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La voix des libéraux
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La voix des libéraux

Author: URPS médecins libéraux Ile-de-France

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La voix des libéraux est le podcast qui relaie vos questions, vos préoccupations et vos doléances concernant votre activité de médecin libéral. 

Vous êtes médecin ? Chaque mois, un invité répondra à vos questions sur un sujet qui fait l'actualité de votre profession. A chaque épisode, un nouveau thème. Posez vos questions sur notre boîte vocale ici : https://voxm.io/p/WN6r0

Un podcast produit par l'URPS médecins libéraux Ile-de-France, avec Logarythm.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
16 Episodes
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Menaces, pressions, agressions… Les professionnels de santé ne sont malheureusement pas épargnés. Si 99% des patients sont bienveillants et souvent très reconnaissants des prises en charge proposées par leur médecin, une seule agression suffit à bouleverser le cours d'une journée de consultation, ou d'une carrière. Savoir se protéger et réagir face à ces agressions mérite de s'y préparer. Les URPS, pilotes et partenaires du plan d'action tolérance zéro, proposent des outils concrets, découvrez-les dans ce podcast !Avec : Dr Mardoché Sebbag, Vice-Président de l'URPS médecins libéraux Ile-de-FranceMme Fatima Said Dauvergne, Présidente de l'AIUF : Association Interprofessionnelle des URPS franciliennesM. Deve Maboungou, chargé de mission sûreté régional Ile-de-France inter URPSAnimé par la journaliste Sidonie Watrigant.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cybersécurité, piratage, rançonnage... les médecins sont en première ligne dans la gestion des données de santé. Leur digitalisation présente à la fois des avantages dans le suivi médical, mais un vrai risque dans le maintien de la confidentialité. Quelle est l'ampleur du risque cyber pour les médecins libéraux ? Quel type de menace et quelle conséquence en cas d'attaque ? Quels sont les outils dont ils disposent pour prévenir le risque cyber et quelle est leur responsabilité ? On en parle avec : -              Olivier Ruet-Cros, analyste sur incidents au CERT Santé-              Dr Eric Tanneau, psychiatre et secrétaire général adjoint de l'URPS médecins.Le débat est animé par la journaliste Sidonie Watrigant. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous allons parler, dans cet épisode, d'une tendance aujourd'hui qui s'affirme depuis quelques années : les déconventionnements.Ils augmentent sensiblement en Île-de-France. Sur les quelques 5000 lettres d'intention envoyées par les médecins généralistes français, 10% viennent de praticiens franciliens, selon les chiffres du site déconventionnement.fr. Mais attention, lettres d'intention ne veut pas dire acte de déconventionnement.Aujourd'hui, nous allons nous intéresser aux médecins ayant fait le choix du secteur 3. Qui sont-ils ? Pourquoi ont-ils fait ce choix ? Qu'est-ce qui a changé depuis qu'ils ont coupé les ponts avec la Sécurité sociale ? Quelle est leur relation maintenant avec leurs patients ? On en parle avec : - Dr Séverine Steenkiste, médecin généraliste à Chambourcy (78)- Dr Rosalie Nguyen, médecin généraliste au Blanc-Mesnil (93)- Dr Joubine Nadjahi. médecin généraliste à Créteil (94)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que l'on n'imaginait pas ou peu avoir une téléconsultation avec son médecin et inversement avec son patient avant 2020, le COVID a montré que tout était possible dans ce domaine.Aujourd'hui, la plupart des médecins ont intégré cet outil dans leur pratique, qui reste toutefois réglementairement plafonnée à 20 % par la convention médicale.Parallèlement nous assistons au développement d'un marché de la téléconsultation, avec l'arrivée