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La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Author: RTS - Radio Télévision Suisse
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Description
Dans un feuilleton de 5 épisodes, un.e artiste ou personnalité du monde culturel, rencontré.e dans un lieu qui lui est cher, retrace sur le ton de la confidence les grandes étapes de son parcours. Fichiers disponibles durant 30 jours après diffusion. - Pour un usage privé exclusivement.
1164 Episodes
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Comédienne, metteuse en scène, réalisatrice, dramaturge et animatrice radio — sans oublier les multiples métiers quʹelle a incarnés à lʹécran, de journaliste à avocate, en passant par maman (oui, cʹest un sacré boulot aussi). Franco-suisse, Laetitia Dosch mène une double carrière. Au cinéma, elle tourne notamment pour Justine Triet et les frères Larrieu, et est nommée au César du meilleur espoir féminin en 2018 pour Jeune femme de Leonor Serraille. Sur scène, elle crée ses propres projets et collabore avec François Gremaud et ses anciens camarades de la Haute École des arts de la scène, La Manufacture à Lausanne. Son style ? Entier, engagé, conscient, voire sensible au vivant qui lʹentoure, maniant parfois la provocation, appréciant lʹhumour, toujours soucieuse dʹaller au fond des choses. En 2024, le " Procès du chien ", son premier long-métrage personnel, a remporté le " Palm Dog " du Festival de Cannes, pour la performance de Kody, un griffon, son partenaire à lʹécran.
Une série proposée par Thierry Sartoretti.
" Cette école, on lʹa retournée ! " (Bon) souvenir dʹétudiante qui découvre en 2007 une Ecole des arts de la scène tout juste créée. Laetitia Dosch fera partie de la seconde volée, la promotion B, dont bon nombre de ses ex-camarades de classe figurent au casting du " Procès du chien ", son premier long métrage sorti en 2024. A Lausanne, elle découvre le collectif et invente son propre langage théâtral, entre humour corrosif, provocation et goût affûté pour les questions sociétales contemporaines. Depuis, la comédienne habite Paris, mais la Suisse reste son terreau dʹexpression artistique.
Comédienne, metteuse en scène, réalisatrice, dramaturge et animatrice radio — sans oublier les multiples métiers quʹelle a incarnés à lʹécran, de journaliste à avocate, en passant par maman (oui, cʹest un sacré boulot aussi). Franco-suisse, Laetitia Dosch mène une double carrière. Au cinéma, elle tourne notamment pour Justine Triet et les frères Larrieu, et est nommée au César du meilleur espoir féminin en 2018 pour Jeune femme de Leonor Serraille. Sur scène, elle crée ses propres projets et collabore avec François Gremaud et ses anciens camarades de la Haute École des arts de la scène, La Manufacture à Lausanne. Son style ? Entier, engagé, conscient, voire sensible au vivant qui lʹentoure, maniant parfois la provocation, appréciant lʹhumour, toujours soucieuse dʹaller au fond des choses. En 2024, le " Procès du chien ", son premier long-métrage personnel, a remporté le " Palm Dog " du Festival de Cannes, pour la performance de Kody, un griffon, son partenaire à lʹécran.
Une série proposée par Thierry Sartoretti.
Tout le monde ne grandit pas dans un appartement empli dʹœufs et dʹanimaux empaillés à deux pas de lʹElysée. De cette enfance singulière, Laetitia Dosch a peut-être conservé une certaine attraction pour les animaux et la mise en scène. Réservée, timide, elle suit pourtant des cours de théâtre à Paris — où on la dit parfois " ingérable " — avant de sʹépanouir théâtralement en Suisse, le pays de son père.
