Voici de nombreuses années que les téléspectateurs de KTO voient le père François Potez à l’antenne. Fils de médecin et d’une famille de huit enfants, cet ancien officier de marine, passé il y a longtemps chez les Frères de Saint-Jean, a acquis une solide expérience dans l’éducation des jeunes à l’Eau Vive, où il a travaillé avec le père de Monteynard. Pour fêter Noël, le voici de nouveau présent sur la chaîne, dans "Un coeur qui écoute", pour partager cette étape particulière de sa vie. En effet, condamné par la maladie, préparé depuis des mois au "grand passage", le voilà toujours parmi nous. Comment vit-il ce temps ? Cette attente ? Ses ultimes rencontres ? Et quand on est prêtre, a-t-on peur de la mort ?
Il revient de loin. Tout cela aurait pu mal finir. L’histoire de Laurent Gay est celle, bouleversante, d’un adolescent des quartiers nord de Paris qui a été happé par la drogue dès ses 12 ans. Il tombe dans le trafic, la consommation, la dépendance et se retrouve en prison pour complicité d’homicide. Il vient d’être diagnostiqué séropositif. Il a 23 ans. Sa vie semble finie... Pourtant, c’est au coeur de sa cellule surpeuplée qu’il va faire la rencontre la plus décisive de sa vie. Sur le plateau de KTO, il raconte cette expérience qui l’a empêché de mettre fin à ses jours et redonné foi en la vie. Aujourd’hui, tout sourire, marié et père de deux grands enfants, il donne ses témoignages partout où il est invité pour transmettre aux jeunes un message d’espérance face à la violence, aux addictions et au désenchantement.
À l’annonce de son cancer du sein, une mère et sa fille se tournent vers Marie, à Lourdes, et sollicitent son intercession. Dans son nouveau livre, la romancière Amandine Cornette de Saint Cyr raconte combien un acte de foi peut tout changer. Elle vient le partager sur le plateau d’Un coeur qui écoute, sur KTO.
À l’occasion de la fête de la Sainte-Barbe, patronne de nombreuses professions en rapport avec le feu ou la foudre, Quentin Brot, père de famille et sapeur-pompier, vient livrer son témoignage sur le plateau d’Un coeur qui écoute. Après une adolescence mouvementée, une visite de la cathédrale de Chartres rallume le feu de sa foi. Il a alors 19 ans. Depuis, la vie spirituelle de ce trentenaire est marquée par l’importance des sacrements, de la beauté et de l’accompagnement spirituel, authentiques et solides piliers de sa foi. Aujourd’hui, cet amateur de boxe évoque sans détour ses défis quotidiens pour concilier vie professionnelle, familiale et spirituelle. Avec franchise, profondeur et enthousiasme, il partage sa vision d’une spiritualité incarnée, faite de luttes certes, mais aussi d’abandons à la grâce divine.
Aubin Aguessy a grandi dans une famille catholique du Bénin. Au cours d’une année blanche - caractérisées par une absence des professeurs à l’école due au non-paiement des enseignants du public - l’adolescent se retrouve cloîtré au foyer où son grand-père tombe malade. À ce moment-là, le jeune béninois se réfugie dans la lecture et les dessins animés. Il y admire la vie des saints et songe à son tour à consacrer sa vie à Dieu. Plus tard, il s’engage chez les Capucins où il trouve l’équilibre entre vie contemplative et action apostolique. Aujourd’hui vicaire épiscopal du diocèse de Dassa-Zoumé, le Frère Aubin Aguessy accompagne de nombreuses personnes confrontées aux pratiques de sorcellerie et d’envoûtement. Son témoignage résonne particulièrement fort alors que ces pratiques occultes connaissent un regain d’intérêt en Occident, notamment en France.
Que ressentent les exclus de la société lorsqu’ils partagent un repas organisé en paroisse ? Qu’offre ce temps vécu ensemble au-delà de la nourriture partagée ? Ursuline de l’Union Romaine, docteur en théologie, professeur en théologie dogmatique et pratique et titulaire de la Chaire Jean Rodhain aux Facultés Loyola Paris, Soeur Laure Blanchon vient de publier « À table avec Jésus, les pauvres au centre de la fête » (Salvator). Elle y donne la parole à ces invités dont le propos est essentiel et nous mène au coeur de la vie avec Dieu, la vie avec les autres. Elle met aussi en regard de ces témoignages différents passages de l’Évangile où Jésus partage un repas avec eux. Sur le plateau de KTO, elle parle de ce livre et de sa propre expérience paroissiale sur le sujet.
La vie est un combat spirituel et, à l’instar de saint Paul au crépuscule de sa vie, il faudra pouvoir répondre à son tour : « j’ai combattu le bon combat, je suis au bout de ma course, j’ai gardé la foi. » Qui de mieux qu’un militaire pour parler de combat ? Général de corps d’armée, Pierre Gillet est ce soir sur KTO et raconte combien l’amour est le meilleur moteur de l’action, que ce soit sur le terrain de manoeuvre ou à la maison avec ses sept enfants. Après avoir publié « Qui est comme Dieu ? Essai sur les vertus chrétiennes au service du commandement » (Sainte-Madeleine), voici « Les forces morales. Les clefs de la réussite » (Cerf) dont il évoque les grandes lignes en plateau.
