Etre incubé dans un programme, pour un intrapreneur, c’est être encadré et épaulé pour tester son idée. Mais vient le moment de la sortie et de l’après. Comment faire pour continuer à développer, créer son premier prototype, convaincre, trouver sa place au sein d’un métier ou en tant que nouvelle structure ? Dans un contexte d’entreprise classique, cette étape est souvent synonyme de recherche de fonds, de financement. Dans le cadre de projets internes à impact, c’est la co-construction, la mise en place d’un système gagnant-gagnant qui prime. Cette notion de contribution est parfois encore difficile à imaginer, à créer, quand on n’y a pas été sensibilisé. Alors comment ouvrir ses perspectives sur ce qu’on peut demander ? Quelle autre approche envisager pour développer et faire connaître son projet ? Dans ce podcast, vous en apprendrez plus sur : - ce qu'est le social business - comment le mentorat, l'accompagnement, la connexion à un écosystème valent parfois autant qu'un investissement financier - les pistes pour réfléchir à un modèle hybride d'accompagnement et savoir quoi demander, à qui On en parle avec deux femmes qui chacune dans son domaine expérimente ces formes d’investissement, l’une en accompagnant les projets à impact, l’autre en tant qu’association qui innove dans ses modèles. - Maria Palmieri, Managing Partner pour le Grameen Creative Lab, qui aide des intrapreneurs à rassembler tous les ingrédients pour devenir des social business au sein de leur entreprise. Maria Ida Palmieri | LinkedIn - Amélie Nicaise, directrice Communication et Développement au moment de l'enregistrement, et désormais directrice générale déléguée pour Article 1, l'association qui accompagne chaque année plus de 100 000 jeunes à partir du lycée à définir et réussir leur projet professionnel. Amélie Nicaise | LinkedIn Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Souvenez-vous, dans la première saison des Cafés inspirants, nous avions parlé du pouvoir du récit : comment se projeter, comment raconter ce que l’on veut voir venir multiplie les chances de le concrétiser. C’est ce qu’ont fait nos deux invitées : elles évoluent ou ont évolué dans un grand groupe, elles maîtrisent les codes de l’univers corporate et elles ont pour mission d’aider à changer les choses sans renier leur appartenance. Alors comment faire pour entraîner avec soi, donner envie d’agir, en se basant sur le possible et pas sur les contraintes ? On en parle avec deux femmes, intrapreneuses, qui incarnent un mouvement ou un réseau, et qui ont trouvé ce juste équilibre. - Anne-Sophie Nomblot présidente du réseau SNCF Mixité, qui comprend plus de 10 000 membres. - Marjorie Pouzadoux, fondatrice de la communauté "Les Intrapreneuses", forte de plus de 1500 membres, et directrice du pôle Open Innovation chez Schoolab. En écoutant cet épisode vous en apprendrez plus sur : - comment choisir le ton, le mode d'expression, les réseaux sociaux sur lesquels s'exprimer pour construire ce nouveau narratif - comment créer l'envie auprès d'autres personnes pour être des relais, s'appuyer sur une communauté - comment réussir à être à la fois la figure de proue d'un mouvement tout en laissant une vraie place à sa communauté - comment l'action en externe permet de convaincre plus vite et d'avancer en interne sur des problématiques parfois compliquées Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je vous propose de parler de liens, de ponts, entre les métiers, les industries, les entreprises. Pourquoi ? Parce que la transformation de l’entreprise, son orientation vers une économie de la transition passe par la coopétition et par la capacité à mettre ses forces, son savoir-faire, au service d’autres industries, pour une création de valeur plus respectueuse du Bien commun. Adieu les silos, bonjour les passerelles. Reste que sortir de son cœur de métier, créer ces liens, tout cela est loin d’être facile, et se fait par petits pas. On va aborder le sujet en faisant un focus sur l’agriculture, avec deux projets qui veulent agir directement sur les modes de production et d’alimentation, sans être du sérail. En écoutant cet épisode vous en apprendrez plus sur : - Les