" Je suis un passeur ! " Cʹest ainsi que se définit Laurent Aubert, évoquant ses activités à la croisée de lʹethnomusicologie et de la pratique musicale. Animé par sa passion pour les musiques du monde, il fonde en 1983 à Genève les Ateliers dʹethnomusicologie (ADEM), quʹil dirige jusquʹen 2018. Il y développe festivals, concerts, activités pédagogiques et publie les " Cahiers dʹethnomusicologie ", devenus une référence incontournable à lʹinternational. Parallèlement, de 1984 à 2011, il est conservateur au Musée dʹethnographie de Genève (MEG), où il supervise les collections dʹinstruments et les Archives internationales de musique populaire (AIMP), éditant plus dʹune centaine de CDs et concevant des expositions au rayonnement international. Ses terrains de recherche lʹont conduit à explorer la musique savante de lʹInde du Nord, les castes de musiciens au Népal, les danses et musiques rituelles du Kerala – sujet de sa thèse – ainsi que les traditions musicales soufies au Cachemire. Musicien accompli, il joue du sarod, du rubāb, du oud et de nombreux autres instruments à cordes pincées. Après un passage par le jazz et les musiques médiévales, il consacre aujourdʹhui sa pratique à lʹinterprétation des traditions quʹil a longuement explorées, au sein de lʹensemble Tarab.
Une série proposée par Anya Leveillé.
Après trente ans dʹexploration sonore à travers lʹethnomusicologie, Laurent Aubert retrouve en 2013 le plaisir de la pratique musicale. Il se tourne alors vers le rebab afghan et dʹautres instruments à cordes issus de lʹInde du Nord, de lʹAfghanistan et dʹAsie centrale. Au sein de plusieurs ensembles, dont Tarab, il tisse un univers sonore singulier, nourri de toutes ses influences. Motifs turcs ou grecs, couleurs médiévales, accents jazz ou blues : autant de textures qui se croisent et s'entrelacent, parfois à lʹimproviste, sur les cordes du rubāb ou du dotar.
" Je suis un passeur ! " Cʹest ainsi que se définit Laurent Aubert, évoquant ses activités à la croisée de lʹethnomusicologie et de la pratique musicale. Animé par sa passion pour les musiques du monde, il fonde en 1983 à Genève les Ateliers dʹethnomusicologie (ADEM), quʹil dirige jusquʹen 2018. Il y développe festivals, concerts, activités pédagogiques et publie les " Cahiers dʹethnomusicologie ", devenus une référence incontournable à lʹinternational. Parallèlement, de 1984 à 2011, il est conservateur au Musée dʹethnographie de Genève (MEG), où il supervise les collections dʹinstruments et les Archives internationales de musique populaire (AIMP), éditant plus dʹune centaine de CDs et concevant des expositions au rayonnement international. Ses terrains de recherche lʹont conduit à explorer la musique savante de lʹInde du Nord, les castes de musiciens au Népal, les danses et musiques rituelles du Kerala – sujet de sa thèse – ainsi que les traditions musicales soufies au Cachemire. Musicien accompli, il joue du sarod, du rubāb, du oud et de nombreux autres instruments à cordes pincées. Après un passage par le jazz et les musiques médiévales, il consacre aujourdʹhui sa pratique à lʹinterprétation des traditions quʹil a longuement explorées, au sein de lʹensemble Tarab.
Une série proposée par Anya Leveillé.
Entre 1984 et 2011, Laurent Aubert travaille en tant que conservateur au MEG – Musée dʹethnographie de Genève. Chargé de la collection dʹinstruments, il sʹoccupe également dʹarchives sonores uniques, les AIMP, constituées en 1944 par lʹethnomusicologue roumain Constantin Brăiloiu. Au sein du musée, il impulse également une collection de CD, qui, à son départ en 2011, compte 106 albums, restituant la mémoire sonore des quatre coins du monde. En prolongement de sa démarche de passeur, il fonde en 1988, dans le cadre des Ateliers dʹethnomusicologie, les "Cahiers dʹethnomusicologie", une publication annuelle francophone qui explore, à travers dossiers thématiques, entretiens, portraits, brèves et comptes rendus, la diversité des cultures musicales.
" Je suis un passeur ! " Cʹest ainsi que se définit Laurent Aubert, évoquant ses activités à la croisée de lʹethnomusicologie et de la pratique musicale. Animé par sa passion pour les musiques du monde, il fonde en 1983 à Genève les Ateliers dʹethnomusicologie (ADEM), quʹil dirige jusquʹen 2018. Il y développe festivals, concerts, activités pédagogiques et publie les " Cahiers dʹethnomusicologie ", devenus une référence incontournable à lʹinternational. Parallèlement, de 1984 à 2011, il est conservateur au Musée dʹethnographie de Genève (MEG), où il supervise les collections dʹinstruments et les Archives internationales de musique populaire (AIMP), éditant plus dʹune centaine de CDs et concevant des expositions au rayonnement international. Ses terrains de recherche lʹont conduit à explorer la musique savante de lʹInde du Nord, les castes de musiciens au Népal, les danses et musiques rituelles du Kerala – sujet de sa thèse – ainsi que les traditions musicales soufies au Cachemire. Musicien accompli, il joue du sarod, du rubāb, du oud et de nombreux autres instruments à cordes pincées. Après un passage par le jazz et les musiques médiévales, il consacre aujourdʹhui sa pratique à lʹinterprétation des traditions quʹil a longuement explorées, au sein de lʹensemble Tarab.
