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La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2

Author: RTS - Radio Télévision Suisse

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Dans un feuilleton de 5 épisodes, un.e artiste ou personnalité du monde culturel, rencontré.e dans un lieu qui lui est cher, retrace sur le ton de la confidence les grandes étapes de son parcours. Fichiers disponibles durant 30 jours après diffusion. - Pour un usage privé exclusivement.
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La pianiste et compositrice Sylvie Courvoisier est née à Lausanne en 1968 et vit à NYC depuis 1998. Sa trajectoire musicale laisse un sillage qui lui a valu la reconnaissance de ses pairs, de son public et de la Confédération Helvétique qui lui décerne en 2025 le Grand Prix Suisse de Musique qui lui sera remis le 11 septembre au KKL à Lucerne, pour ponctuer une impressionnante collection de distinctions des deux côtés de l'Atlantique. 2025 verra aussi la parution d'un nouveau disque : Angel Falls en duo avec le "mythique" trompettiste Wadada Leo Smith, révolutionnaire autant que Sylvie Courvoisier. Que ce soit au travers du jazz, de la musique contemporaine, de la danse ou du flamenco, Sylvie Courvoisier s'immerge à fonds, afin d'acquérir le langage qu'elle veut pratiquer, partager, intégrer. La clarté de sa vision musicale fait qu'elle s'est retrouvée très vite aux côtés de celles et ceux qui explorent sans cesse ce que nous n'avons pas encore entendu en musique. Le New-Yorkais John Zorn - parmi d'autres - est de ceux-là, son univers musical était idéal pour Sylvie Courvoisier, qu'il pense être " lʹune des pianistes les plus créatives de la scène newyorkaise ". Rien n'arrête l'action musicale de Sylvie Courvoisier, comme si, à l'intérieur de cette personne qui n'hausse pas volontiers la voix, il y avait une énergie vitale inépuisable qui doit absolument se transformer en son et en générosité. Pour preuve, sa discographie impressionnante sur les labels Tzadik, Pyroclastic, Relative Pitch, Intakt et ECM, pour l'essentiel. A consulter absolument https://sylviecourvoisier.com/discography pour la discographie et https://sylviecourvoisier.com/live pour les concerts à venir. Une série proposée par Ivor Malherbe. Des trios au programme. Ceux avec des femmes, ceux avec des hommes. Qu'est-ce qui change en fonction du genre des protagonistes ? Bonne question...Le trio piano, contrebasse et batterie est au jazz ce que le quatuor à cordes est au classique. Sur une recommandation de John Zorn, Sylvie Courvoisier va réussir à rassembler les dialoguistes parfaits pour jouer sa musique, le contrebassiste Drew Gress et le batteur Kenny Wollesen qui ont pour elle le respect et l'écoute attendus par une artiste qui n'a plus rien à prouver depuis longtemps. Quant à la composition et son apprentissage, les souvenirs reviennent, comme celui de cette professeure qui la première, mandatera Sylvie Courvoisier pour des travaux de composition. Premier job payé et bienvenu pour une étudiante qui ne vivait plus chez ses parents. Sortir de sa maison, à Brooklyn-NY, c'est faire face à tous les niveaux de vie et donner quand on a ce qu'il faut, c'est primordial.
La pianiste et compositrice Sylvie Courvoisier est née à Lausanne en 1968 et vit à NYC depuis 1998. Sa trajectoire musicale laisse un sillage qui lui a valu la reconnaissance de ses pairs, de son public et de la Confédération Helvétique qui lui décerne en 2025 le Grand Prix Suisse de Musique qui lui sera remis le 11 septembre au KKL à Lucerne, pour ponctuer une impressionnante collection de distinctions des deux côtés de l'Atlantique. 2025 verra aussi la parution d'un nouveau disque : Angel Falls en duo avec le "mythique" trompettiste Wadada Leo Smith, révolutionnaire autant que Sylvie Courvoisier. Que ce soit au travers du jazz, de la musique contemporaine, de la danse ou du flamenco, Sylvie Courvoisier s'immerge à fonds, afin d'acquérir le langage qu'elle veut pratiquer, partager, intégrer. La clarté de sa vision musicale fait qu'elle s'est retrouvée très vite aux côtés de celles et ceux qui explorent sans cesse ce que nous n'avons pas encore entendu en musique. Le New-Yorkais John Zorn - parmi d'autres - est de ceux-là, son univers musical était idéal pour Sylvie Courvoisier, qu'il pense être " lʹune des pianistes les plus créatives de la scène newyorkaise ". Rien n'arrête l'action musicale de Sylvie Courvoisier, comme si, à l'intérieur de cette personne qui n'hausse pas volontiers la voix, il y avait une énergie vitale inépuisable qui doit absolument se transformer en son et en générosité. Pour preuve, sa discographie impressionnante sur les labels Tzadik, Pyroclastic, Relative Pitch, Intakt et ECM, pour l'essentiel. A consulter absolument https://sylviecourvoisier.com/discography pour la discographie et https://sylviecourvoisier.com/live pour les concerts à venir. Une série proposée par Ivor Malherbe. Certaines rencontres ouvrent des portes, comme celles du théâtre de Vidy à Lausanne, que l'ancien directeur René Gonzalez "prêtera" à Sylvie Courvoisier sans condition plusieurs années de suite. C'est dans ce même théâtre qu'elle va rencontrer le danseur de flamenco Israel Galván. Fascination réciproque et trois spectacles sur une grosse décennie à la clef, Sylvie Courvoisier a appris l'espagnol et le flamenco. Puis apparaît le "Sacre du Printemps" d'Igor Stravinsky, parce que Sylvie Courvoisier est passionnée par ce compositeur depuis l'enfance, et parce qu'Israel Galván l'entend en jouer quelques extraits pendant une répétition et décidera qu'il dansera avec Sylvie Courvoisier et Cory Smythe au piano sur le Sacre du Printemps. Elle a appris le flamenco et l'espagnol, Israel Galván a appris le Sacre du Printemps de Stravinsky. Quel échange. Quant à "l'état de composition" de Sylvie Courvoisier, il est permanent et transparent avec la vie de tous les jours, grâce à une mémoire solide et quelques notes au dos d'un billet d'avion par exemple pour conserver les idées musicales qui jaillissent sans prévenir.