questions à se poser pour s’assurer de la légitimité de lancer un tel projet directement, que l’on répond à un problème clé et que l’on est le meilleur acteur pour le faire, de la façon la plus pertinente, la plus éthique possible. - Ce que cet engagement veut dire pour une marque, sa valeur ajoutée et comment il se traduit en actions concrètes sur le terrain. - Les étapes clés pour avancer avec l’aval de toutes les parties prenantes, et ne pas être vu comme voulant préempter un territoire pour faire des profits. - Comment cette coopération permet de transformer sa relation avec ses parties prenantes, en passant de relations top down à de la collaboration. Nos deux invités du jour travaillent pour des grands groupes. Jade Mauzat, tout d’abord, qui est aujourd’hui sustainable sourcing manager pour Danone. Avant ces nouvelles fonctions elle a été responsable du parcours de formation de futurs éleveurs laitiers bio La Pépinière, dont nous allons parler aujourd’hui. Jade Mauzat | LinkedIn L’autre invité, c’est Nabil Fanidi, analyste stratégique pour BNP PARIBAS et Intrapreneur. Nabil travaille sur le projet MyFarm, une offre de financement pour les agriculteurs entrepreneurs qui souhaitent développer un modèle de micro-ferme et qui pourra être répliqué sur les territoires où est implanté le Groupe bancaire. Nabil Fanidi | LinkedIn Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On parle beaucoup de nouveaux modes de collaboration, de transformation individuelle et collective, de l’importance d’avoir plus d’intrapreneurs et de méthodes agiles. Pourquoi ? Peut-être parce que ces profils re-questionnent les modèles de réussite. Mais qu’est-ce que ça veut dire réellement ? Est-il facile d’agir de la sorte ? Quel est l’impact pour l’entreprise et sa réussite à elle également, surtout à un moment où on presse les organisations d’être plus vertueuses et d’agir pour le bien commun ? Dans cet épisode vous en apprendrez plus sur : - comment être à l'écoute de ses besoins profonds et de ses envies d'action au sein de l'entreprise - quelle communication installer pour agir avec l'accord de ses managers - l'impact de ces électrons libres sur la transversalité et le dépassement des silos - le lien entre la réussite de ces collaborateurs et la réussite de l'entreprise Merci à Xavier Mandefield. Xavier est responsable de partenariats pour AXA France le jour, intrapreneur et catalyseur la nuit, à l’initiative de deux projets dans le groupe, AdValo et Hydrogène. https://www.linkedin.com/in/xavier-mandefield-2215906/ Et à Gaspard Bricout. Au moment où nous avons enregistré cet épisode, Gaspard était responsable RSE et Impacts chez Lemahieu, fabricant et confectionneur de vêtements made in France depuis 1947. Gaspard avait été mandaté par l’entreprise pour la rendre cohérente avec ses engagements humains et environnementaux. S’il n’occupe plus ce poste aujourd’hui, les actions mises en place sont toujours d’actualité. https://www.linkedin.com/in/gaspard-bricout/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a celles et ceux qui lancent leur entreprise sociale, une association, un projet intrapreneurial ou rejoignent un projet à impact, à tout moment de leur carrière. Et puis il y a celles et ceux qui aimeraient agir, mais qui ne savent pas par où commencer. Qui ont peur de ne pas avoir les compétences, de ne pas être légitime sur le secteur de l’impact. Quelles sont ces croyances limitantes qui nous bloquent, comment se défaire de ces modèles et apprendre à penser son engagement comme un chemin en constante évolution ? Comment le faire avec et au sein de son entreprise, et quels sont les intérêts de chacun ? Dans cet épisode vous en apprendrez plus sur : - Comment l'entreprise peut laisser la place à ces profils disruptifs et pionniers, pour qu'ils puissent expérimenter en interne pour la transition écologique et solidaire - Comment accompagner les entreprises à comprendre l'intérêt pour elles de sensibiliser et valoriser les individus, pour les aider ensuite à passer à l'action. - Le fait que les freins personnels sont généralement du côté des croyances limitantes et se dépassent à l'échelle individuelle comme