de sociétés de téléconsultation, de plateforme de téléconsultation de cabines de téléconsultation dans les pharmacies, chez les opticiens, dans les mairies, les gares...avec un très net tournant marketing. Pour preuve les campagnes faites auprès des pharmaciens, installez une cabine dans votre officine et boostez votre chiffre d'affaires...Alors la question que nous allons nous poser aujourd'hui c'est: faut-il davantage réglementer cette pratique ? On en parle avec : - Albert Lautman, Directeur coordonnateur de la gestion du risque à l’Assurance Maladie d’Ile-de-France, Directeur de la CPAM de l’Essonne- Dr Jean-Marc Spira, médecin urgentiste, coordonnateur de la commission organisation et coordination de l'URPSAnimé par Alexandre Grenier, directeur de l'URPS médecins libéraux Ile-de-FranceHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’objectif du Ségur numérique est de faciliter les échanges dématérialisés de données médicales entre médecins mais aussi entre médecins et patients, de manière sécurisée, grâce à l’interopérabilité des logiciels métiers. Trois ans et demi après son lancement, où en est le Ségur du numérique en santé ? La quasi-totalité des logiciels sont à jour mais qu’en est-il de l'usage des médecins libéraux ? Quels sont encore les points de blocage ? On en parle avec : ·         Mme Hela Ghariani, déléguée ministérielle au numérique en santé·         Dr Sandra Malak, directrice de Projet Ségur numérique à la délégation ministérielle au numérique en santé ·         Dr Laurent de Bastard, coordonnateur de la commission e-santéAnimé par la journaliste Sidonie Watrigant.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les jeux olympiques et paralympiques 2024 se dérouleront cet été à Paris. Plus de 13 millions de visiteurs sont attendus pour cet événement planétaire et l’un des défis à relever est d’assurer la prise en charge sanitaire de ces visiteurs. Comment sera organisé le volet sanitaire des JO ? Comment les médecins libéraux sont-ils intégrés au dispositif spécialement mis en place ? Comment les patients pourront-ils accéder à leur médecin situé en périmètre de sécurité lié aux épreuves et cérémonies ? On en parle avec : ·         Sophie Martinon, directrice générale adjointe de l'ARS Ile-de-France·         Dr Philippe Pizzuti et Dr Marc Rozenblat, coordonnateurs du groupe de travail JO 2024 Animé par la journaliste Sidonie Watrigant.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Que recouvrent exactement les thérapies numériques ? Lorsque l‘on demande aux médecins de citer une thérapie numérique, 20% seulement sont capables de répondre. Comment les différencier des applis bien-être ? Peut-on les prescrire et sont-elles remboursées par l’Assurance maladie ? Les outils de télésurveillance sont-ils assimilés à des thérapies numériques ? On en parle avec :·  Hélène Sagnes, Directrice du pôle pharmacie & santé - Les Echos Etudes et auteur d’un rapport sur les thérapies numériques·  Dr Laurent de Bastard, médecin généraliste à Versailles et co-coordonnateur de la commission E-santé de l’URPS médecins libéraux Ile-de-France.Podcast animé par la journaliste Sidonie Watrigant.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les contours de la 4e année de formation en spécialité de médecine générale ont été dévoilés avant l'été par le précédent ministre de la Santé François Braun, un arrêté du 9 août en précise la maquette. Cette année d'étude supplémentaire est loin de faire l'unanimité parmi les jeunes médecins et elle questionne également les maitres de stage chargés de les « superviser ».On en parle avec :  ·  Professeur Olivier Saint-Lary, médecin généraliste libéral, Président du Collège national des généralistes enseignants (CNGE) et auteur du rapport ministériel  "Ajout d’une quatrième année au Diplôme d’Etudes Spécialisées (DES) de Médecine Générale" de juin 2023.