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Author: Hugues Dago | avec Stratégies

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Description

« La Ligne » est le podcast des dirigeants qui tracent un chemin pour leur média.


Au micro de Hugues Dago, ces personnalités exposent leurs enjeux, leur vision et leurs choix stratégiques. Le programme réunit aussi bien des représentants de médias traditionnels que des acteurs de la « creator economy », pour comprendre de l’intérieur, comment et pourquoi se construisent leurs décisions.


En partenariat avec Stratégies.


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13 Episodes
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Depuis qu'il dirige l'information du Groupe TF1, c'est la première fois que Thierry Thuillier s'exprime en longueur dans un podcast. Ces derniers mois, les projets de développement se sont multipliés. Parmi eux : le lancement des podcasts vidéo incarnés par des visages du groupe, le partenariat noué avec le créateur de contenu Gaspard G en vue de la prochaine présidentielle, ou l'accord de distribution conclu avec Netflix pour TF1+. Il s’agit de se réinventer. Car malgré sa force de frappe, la première chaîne privée d'Europe, toujours leader des audiences en France, est elle aussi challengée par de nouveaux usages dans un marché hyper-fragmenté. Aux États-Unis, les courbes du streaming et du linéaire se sont croisées cette année. À quand le tour de la France ?La possible inversion des courbes risque d'être alimentée par la défiance croissante envers les médias traditionnels... Mais comment en sommes-nous arrivés là ? Comment retisser le lien ? Quel avenir pour l'information ?Les réponses du patron de l'info de TF1-LCI à découvrir dans cet épisode. Thierry Thuillier est le nouvel invité de La Ligne, le podcast des dirigeants qui tracent un chemin pour leur média.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Son profil a de quoi surprendre. Ancien vice-président chez Goldman Sachs, Marc Lesage-Moretti, alias Jokariz, a tout quitté pour devenir streamer sur Twitch et chroniquer ses aventures sur le jeu vidéo « League of Legends ».À l’image de Domingo, Squeezie ou Inoxtag, l’ancien banquier n’en est pas resté au « gaming ». Il a élargi son offre éditoriale en lançant sur YouTube le format « Métiers de rêve », des interviews au cours desquelles ses invités racontent leur parcours professionnel.Suivi par plus de 250 000 abonnés, Jokariz est devenu l’une des figures montantes de la « creator economy » en France et un observateur avisé de ce secteur. Au point de lui dédier un événement B2B, la « Paris Creator Week », cofondée avec Karim Sabba et Pierre Allary. De retour à Paris les 9 et 10 décembre, la « PCW » a été pensée pour faire de la France un hub européen à destination des créateurs, des marques et des plateformes.Selon une étude présentée lors de la précédente édition, l’écosystème pèserait déjà 6,5 milliards d’euros de revenus en France et plus d’1,5 million d’emplois directs ou indirects. Mais derrière ces chiffres émergent aussi des questions de santé mentale, dans un milieu exposé aux fortes cadences de travail et à la pression permanente des audiences.Autant de sujets abordés dans cet épisode avec Jokariz, qui se confie sur les dessous du métier et la structuration d’un secteur encore en mutation. Il est l’invité de « La Ligne », le podcast des dirigeants qui tracent un chemin pour leur média. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Son profil a de quoi surprendre. Ancien vice-président chez Goldman Sachs, Marc Lesage-Moretti, alias Jokariz, a tout quitté pour devenir streamer sur Twitch et chroniquer ses aventures sur le jeu vidéo « League of Legends ».