre manière d'occuper l’espace, de se l'approprier. Ça nous raconte aussi l'histoire de la manière dont nous habitons les lieux qui a changé au fil des siècles. Il y a une pièce particulière dans cette nouvelle exposition permanente du Château de Prangins qui se consacre entièrement à une très grande pièce de papier peint, retrouvée dans un drôle d’endroit : une ferme au milieu des pâturages jurassiens.
Rencontre avec Barbara Bühlmann, historienne et co-commissaire de l’exposition « Décors. Chefs d’œuvre des collections » et Hélène Bieri Thomson, historienne de l’art et directrice du Château de Prangins.
Dis-moi comment tu habites, je te dirais qui tu es. L’intérieur de nos maisons et de nos appartements en dit beaucoup sur notre histoire et sur notre présent. Histoire Vivante enquête sur l’histoire des décors intérieurs, des plus sophistiqués au plus modestes, au château de Prangins. Ce château c’est le siège romand du Musée national suisse qui a fêté en 2023 son 25ème anniversaire. Pour l’occasion, le musée inaugure une nouvelle exposition permanente sur les intérieurs de nos habitations, les lieux de vies que l’on se choisit, que l’on subit, ceux qu’on a inventé pour y vivre tous les jours. Entre la chambre, le salon, la cuisine, et les espaces multiples et spécifiques qu’on nomme notre intérieur. Une histoire intime et particulière qui raconte toute une société. Et on commence par la vie de château. Bien avant d’être un musée, le château de Prangins était la demeure de Louis-François Guiguer, riche militaire de carrière.
Rencontre avec Barbara Bühlmann, historienne et co-commissaire de l’exposition « Décors. Chefs d’œuvre des collections » et Hélène Bieri Thomson, historienne de l’art et directrice du Château de Prangins.
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United States
une nouvelle émission passionnante pour tous les francophones. Merci la Suisse ! Rigueur et qualité sont au rendez-vous.
Quel parti pris! La journaliste qui s'est innocemment muée en militante ne remet jamais en question la rhétorique arabe ( colonie quand on s'installe sur sa propre terre? territoires palestiniens ou Judée, étymologiquement "Terre des Juifs "?, etc... ). Un peu plus de culture historique et d'équilibre dans ses prisés de position auraient rendu cette série plus digne d'intérêt. Encore un peu de travail et de professionnalisme ! Dommage.
Juste excellent . Il y a un réel travaille derrière et un e volonté d'informer le publique.