Discover
J'aime quand vous souriez

J'aime quand vous souriez
Author: Izaline Nicol
Subscribed: 0Played: 0Subscribe
Share
Description
Bonjour, je m’appelle Izaline et je vous souhaite la bienvenue sur mon podcast : J’aime quand vous souriez. Cette aventure est née d’une envie profonde de vous embarquer avec moi à la rencontre des artisans, artistes et entrepreneurs d’aujourd’hui et de demain. Ce qui les lie, c’est le goût de la création, du défi et un savoir-faire unique.
Au fil de ces discussions, nous plongerons dans leur univers pour explorer ce qui les motive chaque jour à suivre leur boussole intérieure, à travers leurs secrets de fabrication, leur parcours parfois atypique semé d’embûches de doutes et riche en émotions ainsi que leur rapport au monde de demain.
L’idée de ce podcast est de vous transmettre leur histoire, vous inspirer et, qui sait, vous donner le sourire ! Alors, êtes-vous prêt à découvrir ces âmes passionnées ? Moi, je le suis déjà.
Au fil de ces discussions, nous plongerons dans leur univers pour explorer ce qui les motive chaque jour à suivre leur boussole intérieure, à travers leurs secrets de fabrication, leur parcours parfois atypique semé d’embûches de doutes et riche en émotions ainsi que leur rapport au monde de demain.
L’idée de ce podcast est de vous transmettre leur histoire, vous inspirer et, qui sait, vous donner le sourire ! Alors, êtes-vous prêt à découvrir ces âmes passionnées ? Moi, je le suis déjà.
17 Episodes
Reverse
Et si un cadeau de Noël pouvait changer une vie ? C’est ce qui est arrivé à Manon, fondatrice de la Maison Boucand. En 2019, on lui offre un kit pour fabriquer du fromage… sans lait. Manon est végan depuis de nombreuses années et fidèle à ses engagements, ce cadeau en apparence anodin tombe à pic. Elle vient de quitter son job et cherche une nouvelle voie plus en accord avec ses valeurs.
Au départ, Manon teste ses créations dans sa cuisine et les fait goûter à ses proches. Succès immédiat. Un cadeau de Noël qui a un effet boule de neige … et devient le point de départ d’une nouvelle aventure : créer des fromages ou plutôt des affinés 100 % végan et bio, respectueux des humains, des animaux et de la planète.
Aujourd’hui, Maison Boucand commence à faire du bruit dans le monde végétal. Les affinés bretons se font un nom grâce aux épiceries fines et végétales en France et même en Belgique.
Vous allez voir, Manon est passionnée par son sujet, déterminée, pugnace et engagée. Dans cet épisode, elle nous parle de :
. Son parcours, sa reconversion et partage les secrets de recette de ses affinés et des ingrédients d’origine 100% végétale qu'elle utilise pour un produit d’excellence respectueux des humains, des animaux et de la planète.
. Son équipe alignée à ses valeurs… Une équipe 100 % féminine… Girl Power !
. Ses convictions et engagements pour préserver le vivant et l’environnement.
Bonne écoute !
Retrouvez le podcast sur Instagram :
https://www.instagram.com/jaimequandvoussouriez
Si vous souhaitez en savoir sur la Maison Boucand :
https://maison-boucand.bzh
Pour me suivre dans mon univers rendez-vous ici :
https://www.instagram.com/izaline.nicol
J’aime quand vous souriez saison 2, c’est parti !
Je suis heureuse de vous retrouver et je vous propose de prolonger l’été !
J’ai profité d’une escapade en provence en juillet dernier pour poser mes micros à Saint-Cannat, un joli village entouré de vignes. J’y ai retrouvé Pierre Einaudi, vigneron au domaine de La Bargemone.
La dernière fois que nous nous sommes croisés, c’était il y a 4 ans lors d’un stage de théâtre. Pierre sortait du cours Florent et débutait comme comédien. Depuis, il a quitté les scènes de théâtre pour un tout autre décor, celui des vignes provençales.
Vous allez voir Pierre a eu plusieurs vies avant d’enfiler le costume de vigneron.