La pianiste et compositrice Sylvie Courvoisier est née à Lausanne en 1968 et vit à NYC depuis 1998. Sa trajectoire musicale laisse un sillage qui lui a valu la reconnaissance de ses pairs, de son public et de la Confédération Helvétique qui lui décerne en 2025 le Grand Prix Suisse de Musique qui lui sera remis le 11 septembre au KKL à Lucerne, pour ponctuer une impressionnante collection de distinctions des deux côtés de l'Atlantique. 2025 verra aussi la parution d'un nouveau disque : Angel Falls en duo avec le "mythique" trompettiste Wadada Leo Smith, révolutionnaire autant que Sylvie Courvoisier. Que ce soit au travers du jazz, de la musique contemporaine, de la danse ou du flamenco, Sylvie Courvoisier s'immerge à fonds, afin d'acquérir le langage qu'elle veut pratiquer, partager, intégrer. La clarté de sa vision musicale fait qu'elle s'est retrouvée très vite aux côtés de celles et ceux qui explorent sans cesse ce que nous n'avons pas encore entendu en musique. Le New-Yorkais John Zorn - parmi d'autres - est de ceux-là, son univers musical était idéal pour Sylvie Courvoisier, qu'il pense être " lʹune des pianistes les plus créatives de la scène newyorkaise ". Rien n'arrête l'action musicale de Sylvie Courvoisier, comme si, à l'intérieur de cette personne qui n'hausse pas volontiers la voix, il y avait une énergie vitale inépuisable qui doit absolument se transformer en son et en générosité. Pour preuve, sa discographie impressionnante sur les labels Tzadik, Pyroclastic, Relative Pitch, Intakt et ECM, pour l'essentiel. A consulter absolument https://sylviecourvoisier.com/discography pour la discographie et https://sylviecourvoisier.com/live pour les concerts à venir. Une série proposée par Ivor Malherbe. A croire que le destin aime les artistes comme Sylvie Courvoisier, et fait que "Qui se ressemble s'assemble", en musique comme dans la vie. Un épisode important se jouera à Baden-Baden et la fera rencontrer le musicien allemand Joachim Kuhn, véritable alter ego pianistique ou le violoniste Mark Feldman qui deviendra son mari... et encore René Gonzalez, le directeur du théâtre de Vidy. Le destin découle de l'effet de la volonté sur la providence a dit Nicolas Flamel. Pour Sylvie Courvoisier, les deux s'attirent parce qu'elle sait ce qu'elle doit à l'un et à l'autre. Ainsi, le canton de Vaud qui l'a vu grandir lui décernera le premier prix de sa carrière en 1996 : le prix "jeunes créateurs". Et la route se poursuit avec des musiciens de tous horizons, dont Daniel "Nunusse" Bourquin, saxophoniste suisse membre de BBFC, pour des projets qui surprennent toujours, car Sylvie Courvoisier ne cherche pas à plaire, mais bel et bien à explorer et suivre sa pensée musicale propre. Partir enfin... quitter la Suisse plutôt, et se retrouver à NYC grâce à son futur mari qui la mettra en contact avec le très brillantissime leader John Zorn qui l'accueille dans son cercle de musiciens et musiciennes avec enthousiasme. Quel départ ! Une nouvelle vie "underground" à New-York se dessine et les rencontres les plus stimulantes se font, en particulier dans le club "Tonic", véritable chaudron en ébullition. Enfin dans la catégorie "mentor", il y a une autre pianiste suisse : Irène Schweizer qui a donné vie avant Sylvie Courvoisier à ce piano qui révolutionne, ce qui les rendra amies et les fera jouer en duo.
