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Le Fantôme de la Radio
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Le Fantôme de la Radio

Author: RTBF

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Description

Le Fantôme de la Radio connaît tous les enregistrements rares et les archives oubliées. Grâce à lui, Éric Loze vous propose d’entendre ou réentendre les grandes voix de la Radio, d’écouter les programmes les plus emblématiques de l’INR, de la RTB et de la RTBF, et de goûter une nouvelle fois à ces moments rares, aujourd’hui presque effacés des mémoires.
56 Episodes
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Musicien instinctif au carrefour de mille influences, Arno a tout absorbé : la noirceur du blues, le vague à l'âme des accordéons rances et le souffle épique de la chanson française. De ce mélange, il a extrait à chaque album un son qui n'appartenait qu'à lui, reconnaissable entre tous, maltraité par cette voix qui n'en finissait pas de se briser, grave et tendre à la fois. Poète voyeur et curieux des autres, véritable éponge des états d'âmes ambiants, Arno habillait ses chansons de textes bien plus subtils qu'il n'y paraît. Surtout ces dernières années, lorsqu'il se laissait envahir par une mélancolie en clair-obscur, couleur mer du nord. Dans la deuxième et dernière partie de ce récit dédié à Arno, le Fantôme de la Radio et Jean-Marc Panis racontent la carrière solo du rocker belge décédé le 23 avril dernier.
Arno
Georges Pradez, un animateur de radio et de télévision enthousiaste, curieux de tout, jamais à court d’idée. Un conteur d’histoire exceptionnel, capable de changer de voix et d’accent en une fraction de seconde. Après avoir évoqué, dans l’épisode précédent, les années liégeoises de Georges Pradez, le Fantôme de la Radio vous raconte l’autre versant de sa carrière : les 25 années passées à Bruxelles. A Flagey puis à la Cité Reyers, Pradez participe à des milliers d’émissions mais aussi à de très nombreux feuilletons et autres fictions radiophoniques. Un véritable palmarès à la hauteur de cet homme extraverti, follement amoureux de son métier. Présentation : Eric LOZE
Pour les auditeurs des radios de la RTBF, Georges Pradez représentait le compagnon idéal. Chaleureux et amical, il embellissait les heures passées en sa compagnie. Devenu animateur à la radio au mitant des années 60, Pradez a exercé son art sur les antennes de la RTBF pendant près de 40 ans. Il avait en poche toutes les ficelles du métier : le verbe facile, le mot juste et la petite pirouette glissée au bout d'une phrase pour détendre l'atmosphère. Ses invités, il les considérait tous d'un œil bienveillant : simples quidams, célébrités, personnalités du spectacle... étaient interviewés avec la même courtoisie. Dans ses émissions, il a abordé mille et un sujets avec gourmandise et curiosité, et cette envie constante de partager le savoir avec le plus grand nombre. Jovial et bateleur, Georges Pradez avait tout du `Master of Ceremony'. Un vrai saltimbanque, dans le sens noble du terme, capable d'emballer un auditoire en deux secondes avec un enthousiasme communicatif.