Une série proposée par Anya Leveillé.
Dans les années 1980 et 1990, Laurent Aubert parcourt la Roumanie et lʹInde pour mener ses recherches de terrain pour le Musée dʹethnographie de Genève. En Roumanie, il enregistre des musiques tziganes et villageoises, observant comment les pratiques musicales contemporaines dialoguent avec celles documentées cinquante ans plus tôt. Au Kerala, dans le sud de lʹInde, il étudie des rituels ancestraux vieux de 5000 ans; une recherche qui sʹétend sur plusieurs années et donne naissance à sa thèse, ainsi quʹà lʹexposition " Les Feux de la déesse " au MEG en 2005. Ces voyages et rencontres marquent profondément sa démarche. A une approche purement académique, il privilégie une ethnomusicologie appliquée, tournée vers la transmission et le partage de ces univers sonores avec le public — à travers des concerts, des ateliers et des activités pédagogiques. Comme il aime le rappeler, "la musique est une arme contre toute forme de racisme: quand on a été ému par une mélodie inconnue, on ne peut plus poursuivre des préjugés contre ceux qui la jouent."
" Je suis un passeur ! " Cʹest ainsi que se définit Laurent Aubert, évoquant ses activités à la croisée de lʹethnomusicologie et de la pratique musicale. Animé par sa passion pour les musiques du monde, il fonde en 1983 à Genève les Ateliers dʹethnomusicologie (ADEM), quʹil dirige jusquʹen 2018. Il y développe festivals, concerts, activités pédagogiques et publie les " Cahiers dʹethnomusicologie ", devenus une référence incontournable à lʹinternational. Parallèlement, de 1984 à 2011, il est conservateur au Musée dʹethnographie de Genève (MEG), où il supervise les collections dʹinstruments et les Archives internationales de musique populaire (AIMP), éditant plus dʹune centaine de CDs et concevant des expositions au rayonnement international. Ses terrains de recherche lʹont conduit à explorer la musique savante de lʹInde du Nord, les castes de musiciens au Népal, les danses et musiques rituelles du Kerala – sujet de sa thèse – ainsi que les traditions musicales soufies au Cachemire. Musicien accompli, il joue du sarod, du rubāb, du oud et de nombreux autres instruments à cordes pincées. Après un passage par le jazz et les musiques médiévales, il consacre aujourdʹhui sa pratique à lʹinterprétation des traditions quʹil a longuement explorées, au sein de lʹensemble Tarab.
Une série proposée par Anya Leveillé.
De retour à Genève, après son premier terrain au Népal au début des années 1970, Laurent Aubert poursuit son apprentissage du sarod, tout en se produisant au sein dʹensembles spécialisés dans les musiques médiévales. Dans une ville en pleine effervescence culturelle, il organise, au sein de lʹAMR, ses premiers concerts de musiques du monde, quʹil fait découvrir au public genevois. Ces expériences posent les fondements des futurs Ateliers dʹethnomusicologie (ADEM), fondés en 1983, une structure qui associe concerts et ateliers pédagogiques, offrant aux musiciens et danseurs, locaux comme venus dʹailleurs, un espace pour jouer et transmettre leur art.