·  Dr Jean-Paul Hamon et Dr Richard Handschuh, médecins généralistes et co-coordonnateurs de la commission de médecine générale de l’URPSPodcast animé par la journaliste Sidonie Watrigant.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et aujourd’hui nous allons parler retraite…. Alors que les négociations battent leur plein avant la grande réforme promise par le gouvernement d’ici la fin de l’hiver, les professions libérales comptent bien faire entendre leur voix et défendre leurs idées. Des idées très simples... les professions libérales doivent le rester et garder la main sur l’organisation de leur retraite complémentaire… car elle a prouvé son efficacité ! Autre point fort : L’Age de départ à la retraite ne doit pas bouger… dans la logique du régime choisi… avec un départ possible à 62 ans et un départ à taux plein à 67  Enfin, sur la question du cumul emploi / retraite… les cotisations à vide des médecins qui poursuivent leur activité pourraient être supprimées : bonne ou mauvaise idée ?   On en parle aujourd’hui avec : Dr Thierry LARDENOIS, président de la CARMF, caisse de retraite des médecins et médecin généraliste installé dans l’Est de la France.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et aujourd’hui nous allons parler des assistants médicaux…. Ce métier, qui n’existait pas il y a 3 ans, a été pensé dans le cadre du plan Ma santé 2022…. Il avait pour but de permettre de redonner du temps médical aux praticiens.. et donc de répondre au problème de l’accès au soin, notamment en Ile-de-France.   - A l’époque, le gouvernement voulait créer 4000 postes d’ici cette année.  - Comment ? En attribuant une aide aux médecins qui voudraient embaucher. - 3 ans après, ou en est on ? - A peine la moitié de l’objectif a été atteint : pourquoi ? - Dans le détail, quel type de postes ont été créés pour quels résultats ? - Comment pourrait-on améliorer ce dispositif ? Nous parlons de tout cela aujourd’hui avec : Albert Lautman, Directeur Coordonnateur de la gestion du risque à l'Assurance Maladie d'Ile-de-France Dr Bernard Elghozi, Médecin généraliste à Créteil et Trésorier adjoint de l'URPS médecins libéraux Ile-de-FranceHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aide à l’installation, états des lieux et réalité du terrain :   Le contrat d'aide à l'installation (CAIM) mis en place depuis 2015 a pour but d’inciter les jeunes médecins à exercer dans les zones délaissées, les ZIP (Zone d'intervention prioritaire). Sur le papier, le principe a l’air simple et attrayant : 50 000 euros versé en deux temps à tout médecin qui tenterait l’aventure d’une installation en ZIP.     Comme souvent, il y a des subtilités dans les détails et dans les conditions pour l’obtention de la totalité de cette aide. Pour n’en citer que quelque unes : zonage, obligation d’exercer en groupe, d’appartenir à une CPTS, de participer à la permanence des soins…     On en parle aujourd’hui avec :   Albert Lautman, Directeur Coordonnateur de la gestion du risque à l'Assurance Maladie d'Ile-de-France, Directeur de la CPAM de l’Essonne  Docteur Valérie Briole, Présidente de l’URPS médecins libéraux Ile-de-France  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Violences dont sont victimes les médecins, etat des lieux et solutions : Pour l’insécurité dans les cabinets, les années se suivent et se ressemblent En 10 ans, les actes de violence perpétrés à l’encontre des médecins a plus que doublé… on est aujourd’hui à plus de 1200 actes de violence recensés par an ! Et la crise covid  n’a fait qu’accentuer ce phénomène  Comment en est on arrivé là ? Comment des personnes qui ont vocation à apporter aide et soin se retrouvent être la cibles d’incivilités au quotidien et même de violence ?   