collective - Les meilleures pratiques pour travailler sa posture et sa légitimité et se mettre en mouvement en se sentant aligné avec soi et son énergie. Merci à Perrine Grua, agent pour des talents de l'innovation, du digital et de l'entrepreneuriat engagés dans une démarche à impact. Perrine a aussi créé le podcast Canary Call, dédié à ces personnes qui font la transition écologique et solidaire des entreprises. https://www.linkedin.com/in/perrinegrua/ Et à Félix de Monts, l'initiateur et le CEO de Vendredi, une plate-forme qui permet à des salariés de s'engager dans des associations ou des entreprises de l'Economie Sociale et Solidaire. https://www.linkedin.com/in/felix-de-monts/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Si je vous dis économie circulaire, je suis prête à parier que beaucoup d’entre vous ont pensé recyclage, réduction et réutilisation de ses déchets. Et vous avez raison, cela fait partie de ce que l’on appelle la circularité ! Mais réduire son empreinte environnementale et réfléchir de façon circulaire, c’est aussi penser les choses, les actions, en système, et non plus avec un début et une fin. Bref, c’est penser à la fois global et dans le détail. Alors comment faire pour se mettre au circulaire sans en faire trop ou pas assez ? Comment savoir par quoi commencer, ce qui est le plus pertinent pour son projet, son entreprise, son quartier, la planète ? Dans ce café vous en apprendrez plus sur : - les 7 piliers de l'économie circulaire - comment lancer une initiative autour de la circularité en se sentant légitime - comment embarquer d'autres acteurs avec soi et fonctionner en écosystème - quelles sont les bonnes pratiques pour être sûr de la pertinence et de l'effet vertueux de son projet Merci à Nathalie Jarosz, responsable Eau, Déchet et Economie circulaire pour la RATP. Elle coordonne le projet de quartier circulaire Les Deux Rives à Paris, qui embarque aujourd’hui une quarantaine d’acteurs. Et à Fabrice Sorin, Academy Manager chez Circulab, qui accompagne les acteurs publics et privés et les indépendants vers des modèles plus résilients et circulaires.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je vous en parle depuis le début : l’un des ingrédients majeurs du succès, c’est de savoir si son idée répond à un véritable problème, si elle peut avoir des effets vertueux réels sur la planète et/ou la société. Mais les porteurs et porteuses de projets qui réussissent vraiment sont aussi celles et ceux qui ont une vision, une vraie raison d’être. Qui rêvent et projettent le monde dans lequel elles et ils veulent évoluer. Il faut voir grand, il faut faire rêver en pitchant sa vision. Et pour la construire et la réaliser, il faut penser petit. Petits pas, petits cailloux, passages successifs à l’action. On en parle avec deux entrepreneuses qui sont passées à l’échelle et qui sont en pleine croissance ; elles vivent actuellement ce qu’elles racontent depuis le début de leur aventure entrepreneuriale. Dans cet épisode, on en apprend plus sur : - Comment le fait de se fixer une stratégie des petits pas est clé pour alterner entre création et structuration sans se perdre. - Comment le travail en équipe et notamment en binôme peut-être fondamental pour pouvoir mener cette alternance. - L'importance, au départ, d'accepter de réaliser la multitude de petits pas dans lesquels notre valeur ajoutée ne s'exprime pas, tout en réfléchissant à comment rendre cela réplicable et externalisable. - La posture à suivre lorsqu'on fait face à des obstacles et le questionnement à tenir pour toujours revenir à sa vision et être pragmatique. - Le fait que l'un des éléments clés pour rester connecté.e à ses valeurs lorsqu'on passe à l'échelle reste de suivre son intuition et de se sentir aligné.e avec ce qu'on pense être bon. Merci à Hortense Harang, co-fondatrice de la plateforme de distribution de fleurs éthique, Fleurs d’Ici Hortense Harang | LinkedIn Et Astrid Parmentier, qui a co-fondé de son côté les crèches intergénérationnelles Tom et Josette. Astrid Parmentier | LinkedIn Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’idée d’un projet à impact vient souvent du constat d’un manque, ou