Ce changement de vie, il en avait envie. Devenir vigneron, travailler la terre c’est aussi raconter une histoire mais d’une autre manière qu’en endossant des personnages.
Pierre est devenu, à sa manière, un passeur d’histoire à travers le terroir.
Dans cet épisode, Pierre nous parle :. De sa reconversion, de sa formation de vigneron et de la création du domaine,. Du savoir-faire du métier, des étapes de création et des secrets d’assemblage du vin,. Du respect de la nature qui selon ses mots : ses vignes ne sont qu’un vaste jardin où la biodiversité est reine.. De la force de son équipe, unie par la passion et le sourire !
J’ai enregistré cette interview dans leur sublime bâtiment aux tons ocres au cœur des vignes, en parfaite harmonie avec le paysage, qui abrite à la fois le caveau de vente, le chai et les caves.
Je vous invite à découvrir ce magnifique domaine si vous passez par dans la région.
Bonne écoute !
Retrouvez le podcast sur Instagram :
https://www.instagram.com/jaimequandvoussouriez
Si vous souhaitez en savoir sur le domaine de la Bargemone :
https://www.bargemone.com
Pour me suivre dans mon univers rendez-vous ici :
https://www.instagram.com/izaline.nicol
Et si on réapprenait à regarder, à observer les petits détails du quotidien, les objets qu’on croise, les paysages qu’on traverse… pour s’en inspirer… ?
Dans ce nouvel épisode et parce que ça sent bon l’été, je vous invite à découvrir Khani, aquarelliste et illustratrice.Rien ne la prédestinait à l’aquarelle : diplômée d’une grande école de management, c’est un voyage au Vietnam, pays de ses origines, qui bouleverse sa trajectoire. Et c’est à ce moment-là que la magie opère.
Elle redécouvre là-bas le plaisir de dessiner, inspirée par les paysages, les couleurs, les ambiances.Pour garder un lien avec ses proches, elle leur envoie de jolies cartes illustrées… et tombe amoureuse de l’aquarelle.
S’en suit un voyage en Australie, nouvelle ambiance, nouveaux paysages tout aussi spectaculaires. Elle continue de peindre en s’inspirant de ce qu’elle voit, de ce qu’il l’entoure : panoramas grandioses ou tout simplement des scènes ou objets de la vie quotidienne. C’est ici qu’elle commence même à donner ses premiers ateliers.
Ce qu’elle aime ? Le lâcher-prise, l’instant présent, la liberté de créer partout, simplement.
Je l’ai rencontrée chez elle, dans une atmosphère douce et chaleureuse. On a parlé d’intuition, de reconversion, de processus de création, d’inspiration et de ce qui arrive quand on ose suivre ce qui nous fait vibrer.
Un épisode inspirant et lumineux. Bonne écoute !
En travaillant la terre, on se connecte à elle. On apprend à ralentir, à faire preuve de patience.Les créations de mon invitée nous rappellent justement cela. Je la cite :« Prendre le temps de boire un thé dans une belle tasse, échanger avec des êtres chers autour d’un repas partagé dans des assiettes fabriquées avec amour et avec joie. »C’est avec ces jolis mots que j’avais envie d’ouvrir ce nouvel épisode.
Pour ce 13ᵉ épisode, je vous invite à découvrir Valérie Laroche, céramiste et art thérapeute.
Valérie partage son parcours qui l’a poussée à s’écouter et à se réinventer. C’est dans la terre qu’elle trouve un nouveau souffle. En plongeant les mains dans la matière, elle découvre un apaisement, une forme de méditation, une manière de créer du lien. Ce qu’elle aime, c’est le rituel, la lenteur, le geste répété. Car être céramiste, c’est aussi apprendre la patience. C’est un savoir-faire qui demande du temps où chaque étape de création doit être respectée avec soin.
Elle dévoile aussi les coulisses de son atelier, sa passion pour les matières naturelles qu’elle choisit avec une grande attention. C’est ce que j’aime dans ses créations : des tons naturels, épurés, doux.
