durée : 00:28:39 - La Série fiction - " Au bout de quinze jours à peine, je me trouvai parfaitement familiarisé avec mes nouveaux camarades, et très heureux parmi eux. Le reste du temps, je logeais chez Mister Wickfield avec sa fille, la belle et sensible Agnès. J’étais à nouveau heureux, à nouveau un enfant. " - réalisation : Baptiste Guiton
durée : 00:28:43 - La Série fiction - " Je commençai une vie toute neuve, sous le nom de David Trotwood Copperfield, que par affection ma tante réduisait à « Trot ». Il fut immédiatement convenu que je reprendrai mon éducation : j’irai au plus vite à l’école à Canterbury et ma tante m’y conduirait elle-même. " - réalisation : Baptiste Guiton
durée : 00:28:52 - La Série fiction - "La nouvelle de la mort de ma mère me fit pleurer sans discontinuer et quand les larmes cessèrent, mon chagrin devint une douleur sourde que rien ne put soulager" - réalisation : Baptiste Guiton
durée : 00:28:42 - La Série fiction - "À Salem-House, tout avait l’air fort triste. C’était un bâtiment austère, nu et désert autour duquel un grand mur formait une enceinte. J’avais huit ans et on m’avait envoyé en pension pour me punir. " - réalisation : Baptiste Guiton
durée : 00:28:46 - La Série fiction - "Serai-je le héros de ma propre vie, ou ce rôle sera-t-il tenu par un autre ? Cette histoire le dira. Mais, pour commencer par le commencement, je suis né un vendredi, à minuit, du moins on me l’a dit, et je le crois." - réalisation : Baptiste Guiton
durée : 00:25:02 - La Série fiction - Marin a un plan. Avec l'aide de Rachel et de Nadir, le conseiller de la Présidente, il prend la tête de la révolution. Mais pour mener à bien sa mission, il doit faire face à Léonie et à ses origines… - réalisation : Baptiste Guiton
durée : 00:25:00 - La Série fiction - Marin vit désormais aux côtés de Léonie dans les profondeurs de la Cité. En ce jour particulier où ils célèbrent les dix-sept ans de l'adolescent, une douloureuse désillusion pourrait bien rompre leur complicité naissante… - réalisation : Baptiste Guiton
durée : 00:24:48 - La Série fiction - Anéanti par les révélations de sa mère adoptive, Marin trouve refuge sur le chalutier d'Anton. Il s'efforce de ne pas perdre pied tandis qu'il part à la recherche de la légendaire poule du Mont-Blanc… - réalisation : Baptiste Guiton
durée : 00:24:56 - La Série fiction - Auprès de Léonie, la Présidente de la Cité, Marin découvre que le gouvernement ouvre pour les générations futures. Peu à peu, il reconstitue le fil de son enfance et se souvient du petit garçon qu'il était autrefois… - réalisation : Baptiste Guiton
durée : 00:25:02 - La Série fiction - De retour de sa plongée quotidienne, Marin rejoint Rachel, sa soeur adoptive, à un meeting présidentiel. La tension monte entre la Présidente de la Cité et le peuple du Territoire. Le rassemblement vire à l'affrontement… - réalisation : Baptiste Guiton
durée : 00:27:31 - La Série fiction - " Une rivière, un bac pour traverser, deux hommes discutent dans la solitude de la nuit… "
durée : 00:27:06 - La Série fiction - "Olga Plemiannikova épouse successivement trois hommes dont elle adopte chaque fois les passions et les opinions. Se trouvera-t-elle ?"
durée : 00:29:39 - La Série fiction - "Malakhine et son fils Iacha convoyent huit wagons de bœufs vers l’abattoir, mais leur train accumule retards et arrêts arbitraires, chacun monnayé par des pots-de-vin au personnel ferroviaire."
durée : 00:28:59 - La Série fiction - "Un peintre oisif loge chez son ami Bélokourov et passe ses journées dans la maison des Voltchaninov, où s’opposent la froide et ambitieuse Lyda et la douce Génia, dont il tombe amoureux."
durée : 00:26:57 - La Série fiction - "Sophia, la femme du notaire Loubiantsev, tente de repousser les avances insistantes de son voisin Iline..."
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Nanouue
Dommage que la fin soit coupée... on ne sait pas la suite 😔
Claude Riboux
superbe
Mathias Olive
Merci France Culture. Incroyable radio.
Virginie Richarte
Très cobtente de tomber sur l'affaire Harry Quebert merci
Frédouille18
Très belle émotion à suivre tous ces poilus qui nous racontent la vie de "ceux de 14" comme dirait Maurice Genevoix !