La pianiste et compositrice Sylvie Courvoisier est née à Lausanne en 1968 et vit à NYC depuis 1998. Sa trajectoire musicale laisse un sillage qui lui a valu la reconnaissance de ses pairs, de son public et de la Confédération Helvétique qui lui décerne en 2025 le Grand Prix Suisse de Musique qui lui sera remis le 11 septembre au KKL à Lucerne, pour ponctuer une impressionnante collection de distinctions des deux côtés de l'Atlantique. 2025 verra aussi la parution d'un nouveau disque : Angel Falls en duo avec le "mythique" trompettiste Wadada Leo Smith, révolutionnaire autant que Sylvie Courvoisier. Que ce soit au travers du jazz, de la musique contemporaine, de la danse ou du flamenco, Sylvie Courvoisier s'immerge à fonds, afin d'acquérir le langage qu'elle veut pratiquer, partager, intégrer. La clarté de sa vision musicale fait qu'elle s'est retrouvée très vite aux côtés de celles et ceux qui explorent sans cesse ce que nous n'avons pas encore entendu en musique. Le New-Yorkais John Zorn - parmi d'autres - est de ceux-là, son univers musical était idéal pour Sylvie Courvoisier, qu'il pense être " lʹune des pianistes les plus créatives de la scène newyorkaise ". Rien n'arrête l'action musicale de Sylvie Courvoisier, comme si, à l'intérieur de cette personne qui n'hausse pas volontiers la voix, il y avait une énergie vitale inépuisable qui doit absolument se transformer en son et en générosité. Pour preuve, sa discographie impressionnante sur les labels Tzadik, Pyroclastic, Relative Pitch, Intakt et ECM, pour l'essentiel. A consulter absolument https://sylviecourvoisier.com/discography pour la discographie et https://sylviecourvoisier.com/live pour les concerts à venir. Une série proposée par Ivor Malherbe. Recevoir un prix le 11 septembre, pour une New-Yorkaise, c'est un peu singulier dans le sens où, sur le vieux continent, les événements tragiques de 2001 se sont enfouis plus vite dans nos mémoires; mais pour Sylvie Courvoisier, le souvenir est encore vivace. Une famille Courvoisier : deux frères, un papa qui jouait le piano jazz plutôt "old style" et une maman qui chantait dans des chœurs, tout le monde habitant à Savigny quand la petite dernière eut 5 ans. Un îlot attendu : les mercredis après-midi sans personne à la maison, et une liberté totale avec le piano familial. De Savigny, il fallait partir tôt le matin par tous les temps vers la capitale vaudoise en bus - en compagnie des amis qui le sont toujours aujourd'hui - pour suivre les cours au gymnase, où l'on comprend que Sylvie Courvoisier excelle en mathématique, ce qui autorisait le professeur à la laisser aller s'exercer à la salle de musique pendant les cours de math. Il y a eu des rencontres importantes comme Carole Fouvy, une pianiste de sa génération, des professeurs de musique classique ou jazz : Jacques Demierre, François Lindemann, Gaspard Glaus, pour les pianistes, et des "mentors" comme le tubiste français Michel Godard, le dessinateur Hugo Pratt qui ont cru en elle. Et on ne vous cite pas tout le monde, évidemment.
Née en 1966 en Belgique, Amélie Nothomb passe ses premières années au Japon, où elle prononce ses tout premiers mots. Depuis, elle garde pour ce pays un attachement indéfectible, au point de se dire japonaise de cœur. Fille de diplomate – son père, Patrick Nothomb, est ambassadeur de Belgique – elle grandit aux quatre coins du globe : Chine, Laos, États-Unis, et bien sûr la Belgique. Cette enfance cosmopolite marquera durablement son imaginaire et son œuvre. En 1992, elle publie son premier roman, " Hygiène de lʹassassin " (éditions Albin Michel), qui rencontre un immense succès. Dès lors, Amélie Nothomb sʹimpose comme un phénomène littéraire en publiant un roman à chaque rentrée littéraire, un rendez-vous désormais incontournable pour ses lecteurs. Ses ouvrages, traduits en plus de 40 langues, connaissent un rayonnement international et remportent des distinctions prestigieuses. Son style, à la fois classique et accessible, se distingue par des dialogues incisifs, tantôt absurdes, tantôt tragiques. Romancière fantasque et disciplinée, Amélie Nothomb sʹimpose aujourdʹhui comme lʹune des voix majeures de la littérature francophone contemporaine. Une série proposée par Witold Langlois Si Amélie Nothomb sʹinspire souvent de sa propre vie, elle sʹattache aussi à celle des autres. En 2020 puis en 2024, elle perd successivement son père et sa mère. Elle leur rend hommage dans deux romans poignants " Premier Sang " et " Tant mieux ". La vie continue, et tant que le désir et le besoin dʹécrire brûleront en elle, Amélie Nothomb poursuivra sa création littéraire.