Elle nous parle aussi de ses inspirations grâce à l'écriture, aux citations, à ses enfants, à ce qui l’entoure au quotidien et de l’importance de faire ce que l’on aime profondément. Sa philosophie de vie : suivre ce que l’on aime pour laisser naître l’excellence.
Valérie nous raconte l’évolution de son projet, dans lequel elle propose aujourd’hui des ateliers d’art-thérapie.Un épisode enregistré dans son atelier baigné par la jolie lumière d’un doux matin de juin. A savourer comme un thé dans une belle tasse signée Valérie Laroche.
Bonne écoute !
Et si cet été, on s’évadait avec élégance ? C’est la promesse de Christel, fondatrice de Beyo, une marque de mode eco responsable pensée pour les femmes libres, engagées … et stylées.
Sa mission : proposer des pièces durables aux femmes qui veulent s’habiller avec sens, sans faire de compromis sur le style et leurs valeurs.
Dans cet épisode, je vous emmène à Paris, à la rencontre de cette femme audacieuse.
Ex-hôtesse de l’air, elle décide un jour de reprendre ses études et de se lancer dans l’entrepreneuriat. L’idée de Beyo naît lors d’une escale à Johannesburg : Christel veut créer des robes durables, made in France et inspirées par ses voyages.
Elle nous raconte ses débuts, son passage à la Caserne, incubateur de mode responsable, son processus de création, sa passion pour les matières upcyclées qu’elle déniche chez Nona Source, et comment elle fait rimer créativité, économie circulaire, engagement et exigence.
Inspirée par Rio ou encore Paris, Christel donne vie à une mode solaire et consciente. Dans cet épisode, elle partage aussi ses coulisses, ses doutes, ses inspirations, et même quelques astuces pour s’organiser quand on mène 10 vies en une !
J’ai rejoint Christel à Paris à l’école où elle donne cours. Oui Christel a encore une autre casquette et elle en parlera dans cet episode !J’ai traversé le porche avant d’arriver dans une cours intérieure entouré de magnifiques immeubles haussmannien, au milieu, la porte de l’école ou elle m’attend.Nous avons trouvé une salle pour enregistrer l’épisode où Christel a pris soin d’indiquer sur la porte de ne pas déranger – enrgistrement en cours.
Bonne écoute !
Avez-vous un bijou fétiche que vous portez lors de moments importants ou tout simplement parce qu’il est porteur d’histoire, d’émotion ? Tout un symbole !
Dans ce nouvel épisode, je vous invite à plonger dans l’univers sensible et délicat de Chloé, créatrice de bijoux sur mesure. Je l’ai rencontrée à mon premier cours de théâtre à Bruxelles, et aujourd’hui, elle a accepté de partager son parcours inspirant.
Chloé nous raconte comment elle a trouvé sa voie : créer de ses mains, être au contact et manipuler la matière avec minutie et précision. Elle nous raconte comment elle donne vie à des bijoux uniques et porteurs de sens et d’histoire en nous dévoilant ses techniques et son savoir-faire. Elle nous livre ses défis pour se différencier et offrir une collection à son image. Elle parle aussi de ses inspirations à travers ses voyages, rencontres ou balades dans Bruxelles tout simplement.
Chloé partage aujourd’hui un atelier à Bruxelles joliment nommé "Or Norme", un lieu chaleureux où règnent entraide et créativité. Leur atelier ressemble un petit coin à part hors du temps. On y trouve 4 établis avec les outils, les matières pour créer les bijoux. Quelques meubles chinés habillent la pièce avec un beau miroir entouré de bois sculpté.
Spoiler : l’épisode commence sur une petite anecdote de café... à double adresse
Bonne écoute !
Pour ce tout nouvel épisode, j’ai le plaisir d’accueillir Jemima, fondatrice de Women in Art.
Jemima est une grande amoureuse de l’art et de son histoire. Elle étudie les différents courants artistiques et, à travers ses recherches et les expos qu’elle visite, elle réalise que les artistes femmes ne sont toujours pas assez représentées dans le monde de l’art.
De ce constat, lui vient une idée : mettre en lumière les femmes artistes et leur place dans le milieu artistique.
