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Invité Afrique Midi
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Invité Afrique Midi

Author: RFI

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Du lundi au vendredi, un invité commente un fait marquant de l’actualité africaine au micro de Nicolas Sur dans Afrique midi à 12h30 TU sur RFI. 

157 Episodes
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Ces derniers jours, des spécialistes africains de physique fondamentale et appliquée se sont réunis à Trieste en Italie pour discuter de l'ASFAP, une stratégie africaine pour amplifier les efforts en matière de recherche en physique. Car il existe des domaines prometteurs, mais ils ont besoin d'une mobilisation des États et des organisations internationales. Quel est l'état des lieux, dans quel domaine des sciences physiques l'Afrique est la plus engagée et à quoi tout cela peut-il servir concrètement ? Pour en parler, notre invité est l'un des participants au symposium de Trieste, Kétévi Assamagan, chercheur togolais spécialisé en physique des particules et rattaché au laboratoire de Brookhaven aux États-Unis. À lire aussiCes scientifiques qui tentent de faire progresser la recherche génomique en Afrique
En Guinée s'ouvre officiellement la campagne électorale pour la présidentielle du 28 décembre. Face au président de la Transition, le général Mamadi Doumbouya, huit candidats sont en lice, mais aucun poids lourd de l'opposition, car ces leaders politiques ont été déclarés inéligibles. Alors, quel est l'enjeu de cette élection ? Gilles Yabi, fondateur et directeur exécutif du think tank citoyen Wathi, répond aux questions de Christophe Boisbouvier.   À lire aussiLa Guinée donne le coup d'envoi de la campagne pour la présidentielle du 28 décembre
C'est une nouvelle qui a fait sensation dimanche. Le volcan Hayli Gubbi, situé dans le nord-est de l'Éthiopie, est entré en éruption, et il s'agirait d'une première depuis environ 12 000 ans. Que sait-on de cette éruption et de ce volcan de la vallée du RFI. Le volcanologue Patrick Allard, directeur de recherche émérite à l'Institut de physique du globe de Paris et ex-président de l'Association internationale de volcanologie, est l'invité d'Afrique midi.   À lire aussiIndonésie: des centaines d'évacuations après l'éruption du volcan Semeru sur l'île de Java
Les pays de l'Union africaine (UA) et de l'Union européenne (UE) se sont quittés après deux jours d'échanges et de rencontres en Angola, à l'occasion du septième sommet des deux institutions continentales. Au total, 80 délégations étaient conviées à Luanda pour ce rendez-vous qui voulait célébrer 25 années de partenariat entre les continents. Pas d'annonces dans le communiqué final, mais des intentions. Les dirigeants se sont engagés à renforcer leurs relations commerciales, à développer leur collaboration sur les minerais stratégiques et à mieux juguler l'immigration illégale et le trafic d'êtres humains.Tété Antonio, le ministre des Affaires étrangères d'Angola, hôte du sommet, est l'invité d'Afrique Midi.   À lire aussiSommet UA-UE de Luanda: la réunion s'achève sans annonce forte mais avec de nombreux engagements
C'est un pays hors des radars quand on parle de malnutrition : le Nigeria est confronté à une situation alimentaire critique. Selon le Programme alimentaire mondial (PAM), 35 millions de Nigérians pourraient basculer dans la faim d'ici à six mois. Un rapport publié mardi 25 novembre met en lumière l'impact de l'insécurité. Selon Jean-Martin Bauer, directeur de l’analyse de la sécurité alimentaire au PAM, est l'invité de RFI, « la dégradation du contexte sécuritaire a eu un impact important sur les systèmes alimentaires et l'accès à l'humanitaire ».   À lire aussiNigeria/Boko Haram: des camps de déplacés existent toujours à Maiduguri [5/5]
Citoyenneté, migrations et mobilité au menu entre autres du sommet conjoint Union européenne - Union africaine qui a commencé ce lundi 24 novembre à Luanda en Angola. Mais les politiques migratoires de l'Union européenne inquiètent de plus en plus les organisations qui promeuvent l'aide aux étrangers et la solidarité internationale. Ysé El Bouhali Bouchet, chargée de plaidoyer sur les questions de migrations au CCFD Terre Solidaire est l’invitée d’Afrique midi.