Au début des années 70, une habitante de Membach, un petit village wallon situé non loin de la frontière allemande, trouve dans son grenier un paquet de lettres bien caché dans la sous-pente, emballé dans de la toile de jute et du papier journal. Ecrite avant la première guerre mondiale, cette correspondance appartenait à un ancien occupant de la maison, un garde-chasse de la famille royale prénommé Octave. Ces lettres racontent les relations qu’Octave a entretenues dans sa jeunesse avec quelques jeunes femmes. Et plus particulièrement avec Hélène une femme de chambre au service d’une famille aristocrate très fortunée, qu’il a rencontrée à Membach. Hélène a beaucoup écrit à Octave, une trentaine de lettres et de cartes au moins. Au-delà des sentiments amoureux qu’elle lui transmet, la femme de chambre livre dans son courrier un portrait en creux de l’aristocratie belge à la belle époque, peu de temps avant la première guerre mondiale. Grâce à Philippe Lamair, historien et journaliste émérite, cette liaison amoureuse entre deux personnes de condition modeste revit et connaît un éclairage nouveau, à travers un documentaire et un livre qui portent tous deux ce titre : ‘Destins croisés, lettres d’Hélène à Octave’. Le Fantôme de la Radio a remonté le fil de cette histoire. Il a demandé à Ph. Lamair comment il a eu accès à ce courrier, ce que cette découverte a déclenché chez lui au point d’y consacrer plusieurs années de sa vie. Il vous fera aussi entendre de nombreux extraits des lettres d’Hélène. Des documents qui ont plus d’un siècle et qui, une fois n’est pas coutume, ne sont pas extraits des archives audiovisuelles de la RTBF. Présentation : Eric LOZE
Deux Marguerite, Deux Françoise et une Amélie. 5 femmes. 5 grandes écrivaines qui ont marqué la littérature francophone du 20ème siècle. Duras, Yourcenar, Giroud, Sagan et Nothomb. 5 femmes aux profils très différents, aux destins opposés, qui ont réellement marqué la seconde moitié du 20ème siècle par leurs écrits mais aussi par leurs personnalités singulières et leur détermination. Leur talent d'écriture les a guidés vers le succès et la reconnaissance. Elles ont connu les publications à grand tirage, les prix littéraires, les adaptations pour le cinéma et les distinctions honorifiques. Ces autrices se sont confiées à plusieurs reprises aux micros et devant les caméras de la RTB et de la RTBF. Le Fantôme de la Radio a sélectionné quelques extraits de ces interviews au cours desquelles ces femmes de lettres racontent leur parcours, leurs inspirations et les difficultés auxquelles elles ont été confrontées lorsqu'elles ont décidé de vivre de leur plume.
La météo

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2022-03-1203:42

Les prévisions en Belgique
A Ostende, il y a bien longtemps, se croisaient les peintres, les écrivains, les musiciens et les poètes. Au cours d'un XXème siècle agité et tourmenté, la ville côtière a abrité de grands artistes. Certains y sont nés, d'autres étaient de passage. Tous ont marqué la ville de leur empreinte. Hanté par ces souvenirs, Le Fantôme de la radio est retourné à Ostende par un beau et froid matin d'hiver, sur les traces de ces illustres personnages : le peintre Ensor, le cinéaste Storck, le chanteur Arno ou encore le Soulman Marvin Gaye. Il s'est arrêté devant leur appartement, leur maison, les lieux qu'ils ont fréquentés. Et c'est alors qu'il a activé la machine à remonter le temps.... En associant cette promenade sonore à des interviews et des témoignages parfois très anciens de ces personnalités ostendaises, le Fantôme de la Radio a choisi d'ancrer son récit, une fois de plus, dans le passé et la nostalgie.
Le 2 mars dernier, un tableau de René Magritte, extrait de la série « L'Empire des Lumières », a été vendu à Londres pour la somme colossale de 71 millions d'euros. Un record absolu pour l'artiste belge qui, à ses débuts en 1927, vendait ses toiles pour 50 francs à la Galerie du Centaure à Bruxelles... Cet événement qui a agité le marché de l'art donne l'occasion au Fantôme de la Radio d'évoquer quelques fragments de la vie de Magritte à l'aide de nombreux documents sonores. Vous entendrez le peintre surréaliste s'exprimer sur son travail et son parcours artistique. La parole sera également donnée à son épouse Georgette, à son fidèle compagnon de route Louis Scutenaire ainsi qu'à Salvador Dali qui admirait beaucoup Magritte dont il fut un proche dans les années 20.