Ensemble, nous avons parlé de son parcours, de ses « mille vies » avant Women in Art en tant que chorégraphe et organisatrice d’évènements. Nous évoquons son expérience à Dakhar, qui est, en quelque sorte à l’origine de ce qui l’a poussé à créer cette belle initiative, dont la Biennale de Bruxelles, qui met à l’honneur les femmes dans l’art. Jemima nous confie ses incroyables futurs projets dont la médiation culturelle et nous dévoile ses coups de cœur artistiques et de sa sensibilité au beau.
Jemima m’a rejointe à vélo, avec son style unique que j’adore : sourire aux lèvres, robe verte, bague en quartz rose signée Katerina Vassou, et une grande boucle d’oreille trombone… qu’elle a elle-même créée !
Jemima est solaire et avec une belle énergie communicative !
Micros branchés, zoom en mode rec, nous voilà bien installées, l’interview peut démarrer.
Aujourd’hui, je vous emmène en balade dans les Marolles à Bruxelles, le quartier incontournable pour les amateurs d’antiquités, de marchés aux puces où il fait bon chiner.
Et parmi ces trésors, on trouve aussi des artisans passionnés, comme Myriam, tapissière et fondatrice de Machao Design.
J’ai découvert son univers alors que je cherchais des chaises pour mon appartement, et j’ai tout de suite été séduite par son univers : offrir une seconde vie au mobilier ancien grâce à des matières colorées et un savoir-faire artisanal unique.
Dans ce nouvel épisode, nous parlons :
. De sa reconversion audacieuse, de son chemin vers l’artisanat et la création de son atelier.
. De sa passion pour l’art et les belles matières.
. Des matières et styles qu’elle adore mélanger : wax éclatant, motifs fleuris, tissus vibrants qui insufflent une nouvelle vie aux meubles anciens.
. De son goût pour combiner l’ancien et le moderne en s’affranchissant des tendances et en proposant des pièces uniques.
.De l’upcycling et du mobilier transformé, mais aussi du textile fait main, de la vaisselle chinée et des collaborations avec d’autres créateurs.
. Des défis de l’entrepreneuriat et de son organisation pour jongler entre passion et vie de famille.
Je vous propose de plonger dans son univers haut en couleur.
Et vous, quel meuble aimeriez-vous relooker ? Dites-moi en commentaire !
Bonne écoute !
Vous sentez cette flamme intérieure qui s’illumine quand vous faites ce qui vous anime profondément ? Quentin, co-fondateur de Inner Design, la fait briller à travers son approche du design holistique.
Avec son associé Diego, ils ont imaginé la chaise Shanti, un cocon où esthétique et bien-être se rencontrent. Une chaise qui invite à la détente, à la reconnexion avec soi.
J’ai eu l’occasion de la tester lors de l’expo Curated au Mix à Bruxelles et j’avoue que l’expérience est surprenante où je me suis sentie comme dans une bulle loin du tumulte du quotidien.
Quentin m’a donné rendez-vous au Fosbury & Son à deux pas de la forêt de Soignes, un très beau lieu bruxellois tant pour son architecture avec ses mythiques fenêtres ovales que pour ses espaces de travail aux couleurs chaudes et bois foncés sublimant l’espace.
Dans ce nouvel épisode de podcast, Quentin nous embarque dans son parcours :- de sa reconversion et ce qui l’a poussé à créer Inner Design
- de son inspiration et de comment est né la chaise Shanti- de sa volonté de promouvoir le savoir-faire des artisans et designers locaux- de son ambition de contribuer à un monde meilleur
Nous parlons aussi de sa nouvelle vie d’entrepreneur qui n’est certes, pas un long fleuve tranquille mais grâce à qui sa créativité et sa flamme de créateur a grandi.
Un échange inspirant qui donne envie d’oser et de créer avec sens.
Bonne écoute !
Bonjour à tous,
Certaines rencontres marquent instantanément. C’est ce que j’ai ressenti en faisant la connaissance de Siré, créatrice de mode et fondatrice de la marque belge Erratum.