Née en 1966 en Belgique, Amélie Nothomb passe ses premières années au Japon, où elle prononce ses tout premiers mots. Depuis, elle garde pour ce pays un attachement indéfectible, au point de se dire japonaise de cœur. Fille de diplomate – son père, Patrick Nothomb, est ambassadeur de Belgique – elle grandit aux quatre coins du globe : Chine, Laos, États-Unis, et bien sûr la Belgique. Cette enfance cosmopolite marquera durablement son imaginaire et son œuvre. En 1992, elle publie son premier roman, " Hygiène de lʹassassin " (éditions Albin Michel), qui rencontre un immense succès. Dès lors, Amélie Nothomb sʹimpose comme un phénomène littéraire en publiant un roman à chaque rentrée littéraire, un rendez-vous désormais incontournable pour ses lecteurs. Ses ouvrages, traduits en plus de 40 langues, connaissent un rayonnement international et remportent des distinctions prestigieuses. Son style, à la fois classique et accessible, se distingue par des dialogues incisifs, tantôt absurdes, tantôt tragiques. Romancière fantasque et disciplinée, Amélie Nothomb sʹimpose aujourdʹhui comme lʹune des voix majeures de la littérature francophone contemporaine. Une série proposée par Witold Langlois Amélie Nothomb affirme avoir expérimenté toutes sortes de drogues. Mais seul le thé lui permet de concentrer son énergie pour écrire chaque jour dès 4 heures du matin. En 1992, elle ose publier son premier roman, " Hygiène de lʹassassin ", ouvrant la voie à une carrière publique couronnée de plusieurs récompenses littéraires. Depuis, son univers singulier continue de captiver les lecteurs du monde entier.
Née en 1966 en Belgique, Amélie Nothomb passe ses premières années au Japon, où elle prononce ses tout premiers mots. Depuis, elle garde pour ce pays un attachement indéfectible, au point de se dire japonaise de cœur. Fille de diplomate – son père, Patrick Nothomb, est ambassadeur de Belgique – elle grandit aux quatre coins du globe : Chine, Laos, États-Unis, et bien sûr la Belgique. Cette enfance cosmopolite marquera durablement son imaginaire et son œuvre. En 1992, elle publie son premier roman, " Hygiène de lʹassassin " (éditions Albin Michel), qui rencontre un immense succès. Dès lors, Amélie Nothomb sʹimpose comme un phénomène littéraire en publiant un roman à chaque rentrée littéraire, un rendez-vous désormais incontournable pour ses lecteurs. Ses ouvrages, traduits en plus de 40 langues, connaissent un rayonnement international et remportent des distinctions prestigieuses. Son style, à la fois classique et accessible, se distingue par des dialogues incisifs, tantôt absurdes, tantôt tragiques. Romancière fantasque et disciplinée, Amélie Nothomb sʹimpose aujourdʹhui comme lʹune des voix majeures de la littérature francophone contemporaine. Une série proposée par Witold Langlois De retour au Japon, Amélie Nothomb entame une quête spirituelle à la recherche du Satori, lʹillumination totale. Elle atteint finalement le Kenshō : un instant fugace où le moi et le temps sʹeffacent, une expérience bouleversante quʹelle souhaite à chacun.
Née en 1966 en Belgique, Amélie Nothomb passe ses premières années au Japon, où elle prononce ses tout premiers mots. Depuis, elle garde pour ce pays un attachement indéfectible, au point de se dire japonaise de cœur. Fille de diplomate – son père, Patrick Nothomb, est ambassadeur de Belgique – elle grandit aux quatre coins du globe : Chine, Laos, États-Unis, et bien sûr la Belgique. Cette enfance cosmopolite marquera durablement son imaginaire et son œuvre. En 1992, elle publie son premier roman, " Hygiène de lʹassassin " (éditions Albin Michel), qui rencontre un immense succès. Dès lors, Amélie Nothomb sʹimpose comme un phénomène littéraire en publiant un roman à chaque rentrée littéraire, un rendez-vous désormais incontournable pour ses lecteurs. Ses ouvrages, traduits en plus de 40 langues, connaissent un rayonnement international et remportent des distinctions prestigieuses. Son style, à la fois classique et accessible, se distingue par des dialogues incisifs, tantôt absurdes, tantôt tragiques. Romancière fantasque et disciplinée, Amélie Nothomb sʹimpose aujourdʹhui comme lʹune des voix majeures de la littérature francophone contemporaine. Une série proposée par Witold Langlois Alors quʹelle sort de lʹenfance, Amélie Nothomb se découvre une passion qui ne la quittera jamais : lʹornithologie. En Birmanie, elle rencontre lʹoiseau qui deviendra son totem, lʹétrange et fascinant engoulevent oreillard. Mais cette période de contemplation est brutalement interrompue par une épreuve tragique qui marquera sa vie à jamais.