Quelques années après la fin de la guerre, une nouvelle troupe fait souffler un vent de fraîcheur sur le théâtre à Bruxelles : la Compagnie des Galeries. Dans les années 50, 60, 70 et 80, le succès de la Compagnie des Galeries impressionne et force le respect. Le public se presse aux représentations et la télévision retransmet la plupart des spectacles sur ses antennes. On assiste dans la capitale à l'âge d'or du théâtre populaire de qualité. Cette réussite flamboyante, la Compagnie des Galeries la doit au travail acharné de son directeur Jean-Pierre Rey associé au talent d'une fantastique génération de comédiens parmi lesquels les inoubliables Christiane Lenain, Serge Michel, Jacques Lippe, Jean-Pierre Loriot ou encore Robert Roanne et Jean Hayet. C'est l'histoire de cette Compagnie que le Fantôme de la Radio vous raconte en sons et en archives. Un récit où s'entremêlent rire, larmes et émotions. Comme dans une pièce de théâtre, finalement...
Les stylistes, couturiers et couturières hument l'air du temps, s'inspirent de mille choses qui se passent autour d'eux pour créer la tendance de demain. Puisque la mode en dit beaucoup sur les époques que nous traversons et sur la société dans laquelle nous vivons, la télévision et la radio ont en toute logique abondamment traité le sujet. D'abord dans des émissions destinées aux femmes puis dans les bulletins d'information où l'on présentait les nouvelles collections et leurs créateurs. Par la suite, ces créateurs et créatrices, considérés de plus en plus comme des artistes à part entière, ont été progressivement invités sur les plateaux des talk-shows, dans les émissions culturelles et de divertissement, tant en radio qu'en télévision. Cardin, Rabane, Rykiel, Courrèges, Cacharel, Lacroix, Gaultier, entre autres, ont ainsi été mis à l'honneur sur les antennes de la RTB et de la RTBF. Cette semaine, le Fantôme de la Radio se pare de ses plus beaux atours pour vous parler d'étoffes, de chapeaux, de rayures et de couleurs, de robes ébouriffantes portées par des femmes visitées par la grâce. A travers la voix des personnalités de la mode, il vous racontera la haute couture, le prêt à porter sans oublier l'essentiel : l'élégance...
Gérard Vallet a exploré tous les champs du possible à la Radio. Insatiable curieux, assoiffé de savoir, passeur de sons, de musiques et de paroles, cet hyperactif jamais à court d’idée a tout proposé à ses auditeurs : actualité, cinéma, littérature, poésie, feuilletons, grands reportages, lectures, entretiens, fictions radiophoniques… il n’y pas un genre, pas une thématique, pas un sujet que Valet n’ait exploité ou, à tout le moins, touché du doigt. Recordman du nombre d’interviews réalisée à la RTBF – on lui en attribue plus de 30.000 – Gérard Valet avait le sens de l’intérêt général et de la continuité : il a eu la grande lucidité et la générosité de laisser derrière lui une impressionnante quantité d’archives d’une richesse inouïe. Sans aucun doute, la plus belle, la plus foisonnante collection de contenus au sein des archives de la RTBF tant elle couvre de multiples champs de la culture et de la connaissance. A l’aide de ces formidables souvenirs, le Fantôme de la Radio retrace la carrière d’un homme que l’on disait timide à la ville et mais tellement volubile au travail.
Pour la deuxième année consécutive, les grands carnavals n'auront pas lieu chez nous, crise sanitaire oblige. La fin de l'hiver sera bien triste sans les Gilles, les Haguettes, les Blancs Moussîs, les Princes Carnaval et autres Macrales... S'il est impossible de vivre « in situ » ces grands moments de fête et de liesse populaire, il reste la magie du son et le pouvoir d'évocation de la Radio. Pour nous plonger au cœur de ce folklore qui remonte parfois à la nuit des temps, le Fantôme de la Radio fait une fois de plus appel aux archives. De nombreux reportages, parfois très anciens, témoignent du maintien de la tradition et de la transmission de rituels ancestraux de génération en génération, dans les villes et villages, et cela depuis des décennies voire des siècles. D'Est en Ouest, de la province de Liège au Hainaut, le Fantôme de la Radio vous invite à une promenade sonore en plusieurs tableaux. Une sélection de moments carnavalesques intenses et souvent émouvants dans lesquels se mêlent fanfares, tambours, chansons, dialectes et rires de la foule.