" Je suis un passeur ! " Cʹest ainsi que se définit Laurent Aubert, évoquant ses activités à la croisée de lʹethnomusicologie et de la pratique musicale. Animé par sa passion pour les musiques du monde, il fonde en 1983 à Genève les Ateliers dʹethnomusicologie (ADEM), quʹil dirige jusquʹen 2018. Il y développe festivals, concerts, activités pédagogiques et publie les " Cahiers dʹethnomusicologie ", devenus une référence incontournable à lʹinternational. Parallèlement, de 1984 à 2011, il est conservateur au Musée dʹethnographie de Genève (MEG), où il supervise les collections dʹinstruments et les Archives internationales de musique populaire (AIMP), éditant plus dʹune centaine de CDs et concevant des expositions au rayonnement international. Ses terrains de recherche lʹont conduit à explorer la musique savante de lʹInde du Nord, les castes de musiciens au Népal, les danses et musiques rituelles du Kerala – sujet de sa thèse – ainsi que les traditions musicales soufies au Cachemire. Musicien accompli, il joue du sarod, du rubāb, du oud et de nombreux autres instruments à cordes pincées. Après un passage par le jazz et les musiques médiévales, il consacre aujourdʹhui sa pratique à lʹinterprétation des traditions quʹil a longuement explorées, au sein de lʹensemble Tarab.
Une série proposée par Anya Leveillé.
Né en 1949, Laurent Aubert grandit à Genève dans une famille profondément mélomane. Adolescent, il découvre la guitare et le banjo, sʹimprègne de Jimi Hendrix et Jeff Beck, avant de sʹintéresser aux musiques orientales grâce à un oncle amoureux de musique indienne. Animé par lʹenvie de voyager et par sa passion pour la musique, il étudie lʹethnologie et la musicologie, disciplines qui le conduisent vers lʹethnomusicologie et son premier terrain au Népal, en 1973, où il commence à apprendre le sarod.
Elle est comédienne et personnage à la fois. Dans ses créations en solo, Brigitte Rosset se raconte, partage expériences et souvenirs (les bons comme les pas bons du tout), trouve un chemin personnel entre rires et larmes, créant un théâtre qui tient du récit de vie, du partage dʹexpériences universelles et du spectacle drôle. Un prix dʹhumour romand récompense en 2025 la Genevoise, qui vient de livrer sa création la plus intime : " Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon ". À 54 ans, déjà récompensée en 2015 par un prix suisse " dʹactrice exceptionnelle ", la Genevoise affiche aussi un beau parcours dʹinterprète, tissé de fidélités et dʹamitiés fortes dans le monde du théâtre romand. À lʹheure du café, rythmé par le chant dʹun coucou mécanique, le micro de Thierry Sartoretti prend de la hauteur : direction Les Diablerets, village dʹadoption de Brigitte Rosset.
Une série signée Thierry Sartoretti.
Un parcours de comédienne devenu une carrière de plus de trente ans sur les planches. Qui dit carrière dit parfois plan. On le cherche, chez Brigitte Rosset : il nʹexiste pas ! On trouve, en revanche, une suite de rencontres et dʹamitiés fortes : Georges Wod, Gaspard Boesch – le père de ses enfants –, Jean Liermier, Sybille Blanc, Jean-Luc Barbezat, Christian Scheidt… pour ne nommer que des gens de théâtre. Lʹamitié est un bien précieux chez Brigitte Rosset, qui lui a même consacré un spectacle en 2018 avec son complice Frédéric Recrosio. La matière du théâtre nʹest-elle pas, avant tout, la pâte humaine et les sentiments ?
Elle est comédienne et personnage à la fois. Dans ses créations en solo, Brigitte Rosset se raconte, partage expériences et souvenirs (les bons comme les pas bons du tout), trouve un chemin personnel entre rires et larmes, créant un théâtre qui tient du récit de vie, du partage dʹexpériences universelles et du spectacle drôle. Un prix dʹhumour romand récompense en 2025 la Genevoise, qui vient de livrer sa création la plus intime : " Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon ". À 54 ans, déjà récompensée en 2015 par un prix suisse " dʹactrice exceptionnelle ", la Genevoise affiche aussi un beau parcours dʹinterprète, tissé de fidélités et dʹamitiés fortes dans le monde du théâtre romand. À lʹheure du café, rythmé par le chant dʹun coucou mécanique, le micro de Thierry Sartoretti prend de la hauteur : direction Les Diablerets, village dʹadoption de Brigitte Rosset.
Une série signée Thierry Sartoretti.
Comment écrit-on à partir de soi ? Évoquant ses créations en solo – " Smarties, Kleenex et Canada Dry, Ma Cuisine intérieure, Tigidou " et, tout récemment, " Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon " – Brigitte Rosset parle dʹegofiction. Quand une histoire personnelle devient-elle universelle et partageable sur un plateau de théâtre ? Comment fait-on rire un public en parlant de sa dépression ? Et comment peut-on être à la fois sujet, personnage, dramaturge et interprète ? Brigitte Rosset raconte le théâtre de Brigitte Rosset.