Née en 1966 en Belgique, Amélie Nothomb passe ses premières années au Japon, où elle prononce ses tout premiers mots. Depuis, elle garde pour ce pays un attachement indéfectible, au point de se dire japonaise de cœur. Fille de diplomate – son père, Patrick Nothomb, est ambassadeur de Belgique – elle grandit aux quatre coins du globe : Chine, Laos, États-Unis, et bien sûr la Belgique. Cette enfance cosmopolite marquera durablement son imaginaire et son œuvre. En 1992, elle publie son premier roman, " Hygiène de lʹassassin " (éditions Albin Michel), qui rencontre un immense succès. Dès lors, Amélie Nothomb sʹimpose comme un phénomène littéraire en publiant un roman à chaque rentrée littéraire, un rendez-vous désormais incontournable pour ses lecteurs. Ses ouvrages, traduits en plus de 40 langues, connaissent un rayonnement international et remportent des distinctions prestigieuses. Son style, à la fois classique et accessible, se distingue par des dialogues incisifs, tantôt absurdes, tantôt tragiques. Romancière fantasque et disciplinée, Amélie Nothomb sʹimpose aujourdʹhui comme lʹune des voix majeures de la littérature francophone contemporaine. Une série proposée par Witold Langlois En 2000, dans son autobiographie " Métaphysique des tubes ", Amélie Nothomb explore ses tout premiers souvenirs… et même ceux dʹavant sa naissance. Adapté en 2025 en un sublime film dʹanimation quʹelle a vu neuf fois, ce récit nous plonge dans ses premières années au Japon, auprès de sa famille et de Nishio-san, sa nourrice, qui lʹa tant aimée.
Chorégraphe et danseuse suisse, Yasmine Hugonnet mène une recherche centrée sur le mouvement, lʹespace et le silence. Née en 1979 à Montreux, elle commence la danse classique à lʹâge de six ans dans sa ville natale, avant de poursuivre sa formation à Genève puis à Paris, où la danse contemporaine lui ouvre de nouveaux horizons. En 2009, elle fonde la compagnie Arts Mouvementés à Lausanne et consacre la décennie suivante à une exploration approfondie de lʹimmobilité, du silence et de la présence. Dès 2013, elle crée plusieurs solos marquants, dont Le Récital des postures, qui lui vaut un prix suisse de danse. Cette pièce marque également le début de son travail avec la ventriloquie, quʹelle qualifie de " parole immobile ", un médium par lequel elle explore non seulement le mouvement externe, mais aussi le mouvement interne, renouvelant ainsi son langage chorégraphique. Plus récemment, Yasmine Hugonnet revient à la danse en musique avec la création "1000&1 BPM _ Odyssée", une œuvre pour neuf danseurs et danseuses explorant les liens entre rythme, mémoire et émotion, présentée au Festival de la Bâtie en 2025, en coproduction avec le ballet du Grand Théâtre de Genève et lʹADC. Après une décennie consacrée à explorer lʹimmobilité et le silence, Yasmine Hugonnet revient à la danse en musique, renouant avec un rapport au temps marqué par le " rendez-vous " avec un tempo extérieur. Cette régularité, quʹelle avait longtemps délaissée et parfois même redoutée, lʹamène à écouter autrement la pulsation : celle du rythme musical, mais aussi celle du cœur. Ce battement, porteur de mémoire et lié au souvenir du rythme cardiaque de son père disparu — comme une cadence quʹon ne peut tout à fait rattraper —, nourrit cette recherche. De là naît " 1000&1 BPM _ Odyssée ", présentée en août 2025 au Festival de la Bâtie, en coproduction avec le ballet du Grand Théâtre de Genève et lʹADC.
Chorégraphe et danseuse suisse, Yasmine Hugonnet mène une recherche centrée sur le mouvement, lʹespace et le silence. Née en 1979 à Montreux, elle commence la danse classique à lʹâge de six ans dans sa ville natale, avant de poursuivre sa formation à Genève puis à Paris, où la danse contemporaine lui ouvre de nouveaux horizons. En 2009, elle fonde la compagnie Arts Mouvementés à Lausanne et consacre la décennie suivante à une exploration approfondie de lʹimmobilité, du silence et de la présence. Dès 2013, elle crée plusieurs solos marquants, dont Le Récital des postures, qui lui vaut un prix suisse de danse. Cette pièce marque également le début de son travail avec la ventriloquie, quʹelle qualifie de " parole immobile ", un médium par lequel elle explore non seulement le mouvement externe, mais aussi le mouvement interne, renouvelant ainsi son langage chorégraphique. Plus récemment, Yasmine Hugonnet revient à la danse en musique avec la création "1000&1 BPM _ Odyssée", une œuvre pour neuf danseurs et danseuses explorant les liens entre rythme, mémoire et émotion, présentée au Festival de la Bâtie en 2025, en coproduction avec le ballet du Grand Théâtre de Genève et lʹADC. En 2009, après avoir fondé sa compagnie Arts Mouvementés à Lausanne, Yasmine Hugonnet entame une longue recherche solitaire en studio. De cette démarche naîtront, dès 2013, trois solos, dont Le Récital des postures, une création où la chorégraphe explore le corps et la voix à travers une série de postures qui questionnent la présence, le mouvement et le silence. Cʹest à partir de ce solo, récompensé par un prix suisse de danse, quʹelle commence à développer sa pratique de la ventriloquie. Ce médium dʹexpression poétique et corporelle, quʹelle appelle " parole immobile ", lui permet de libérer le langage de ses formes conventionnelles et dʹouvrir de nouvelles interactions entre corps, voix et public.