« Vivre de la terre et mourir pour elle », c’est le titre de ce rapport publié ce jeudi 20 novembre 2025 par l’ONG de défense des droits de l’homme Amnesty International. Son sujet ? Les violences opposant éleveurs et agriculteurs qui endeuillent de plus en plus régulièrement les provinces méridionales du Tchad. Chaque année, ce sont des dizaines, parfois des centaines de personnes qui perdent ainsi la vie. Le plus souvent, tout commence par un troupeau en divagation qui piétine accidentellement des cultures, mais dans le contexte tchadien de prolifération des armes, les évènements prennent une tournure dramatique. L’ONG a enquêté sur 14 incidents survenus depuis mars 2023 qui ont fait une centaine de morts au total et identifie plusieurs causes. Le chercheur senior et auteur du rapport, Abdoulaye Diarra est notre invité.  À lire aussiTchad: nouvelle flambée de violences entre éleveurs et agriculteurs dans le sud du pays   À lire aussiPolémique sur les violences entre agriculteurs et éleveurs dans le sud du Tchad
L'Algérie se dit prête à « soutenir toute initiative de médiation » entre le Front Polisario et le Maroc pour trouver une solution au conflit au Sahara occidental. La déclaration du ministre algérien des Affaires étrangères intervient quelques semaines après le vote d'une résolution de l'ONU qui a apporté pour la première fois son soutien au plan marocain d'autonomie de la région. Ahmedou Ould-Abdallah, ancien ministre mauritanien des Affaires étrangères et président du Centre 4S (Stratégie, Sécurité, Sahel, Sahara) est l'invité d'Afrique midi. Il répond aux questions d'Arthur Ponchelet. À lire aussiSahara occidental: l’Algérie se dit prête à soutenir une médiation entre le Maroc et le Front Polisario
C'est le fruit d'un travail mené conjointement par l'Institut d'études de sécurité, Interpol et l'Initiative mondiale contre la criminalité transnationale organisée. L'Indice du crime organisé en Afrique 2025 a été publié lundi 17 novembre. Jacques Muhindo, coordinateur du fonds de résilience Afrique à l'Initiative mondiale, est l'invité d'Afrique Midi. À lire aussiComment le crime organisé se développe sur le continent africain, selon l'ONG GI-TOC
Depuis la chute d'el-Fasher, la capitale du Darfour, aux mains des milices des FSR, les civils affluent vers les camps de déplacés de Tawila, à une cinquantaine de kilomètres. Ils comptent aujourd'hui 600 000 personnes. Sur place, la situation humanitaire est critique. Les Nations unies sont absentes des zones sous contrôle des FSR, et les associations sur place parviennent à subvenir à à peine 20 % des besoins en eau. Jérôme Bertrand, responsable des urgences à Handicap International, s'est rendu sur place. Il est notre invité dans Afrique Midi. À lire aussiSoudan: environ 800 personnes arrivent au camp de déplacés de Tawila après avoir fui el-Fasher
La France a révisé mercredi 12 novembre ses conseils aux voyageurs et a fait passer en zone rouge de nouveaux secteurs du nord du Bénin, du Ghana et du Togo frontaliers du Burkina, du Niger ou du Nigeria. Mathias Khalfaoui, consultant, chercheur indépendant est notre invité. Il est l'auteur d'une étude de la fondation Konrad Adenauer sur la progression jihadiste dans les pays côtiers parue en mars dernier.  À lire aussiAu Sahel, les terroristes du Jnim ont assis leur contrôle par le biais de l'économie illicite
Une nouvelle crise a éclaté au grand jour au Sénégal, entre le président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko. Un contentieux oppose les deux hommes sur la personne qui doit diriger la coalition politique « Diomaye Président », une alliance créée lors de la présidentielle de 2024 à laquelle Sonko n’avait pas pu se présenter. Le Pastef, le parti dirigé par Ousmane Sonko a dénoncé ce mercredi matin 12 novembre la décision de Bassirou Diomaye Faye de remplacer Aïda Mbodj à la tête de cette coalition par Aminata Touré. Assane Samb, journaliste, analyste politique et directeur de Solo Quotidien, est l’invité d’Afrique midi. À lire aussiSénégal: bras de fer entre le président Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko
« Le prix du sang, de l’ardeur et des larmes », c'est le lourd tribut que l'Angola a dû payer pour acquérir son indépendance ce 11 novembre 1975. Ces mots sont ceux d’Agostinho Neto, premier président de la République populaire d'Angola, chef du Mouvement populaire de libération de l’Angola, le MPLA, l'un des pères fondateurs du pays. L'Angola célèbre aujourd'hui les 50 ans de son indépendance avec une série de cérémonies qui commençaient ce 11 novembre 2025, à Luanda. Didier Péclard, professeur associé de sciences politiques et études africaines à l'université de Genève en Suisse, est l’invité d’Afrique Midi. À lire aussiAngola: 50 ans après l'indépendance, la jeunesse rêve de liberté et de prospérité
C'est une fenêtre de dix jours qui s'ouvre pour impulser un changement dans la lutte contre le réchauffement climatique. Belém, au Brésil, accueille à partir de ce 10 novembre la COP30. Près de 50 000 participants sont attendus, représentant un peu moins de 200 pays. Pour les États africains, notamment, l'urgence est réelle face à la récurrence des catastrophes naturelles. Aïssatou Diouf, chargée de plaidoyer sur le climat au sein de l'association sénégalaise ENDA, est l'invitée d'Afrique Midi. 