simplement d’une opportunité. Pourquoi on y pense ? Généralement parce qu’on est confronté directement à la situation ou au problème à résoudre. Ce qui fait du porteur ou de la porteuse du projet la meilleure personne pour la porter. Tout du moins au début. Car identifier un problème ne veut pas dire être capable de déployer et gérer une solution opérationnelle. Alors, comment on fait pour être sûr.e qu’on reste la meilleure personne pour assurer le succès de son idée ? Qu’est-ce que cela implique au niveau du leadership et du développement de sa posture ? Comment savoir s’il faut passer la main ? Dans cet épisode, on en apprend plus sur : - Comment est-ce qu'on passe du stade de l'identification d'un problème à celui de fondateur.trice de projet, d'association, d'entreprise... - Quelles sont les étapes à suivre pour apprendre à déléguer tout en conservant sa légitimité ? - Comment trouver le bon équilibre entre faire confiance à son instinct et sa vision, et savoir écouter et intégrer les expertises des autres. - S'il faut choisir à un moment entre gérer son entreprise ou incarner le projet, en être l'image et le.la représentant.e. - Comment faire pour ne pas être dépassé.e, ne pas tourner en rond avec ses convictions sans tenir compte du contexte extérieur et de possibles évolutions. - Les indicateurs à garder en tête pour savoir si on est toujours connecté.e à sa problématique, ou sur l'importance éventuelle de se retirer pour la viabilité de son entreprise/projet. On en parle avec deux entrepreneuses à impact, l’une à la tête de son entreprise depuis 15 ans, Chrystèle Gimaret. Chrystèle Gimaret | LinkedIn L’autre de son association depuis 6 ans, Diariata N’Diaye. Diariata (Diata) N'Diaye | LinkedIn Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au départ de l’envie d’agir, il y a souvent une révolte, un problème identifié, la conviction d’avoir trouvé une façon de faire autrement et qui peut changer les choses. Et l’une des façons de le faire, est de lancer son projet ou son entreprise à impact. Voilà pour la théorie et la belle idée. Mais si on veut participer à un changement de modèle plus profond, il y a un aspect qui ne doit pas être négligé. C’est celui du business model, comment générer des fonds pour être une entreprise soutenable et pérenne. Alors comment penser business en même temps que social ? Comment impliquer ses parties prenantes et ses bénéficiaires dans ce modèle ? Comment penser la croissance quand on est une entreprise ou un projet à impact ? Dans cet épisode on en apprend plus sur : - Les étapes pour construire pas à pas un modèle rentable tout en restant vertueux pour toutes les parties. - Comment les bénéficiaires de son projet peuvent eux-mêmes nous inspirer un modèle économique répondant à un besoin. - Comment penser croissance sans dénaturer son projet. Merci à Diane Scemama, co-fondatrice de DreamAct Diane Scemama | LinkedIn Place au responsable - Dream Act et Hubert Motte, fondateur de La Vie est Belt. Hubert Motte | LinkedIn La Vie est Belt - Accessoires à impacts positifs Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Si je vous dis mythologies, écrits religieux... Leur point commun, c’est qu’ils sont autant de récits racontés, écrits, transmis, pour expliquer notre appartenance au monde, croire en quelque chose qui nous rassemble et fait sens. Ces Histoires constituent un socle commun et une culture, auxquels on a adhéré. Aujourd’hui de nouveaux conteurs, parfois baptisés storytellers pour faire moderne, émergent, et affirment que raconter permet de rendre réel le présent et surtout le futur que l’on désire. Ils affirment que la fiction permet de passer à l’action et de se mettre dans une dynamique propice à véritablement créer ce futur souhaitable. Alors comment inventer l’avenir sans se raconter des histoires ? Comment cela peut-il nous être utile quand on doit parler de son projet, convaincre et rassembler autour de son idée ? On en apprend plus sur : - Comment raconter sa propre vision du monde permet de sensibiliser plus efficacement que tenter de convaincre. - Comment les nouveaux récits permettent de changer nos croyances en s'appuyant sur du concret. - L'importance de passer par le récit pour changer de temporalité et se donner les moyens d'agir pour le présent et le temps à venir. - Le rôle de chacun, individu, porteur.euse de projet, entreprise, pour reprogrammer notre capacité d'agir et reconsidérer notre pouvoir d'influence pour changer les choses, du design des produits et services à leur usage. Nos deux conteurs et raconteurs d'histoires à venir : Julien Vidal, fondateur du mouvement Ca commence par moi et créateur du podcast 2030 Glorieuses (lepodcast.fr) . Gregory Pouy, créateur du podcast Vlan! et auteur du livre Insoutenable Paradis , aux éditions Babelio. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous avez une idée de projet qui a un effet vertueux sur la société et/ou la planète, mais vous vous posez des questions sur son impact au niveau de sa fabrication, de la logistique, ou encore de la communication ? Vous avez envie de créer de la valeur sans détruire et en ayant le moins d’impact négatif possible mais vous êtes un peu perdu sur la façon de faire ? Cet épisode tend le micro à deux expert.e.s du bio-mimétisme, de l’éco-conception et de l’économie régénératrice, pour, déjà, faire le point sur ces concepts. Et pour donner quelques pistes de réflexion sur les questions à se poser et les inspirations à aller chercher du côté de la nature pour réfléchir son projet de façon circulaire et avec le moins d’externalités négatives. On en apprend plus sur : - Comment on peut s’inspirer du vivant pour créer des projets d’entreprises à impact et aller dans le sens d'une économie plus circulaire et moins énergivore. - En quoi l’éco-conception va dans le sens de l'innovation technologique mais valorise également la low tech et le frugal et permet de s'inscrire dans une démarche de résilience. - Comment faire en sorte que ces innovations aient réellement un effet bénéfique sur le vivant et pas d'externalités négatives cachées. - Quelles sont les questions à se poser pour se mettre à penser de façon systémique et intégrer le vivant dans ses réflexions. - En quoi l’économie régénérative, qui par essence est dans la coopération, la production raisonnée, n’est pas antithétique avec la notion de business model et de croissance. - Comment rendre compatible un projet d’intrapreneur accolé à un grand groupe et un modèle résilient basé sur l’inspiration du vivant. Phil Becquet est chef d'orchestre du Biom'impact Tour et chez de projet CEEBIOS et MakeSense. Phil Becquet | LinkedIn Sonia Dieng est entrepreneure, spécialiste des économies régénératives. Sonia Dieng | LinkedIn Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous avez déjà un projet en cours de déploiement ou avez envie d’agir au sein de votre entreprise mais ne savez pas encore comment ? Vous vous posez des questions sur la posture à adopter ? Cet épisode donne directement la parole à deux intrapreneures qui ont sauté le pas et décryptent pour nous les bonnes pratiques pour « hacker » le système tout en le respectant. On en apprend plus sur : - Comment miser sur les forces de l'entreprise et transformer les faiblesses de son cadre, en rappelant l’objectif de son projet et sa pertinence avec la stratégie. - L’importance d’interagir avec ses parties prenantes et d’ouvrir au plus vite son écosystème, pour capitaliser sur ce que les autres peuvent apporter à notre projet, même s’ils n’ont pas la même culture - Arrêter d’attendre et oser demander. Si on ne va pas chercher les choses, à priori on ne va pas nous les donner. Le cadre existe mais la marge est grande avant de toucher les bords ! - Comment savoir quand il vaut mieux tester son projet en interne ou au contraire quand il est conseillé de s’ouvrir pour être plus légitime et entendu. Christine Lamidel, intrapreneure BNP Paribas, a fondé Tilia, qui accompagne les aidants de personnes fragilisées par la maladie, le handicap ou le grand âge. Christine Lamidel | LinkedIn Sophie Guignard, intrapreneure Engie, est à l’origine de BeeWee, une plateforme qui optimise les stocks et facilite l'échange de pièces de rechange dans l'industrie du secteur de l'énergie. Sophie Guignard | LinkedIn Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.