Persuadé que des séquences humoristiques lui avaient échappé, le Fantôme de la Radio a continué à explorer les milliers d'heures d'archives radiophoniques à la recherche de petites perles drôles et cocasses. Qui cherche, trouve ! Le Fantôme a déniché pour vous quelques raretés improbables, audacieuses et croustillantes. Certaines d'entre elles, particulièrement féroces, ont été enregistrées et diffusées il y a presque 60 ans. Poissons d'avril, sketches, fausses publicités, fous-rires, bêtisier et parodies de chansons sont au programme de cette deuxième émission dédiée à l'humour radiophonique.
Les radios de service public en Belgique ont longtemps conservé une réputation de médias sérieux voire austères. La faute sans doute à ces présentateurs à la voix sévère et au ton solennel qui ont monopolisé le micro pendant de nombreuses années. Pourtant, il y a toujours eu de la place pour l'humour dans la grille des programmes. Sketches, histoires drôles, fictions humoristiques, canulars téléphoniques et autres chroniques se sont imposés à l'antenne petit à petit, à tel point qu'aujourd'hui l'humour fait partie des composantes essentielles de la programmation radiophonique à la RTBF. La manière de faire de l'humour à la radio a évolué avec le temps et les époques. Les humoristes ont gagné de plus en plus de libertés. Le vocabulaire et les thèmes ont changé. Des tabous et des limites ont été franchis. Progressivement (ou quelquefois sans préavis), on a osé l'insolence, l'humour noir, l'ironie grinçante, parfois le mauvais goût. Il est même arrivé que l'on frôle la vulgarité... Le Fantôme de la Radio passe en revue 80 ans d'humour à la radio. Il y en aura pour tous les goûts. Esprits chagrins s'abstenir.
Le 9 novembre 1943, à Bruxelles, la résistance belge réussit un coup fumant en adressant un véritable pied de nez à la propagande nazie. Le quotidien « Le Soir », alors contrôlé par les Allemands, est remplacé dans les kiosques par un « Faux Soir », un pastiche dans lequel les collaborateurs et l'occupant en prennent pour leur grade. Au total, 50.000 exemplaires de ce « Faux Soir » se répandent à Bruxelles et en Wallonie, provoquant un grand éclat de rire au sein d'une population qui a très peu l'occasion de se distraire et encore moins l'opportunité de plaisanter sur le compte des Allemands. Le Front de l'Indépendance, un des plus grands mouvements de résistance du pays, a monté toute l'opération en trois semaines seulement. Des journalistes, des typographes, un imprimeur, entre autres, ont pris tous les risques pour mener à bien ce projet insensé. Certains d'entre eux le paieront de leur vie. Sur la base de nombreux témoignages recueillis par l'INR et la RTB, le Fantôme de la Radio vous raconte l'histoire de cette farce de grande envergure dont l'écho a retenti de Londres à Berlin.
Inventé par Stefan Kudelski, ingénieur suisse d'origine polonaise, le Nagra séduit très rapidement tous ceux qui s'intéressent à l'enregistrement et l'exploitation du son. Compact, robuste, précis, fiable, facile à utiliser, le Nagra déclenche une véritable révolution. Plus besoin de moyens techniques lourds et encombrants pour capturer le son. Désormais, ce petit enregistreur autonome de 6 kg accompagné d'un bon micro suffit à saisir la parole, la musique et l'ambiance sonore, n'importe où et n'importe quand... Dès la fin des années 50, le Nagra devient l'enregistreur portable par excellence. Il s'impose très rapidement dans l'industrie du cinéma, de la musique mais aussi à la radio et à la télévision. Comme la plupart des médias européens, la RTB adopte le Nagra qui est utilisé de manière intensive par les ingénieurs du son, les animateurs et les journalistes. A peu de choses près, le Nagra enregistre sur bandes magnétiques tout ce que les radios de la RTB(F) produisent à l'extérieur des studios pendant près de 40 ans, ce qui correspond à plusieurs dizaines de milliers d'heures de programmes. En télévision, c'est également le Nagra qui assure la bande-son des petits et grands reportages tournés dans les années 60, 70, 80 et même 90. Le Nagra joue un rôle de premier plan dans le développement et l'avènement des médias audiovisuels après la seconde guerre mondiale. Cette semaine, le Fantôme de la Radio donne la parole à ceux qui ont pris part à cette formidable et palpitante aventure...
