Gioachino Rossini est sans doute lʹimage lyrique la plus rayonnante de lʹhistoire de lʹopéra. Ses mélodies, son sens du rythme et la drôlerie des situations quʹil met en musique ne laissent jamais le public indifférent. Mais il nʹy a pas seulement lʹopéra avec lui; sa musique instrumentale elle aussi est une invitation au sourire…
" LʹArt nait de contraintes, vit de luttes et meurt de liberté. " Le mot dʹAndré Gide met en avant un art qui ne peut exister sans contraintes, sans défis à relever. Ce sont les obstacles qui permettent à l'artiste de se surpasser, cʹest dans la difficulté que des oeuvres originales et uniques surgissent. Ainsi ouvrions-nous cette semaine L'Oreille d'abord au premier jour de cette série thématique consacrée à la Liberté dans Art. Aujourd'hui, cette après-midi musicale referme ce cycle avec un art du mouvement libéré par une personnalité dʹexception : la danse de Rudolf Nureev.
" Le comique, ce n'est pas seulement du talent, mais c'est surtout un don, une façon de sentir, de pouvoir comprendre et la liberté dʹinterpréter ! " Louis de Funès
" LʹArt nait de contraintes, vit de luttes et meurt de liberté. " Le mot dʹAndré Gide met en avant un art qui ne peut exister sans contraintes, sans défis à relever. Ce sont les obstacles qui permettent à l'artiste de se surpasser, c'ʹest dans la difficulté que des oeuvres originales et uniques surgissent. Cette semaine, L'Oreille d'abord explore la liberté dans lʹart à travers différentes cultures musicales, techniques dʹinterprétation, époques et personnalités.
" LʹArt nait de contraintes, vit de luttes et meurt de liberté. " Le mot dʹAndré Gide met en avant un art qui ne peut exister sans contraintes, sans défis à relever. Ce sont les obstacles qui permettent à l'artiste de se surpasser, c'ʹest dans la difficulté que des oeuvres originales et uniques surgissent. Cette semaine, L'Oreille d'abord explore la liberté dans lʹart à travers différentes cultures musicales, techniques dʹinterprétation, époques et personnalités.
" LʹArt nait de contraintes, vit de luttes et meurt de liberté." Le mot dʹAndré Gide met en avant un art qui ne peut exister sans contraintes, sans défis à relever. Ce sont les obstacles qui permettent à l'artiste de se surpasser, cʹest dans la difficulté que des oeuvres originales et uniques surgissent. Cette semaine, L'Oreille d'abord explore la liberté dans lʹart à travers différentes cultures musicales, techniques dʹinterprétation, époques et personnalités.
Dans le calendrier de lʹEglise catholique romaine, le 2 novembre correspond à la commémoration des morts. On célèbre alors les fidèles défunts par des messes qui ont une valeur de purification. Mais le culte de la mort n'est pas réservé aux catholiques, il apparaît comme une constante à travers les âges. Il en va de même dans la musique qui célèbre les défunts par dʹinnombrables œuvres saisissantes. Aujourd'hui l'oreille d'abord vous offre un florilège des plus belles danses macabres du répertoire.
"Une mauvaise vie vaut mieux quʹune belle mort ", dit un proverbe. Dans ce troisième épisode, vous allez découvrir le destin tragique de ces compositeurs qui ont quitté ce monde dans des circonstances dramatiques : acte inconsidéré de bravoure, balle perdue, empoisonnement voire noyade.
"La mort est un manque de savoir-vivre", disait Alphonse Allais. Dans ce deuxième épisode, vous allez découvrir le nom de ces compositeurs qui sont morts des suites de leur alcoolisme ou qui, victimes de démence, se sont ôtés la vie.
" Il nʹy a pas de belle mort, disait Sacha Guitry. Mais il y en a qui sont belles à raconter. " Et les plus belles sont aussi parfois les plus inattendues, voire carrément insolites! Assassinats, meurtres avec préméditation, suicides voire suicide imposé, accidents bêtes ou maladies rares, l'histoire regorge de ces morts mystérieuses qui sont dʹautant plus surprenantes quʹelles sont véridiques. 1. les accidents
10 petites choses à savoir sur le "Roi de la Valse"
Voyage musical au pays des pharaons, à la découverte des oeuvres inspirées par les découvertes archéologiques .
"Nʹest malheureux que celui que ne sait pas chanter", dit un vieux proverbe égyptien. Ce sont justement les voix des grandes figures de la civilisation égyptienne qui chantent dans cette Oreille d'abord : parmi elles, Cléopâtre, César, Aïda, Marouf, et bien d'autres