Nous nous sommes rencontrées dans le cadre d’une soirée Beabee organisée par Béa Ecolini, où elle m’a parlé de sa marque et de ses engagements. J’ai tout de suite aimé son énergie communicative et lumineuse autant par son histoire que ses créations.
L’ADN de sa marque ? Créer un pont entre ses origines africaines et sa vie en Europe. Siré puise dans son héritage culturel, les coutumes de son enfance et son ouverture sur le monde pour créer des vêtements intemporels, colorés, éthiques et responsables.
Ce sont des conversations avec ses filles et un voyage au Sénégal qui vont raviver son envie de travailler la matière et de créer une marque à son image. Ses collections qui sont d’ailleurs confectionnées avec des tissus africains dans des ateliers sociaux en Belgique, portent un message de diversité, d’inclusion et de solidarité.
Bien sûr, le parcours entrepreneurial n’est pas sans doutes, ni défis ou de baisse d’énergie. Pour Siré, l’essentiel est d’oser, d’aller au bout de soi de se laisser guider par ces frémissements créatifs et un soupçon de débrouillardise qui confirment qu’elle est dans le bon et ce qui est juste pour elle. Et c’est sûrement grâce à cela qu’elle fait de belles rencontres qui donneront une certaine visibilité à sa marque … à découvrir dans ce podcast.
Nous avons enregistré l’interview chez moi. Siré est arrivée, sourire radieux, vêtue de lunettes vertes et d’un chemisier de sa collection. Des tons lumineux, qui ont éclairés ma fin de journée et, je l’espère, fera rayonner aussi la vôtre !
Je vous souhaite une belle écoute.
Bonjour à tous,
J’adore cette période de l’année où en cuisine, on peut s’amuser à concocter de bons plats réconfortants. Pas vous ?
Et pour bien commencer cette nouvelle année, j’ai préparé un premier épisode de podcast avec un artisan qui sait comment réchauffer nos soirées d’hiver, nous faire plaisir avec ce qu’il connait de mieux et qui nous réconforte dès la première bouchée... j’ai nommé le fromage.
Je vous présente Etienne, artisan fromager à Bruxelles. Sa boutique est située à deux pas de chez moi, alors je suis allée poser mes micros pour une interview pleine de bonne humeur. Ambiance boutique en fin de journée, effluves de fromages et discussions passionnées au programme. Autant vous dire que j’ai adoré l’expérience !
Dans cet épisode, on parle de :- Ses débuts de l’école Paul Bocuse aux Halles de Lyon, où il a lancé son concept boutique et cheese bar- Sa rencontre avec l’amour (oui, oui !), qui l’a conduit à se lancer dans une toute nouvelle aventure à Bruxelles- Comment il sélectionne avec soin ses producteurs locaux
- Son envie de transmettre son histoire et sa passion à une clientèle fidèle.
Etienne a une énergie contagieuse et une vraie passion pour le fromage, qu’il transmet avec enthousiasme.
Bref, je nous vous en dis pas plus, préparez vous juste à avoir l’eau à la bouche!
Je vous souhaite une belle écoute !
Faire de la culture une priorité, un pilier de la vie bruxelloise accessible à toutes et tous : voilà l’ambition qui a animé Delphine Houba pendant près de six ans en tant qu’échevine de la culture, du tourisme et des grands événements.
Nous avons enregistré le podcast avant qu’elle ne prenne de nouvelles fonctions début décembre.
Dans cet épisode, elle revient sur son parcours, ses engagements, ses fiertés, les défis qu’elle a relevés pour faire rayonner la scène artistique bruxelloise. Des musées aux festivals, en passant par les théâtres, les cinémas, les concerts, elle a soutenu toutes les initiatives culturelles, pour que chacun puisse en profiter et s’y retrouver tout en luttant activement contre les inégalités.
Nous avons discuté de la façon dont elle s’est organisée pour répondre aux sollicitations liées à son mandat, tout en menant de front d’autres projets parallèles et son rôle de jeune maman. L’organisation, lorsqu’ on a plusieurs cordes à son arc est un sujet qui m’intéresse tout particulièrement.