Chorégraphe et danseuse suisse, Yasmine Hugonnet mène une recherche centrée sur le mouvement, lʹespace et le silence. Née en 1979 à Montreux, elle commence la danse classique à lʹâge de six ans dans sa ville natale, avant de poursuivre sa formation à Genève puis à Paris, où la danse contemporaine lui ouvre de nouveaux horizons. En 2009, elle fonde la compagnie Arts Mouvementés à Lausanne et consacre la décennie suivante à une exploration approfondie de lʹimmobilité, du silence et de la présence. Dès 2013, elle crée plusieurs solos marquants, dont Le Récital des postures, qui lui vaut un prix suisse de danse. Cette pièce marque également le début de son travail avec la ventriloquie, quʹelle qualifie de " parole immobile ", un médium par lequel elle explore non seulement le mouvement externe, mais aussi le mouvement interne, renouvelant ainsi son langage chorégraphique. Plus récemment, Yasmine Hugonnet revient à la danse en musique avec la création "1000&1 BPM _ Odyssée", une œuvre pour neuf danseurs et danseuses explorant les liens entre rythme, mémoire et émotion, présentée au Festival de la Bâtie en 2025, en coproduction avec le ballet du Grand Théâtre de Genève et lʹADC. La fin du cursus au CNSM se solde, pour Yasmine Hugonnet, par une… non-remise de diplôme. Après le choc de cette décision incompréhensible, elle part pour le Mali, où elle développe des projets dʹéchanges culturels et de création collective. Avec un ami, elle fonde la compagnie Synalèphe, qui organise des résidences artistiques collaboratives de longue durée avec des artistes locaux. Après un séjour à Taïwan, où elle donne des cours aux artistes non-voyants tout en étudiant à distance lʹhistoire de lʹart, elle part pour les Pays-Bas, où elle entreprend un master en chorégraphie. Elle sʹintéresse particulièrement à la notion de " présences ", explorant comment, au-delà du simple geste, les danseurs développent une relation singulière au champ perceptif.
Chorégraphe et danseuse suisse, Yasmine Hugonnet mène une recherche centrée sur le mouvement, lʹespace et le silence. Née en 1979 à Montreux, elle commence la danse classique à lʹâge de six ans dans sa ville natale, avant de poursuivre sa formation à Genève puis à Paris, où la danse contemporaine lui ouvre de nouveaux horizons. En 2009, elle fonde la compagnie Arts Mouvementés à Lausanne et consacre la décennie suivante à une exploration approfondie de lʹimmobilité, du silence et de la présence. Dès 2013, elle crée plusieurs solos marquants, dont Le Récital des postures, qui lui vaut un prix suisse de danse. Cette pièce marque également le début de son travail avec la ventriloquie, quʹelle qualifie de " parole immobile ", un médium par lequel elle explore non seulement le mouvement externe, mais aussi le mouvement interne, renouvelant ainsi son langage chorégraphique. Plus récemment, Yasmine Hugonnet revient à la danse en musique avec la création "1000&1 BPM _ Odyssée", une œuvre pour neuf danseurs et danseuses explorant les liens entre rythme, mémoire et émotion, présentée au Festival de la Bâtie en 2025, en coproduction avec le ballet du Grand Théâtre de Genève et lʹADC. Cʹest à lʹÉcole des Sylphides, fondée à Montreux par Ria Cheseaux, que Yasmine Hugonnet commence la danse à lʹâge de six ans. Sous la direction de cette professeure, formée à lʹécole de ballet russe, elle apprend une danse à la fois incarnée, expressive et endurante. Après Montreux, elle poursuit sa formation à Genève auprès de David Allen et Claudine Kamoun. Puis, à treize ans, elle fait le grand saut en sʹinstallant à Paris, où elle approfondit son art, quʹelle décrit comme " un fil magnifique de développement, de déploiement et aussi parfois de survie ". Après le classique, la découverte de la danse contemporaine lui ouvre un nouveau champ dʹexpression, quʹelle explore au CNSM de Paris.
Chorégraphe et danseuse suisse, Yasmine Hugonnet mène une recherche centrée sur le mouvement, lʹespace et le silence. Née en 1979 à Montreux, elle commence la danse classique à lʹâge de six ans dans sa ville natale, avant de poursuivre sa formation à Genève puis à Paris, où la danse contemporaine lui ouvre de nouveaux horizons. En 2009, elle fonde la compagnie Arts Mouvementés à Lausanne et consacre la décennie suivante à une exploration approfondie de lʹimmobilité, du silence et de la présence. Dès 2013, elle crée plusieurs solos marquants, dont Le Récital des postures, qui lui vaut un prix suisse de danse. Cette pièce marque également le début de son travail avec la ventriloquie, quʹelle qualifie de " parole immobile ", un médium par lequel elle explore non seulement le mouvement externe, mais aussi le mouvement interne, renouvelant ainsi son langage chorégraphique. Plus récemment, Yasmine Hugonnet revient à la danse en musique avec la création "1000&1 BPM _ Odyssée", une œuvre pour neuf danseurs et danseuses explorant les liens entre rythme, mémoire et émotion, présentée au Festival de la Bâtie en 2025, en coproduction avec le ballet du Grand Théâtre de Genève et lʹADC. À lʹâge de trois ans, Yasmine Hugonnet part vivre au Mali avec ses parents, où elle passe trois années lumineuses. Cette période prend fin brutalement lorsquʹun accident de voiture emporte la vie de son père. Rapatriée en Suisse avec sa mère, grièvement blessée, elle grandit profondément marquée par cette perte, un " drame fondateur " qui façonnera son rapport au monde et lui offrira, dit-elle, " une expérience particulière du temps ".