On en parle aujourd’hui avec : Jean Marcel Mourgues, Médecin généraliste, Vice président du Conseil national de l’ordre des médecins    Mardoche Sebbag, Médecin généraliste, Vice président de l'URPS médecins libéraux Ile-de-FranceHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec la participation de Mme Amélie Verdier, Directrice générale de l'ARS Ile-de-France.Cout de la vie, charges élevées, la région Ile-de-France a du mal à garder ses jeunes médecins libéraux…En 10 ans, plus de 15% d’entre eux ont fait le choix d’aller poser leur plaque ailleurs qu’en Ile de France. Comment lutter contre cette fuite des blouses blanches couplée à la pénurie médicale qui frappe déjà l’ensemble de l’Hexagone… ?Si la majorité des praticiens plaident pour une revalorisation simple du coût de l’exercice, les autorités sanitaires préfèrent d’autres voies… Souvent synonymes de contraintes supplémentaires pour les praticiens.Peut-on encore raisonnablement penser que l’exercice de la médecine a le même cout et les mêmes enjeux économiques partout en France ?Alors, ne faudrait-il pas tout simplement tout remettre à plat… et réinventer un modèle économique pour la médecine libérale en ile de France ? Le quatrième épisode de La Voix des Libéraux produit par l’URPS médecins libéraux Ile-de-France est en ligne ! Nous recevions la directrice générale de l'ARS Ile-de-France, Mme Amélie Verdier, pour discuter du modèle économique de la médecine libérale dans la région Ile-de-France.Avec le Dr Valérie Briole, Rhumatologue, Présidente de l'URPS médecins.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Près de 50 ans après sa création, le fameux numerus clausus n’existe plus.    L'objectif de cette suppression, annoncée par le chef de l’État en septembre 2018, c'est de mettre fin au gâchis humain d’une première année de médecine ultra-sélective. En effet, rappelons que plus des trois quarts des quelque 60 000 inscrits échouaient à décrocher une place dans les filières médicales.      Alors cette réforme qui promet la formation de 50 000 médecins supplémentaires en 5 ans sera-t-elle suffisante ? Au-delà de cela, c’est tout le système de formation des médecins qui a été revu, avec des changements souvent complexes et difficiles à comprendre. Tout cela dans le but de répondre à l'urgence de la pénurie médicale… au point que certains élus défendent l’idée d’une obligation d’installation et que le sujet s’invite dans la campagne présidentielle.    Que pensent les jeunes médecins de tout cela ? Comment voient-ils leur avenir professionnel se dessiner ?     C'est ce dont on va parler avec nos invités :  Gaëtan Casanova, Président de l’ISNI (Intersyndicale nationale des internes) Le docteur Bernard Huynh, gynécologue médical et obstétrique à Paris, coordinateur de la commission démographie de l’URPS médecins Ile-de-France. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce deuxième épisode de la Voix des libéraux, nous abordons la question des CPTS (les communautés professionnelles territoriales de santé) qui ont commencé à voir le jour en 2020. Aujourd'hui, il y a un peu plus de 170 contrats de CPTS signés en France, dont une trentaine en Ile-de-France. On est loin de l'objectif fixé par le gouvernement de 1000 CPTS en fonctionnement en 2022. Pourquoi leur mise en place prend-elle autant de temps ? Quels sont les obstacles et les réticences ? Pour répondre à ces questions, le Dr Sophie Augros, Conseillère médicale soins primaires et professions libérales auprès de la Direction générale de l'offre de Soins (Ministère de la Santé) a été invitée pour échanger avec le Dr Sophie Bauer, chirurgien thoracique et cardio-vasculaire à Melun (77) et élue de l'URPS. Au programme de cet épisode : 1:43 : Présentation de nos deux invitées. 6:00 : Question du Dr Dominique Penaud (Saint-Denis) : Comment connaître les CPTS de son territoire et pourquoi y participer ? 8:30 : Question du Dr Patrick Simon-Laneuville (Orsay) : Quel est le rôle des spécialistes dans ces structures ? 