Elle est comédienne et personnage à la fois. Dans ses créations en solo, Brigitte Rosset se raconte, partage expériences et souvenirs (les bons comme les pas bons du tout), trouve un chemin personnel entre rires et larmes, créant un théâtre qui tient du récit de vie, du partage dʹexpériences universelles et du spectacle drôle. Un prix dʹhumour romand récompense en 2025 la Genevoise, qui vient de livrer sa création la plus intime : " Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon ". À 54 ans, déjà récompensée en 2015 par un prix suisse " dʹactrice exceptionnelle ", la Genevoise affiche aussi un beau parcours dʹinterprète, tissé de fidélités et dʹamitiés fortes dans le monde du théâtre romand. À lʹheure du café, rythmé par le chant dʹun coucou mécanique, le micro de Thierry Sartoretti prend de la hauteur : direction Les Diablerets, village dʹadoption de Brigitte Rosset.
Une série signée Thierry Sartoretti.
On connaît surtout Brigitte Rosset pour ses créations en solo, mais la comédienne a aussi un joli parcours dʹinterprète dans le répertoire classique. Pas mal pour une artiste qui nʹest pas passée par les écoles de théâtre. Shakespeare, Marivaux, nous voici ! Parfois joués à la lettre, parfois réinterprétés avec gourmandise et malice. Car chez elle, aimer, cʹest partager. Et partager, cʹest rendre accessible et joyeux — en témoignent ses " Femmes (trop) savantes " et sa " Locandiera (ou presque) ", deux succès inspirés de Molière et Goldoni.
Elle est comédienne et personnage à la fois. Dans ses créations en solo, Brigitte Rosset se raconte, partage expériences et souvenirs (les bons comme les pas bons du tout), trouve un chemin personnel entre rires et larmes, créant un théâtre qui tient du récit de vie, du partage dʹexpériences universelles et du spectacle drôle. Un prix dʹhumour romand récompense en 2025 la Genevoise, qui vient de livrer sa création la plus intime : " Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon ". À 54 ans, déjà récompensée en 2015 par un prix suisse " dʹactrice exceptionnelle ", la Genevoise affiche aussi un beau parcours dʹinterprète, tissé de fidélités et dʹamitiés fortes dans le monde du théâtre romand. À lʹheure du café, rythmé par le chant dʹun coucou mécanique, le micro de Thierry Sartoretti prend de la hauteur : direction Les Diablerets, village dʹadoption de Brigitte Rosset.
Une série signée Thierry Sartoretti.
On peut sʹinscrire à lʹécole de commerce et y pratiquer avec passion… la farce, quitte à prolonger ses études pour cause de dilettantisme scolaire. Avec ses camarades, pourquoi ne pas monter une troupe ? Les Degrés de Poule courent les cabarets genevois et romands, parvenant même jusquʹà New York. Brigitte Rosset ne croit pas quʹon puisse en faire un métier. Jusquʹà ce jour de 1994 où un certain Georges Wod, du Théâtre de Carouge, lui propose de jouer à… Moscou.
Elle est comédienne et personnage à la fois. Dans ses créations en solo, Brigitte Rosset se raconte, partage expériences et souvenirs (les bons comme les pas bons du tout), trouve un chemin personnel entre rires et larmes, créant un théâtre qui tient du récit de vie, du partage dʹexpériences universelles et du spectacle drôle. Un prix dʹhumour romand récompense en 2025 la Genevoise, qui vient de livrer sa création la plus intime : " Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon ". À 54 ans, déjà récompensée en 2015 par un prix suisse " dʹactrice exceptionnelle ", la Genevoise affiche aussi un beau parcours dʹinterprète, tissé de fidélités et dʹamitiés fortes dans le monde du théâtre romand. À lʹheure du café, rythmé par le chant dʹun coucou mécanique, le micro de Thierry Sartoretti prend de la hauteur : direction Les Diablerets, village dʹadoption de Brigitte Rosset.
Une série signée Thierry Sartoretti.