J’ai rencontré Delphine pour la première fois au Salon du Livre de Bruxelles lors de la conférence Cultur’elle qu’elle a créée pour visibiliser les femmes dans la culture. Ce jour-là, l’invitée d’honneur était Lauren Bastide, hôte du podcast Folie Douce. Depuis, j’ai eu l’occasion de l’écouter à d’autres événements, où elle a invité des figures comme Lisette Lombé ou Pénélope Bagieu.
Delphine Houba, c’est une énergie contagieuse, une vision inclusive et un engagement fort pour l’accès à la culture. C’est pour toutes ces raisons que j’ai souhaité l’interviewer.
Nous nous sommes retrouvées dans ses bureaux, à deux pas de la Grand-Place, où elle m’a accueillie avec son énergie habituelle, prête à partager son histoire.
Alors si vous avez besoin d’une bonne dose d’inspiration pour cette fin d’année, cet épisode est pour vous !
Bonne écoute !
Dans cet épisode, je reçois Edit, la créatrice derrière la marque de bijoux Tulipane Design. Originaire de Hongrie, son pays d’origine, Edit s’inspire de la tulipe qui s’écrit Tulipane en Hongrois, symbole de féminité et emblème de son pays, pour créer des bijoux vibrants et pleins de sens.
Edit me rejoint chez moi pour enregistrer cette interview. Elle se livre avec sincérité sur son parcours, son savoir-faire artisanal dont la broderie hongroise et le tissage traditionnel appris auprès de sa grand-mère et de ses inspirations du folklore d’Europe de l’Est,
Mais ce n’est pas tout : à travers ses créations, Edit porte un message fort. Elle milite pour des causes qui lui tiennent à cœur, comme la santé mentale et la lutte contre les violences conjugales. Avec chaque bijou vendu, 1€ est reversé à un centre de prévention des violences conjugales.
Cette discussion touchante m’a particulièrement marquée, tant par son humilité et son humanité que par sa profondeur. Découvrez une femme inspirante et un univers créatif qui redonne confiance, réunit et embellit.
Avez-vous une fleur fétiche ? Une fleur que vous aimez pour sa couleur, son parfum ou vous fait voyager, penser à un lieu, à quelqu’un ?
Pour ce nouvel épisode et je crois que vous l’aurez compris, je vous propose de rencontrer Hélène, fleuriste depuis 4 ans à Bruxelles.
Hélène, je l’ai rencontrée grâce aux chroniques radios. C’est une femme pétillante, engagée et passionnée par son métier. J’avais bien aimé notre échange et nous nous étions dit qu’un jour nous pourrions enregistrer l’interview. Quand mon projet de podcast a pris forme, je l’ai recontactée et elle a accepté ma nouvelle invitation.
C’est avant tout l’histoire d’une reconversion. Hélène a quitté le monde de l’entreprise pour deux raisons : explorer son envie d’entreprendre et être plus proche de la nature. Depuis toujours, elle aime les fleurs, les plantes. Elle décide alors de suivre des cours du soir en fleuristerie. Ce qu’elle aime dans cette activité c’est non seulement travailler les fleurs mais aussi se reconnecter, dans un milieu urbain … à la nature.
Dans cet épisode, Hélène nous raconte son savoir-faire, ses techniques de création de bouquets et l’art floral pour les évènements de ses clients. Elle nous parle avec enthousiasme de ses choix de producteur-rices en fleurs toujours plus locales et responsables, Elle nous partage son engagement pour ne proposer que des fleurs de saisons, de ses inspirations. Elle nous livre aussi les étapes de sa reconversion, ses doutes et questionnements sur ce changement de vie et le soutien de ses proches.
Hélène, toujours aussi souriante, m’accueille chez elle avant qu’elle n’ouvre sa boutique « Simon ses fleurs », qui est un écrin de douceur grâce aux fleurs et à la déco pastel et rose pâle.
Je suis Izaline Nicol et vous écoutez le podcast J’aime quand vous souriez, épisode 3, saison 1 !
Michèle Gay est la seconde invitée de mon podcast. J’ai découvert son univers grâce à ses posts passionnants sur Linkedin et c’est avec plaisir qu’elle a accepté mon invitation.