Depuis plus de 50 ans, il est lʹune des plus grandes références en matière de science-fiction ! Jean-Pierre Dionnet connaît lʹhistoire du genre sur le bout des doigts, que ce soit à travers la littérature, la bande dessinée et le cinéma. Créatif insatiable, il fonde la revue mythique " Métal Hurlant " dans les années 70, après avoir fait ses armes journalistiques dans les rédactions de " Pilote ", " Charlie mensuel " ou encore " LʹEcho des Savanes ". Défricheur de talents bédeistes du monde entier, il révèle au grand public des auteurs de bande dessinée légendaires tels que Richard Corben, Frank Margerin, Joost Swarte, Moebius et Yves Chaland. Véritable passeur, il contribue à façonner les contours de la pop culture de la fin du XXe siècle. Plus tard, cʹest à travers le petit écran quʹil partage son amour pour la musique et le cinéma, animant des émissions devenues cultes telles que " Les enfants du rock ", " Sex machine " et " Cinéma de Quartier ". Rendez-vous chez lui, en banlieue parisienne. Une série signée Witold Langlois. Cinéphile exceptionnel, Jean-Pierre Dionnet fait pourtant ses débuts à la télévision par la musique, aux côtés de Philippe Manœuvre dans " Les Enfants du rock ", lʹémission culte de Pierre Lescure sur Antenne 2. Puis vient Canal+… Là, son savoir cinématographique est enfin mis à lʹhonneur, au plus grand plaisir des téléspectateurs. " Cinéma de Quartier " marquera lʹheure de gloire de Jean-Pierre Dionnet sur le petit écran.
Depuis plus de 50 ans, il est lʹune des plus grandes références en matière de science-fiction ! Jean-Pierre Dionnet connaît lʹhistoire du genre sur le bout des doigts, que ce soit à travers la littérature, la bande dessinée et le cinéma. Créatif insatiable, il fonde la revue mythique " Métal Hurlant " dans les années 70, après avoir fait ses armes journalistiques dans les rédactions de " Pilote ", " Charlie mensuel " ou encore " LʹEcho des Savanes ". Défricheur de talents bédeistes du monde entier, il révèle au grand public des auteurs de bande dessinée légendaires tels que Richard Corben, Frank Margerin, Joost Swarte, Moebius et Yves Chaland. Véritable passeur, il contribue à façonner les contours de la pop culture de la fin du XXe siècle. Plus tard, cʹest à travers le petit écran quʹil partage son amour pour la musique et le cinéma, animant des émissions devenues cultes telles que " Les enfants du rock ", " Sex machine " et " Cinéma de Quartier ". Rendez-vous chez lui, en banlieue parisienne. Une série signée Witold Langlois. Entre le défrichage de talents internationaux de la BD et les excès de drogue et dʹalcool, Jean-Pierre Dionnet vit les années 80 à mille à lʹheure. Lessivé par ces années de débauche, il finit par se reprendre en main,
Depuis plus de 50 ans, il est lʹune des plus grandes références en matière de science-fiction ! Jean-Pierre Dionnet connaît lʹhistoire du genre sur le bout des doigts, que ce soit à travers la littérature, la bande dessinée et le cinéma. Créatif insatiable, il fonde la revue mythique " Métal Hurlant " dans les années 70, après avoir fait ses armes journalistiques dans les rédactions de " Pilote ", " Charlie mensuel " ou encore " LʹEcho des Savanes ". Défricheur de talents bédeistes du monde entier, il révèle au grand public des auteurs de bande dessinée légendaires tels que Richard Corben, Frank Margerin, Joost Swarte, Moebius et Yves Chaland. Véritable passeur, il contribue à façonner les contours de la pop culture de la fin du XXe siècle. Plus tard, cʹest à travers le petit écran quʹil partage son amour pour la musique et le cinéma, animant des émissions devenues cultes telles que " Les enfants du rock ", " Sex machine " et " Cinéma de Quartier ". Rendez-vous chez lui, en banlieue parisienne. Une série signée Witold Langlois. Pour Jean-Pierre Dionnet, les années 70 et 80 sont marquées par lʹaventure Métal Hurlant. Lancée en 1975 par Jean-Pierre Dionnet, Philippe Druillet et Mœbius (Jean Giraud) – les fondateurs du groupe Les Humanoïdes Associés –, Métal Hurlant se distingue immédiatement des autres publications de lʹépoque, par sa liberté de ton totale et une vision sans compromis de la création. Le magazine, qui mêle anticipation, érotisme, et expérimentations graphiques, influence profondément les genres de la science-fiction et du cyberpunk, devenant un pilier de la culture underground.