Fin 2015. Lors d’un retour de vacances, Dominique Roullier trouve la mort dans un accident de voiture. Il avait 18 ans et une vie à écrire, riche de promesses. Sa soeur aînée, Amélie, prend la plume sept ans plus tard pour mettre des mots sur son deuil. Elle en a tiré un livre « Navigation de nuit » (Pierre Téqui) dans lequel elle raconte son cheminement spirituel, entre colère et espérance. Sur le plateau de KTO, elle partage cette épreuve et raconte comment elle a pu transformer cette douloureuse expérience en une mission d’accompagnement auprès des personnes elles-mêmes touchées par un deuil.
Hiroshima, 6 août 1945. Une détonation d’une extrême violence éclate au-dessus de la ville, une bombe atomique vient d’anéantir la ville de 340 000 habitants. Trois jours plus tard, Nagasaki et ses 195 000 habitants connaîtront le même sort. Parmi eux, Takashi Nagai, médecin, survit au bombardement et publiera le livre « Les Cloches de Nagasaki ». Quelques décennies plus tard, Nathalie Fourmy, illustratrice, se plonge dans l’ouvrage et en ressort bouleversée. Elle passe trois ans à écrire et dessiner « Nagasaki 1945 » (Plein Vent) qui obtient le prix international 2025 de la BD chrétienne d’Angoulême. Sur le plateau de KTO, elle raconte son chemin de foi, avec ses périodes de doute et sa rencontre heureuse avec sainte Thérèse de Lisieux. Une étape qui va marquer un tournant décisif dans sa vie.
À l’occasion de la fête de la Visitation, le clip « Un mystère si précieux » a été dévoilé sur la toile. C’est le fruit du travail de CIFRAL, une agence audiovisuelle, co-fondée par Marine Arsac qui vient faire halte sur le plateau de KTO. Son équipe de production s’est associée avec les Petites Soeurs des Maternités Catholiques pour réaliser ce mini film qui met en lumière le don de la vie et celles qui y contribuent. Anciennement dans le domaine du marketing, et ayant toujours eu une appétence pour la musique, Marine s’est reconvertie dans l’audiovisuel et formée à la réalisation. Elle voit son travail comme un outil permettant de mettre en lumière des causes au service du bien commun. Sur KTO, la jeune femme partage son chemin de foi et son approche novatrice, alliant clips artistiques et messages engagés.
Quels sont les enjeux de la paix à travers le prisme de la foi et de la raison ? Formé par la Jeunesse Étudiante Chrétienne, le Père Paul Valadier raconte son parcours marqué par l’engagement social et le dialogue interreligieux. Le prêtre jésuite, professeur émérite de philosophie aux Facultés Loyola, brosse dans son livre, « La paix, une épreuve » (Cerf), un tableau des crises actuelles dans le monde. Figure intellectuelle catholique reconnue, le stéphanois défend avec conviction la nécessité d’une intelligence de la foi au sein de l’Église, malgré les réticences qu’il observe face au travail intellectuel. Sur le plateau d’« Un coeur qui écoute », il souligne l’importance d’avoir une réflexion approfondie sur la spiritualité et son témoignage éclaire les défis de la paix au coeur de nos sociétés.
La chaîne KTO suit et soutient leur travail depuis leurs débuts, notamment en 2017 avec « Fais-moi vivre », leur premier documentaire qui portait sur le comédien Damien Ricour. À l’occasion de la sortie en salles de leur film sur le Sacré-Coeur, le 1er octobre 2025, Sabrina et Steven Gunnell viennent sur le plateau d’Un coeur qui écoute pour partager le feu qui les anime. Feu dont ils ont parlé dans leur livre « Objectif Dieu ». Quand un couple fait le pari de la Providence (Emmanuel).
En 1941, Etty Hillesum, jeune femme juive de 27 ans, libre, féministe avant l’heure, en quête de sens et de lumière, commence à écrire son journal au moment où elle rencontre le psychanalyste Julius Spier. Outre une ardente passion, naît de cette relation une véritable révolution intérieure alors même que la jeune femme vit une des pages les plus sombres de notre histoire. À travers une adaptation, une interprétation et une mise en scène épurée, la parole d’Etty agit comme un guide, pour le spectateur comme pour l’auteur, présente ce soir sur le plateau de KTO. Dans Un coeur qui écoute, Angélique Boulay, comédienne et metteur en scène, raconte ce cheminement spirituel comme elle l’a fait dans « Mon chemin avec Etty Hillesum » (Salvator).