Rien que des tubes, des hits et des succès ! Cette deuxième salve de 45 tours belges des années 80 s'annonce prometteuse. De la variété, du rock, de la pop et de l'électro : dans tous ces genres, des auteurs, compositeurs et interprètes belges se sont distingués entre 1980 et 1990 en classant des chansons au sommet des hit-parades, chez nous et quelquefois en dehors de nos frontières. Si un seul titre pouvait suffire à faire décoller une carrière, il est souvent arrivé que la gloire s'arrêtât brusquement après le premier disque : les nouvelles chansons ne parvenaient pas à trouver leur public, comme le dit la formule consacrée... et les artistes quittaient alors subitement cette lumière qui les avait tant fait briller. C'est à ces succès éphémères que le Fantôme de la Radio s'intéresse cette semaine. Il tendra également son oreille vers la Flandre, grande pourvoyeuse de 45 tours à succès dans les années 80. Quelques tubes impitoyables made in Vlaanderen ont séduit le public belge et conquis avec brio d'autres marchés dans le monde.
Les 45 tours ont lancé bien des carrières. De nombreux groupes, chanteuses et chanteurs ont atteint la gloire tant espérée grâce à ces petits cercles de vinyles vendus chez les disquaires, distribués dans les juke-boxes et passés en boucle par les stations de radio. Dans les années 80, beaucoup d'artistes belges sont sortis de l'anonymat grâce aux 45 tours. Dans des genres très différents comme la variété, la pop, le rock et l'électro, ils se sont illustrés de belle manière en imposant leurs créations musicales au sommet des classements en Belgique et quelquefois à l'étranger. Le Fantôme de la Radio vous invite à (re)découvrir ces chansons à succès. Pour l'occasion, il a ressorti ses platines du placard, dépoussiéré quelques disques et sélectionné des archives de l'époque... Une véritable immersion dans les années 80, la dernière décennie majeure pour les 45 tours avant de disparaître à jamais, vaincus par l'offensive implacable du CD que l'on nous annonçait éternel...
Janine Lambotte n'a qu'un rêve, une seule ambition à la fin de la guerre : faire de la radio. Elle y parvient rapidement en 1945 : elle n'a pas encore 20 ans lorsqu'elle réussit une audition à l'INR, l'Institut National de Radiodiffusion. Elle devient animatrice pour l'émission `Radio Jeunesse'. En 1950, le rêve tourne au cauchemar. L'INR n'hésite pas à mettre la jeune femme à la porte lorsque celle-ci annonce qu'elle attend un deuxième enfant...L'amertume passée, Janine Lambotte rebondit, comme toujours. Poussée par une détermination peu commune, elle va reconquérir la radio en 1952 et puis s'installer, dès 1953, à la télévision dont elle devient rapidement une des figures emblématiques Elle y fait tous les métiers : présentatrice, speakerine, intervieweuse... jusqu'en 1956. Cette année-là, Janine Lambotte réussit l'examen de journaliste organisé par l'INR. Elle fait partie des 5 lauréats choisis parmi 700 candidats. Sa carrière prend alors une autre tournure. C'est le point de départ du deuxième et dernier épisode de ce récit dédié à Janine Lambotte. Une femme libre au tempérament exceptionnel, jamais à court d'idées, qui a lutté ferme pour gagner sa place au soleil.
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