Depuis plus de 50 ans, il est lʹune des plus grandes références en matière de science-fiction ! Jean-Pierre Dionnet connaît lʹhistoire du genre sur le bout des doigts, que ce soit à travers la littérature, la bande dessinée et le cinéma. Créatif insatiable, il fonde la revue mythique " Métal Hurlant " dans les années 70, après avoir fait ses armes journalistiques dans les rédactions de " Pilote ", " Charlie mensuel " ou encore " LʹEcho des Savanes ". Défricheur de talents bédeistes du monde entier, il révèle au grand public des auteurs de bande dessinée légendaires tels que Richard Corben, Frank Margerin, Joost Swarte, Moebius et Yves Chaland. Véritable passeur, il contribue à façonner les contours de la pop culture de la fin du XXe siècle. Plus tard, cʹest à travers le petit écran quʹil partage son amour pour la musique et le cinéma, animant des émissions devenues cultes telles que " Les enfants du rock ", " Sex machine " et " Cinéma de Quartier ". Rendez-vous chez lui, en banlieue parisienne. Une série signée Witold Langlois. Fraîchement débarqué à Paris, Jean-Pierre Dionnet habite dʹabord dans un minuscule appartement du quartier de Strasbourg Saint-Denis. Il travaille aux Puces de Saint-Ouen pour un certain Robert Roquemartine, avec qui il fonde la librairie Futuropolis, véritable repaire pour les amateurs de bande dessinée
Depuis plus de 50 ans, il est lʹune des plus grandes références en matière de science-fiction ! Jean-Pierre Dionnet connaît lʹhistoire du genre sur le bout des doigts, que ce soit à travers la littérature, la bande dessinée et le cinéma. Créatif insatiable, il fonde la revue mythique " Métal Hurlant " dans les années 70, après avoir fait ses armes journalistiques dans les rédactions de " Pilote ", " Charlie mensuel " ou encore " LʹEcho des Savanes ". Défricheur de talents bédeistes du monde entier, il révèle au grand public des auteurs de bande dessinée légendaires tels que Richard Corben, Frank Margerin, Joost Swarte, Moebius et Yves Chaland. Véritable passeur, il contribue à façonner les contours de la pop culture de la fin du XXe siècle. Plus tard, cʹest à travers le petit écran quʹil partage son amour pour la musique et le cinéma, animant des émissions devenues cultes telles que " Les enfants du rock ", " Sex machine " et " Cinéma de Quartier ". Rendez-vous chez lui, en banlieue parisienne. Une série signée Witold Langlois. Petit banlieusard né le 25 novembre 1947, Jean-Pierre Dionnet est un baby boomer issu dʹune famille de classe moyenne du département de la Seine Saint-Denis. Très tôt, il développe une boulimie de lecture. Ses livres de prédilection ? La science-fiction, bientôt suivie par les comics américains et les bandes dessinées. Il ne le sait pas encore mais le petit Dionnet se forme déjà à ce qui deviendra plus tard sa spécialité : la pop culture.
Barbara Hannigan est un être à part dans le monde lyrique. La soprano canadienne sʹest fait connaître par ses interprétations spectaculaires, très physiques, de pièces de musique contemporaine. Travailleuse acharnée, dʹune exigence totale, préparant lʹexplosion par lʹascèse, elle a été dédicataire et créatrice de près de 100 œuvres composées pour elle par des compositrices et compositeurs vivants, avec qui elle collabora activement. Dès 2011, elle commence à diriger des orchestres, et le plus souvent chante en même temps quʹelle dirige – un cas unique sur la scène classique. Plusieurs films lui ont été consacrés, notamment par Mathieu Amalric. Elle travaille de plus en plus en Suisse : elle est liée aujourdʹhui au Musikkollegium Winterthur, et a récemment été nommée cheffe invitée principale par lʹOCL. Elle prépare en ce moment un spectacle produit par le GTG à la cathédrale de Genève, mis en scène par Romeo Castellucci, monstre sacré du théâtre contemporain. Elle y chante et dirige le Stabat Mater de Pergolesi en même temps que des pièces contemporaines de Giacinto Scelsi. Le spectacle se donne à guichets fermés du 12 au 18 mai. Une série de Francesco Biamonte La vision large, profonde et sacrée de la musique de Barbara Hannigan se lit notamment dans les programmes quʹelle compose, faisant de chaque concert comme une entité cohérente, – dans la diversité parfois importante des musiques quʹelle y inscrit. Idem pour ses albums dont celui quʹelle enregistre en 2020 avec lʹensemble Ludwig, et qui a pour titre: La Passione.
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