À l’image de Domingo, Squeezie ou Inoxtag, l’ancien banquier n’en est pas resté au « gaming ». Il a élargi son offre éditoriale en lançant sur YouTube le format « Métiers de rêve », des interviews au cours desquelles ses invités racontent leur parcours professionnel.Suivi par plus de 250 000 abonnés, Jokariz est devenu l’une des figures montantes de la « creator economy » en France et un observateur avisé de ce secteur. Au point de lui dédier un événement B2B, la « Paris Creator Week », cofondée avec Karim Sabba et Pierre Allary. De retour à Paris les 9 et 10 décembre, la « PCW » a été pensée pour faire de la France un hub européen à destination des créateurs, des marques et des plateformes.Selon une étude présentée lors de la précédente édition, l’écosystème pèserait déjà 6,5 milliards d’euros de revenus en France et plus d’1,5 million d’emplois directs ou indirects. Mais derrière ces chiffres émergent aussi des questions de santé mentale, dans un milieu exposé aux fortes cadences de travail et à la pression permanente des audiences.Autant de sujets abordés dans cet épisode avec Jokariz, qui se confie sur les dessous du métier et la structuration d’un secteur encore en mutation. Il est l’invité de « La Ligne », le podcast des dirigeants qui tracent un chemin pour leur média. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Son profil a de quoi surprendre. Ancien vice-président chez Goldman Sachs, Marc Lesage-Moretti, alias Jokariz, a tout quitté pour devenir streamer sur Twitch et chroniquer ses aventures sur le jeu vidéo « League of Legends ».À l’image de Domingo, Squeezie ou Inoxtag, l’ancien banquier n’en est pas resté au « gaming ». Il a élargi son offre éditoriale en lançant sur YouTube le format « Métiers de rêve », des interviews au cours desquelles ses invités racontent leur parcours professionnel.Suivi par plus de 250 000 abonnés, Jokariz est devenu l’une des figures montantes de la « creator economy » en France et un observateur avisé de ce secteur. Au point de lui dédier un événement B2B, la « Paris Creator Week », cofondée avec Karim Sabba et Pierre Allary. De retour à Paris les 9 et 10 décembre, la « PCW » a été pensée pour faire de la France un hub européen à destination des créateurs, des marques et des plateformes.Selon une étude présentée lors de la précédente édition, l’écosystème pèserait déjà 6,5 milliards d’euros de revenus en France et plus d’1,5 million d’emplois directs ou indirects. Mais derrière ces chiffres émergent aussi des questions de santé mentale, dans un milieu exposé aux fortes cadences de travail et à la pression permanente des audiences.Autant de sujets abordés dans cet épisode avec Jokariz, qui se confie sur les dessous du métier et la structuration d’un secteur encore en mutation. Il est l’invité de « La Ligne », le podcast des dirigeants qui tracent un chemin pour leur média. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il ne veut pas d’un « Netflix européen », mais d’une plateforme culturelle publique à l’échelle du continent.En tant que président d’Arte, Bruno Patino porte une stratégie ambitieuse pour la chaîne franco-allemande, devenue en quelques années un modèle de transformation numérique réussie : 2,8 milliards de vidéos vues en 2024, 1,54 milliard au premier semestre 2025 et 30 millions d’abonnés sur les réseaux sociaux.Son ambition est claire : faire d’Arte un acteur audiovisuel éclectique, en bâtissant une offre éditoriale différenciante, capable de rapprocher les peuples d’Europe par la culture. Une stratégie incarnée dans la plateforme arte.tv, désormais disponible en sept langues, à travers des coproductions paneuropéennes et des succès pensés pour le numérique comme « Samuel » ou « DJ Mehdi ».Rencontre avec un dirigeant avant tout soucieux de « rendre accessible la complexité » et de « parier sur l’intelligence et la curiosité des gens ». Il est l’invité du nouvel épisode de « La Ligne », le podcast des dirigeants qui tracent un chemin pour leur média. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il ne veut pas d’un « Netflix européen », mais d’une plateforme culturelle publique à l’échelle du continent.En tant que président d’Arte, Bruno Patino porte une stratégie ambitieuse pour la chaîne franco-allemande, devenue en quelques années un modèle de transformation numérique réussie : 2,8 milliards de vidéos vues en 2024, 1,54 milliard au premier semestre 2025 et 30 millions d’abonnés sur les réseaux sociaux.Son ambition est claire : faire d’Arte un acteur audiovisuel éclectique, en bâtissant une offre éditoriale différenciante, capable de rapprocher les peuples d’Europe par la culture. Une stratégie incarnée dans la plateforme arte.tv, désormais disponible en sept langues, à travers des coproductions paneuropéennes et des succès pensés pour le numérique comme « Samuel » ou « DJ Mehdi ».Rencontre avec un dirigeant avant tout soucieux de « rendre accessible la complexité » et de « parier sur l’intelligence et la curiosité des gens ». Il est l’invité du nouvel épisode de « La Ligne », le podcast des dirigeants qui tracent un chemin pour leur média. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C’est un média qui semble défier les lois du marché. Rentable depuis dix ans, Courrier international totalise aujourd’hui plus de 160 000 abonnés, dont plus de 80 000 en numérique. De quoi fêter les 35 ans du journal dans la croissance. Comme un paradoxe, le titre est pourtant à un carrefour décisif de son histoire : le modèle du média, fondé sur trois piliers — la traduction, la curation et l’édition d’articles de presse étrangère — est sérieusement attaqué par l’intelligence artificielle. Alors quel avenir pour ce titre qui entend donner à lire « la voix des autres », dans toute leur diversité, via 1 500 sources à travers le monde ?Ce n’est pas la première fois que la rédaction se réinvente. Ces dernières années, ses équipes ont su négocier avec agilité le virage numérique du titre, repenser son application, adapter ses formats aux nouveaux usages et affiner la stratégie d’abonnement. Sauront-elles surfer la vague IA et poursuivre leur mission d’ouverture sur le monde ? Claire Carrard, la directrice de la rédaction de Courrier international est l’invitée de ce nouvel épisode de « La Ligne », le podcast des dirigeants qui tracent un chemin pour leur média. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C’est un média qui semble défier les lois du marché. Rentable depuis dix ans, Courrier international totalise aujourd’hui plus de 160 000 abonnés, dont plus de 80 000 en numérique. De quoi fêter les 35 ans du journal dans la croissance. Comme un paradoxe, le titre est pourtant à un carrefour décisif de son histoire : le modèle du média, fondé sur trois piliers — la traduction, la curation et l’édition d’articles de presse étrangère — est sérieusement attaqué par l’intelligence artificielle. Alors quel avenir pour ce titre qui entend donner à lire « la voix des autres », dans toute leur diversité, via 1 500 sources à travers le monde ?Ce n’est pas la première fois que la rédaction se réinvente. Ces dernières années, ses équipes ont su négocier avec agilité le virage numérique du titre, repenser son application, adapter ses formats aux nouveaux usages et affiner la stratégie d’abonnement. Sauront-elles surfer la vague IA et poursuivre leur mission d’ouverture sur le monde ? Claire Carrard, la directrice de la rédaction de Courrier International est l’invitée de ce nouvel épisode de « La Ligne », le podcast des dirigeants qui tracent un chemin pour leur média. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il incarne une nouvelle étape dans la transformation du groupe M6 (M6-RTL-RTL2-Fun Radio). Arrivé en février dernier, Julien Mielcarek en est le directeur de l’audio et l’information digitale. Aux côtés de Hervé Béroud et Matthieu Dehlinger, ses anciens compagnons de route au sein du groupe RMC-BFM, les trois hommes mettent en musique l’ambition de Jonathan Curiel, directeur général des radios du groupe M6 : « donner un nouvel élan à RTL » et « faire évoluer la station pour mieux l’ancrer dans l’époque ».Le podcast est au centre de cette stratégie. RTL enrichit son offre et explore de nouveaux territoires. Parmi eux, Des idées pour vivre  au micro du philosophe Roger-Pol Droit ou Le Choix info RTL lancé pour renouveler la manière de raconter l’actualité, dans la lignée de formats développés par The Guardian ou The New York Times.Après le lancement de la plateforme M6+ en mai 2024, le groupe poursuit sa transformation. La refonte du site et de l’application RTL, prévue pour début 2026, doit s'accompagner d’une modernisation des newsletters et d’un renforcement de la production vidéo avec M6 Info, pour accroître la visibilité du groupe sur les plateformes sociales.Alors que de nouveaux créateurs, tels que Guillaume Pley (« Legend ») ou HugoDécrypte, séduisent le grand public et redéfinissent les codes narratifs, Julien Mielcarek livre une réflexion lucide sur ce défi commun à tous les médias historiques : comment innover sans se renier ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tout est parti d’un constat largement partagé : en ligne, chacun vit dans sa bulle. Pour tenter de faire sortir les citoyens de leur cage algorithmique, Wallerand Moullé-Berteaux, Antonin Marin, Sixtine