Le Darfour-Nord traverse une des pires crises humanitaire de son histoire. Près de deux semaines après la prise d'El-Fasher, ils sont plus de 26 000 à avoir fui les violences et à avoir trouvé refuge à Tawila. Le docteur Rodrigue Alitanou dirige les opérations de l'ONG Alima. Il est l'invité d'Afrique Midi.
Les revenus du secteur des carburants partent-ils en fumée pour le peuple centrafricain ? C'est en tout cas la conclusion de l'organisation Global Initiative contre le crime organisé transnational, qui publie, ce jeudi 6 novembre, un rapport sur le sujet.Selon eux, le secteur est un « cartel » mêlant acteurs sécuritaires, économiques et politiques, qui maintiennent « artificiellement des prix élevés pour maximiser les profits ». Jusqu'à un tiers du prix à la pompe ne serait pas justifié, selon leurs calculs. Ruben De Koning, analyste pour Global Initiative Against Transnational Organized Crime (GI-TOC), spécialiste de l'Afrique centrale, est l'invité d'Afrique Midi. 
En Guinée, Mamadi Doumbouya est officiellement candidat à la présidentielle du 28 décembre. L'occasion de s'intéresser aux relations que le général Doumbouya entretient avec la France et avec ses voisins du Sahel. Vincent Foucher, docteur en sciences politiques et chercheur au CNRS, est notre invité. À lire aussiGuinée: le général Mamadi Doumbouya est officiellement entré dans la course à la présidentielle
Dix jours après la chute d'El-Fasher au Soudan, prise par les Forces de soutien rapide (FSR), le conseiller principal américain pour les affaires arabes et africaines Massad Boulos évoque des discussions avec l’armée soudanaise et les paramilitaires. L'objectif, aboutir à court terme à la conclusion d’une trêve humanitaire puis à un processus politique. Thierry Vircoulon, chercheur associé à l'Observatoire de l'Afrique centrale et orientale à l'Ifri ne voit pas pourquoi cette initiative aboutirait davantage que les précédentes.
Les témoignages sur les atrocités perpétrées par les milices FSR à El-Fasher se multiplient depuis la chute de la capitale du Darfour du Nord, il y a une semaine. Jérôme Tubiana, conseiller aux opérations de l'ONG Médecins sans frontières, rentre du Darfour et il est l’invité d’Afrique midi. À lire aussiSoudan: les violences à El-Fasher « pourraient constituer des crimes de guerre », selon le procureur de la CPI
Plus d'1,5 million d’euros d'aide humanitaire, la réouverture de l'aéroport de Goma au Nord-Kivu... Ces annonces ont été faites hier à la Conférence de soutien à la paix et à la prospérité de la région des Grands Lacs qui était organisée à Paris. Luc Lamprière, directeur du Forum des ONG internationales œuvrant en RDC, y a participé. Il est l'invité d'Afrique midi.  À lire aussiConférence de Paris: un élan diplomatique salué, mais des promesses encore à concrétiser dans les Grands Lacs
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