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Je ne suis pas raciste, mais

Je ne suis pas raciste, mais

Author: Slate.fr Podcasts

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Un mardi sur deux, dans Je ne suis pas raciste, mais, Donia Ismail analyse le racisme qu'on dit ordinaire, mais qui n'a rien d'ordinaire, à travers des témoignages et des entretiens avec des spécialistes.

Si vous aimez Je ne suis pas raciste, mais, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur Spotify, Apple et ailleurs, en en parlant autour de vous et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.
Je ne suis pas raciste, mais… est un podcast de Donia Ismail, produit par Slate Podcasts.
Direction éditoriale: Christophe Carron.
Production éditoriale: Nina Pareja.
Montage et réalisation: Mona Delahais.
Musique: Thomas Loupias.


(Ce podcast était anciennement appelé «Mansplaining» de Thomas Messias et traitait de questions de masculinité. Les épisodes sont toujours disponible dans les saisons précédentes.)


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143 Episodes
Reverse
Trentenaire, blanc, hétéro, cisgenre, marié et père, Thomas Messias est ce genre de personnes qu'on entend déjà beaucoup trop dans les médias, y compris sur des sujets qu'elles ne maîtrisent pas toujours. Tous les quinze jours dans "Mansplaining", il questionne un sujet qu'il connait, la masculinité, pour rappeler qu'elle n'est pas unique… mais plurielle.Cette semaine, il se penche sur le film "Buffalo '66" de Vincent Gallo (1998). L'acteur-réalisateur y incarne Billy Brown : à sa sortie de prison, il kidnappe une jeune femme pour la forcer à jouer le rôle de son épouse face à ses parents. Une aventure présentée comme une grande histoire romantique.Générique : Savvier, Warm Sea  Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
"Le Grand Bain", c’est l’histoire d’une bande de types qui glandent en slip et en claquettes au bord de la piscine. Mais c’est aussi l’histoire du corps des hommes, qui malgré leur bide, leurs poils et leur absence de muscles, se pavanent sans se poser de questions dans l’espace public. Dans ce deuxième épisode, Thomas Messias s’est penché sur la question… et sur ses propres imperfections.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Générique : Savvier, Warm Sea  Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
En 2005, on pouvait apparemment draguer en tendant des pièges aux femmes. Celles-ci n'avaient alors plus vraiment d'autre choix que celui d'accepter les avances de leur prétendant-chasseur, tout en ayant l'impression qu'elles restaient maîtresses de leurs décisions. Sortie cette année-là, la «comédie romantique» Hitch mettait en lumière certaines méthodes prônées par les coachs en séduction… et les pick-up artists. Des techniques qui n'ont pas disparu avec l'émergence #MeToo.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Générique : Savvier, Warm SeaRéférences :Fiona Schmidt, L'Amour après #MeToo, Hachette (2018)Mélanie Gourarier, Alpha Mâle – Séduire les femmes pour s'apprécier entre hommes, Seuil (2018)Andy Tennant, Hitch – Expert en séduction (2005)Steven Soderbergh, Ocean's Eleven (2001) Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Fin d’année oblige, c’est déjà l’heure du bilan. L’année ciné 2018 fut passionnante à plus d’un titre, et a notamment permis d’observer toute une galerie d’hommes réalisant souvent un peu tard qu’on ne s’improvise pas père, avec ses véritables enfants comme avec ceux dont on a subitement la charge. Consternants ou inspirants, ces pères-là ont marqué l’année et soulevé plein d’interrogations. Pour de bonnes ou de mauvaises raisons.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Générique : Savvier, Warm Sea Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Alors que la suite des Petits mouchoirs arrive en mars, c’est le moment de faire un point sur le «film de potes» et sa façon d’idéaliser des amitiés masculines pourtant loin d’être reluisantes. Utilisant le nombre pour asseoir leur domination, se réunissant autour de loisirs et de sports pour mieux se reconnaître entre mâles, les hommes aiment se retrouver en meutes, ce que les réalisateurs trouvent généralement très cool. Les trois Cœur des hommes signés Marc Esposito en sont un exemple plus que révélateur. Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Générique : Savvier, Warm SeaRéférences :Marc Esposito, Le Cœur des hommes (2003), Le Cœur des hommes 2 (2007), Le Cœur des hommes 3 (2013)Guillaume Canet, Les Petits mouchoirs (2010)Pierre Desproges, En scène– Théâtre Grévin (1986)Yves Robert, Un éléphant ça trompe énormément (1976), Nous irons tous au paradis (1977) Jean-Marie Poiré, Mes meilleurs copains (1989)  Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Chaque 2 février, la ville de Punxsutawney célèbre le jour de la marmotte, et les cinéphiles pensent à Un jour sans fin. L’occasion d’inspecter un peu le film culte de Harold Ramis et notamment le rapport trouble de son héros, interprété par Bill Murray, à la séduction et au consentement. Profiter d’une boucle temporelle pour mettre le grappin sur Andie McDowell, ce n’est pas joli joli. La façon dont Adam Sandler s’occupe de Drew Barrymore dans Amour & amnésie laisse elle aussi pas mal d’interrogations en suspens…Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Générique : Savvier, Warm SeaRéférences :Harold Ramis, Un jour sans fin (1993)Ari Sandel, When we first met (2018)Peter Segal, Amour et Amnésie (2004)‘Groundhog Day’ Writer Danny Rubin Loves His Movie, à lire sur Vulture How Many Days Does Bill Murray Spend Stuck In Groundhog Day?, Whatculture Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Il y a pas mal de raisons de tiquer devant Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu? et sa suite, qui vient de sortir. Les deux films signés Philippe de Chauveron se distinguent notamment par leur sexisme de tous les instants, les rôles et les lieux assignés aux femmes étant bien différents de ceux attribués aux hommes. L’occasion d’observer tout particulièrement la relation unissant beaux-pères et gendres, qui semblent se transmettre les clés du clan familial en se gardant bien de laisser leur part aux femmes.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Générique : Savvier, Warm SeaRéférences Philippe de Chauveron, Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu? (2014), Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu? (2019)Jay Roach, Mon beau-père et moi (2000), Mon beau-père, mes parents et moi (2004)Paul Weitz, Mon beau-père et nous (2010)Robert Luketic, Sa mère ou moi (2005)Anthony Marciano, Les Gamins (2013)«Il faut qu’on parle de la romance lesbienne dans Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu», Têtu«La lettre de l’observatoire national des violences faites aux femmes, Violences faites aux femmes : les principales données» (secrétariat d’État chargé des droits des femmes, novembre 2015)  Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Sans la Ligue du LOL, ce huitième épisode aurait principalement tourné autour du postérieur de Franck Dubosc. Mais actualité oblige, et même s’il vous avait déjà été recommandé d'en finir avec les bandes de potes dans l’épisode 5, il fallait revenir sur le potentiel malfaisant des groupes d’hommes et leur façon si méprisable de considérer l’univers comme un paillasson doublé d’un terrain de jeu.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.RéférencesThe Riot Club (Lone Scherfig, 2014)Mean Creek (Jacob Aaron Estes, 2004)Tag (Jeff Tomsic, 2018)On ne change pas, Céline Dion (1998)Tweet d’Alexandre Hervaud À écouterLes couilles sur la table, épisode 35: «La ligue du LOL: la force du boys’ club»Quoi de meuf, épisode spécial : «Ligue du LOL et cyber-harcèlement»À lireFrance TV Info, «La Ligue du LOL»: comment un groupe Facebook créé «pour s'amuser» s'est transformé en machine à humilierNumerama, La Ligue du LOL racontée par ses victimes: «Ruiner des carrières et des vies, c’était leur quotidien»Numerama, La Ligue du LOL était aussi une machine à broyer les femmesLibération, Ligue du LOL: au commencement, le règne de la twittostérone  Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
À deux jours de la Journée Internationale des Droits des Femmes, il convient de réaliser qu’au lieu de leur offrir des fleurs ou de leur montrer leur soutien en portant du rouge à lèvres, les hommes pourraient commencer par faire cet incroyable cadeau aux femmes: le respect de leur consentement. Interdit de se mettre des œillères, de jouer les victimes ou de prendre ça à la légère: le consentement n’a rien d’un sujet léger.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.RéférencesL'Auberge espagnole (Cédric Klapisch, 2002)Il était une fois en Amérique (Sergio Leone, 1984)Gangsterdam (Romain Levy, 2017)SachaVore, Qu’est-ce que la culture du viol?Valentin Lutz, Il était une fois en Amérique – Un monde qui s’accorde à nos désirsNoémie Renard, En finir avec la culture du viol (Éditions Les Petits Matins)Valérie Rey-Robert, Une culture du viol à la française (Éditions Libertalia) Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Puisque les stéréotypes de genre n’attendent même pas la naissance pour commencer à nous tomber dessus, il n’est sans doute pas inutile de parler -entre autres- de masculinité avec les enfants. Et ça tombe bien, puisque certains divertissements familiaux s’y prêtent totalement, remettant en cause l’héroïsme forcené des personnages masculins et même la dynamique des boys’ clubs. Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.RéférencesLa Grande Aventure Lego (Phil Lord & Christopher Miller, 2014)La Grande Aventure Lego 2 (Mike Mitchell, 2018)Lego Batman, le film (Chris McKay, 2017)Ferdinand (Carlos Saldanha, 2017)Les Mondes de Ralph (Rich Moore, 2012)Purl (Kristen Lester, 2018)Podcast Miroir Miroir, épisode 12 – Livres pour enfants, ce reflet déformantLa Politique sexuelle de la viande, Carol J. Adams (1990)Générique : Savvier, Warm Sea Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Il n'est plus guère possible d’évoquer la vie amoureuse des plus ou moins trentenaires sans inclure les applis de rencontre. Des applis au moins aussi sexistes que la vie dite réelle, comme le démontre Judith Duportail dans son livre L’Amour sous algorithme. Le cinéma, s’il ne s’est pas encore suffisamment emparé du problème, a tout de même souvent tendance à confirmer. Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Références:Chercher le garçon (Dorothée Sebbagh, 2012)Newness (Drake Doremus, 2017)Je préfère qu’on reste amis (Olivier Nakache & Eric Toledano, 2005)Judith Duportail, L’amour sous algorithme, éditions Goutte d’Or (2019)Générique : Savvier, Warm Sea Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Bien avant que l’on se mettre à employer l’expression «charge mentale», les femmes pliaient déjà sous son poids. Un sujet que le cinéma s’est mis à explorer au cours de la dernière décennie, montrant des hommes indignes, qui laissent leurs femmes se tuer à petit feu, consciemment ou non, à force de les contraindre à tout faire et à tout penser… tout cela alors qu’ils sont censés les aimer.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Références:La vie domestique (Isabelle Czajka, 2013)L'économie du couple (Joachim Lafosse, 2016)Pourquoi tu pleures? (Katia Lewkowicz, 2011)Emma, «Fallait demander» (9 mai 2017)Tweet de Rachel Miller (23 février 2016)Générique : Warm Sea, Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Qu’elles se saisissent d’une croix réservée aux hommes, qu’elles survolent une course cyclistes ou qu’elles obtiennent n’importe quelle avancée un tant soit peu féministe, les femmes savent qu’elles peuvent s’attendre à des réactions hostiles, agressives, visant à les remettre à leur place. Parce que les hommes, plutôt que de s’interroger sur leur propre statut, préfèrent organiser des chasses aux sorcières et planifier les retours de bâton.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Références :Dieu existe, son nom est Petrunya (Teona Strugar Mitevska, 2018)Les Chiens de paille (Sam Peckinpah, 1971)La Belle et la Bête (Gary Trousdale & Kirk Wise, 1991)Mona Chollet, Sorcières, la puissance invaincue des femmes, éditions Zones / La Découverte)Susan Faludi, Backlash, la guerre froide contre les femmes, éditions des FemmesConférence de presse du film Dieu existe, son nom est Petrunya, 10 février 2019 Aude Lorriaux, «Sorcières», le livre de Mona Chollet qui donne envie d’en devenir une, Slate.fr Rebecca Amsellem, Une femme dépasse les hommes : on la force à s’arrêter, Newsletter Les Glorieuses Sky News, Female cyclist explains why race officials delayed her raceMusique: Warm Sea, Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Chaque année, la version française de Top Chef illustre de façon édifiante certains mécanismes typiquement masculins. Ne pas faire confiance aux compétences des femmes, ne même pas daigner les écouter, jouer de sa puissance pour effrayer et humilier : cela se passe régulièrement en cuisine, et cela se produit un peu partout. Parce que le talent n’empêche pas d’être une personne contestable.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Références:Top Chef (M6, 2010-2019)Certaines femmes (Kelly Reichardt, 2017)Nora Bouazzouni, Faiminisme, éditions NouriturfuBiographie de Charlotte Whitton«Violences en cuisine : Yannick Alléno, trois étoiles au Michelin, accusé de coups et harcèlement»Générique: Warm Sea, Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Et si les hommes cisgenres s’intéressaient un peu plus aux règles? Et si comprendre et respecter davantage les femmes passait aussi par là? Et si les mines de dégoût ou les blagues éculées n’étaient pas les seules réactions possibles? Bienvenue dans un monde encore imaginaire où ce sujet finirait par ne plus être tabou.