Une enfance protestante en vieille-ville de Genève. On se figure des clichés bourgeois et sévères à lʹombre de la Cathédrale Saint-Pierre. Tout faux. La famille de la comédienne Brigitte Rosset cultive lʹart des contrastes et des surprises. Aux soirées à lʹopéra répondent les matches du Servette FC aux Charmilles ; à la marionnette Pamplemousse, au Théâtre de Mademoiselle Moynier, les balades en campagne à nommer les fleurs. En 2025, cette histoire est devenue spectacle, un solo en hommage à sa famille et à ses racines : " Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon ".
Eric Linder alias Polar, est une personnalité incontournable de la culture romande. Depuis son premier groupe fondé en 1994, Peeping Tom, jusqu'à la création du Festival Antigel en passant par ses 6 albums en solo, il trace un chemin à part dans le paysage culturel. Né à Genève dʹune mère irlandaise et dʹun père suisse-allemand, il grandit à Onex dans la banlieue genevoise. Son père est un voyageur de commerce qui nʹest présent que les week-ends. En semaine, il est avec son frère aîné et sa mère qui sont les piliers de son existence. Champion suisse du 800 mètres, il est victime dʹun accident qui mettra un terme à sa carrière sportive. Sa convalescence sera lʹoccasion dʹapprendre quelques accords de guitare grâce à son frère : Cʹest une révélation. Il sera plus tard également programmateur de concerts à lʹUsine de Genève, créateur du Festival Antigel tout en menant une carrière dʹauteur-compositeur.
Une série proposée par Pierre Philippe Cadert.
Il vit en entre Genève et Paris. Tout va bien jusquʹà ce 13 novembre. Polar croise des connaissances du milieu de la musique devant le Bataclan avant le concert des Eagles of Death Metal. Convié au concert, il hésite. Finalement il ne sera pas dans la salle mais vivra lʹévénement dans une rue adjacente. Les tirs, les blessés, et lʹimpossibilité de vivre normalement après. Pourtant la vie reprendra son cours grâce à ses ancrages forts comme le Festival Antigel.
Eric Linder alias Polar, est une personnalité incontournable de la culture romande. Depuis son premier groupe fondé en 1994, Peeping Tom, jusqu'à la création du Festival Antigel en passant par ses 6 albums en solo, il trace un chemin à part dans le paysage culturel. Né à Genève dʹune mère irlandaise et dʹun père suisse-allemand, il grandit à Onex dans la banlieue genevoise. Son père est un voyageur de commerce qui nʹest présent que les week-ends. En semaine, il est avec son frère aîné et sa mère qui sont les piliers de son existence. Champion suisse du 800 mètres, il est victime dʹun accident qui mettra un terme à sa carrière sportive. Sa convalescence sera lʹoccasion dʹapprendre quelques accords de guitare grâce à son frère : Cʹest une révélation. Il sera plus tard également programmateur de concerts à lʹUsine de Genève, créateur du Festival Antigel tout en menant une carrière dʹauteur-compositeur.
Une série proposée par Pierre Philippe Cadert.
Après Onex, nous voici dans son studio, son refuge. Autour de nous, des guitares, des disques, des claviers, des pédales dʹeffet et… des masques du Benin. La multitude de ces influences se retrouve aussi bien dans ses chansons que dans les musiques quʹil compose pour la danse, le théâtre ou le documentaire. De chanteur guitariste, le voici explorateur de sonorités grâce aux synthétiseurs et à lʹordinateur. Une liberté retrouvée, comme à ses débuts.
Eric Linder alias Polar, est une personnalité incontournable de la culture romande. Depuis son premier groupe fondé en 1994, Peeping Tom, jusqu'à la création du Festival Antigel en passant par ses 6 albums en solo, il trace un chemin à part dans le paysage culturel. Né à Genève dʹune mère irlandaise et dʹun père suisse-allemand, il grandit à Onex dans la banlieue genevoise. Son père est un voyageur de commerce qui nʹest présent que les week-ends. En semaine, il est avec son frère aîné et sa mère qui sont les piliers de son existence. Champion suisse du 800 mètres, il est victime dʹun accident qui mettra un terme à sa carrière sportive. Sa convalescence sera lʹoccasion dʹapprendre quelques accords de guitare grâce à son frère : Cʹest une révélation. Il sera plus tard également programmateur de concerts à lʹUsine de Genève, créateur du Festival Antigel tout en menant une carrière dʹauteur-compositeur.