12:50 : Question du Dr Philippe Pizzuti (Beaumont-sur-Oise) : Comment les CPTS vont-elles pouvoir lutter contre les déserts médicaux ? 14:27 : Réaction du Dr Bernard Elghozi, médecin généraliste à Créteil : Les CPTS ne sont pas si efficaces que cela... 18:55 : Dr Valérie Briole, Rhumatologue (Paris), Présidente de l’URPS : Comment gérer le transfert de certaines compétences qui relèvent de l’expertise des médecins ? 20:43 : Quelle gouvernance pour les CPTS ? 22:56 : Question du Dr Bertrand de Rochambeau : Comment se répartissent les fonds au sein de la CPTS et quelle rémunération pour celles et ceux qui s'impliquent dans ces structures ? 25:00 : Question du Dr Arnaud Saada : A quel point les médecins sont-ils libres au sein d'une CPTS ? 26:55 : (Question d’un médecin, Hauts-de-Seine) : Pourquoi ne pas attribuer les fonds de la CPTS directement aux médecins ? 27:49 : Le mot de la fin par Dr Sophie Bauer. Bonne écoute ! Vous voulez poser vos questions sur notre boîte vocale pour notre prochain épisode ? C'est par ici : https://voxm.io/p/8wE2l   Crédits : Journaliste : Sidonie Watrigant. Voix off : Emilie Harding. Réalisation : Logarythm, Denis Démocrate. Un podcast produit par l'URPS médecins libéraux Ile-de-France, avec Logarythm. Avec la participation de la Commission communication, coordonnée par les Dr Grégory Lenczner et Dr David Schapiro. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce premier épisode de la Voix des libéraux, nous abordons les questions laissées en suspens sur l’expérimentation du service d’accès aux soins (SAS), le sésame pour désengorger les urgences... Face à la pénurie de médecins, est-ce la bonne solution ? Et quels problèmes nouveaux le SAS pose-t-il ? Ce service est-il vraiment adapté pour toutes les spécialités de la médecine ? Pour répondre à ces questions, le Pr Pierre Carli, Directeur médical du Samu de Paris a été invité pour échanger avec le Dr Elghozi Bernard, médecin généraliste à Créteil et membre de l’URPS. Au programme de cet épisode : 1:05 : Qu’est-ce que le service d’accès aux soins (SAS) ? 2:05 : Est-ce que le SAS va vraiment servir à quelque chose ? 2:54 : Est-ce que le SAS va véritablement pouvoir désengorger les urgences ? 4:38 : Quelles sont les 3 grandes composantes du SAS ? 8:04 : (Question d'un médecin libéral en maison de santé) Comment, en pratique, participer au service d’accès aux soins ? 10:00 : Réponse complémentaire de Valérie Briole, Présidente de l’URPS médecins libéraux Ile-de-France 11:50 : Comment les médecins seraient valorisés, reconnus et rémunérés pour leur participation au SAS ? 15:05 : (Question de femme médecin anonyme) Comment s’organiser entre médecins pour orienter le patient au bon endroit ? Est-ce que les médecins resteront autonomes dans la gestion de leur temps d’exercice avec le SAS ? 18:30 : (Question d’un médecin, spécialiste) Est-ce que le SAS sera, en pratique, soumis à une gouvernance lourde et autoritaire ? Le SAS ressemblera-t-il à un dispositif de gestion hospitalière ? 22:17 : Où en est la plateforme numérique nationale du SAS ? A quel stade de l’expérimentation du SAS en est-on ? 27:17 : Quel est le problème de fond de notre système de santé auquel le SAS cherche à apporter une réponse ? Est-il suffisant ? Que pourrait apporter le SAS à la refonte plus globale de notre système de santé ? 29:47 : Que peut-on retenir de cet épisode ? Bonne écoute ! Vous voulez poser vos questions sur notre boîte vocale pour notre prochain épisode ? C'est par ici : https://voxm.io/p/8wE2l   Crédits : Journaliste : Sidonie Watrigant. Voix off : Emilie Harding. Réalisation : Denis Démocrate. Un podcast produit par l'URPS médecins libéraux Ile-de-France, avec Logarythm. Avec la participation de la Commission communication, coordonnée par les Dr Grégory Lenczner et Dr David Schapiro. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.