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Références:SuperGrave (Greg Mottola, 2007)Carrie, la vengeance (Kimberly Peirce, 2013)Les règles de notre liberté (Rayka Zehtabchi, 2018)28 jours(Angèle Marrey, Justine Courtot et Myriam Attia, 2018)Les FluxClit Revolution (Elvire Duvelle-Charles et Sarah Constantin)Le grand mystère des règles, Jack Parker (2017, Flammarion)Compte Instagram SPMTamereGénérique: Warm Sea, Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Charlotte a 17 ans, et elle passe d’un garçon à l’autre parce qu’elle a envie d’expérimenter et d’apprendre à se connaître. Pour les garçons et les filles qui l’entourent, cela fait automatiquement d’elle une «salope sans le mauvais sens du terme», expression utilisée plusieurs fois dans Charlotte a 17 ans, film québécois qui sort en France ce mercredi 12 juin. Pourtant, son activité sexuelle n’est pas plus intensive que celle de Francis, qui travaille dans le même magasin qu’elle, mais qu’on qualifie de play-boy. Voyage dans l’univers de ce fléau nommé slutshaming, qui n’attend pas l’âge adulte pour frapper…Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Pour suivre nos dernières sorties, rejoignez notre nouveau compte Instagram @SlatePodcasts, ainsi que le compte de Mansplaining.Références:Charlotte a 17 ans (Sophie Lorain, 2018)Le Slutshaming (Superpépette cause féminisme)Easy Girl (Will Gluck, 2010)The Sex List (Maggie Carey, 2013)Mafia Blues (Harold Ramis, 1999)Générique: Warm Sea, Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Il est temps de terminer la saison 1 comme on l’avait commencé : en inspectant un de nos films de chevet. Retour en l’an 2000 avec High Fidelity, adaptation par Stephen Frears du best-seller de Nick Hornby, dans lequel un disquaire fraîchement largué fait le point sur sa vie d’homme.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est archi dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Pour suivre nos dernières sorties, rejoignez notre nouveau compte Instagram @SlatePodcasts, ainsi que le compte de Mansplaining.Références:High Fidelity (Stephen Frears, 2000)Haute fidélité (Nick Hornby, 1995)What Would 'High Fidelity' Look Like If Written From A Woman's Perspective? Let's Gender Swap The Classic RomCom«High Fidelity»: Rob Fleming, c'était moi Générique: «Warm Sea», Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Parce que les masculinités restent un sujet, même pendant les grandes vacances, on vous a préparé un petit guide des comportements à éviter à la plage… et ailleurs. L'été, la chaleur et le sentiment de liberté ne doivent pas faire oublier aux hommes que les femmes ne sont pas à leur disposition. Et bon mois de juillet, bien sûr.Un mercredi sur deux (et en hors-série pendant l'été), Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Pour suivre nos dernières sorties, rejoignez notre nouveau compte Instagram @SlatePodcasts, ainsi que le compte de Mansplaining.Références:Le Ciel, les oiseaux et… ta mère !(Djamel Bensalah, 1998)Les Bronzés (Patrice Leconte, 1978)L'Hôtel de la plage (Michel Lang, 1978)MILF (Axelle Laffont, 2017)15 août (Patrick Alessandrin, 2000)All inclusive (Fabien Onteniente, 2018)«Dix sur dix» (Gims, Dadju et Alonzo, 2019)Statistiques sur les départs en vacances de la population française«“Le ciel, les oiseaux et… ta mère!”, quand la banlieue faisait salle comble»Générique: «Warm Sea», Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Pour ne pas totalement vous abandonner au mois d'août, on vous a préparé un épisode spécial, consacré aux coulisses et aux lignes directrices de Mansplaining. En prime, on vous annonce le sujet de l'épisode de rentrée, que vous pourrez écouter dès le mercredi 4 septembre. Cet épisode est présenté par Constance Daulon, rédactrice en chef adjointe de Slate.fr, et par Thomas Messias.Un mercredi sur deux (et en hors-série pendant l'été), Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu'il s'agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Pour suivre nos dernières sorties, rejoignez notre nouveau compte Instagram @SlatePodcasts, ainsi que le compte de Mansplaining.Références:Dramas coréens recommandés par Julia:– Something in the rain (2018)– Weightlifting fairy – Kim Bok-Joo (2016)– One spring night (2019)– Strong Girl Do Bong Soon (2017)All inclusive (Fabien Onteniente, 2018)Générique: «Warm Sea», Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
C'est l’histoire de deux mecs hétéros qui décident de faire semblant d'être gays. C’est l'histoire de stéréotypes, de blagues éculées, d'une communauté que certains continuent à singer aujourd'hui encore, avec des intentions plus ou moins louables, mais avec des résultats généralement calamiteux. Cette deuxième saison s’ouvre sur la question suivante: pourquoi les films où les hétérosexuels se déguisent en homosexuels posent-ils problème?Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d’actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu’il s’agit de remettre en question les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l’exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining). Références:All inclusive (Fabien Onteniente, 2019)Quand Chuck rencontre Larry (Dennis Dugan, 2007)Épouse-moi mon pote (Tarek Boudali, 2017)Le Placard (Francis Veber, 2001)Merci à Fabien Randanne, journaliste à 20 minutes.Générique: «Warm Sea», Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Comments (7)