Une série proposée par Pierre Philippe Cadert.
En 1994, naît Pepping Tom, le premier groupe avec lequel Eric Linder va sʹexprimer. Auparavant, il y aura lʹapprentissage de la musique en autodidacte, la guitare dans les couloirs du collège et la rencontre avec Simon Aeschimann et Vincent Hänni qui mènera à la création du groupe. Peu de temps après la sortie de leur unique disque, Eric Linder sort son premier solo sous le nom de Polar.
Eric Linder alias Polar, est une personnalité incontournable de la culture romande. Depuis son premier groupe fondé en 1994, Peeping Tom, jusqu'à la création du Festival Antigel en passant par ses 6 albums en solo, il trace un chemin à part dans le paysage culturel. Né à Genève dʹune mère irlandaise et dʹun père suisse-allemand, il grandit à Onex dans la banlieue genevoise. Son père est un voyageur de commerce qui nʹest présent que les week-ends. En semaine, il est avec son frère aîné et sa mère qui sont les piliers de son existence. Champion suisse du 800 mètres, il est victime dʹun accident qui mettra un terme à sa carrière sportive. Sa convalescence sera lʹoccasion dʹapprendre quelques accords de guitare grâce à son frère : Cʹest une révélation. Il sera plus tard également programmateur de concerts à lʹUsine de Genève, créateur du Festival Antigel tout en menant une carrière dʹauteur-compositeur.
Une série proposée par Pierre Philippe Cadert.
Désormais repéré comme athlète grâce à son frère, Eric sʹimpose la discipline quʹexige le haut niveau. 6 entraînements par semaine, les compétitons, jusquʹà lʹaccident. Percuté par un vélo, il doit tirer un trait sur sa carrière sportive. La découverte de la guitare pendant sa convalescence, de nouveau grâce à son frère, va changer le cours de sa vie. Arthur Linder est décédé subitement en juin 2025, quelques mois après la disparition de sa mère. Un choc.
Eric Linder alias Polar, est une personnalité incontournable de la culture romande. Depuis son premier groupe fondé en 1994, Peeping Tom, jusqu'à la création du Festival Antigel en passant par ses 6 albums en solo, il trace un chemin à part dans le paysage culturel. Né à Genève dʹune mère irlandaise et dʹun père suisse-allemand, il grandit à Onex dans la banlieue genevoise. Son père est un voyageur de commerce qui nʹest présent que les week-ends. En semaine, il est avec son frère aîné et sa mère qui sont les piliers de son existence. Champion suisse du 800 mètres, il est victime dʹun accident qui mettra un terme à sa carrière sportive. Sa convalescence sera lʹoccasion dʹapprendre quelques accords de guitare grâce à son frère : Cʹest une révélation. Il sera plus tard également programmateur de concerts à lʹUsine de Genève, créateur du Festival Antigel tout en menant une carrière dʹauteur-compositeur.
Une série proposée par Pierre Philippe Cadert.
Ses parents se rencontrent à Londres, et viendront s'installer dans la banlieue genevoise. C'est ici quʹEric Linder va grandir tout en passant une partie de son enfance en Irlande. A Onex, ce sont les souvenirs dʹenfance qui reviennent. Les bois alentours, lʹécole, la musique que son frère écoute, lʹabsence du père, les moments difficiles. Mais aussi les week-ends en Valais, les nuits en forêt. Alors quʹil se demande de quoi sera fait son avenir, alors quʹil ne " traîne pas avec les bonnes personnes ", lʹinscription à une course à pied va révéler des qualités qui vont lui permettre de changer dʹécole et feront de lui un champion suisse du 800 mètres.