Farëanor est le fils d’une famille de paysans. Il mène, à l’orée de la vaste et profonde forêt de Barbebelle, une vie paisible, loin au nord de la cité royale d’Ebanestal. L’attaque de son village par des créatures maléfiques va bouleverser sa vie... Cette histoire d’heroic fantasy est née dans la tête de Matthieu Bobin, ancien gamer, aujourd’hui prêtre à Maubeuge. Sur le plateau de KTO, il raconte la genèse de ces sept volumes et ce qui l’a incité à raconter cette histoire dont le contenu a évolué à mesure qu’il approchait de son ordination. Aucun doute pour lui : l’évangélisation passe par la culture. Chevalerie, amour et baston sont à la mode littéraire ? C’est donc une occasion de dialogue et donc d’annonce de l’Évangile !
Arrivé en France à 18 ans, Jo Akepsimas étudie les lettres classiques et la musique. Croyant, très intéressé par la liturgie catholique et par la théologie sous-jacente, il se crée un style personnel inspiré par la musique classique, le jazz et le folklore. Il enregistre son premier disque en 1968, composé de chants destinés à être chantés pendant la messe. Aujourd’hui, fort de plus de quarante disques, soit plus de 500 titres, il poursuit son travail de création inspiré par sa foi, comme il le raconte sur le plateau de KTO.
Originaire des montagnes pyrénéennes du Couserans, dont il fait résonner l’accent ensoleillé, Robert Redeker est agrégé de philosophie. Auteur de nombreux livres, il vient de publier chez Artège un « Éloge spirituel de l’attention ». Mieux qu’une démonstration, il opte pour une expérience, celle de l’attention, par laquelle son intériorité se dévoile à l’homme. Contre le mensonge de la réduction de l’homme à sa seule extériorité, se dresse le fait de l’attention spirituelle. Elle atteste l’existence de ce que notre siècle a cru devoir renier : la vérité, l’intériorité, l’âme, Dieu, l’homme, la beauté et la bonté. Sur le plateau de KTO, il partage les fruits et la source de cette vie intérieure ainsi que les conséquences concrètes d’une polémique liée à ses prises de position sur l’islam : depuis 2006, il vit sous protection policière à cause de ses idées.
« Sache que ce soir, il pourrait t’arriver de mourir martyr » : cette phrase de saint Charles de Foucauld éclaire la vie du père Yannick Lallemand depuis des décennies. Des années vécues sous le signe de l’engagement, de la patrie, de la foi. Après avoir servi dans la Légion étrangère pendant une vingtaine d’années, celui que l’on surnomme « le curé du désert », parachutiste confirmé, vient partager son témoignage de vie sur le plateau de KTO. Une émission avec une figure emblématique de l’armée qui a été mise à l’honneur par la Légion étrangère, en 2023, en devenant le premier prêtre à porter la main en bois du capitaine Danjou, lors du 160ème anniversaire de la bataille de Camerone.
Alexia Borg brille aujourd’hui dans son métier de présentatrice télé sur Le Figaro TV et BFM Business. Derrière ce visage, une histoire douloureuse : celle d’une enfant blessée par le divorce de ses parents et une initiation au spiritisme par une femme de ménage brésilienne qui la mène au fond du gouffre. Quelques années plus tard, au cours d’un culte évangélique, elle s’adresse à Dieu du fond de sa détresse et le Seigneur lui répond avec munificence. Elle raconte ce parcours dans « Un coeur qui écoute », un cheminement intime et spirituel qui lui permet désormais de dire « je suis libérée » et l’incite à témoigner de sa foi catholique.
« Choisir d’espérer » (DDB) est un essai où Brigitte Midon partage le fruit de nombreuses années d’écoute et d’accompagnement de personnes, de groupes ou de communautés ayant à vivre des transitions, paisibles pour certaines, rudes ou jalonnées de souffrance pour d’autres ; y compris dans des contextes d’abus de pouvoir ou de conscience. Elle a aussi participé au travail de la CIASE. Formée en théologie biblique et en science politique, elle a eu une longue expérience dans le secteur des ressources humaines. On lui doit aussi la co-fondation de l’association Groupe de Fontenelle qui cherche à croiser les regards entre coachs, psychiatres, psychologues, accompagnateurs spirituels et tout autre praticien de l’accompagnement de la personne humaine. Ce soir, cette mère de famille partage donc son espérance sur le plateau de KTO et raconte son cheminement spirituel, notamment au travers d’une épreuve ardue qui a duré 25 ans.
Jean-Luc Calyel vient témoigner sur le plateau de KTO à l’occasion de la sortie de son livre « Du GIGN à la foi » (Mama). Il y explique comment la foi a pris naissance en lui, petit à petit, dès le début de sa carrière. Originaire d’Alsace, Jean-Luc est issu d’une famille avec une mère catholique et un père agnostique. Pendant son adolescence, le jeune alsacien a plutôt un caractère agité, il aime le challenge. C’est pourquoi, dès sa majorité, il décide de s’engager dans la gendarmerie avant d’intégrer cinq ans plus tard une unité d’élite. Après avoir été témoin de plusieurs phénomènes inexpliqués, il ressort quinze ans plus tard, chef de groupe opérationnel au GIGN et Dieu chevillé au corps.