Moullé-Berteaux et Jules Stimpfling ont cofondé en 2020 Le Crayon, un « média de débat pensé pour la génération des réseaux sociaux ». Espace de confrontation d’idées, Le Crayon met face à face des invités que tout oppose, qu'il s'agisse d'un croyant face à un athée, d'une féministe face à un manager OnlyFans ou d'un imam face à une drag queen. En cinq ans, le groupe s’est diversifié et a bâti un écosystème autour de son média principal, mêlant relations presse, création de contenu, influence et communication au service des marques et des personnalités, notamment via son agence Le Surligneur. Aujourd’hui, Le Crayon Groupe revendique plus de six millions d’abonnés sur ses réseaux sociaux et affiche une solide santé économique, rentable, avec un objectif de 5 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2025. Des résultats assombris par les débats autour de Pierre-Edouard Stérin, milliardaire conservateur décrié. Ancien actionnaire minoritaire du groupe, l'homme d'affaires s'est vu récemment sortir du capital par les cofondateurs. Wallerand Moullé-Berteaux, PDG du Crayon Groupe, s’en explique dans ce nouvel épisode du podcast La Ligne, où il détaille sa vision du média dans une société fragmentée.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tout est parti d’un constat largement partagé : en ligne, chacun vit dans sa bulle. Pour tenter de faire sortir les citoyens de leur cage algorithmique, Wallerand Moullé-Berteaux, Antonin Marin, Sixtine Moullé-Berteaux et Jules Stimpfling ont cofondé en 2020 Le Crayon, un « média de débat pensé pour la génération des réseaux sociaux ». Espace de confrontation d’idées, Le Crayon met face à face des invités que tout oppose, qu'il s'agisse d'un croyant face à un athée, d'une féministe face à un manager OnlyFans ou d'un imam face à une drag queen. En cinq ans, le groupe s’est diversifié et a bâti un écosystème autour de son média principal, mêlant relations presse, création de contenu, influence et communication au service des marques et des personnalités, notamment via son agence Le Surligneur. Aujourd’hui, Le Crayon Groupe revendique plus de six millions d’abonnés sur ses réseaux sociaux et affiche une solide santé économique, rentable, avec un objectif de 5 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2025. Des résultats assombris par les débats autour de Pierre-Edouard Stérin, milliardaire conservateur décrié. Ancien actionnaire minoritaire du groupe, l'homme d'affaires s'est vu récemment sortir du capital par les cofondateurs. Wallerand Moullé-Berteaux, PDG du Crayon Groupe, s’en explique dans ce nouvel épisode du podcast La Ligne, où il détaille sa vision du média dans une société fragmentée.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au départ, il n’y avait pas de plan. Et pourtant, depuis vingt ans, Franck Annese mène la barque du groupe So Press avec constance et méthode, contrairement aux apparences.De So Foot à Society, de So Film à L’Étiquette, le fondateur et ses associés ont bâti un groupe reconnu pour sa manière de raconter les histoires avec style (« le souffle » comme il l’appelle), sans jamais perdre de vue la rigueur journalistique.Après l’immense succès de l’enquête signée Society sur Xavier Dupont de Ligonnès et ses 450 000 exemplaires vendus à l’été 2020, le groupe est revenu aux réalités du marché : la diffusion payée du magazine a reculé de 14 % sur cinq ans, dans un contexte de baisse structurelle du secteur. Mais So Press continue d’avancer. Au fil des années, le groupe s’est diversifié, dans la production publicitaire (Sovage), dans le brand content (AllSo), dans la fiction et documentaires (So In Love). Le dernier-né de ces activités s’appelle Society+, plateforme SVOD dédiée aux documentaires, dans l’esprit du quinzomadaire éponyme.D’un support à l’autre, la logique ne varie pas : raconter et surprendre, dans une indépendance farouche… quitte à perdre certains contrats.Invité du podcast La Ligne, produit par Hugues Dago en partenariat avec Stratégies, Franck Annese explique comment So Press continue de tenir sa ligne de groupe libre, fidèle à ses histoires et son esprit fondateur de « bande de potes ». Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Ligne - Teaser

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2025-10-1901:22

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