Jean-Philippe Rykiel naît le 31 mai 1961 à Boulogne-Billancourt, dans une famille aisée. Son père tient une boutique où sa mère vend des tricots quʹelle commence à confectionner parce quʹelle " ne trouvait rien à se mettre " dans les magasins. Cʹest ainsi que nait la marque Sonia Rykiel, une entreprise familiale florissante qui permet au jeune Jean-Philippe, aveugle de naissance, de grandir dans un cadre protégé et confortable, couvé par les attentions, parfois envahissantes dʹun père omniprésent. Devenu très tôt musicien professionnel, il participe à sa première séance de studio comme pianiste à seulement 16 ans, puis multiplie les rencontres et les collaborations, avec des artistes tels que Brigitte Fontaine, Catherine Lara, Leonard Cohen, le précurseur des synthétiseurs Tim Blake, ou encore Steve Hillage. Il est également lʹun des premiers musiciens occidentaux à collaborer avec de grands musiciens africains comme Youssou NʹDour ou Salif Keita avec qui il enregistre son album le plus connu, " Soro ". Installé, aujourdʹhui, dans le 14e arrondissement qui lʹa vu naitre, il continue son voyage musical nourri de rencontres et dʹexpérimentations inspirantes.
Une série proposée par Michel Ndeze.
Jean-Philippe Rykiel perd la vue peu après sa naissance à la suite dʹune rétinopathie provoquée par un excès dʹoxygène dans sa couveuse. Refusant les euphémismes, il déclare : " Je suis aveugle de naissance, et surtout pas "non-voyant". "
Jean-Philippe Rykiel naît le 31 mai 1961 à Boulogne-Billancourt, dans une famille aisée. Son père tient une boutique où sa mère vend des tricots quʹelle commence à confectionner parce quʹelle " ne trouvait rien à se mettre " dans les magasins. Cʹest ainsi que nait la marque Sonia Rykiel, une entreprise familiale florissante qui permet au jeune Jean-Philippe, aveugle de naissance, de grandir dans un cadre protégé et confortable, couvé par les attentions, parfois envahissantes dʹun père omniprésent. Devenu très tôt musicien professionnel, il participe à sa première séance de studio comme pianiste à seulement 16 ans, puis multiplie les rencontres et les collaborations, avec des artistes tels que Brigitte Fontaine, Catherine Lara, Leonard Cohen, le précurseur des synthétiseurs Tim Blake, ou encore Steve Hillage. Il est également lʹun des premiers musiciens occidentaux à collaborer avec de grands musiciens africains comme Youssou NʹDour ou Salif Keita avec qui il enregistre son album le plus connu, " Soro ". Installé, aujourdʹhui, dans le 14e arrondissement qui lʹa vu naitre, il continue son voyage musical nourri de rencontres et dʹexpérimentations inspirantes.
Une série proposée par Michel Ndeze.
Jean-Philippe Rykiel tombe amoureux du continent africain et de sa musique grâce à sa rencontre avec le fondateur du légendaire groupe Sénégalais Xalam. De fil en aiguille, il croise la route de Youssou Nʹdour, Salif Keita, Papa Wemba et bien dʹautres, à une époque où les musiques africaines sʹallient de plus en plus aux textures électroniques.
Jean-Philippe Rykiel naît le 31 mai 1961 à Boulogne-Billancourt, dans une famille aisée. Son père tient une boutique où sa mère vend des tricots quʹelle commence à confectionner parce quʹelle " ne trouvait rien à se mettre " dans les magasins. Cʹest ainsi que nait la marque Sonia Rykiel, une entreprise familiale florissante qui permet au jeune Jean-Philippe, aveugle de naissance, de grandir dans un cadre protégé et confortable, couvé par les attentions, parfois envahissantes dʹun père omniprésent. Devenu très tôt musicien professionnel, il participe à sa première séance de studio comme pianiste à seulement 16 ans, puis multiplie les rencontres et les collaborations, avec des artistes tels que Brigitte Fontaine, Catherine Lara, Leonard Cohen, le précurseur des synthétiseurs Tim Blake, ou encore Steve Hillage. Il est également lʹun des premiers musiciens occidentaux à collaborer avec de grands musiciens africains comme Youssou NʹDour ou Salif Keita avec qui il enregistre son album le plus connu, " Soro ". Installé, aujourdʹhui, dans le 14e arrondissement qui lʹa vu naitre, il continue son voyage musical nourri de rencontres et dʹexpérimentations inspirantes.
Une série proposée par Michel Ndeze.
Dans le 14e arrondissement, Jean-Philippe Rykiel a transformé un ancien garage, situé sous son domicile, en véritable cocon musical : son studio dʹenregistrement. Entouré de ses synthétiseurs, cʹest dans ce studio taillé sur mesure que la magie a opéré au fil des rencontres et collaborations avec de nombreux artistes.