Michèle est parfumeure culinaire et depuis son plus jeune âge, elle a une sensibilité toute particulière pour les odeurs et les fragrances. Elle va en faire son métier en explorant l’univers du parfum et de la gastronomie. Elle développe l’art de cuisiner les parfums avec style en travaillant le sens des matières, des gestes et de la composition. Tout au long de sa carrière, Michèle entreprend un cheminement extra-sensoriel, pour apprendre à entendre ce que disent les parfums.
Nous enregistrons cette interview chez elle à Bruxelles dans son bel appartement dont l’architecture de l’immeuble me fait penser au fameux fer à repasser New-Yorkais, en moins haut je l’admets ! Ce cocon bruxellois est à son image : chic et élégant. Nous nous installons dans le coin boudoir de la maison. Michèle me sert un thé. Les micros sont installés sur la table, son petit chien est assis confortablement sur ses genoux. La conversation peut commencer.
Michèle y décrit avec passion son métier, la façon dont elle capte l’essence des maisons avec lesquelles elle travaille. Elle nous parle des techniques qui lui permettent d’allier goût et odeurs, saveurs et matières, de jouer avec les parfums et d’imaginer des notes singulières. Elle nous dévoile son processus de création, de différentiation, ses sources d’inspiration, des origines de sa passion, de nos sens et des astuces pour les travailler.
Je suis Izaline Nicol et vous écoutez le podcast J’aime quand vous souriez, épisode 2, saison 1 !
Pour ce tout premier épisode je suis allée rencontrer Cédric Chauvelot, typographe à Bruxelles.
Ancien élève des Beaux-Arts en France puis de l’Académie de dessin en Belgique, il se passionne très vite pour la typographie. Ce qu’il aime c’est le travail manuel, la recherche graphique et les contraintes techniques de ce métier l’attire. C’est ainsi qu’il va devenir en quelque sorte créateur de caractères.
La force de Cédric est qu’il est confiant et suit son instinct. A l’ère du numérique, il en faut de l’audace pour se lancer dans ce pari fou !
En 2009, il ouvre son premier atelier-boutique à Bruxelles. Entrer dans cet endroit, c’est comme faire un voyage dans le temps, les machines sont d’époque et manuelles, les alphabets en plomb et en bois. Tout est imprimé de manière artisanale et traditionnelle pour ainsi créer de la papeterie de qualité. Aujourd’hui, le Typographe possède une deuxième boutique à Nantes et répond à des demandes spéciales comme le musée Rodin à Paris.
Il me donne rendez-vous dans les bureaux bruxellois au-dessus de l’atelier. Avant de m’y rendre, j’hume l’odeur du papier, de l’encre et m’imprègne de l’atmosphère de l’endroit ! Je monte l’escalier menant au bureau où Cédric m’accueille avec un grand sourire. Pendant près d’une heure, nous discutons de son parcours, de la création de son entreprise, de sa passion pour son métier, du processus de conception et de production artisanale et locale, de ses inspirations, de son esprit créatif.
Je suis Izaline Nicol et vous écoutez le podcast J’aime quand vous souriez, épisode 1, saison 1 c’est parti.
Bonjour, je m’appelle Izaline et je vous souhaite la bienvenue sur mon podcast : J’aime quand vous souriez. Cette aventure est née d’une envie profonde de vous embarquer avec moi à la rencontre des artisans, artistes et entrepreneurs d’aujourd’hui et de demain. Ce qui les lie, c’est le goût de la création, du défi et un savoir-faire unique.
Au fil de ces discussions, nous plongerons dans leur univers pour explorer ce qui les motive chaque jour à suivre leur boussole intérieure, à travers leurs secrets de fabrication, leur parcours parfois atypique semé d’embûches de doutes et riche en émotions ainsi que leur rapport au monde de demain.
L’idée de ce podcast est de vous transmettre leur histoire, vous inspirer et, qui sait, vous donner le sourire ! Alors, êtes-vous prêt à découvrir ces âmes passionnées ? Moi, je le suis déjà.