Isabelle Sakou

On ouvre les yeux enfin sur ce qu'il y avait derrière la colère palpable et malaisante de Christine Angot , ce qu'elle disait pourtant avec des mots dans des livres. Pourquoi n'entend on nous pas ? Il faut une poussée médiatique forte avant que chaque individu petit à petit réalise. C'est tristement fascinant.

Mar 21st
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Tamou

il manque la ref pour la vidéo d'Hannah Gadsby

Mar 26th
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1 2

Marin ou la belle éducation est aussi un excellent film sur ce thème !

Jan 15th
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Etienne Lslt

Qu'est ce que c'est que ce cours de morale ? C'est vous qui décidez de ce qui est drôle ou non ? J'aime l'humour noir comment je fais ? Merci

Sep 19th
Reply (1)

Quelqu'un

Bravo à toi, Thomas Messias pour ce podcast, pour la variété des sujets abordés, les nuances apportées et la régularité. Je trouve la durée du podcast entre court et moyen format très adaptée, et car tu es concis et ça s'entend que tu as réfléchi et mesuré tes phrases et tes mots à l'avance. De plus, ça fait plaisir de savoir qu'on va avoir "des hors-séries dans l'air" durant les vacances d'été ! En effet, la plupart du temps, l'été, les podcasts s'arrêtent ToT Big up !

Jul 29th
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Alix Hambert

Super !! Plus long ça serait encore mieux !!!

Nov 29th
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