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Les Clés du classique
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Les Clés du classique

Author: Philharmonie de Paris | Charlotte Landru-Chandès

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Description

La série Les Clés du classique vous fait découvrir les grandes œuvres du répertoire musical. Par Charlotte Landru-Chandès

50 Episodes
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C’est à la fin des années 1920 que George Gershwin a l’idée d’Un Américain à Paris. Le compositeur jouit à l’époque d'une certaine notoriété, surtout après les succès de la Rhapsody in Blue et de Lady, Be Good ! L’œuvre est créée le 13 décembre 1928, au Carnegie Hall de New York. En 1951, l'adaptation cinématographique de Vincente Minnelli sort sur les écrans, avec Gene Kelly et Leslie Caron.
L'été, Beethoven fait de longues promenades dans les villages aux alentours de Vienne, il se perd dans la nature et dans ses rêveries. Il aime tant la nature qu’il va lui dédier une symphonie, la Sixième, la célèbre Symphonie « Pastorale ».
Quatre premières notes tonitruantes, un sentiment d’urgence, une tension dramatique…Interrogé sur le sens de ce motif initial, Beethoven aurait eu cette formule célèbre : « Ainsi frappe le destin à la porte ».
Joseph Haydn est l’auteur de 104 symphonies. On le surnomme « le père de la symphonie ». La Symphonie « Militaire » porte le n° 100, et date des séjours londoniens du compositeur dans les années 1790.
Aujourd’hui, tout le monde connaît le célèbre thème de l’Hymne à la joie, symbole de fraternité et d’humanité, devenu l’hymne européen. Ce thème, on le doit à Beethoven, et à sa Neuvième Symphonie.
Lyrique, exalté, romantique… Le Concerto pour piano de Robert Schumann est l’un des favoris du public depuis sa création. Il est aussi l’unique de son auteur.
29 mai 1913, Théâtre des Champs-Élysées à Paris. C’est le jour de la création du Sacre du printemps de Stravinski...
S’il est l’auteur de concertos, d'opéras ou encore de mélodies, Antonín Dvořák est surtout connu pour ses neuf symphonies. À travers elles, il brosse le portrait de sa chère Bohême natale, en particulier dans la dernière symphonie, dite « Du Nouveau Monde », la plus célèbre des neuf.
L’Enfant et les Sortilèges est le fruit d’une collaboration entre la romancière Colette et le compositeur Maurice Ravel. Concis, varié et mêlant tout type de musique, c’est un opéra à part, inclassable.
Piotr Ilitch Tchaïkovski est l’auteur de six symphonies, composées entre 1866 et 1893, à l’apogée du romantisme. C’est aussi l’époque des symphonies de Brahms, de Bruckner ou encore de Dvořák. En Russie, Tchaïkovski est l’un des principaux compositeurs à s’essayer au genre.
Longuement mûri, de la fin des années 1850 à 1866, le Requiem de Brahms porte l’empreinte d’une double perte : celle de son mentor et grand ami Robert Schumann, et celle de sa mère.
Qui dit Casse-Noisette fait immédiatement penser aux fêtes de fin d’année, à la féerie et à la magie de Noël...
Le Messie est sans conteste l’oratorio le plus célèbre de Haendel. Pourtant, à l’origine, il n’a pas fait l’unanimité. Il faut dire que l’œuvre fait preuve d’originalité. Elle s’inscrit dans la tradition, sans pour autant lui être complètement fidèle.
La Symphonie « Jupiter » de Mozart, l’une des plus abouties, est aussi sa dernière. Composée dans un contexte douloureux, elle n’en est pas moins une œuvre héroïque et connaît un grand succès.
Ces quelques mesures, tout le monde les connaît. Elles ont été popularisées en 1968 par le film de Stanley Kubrick, 2001, l’Odyssée de l’espace, avec son célèbre lever de soleil. Cette musique, on la doit à Richard Strauss.
Perçu comme l’œuvre d’un génie fauché par la mort en pleine composition, le Requiem de Mozart s’entoure de nombreuses légendes.
15 octobre 1905. Le Tout-Paris découvre La Mer, la dernière œuvre en date de Claude Debussy. On ne peut pas dire que ce soit un grand succès. Certains critiques parlent de « roublardise », jugeant l’œuvre « incompréhensible et sans grandeur »...
Suite symphonique empreinte de mysticisme, Les Planètes (1920) de Gustav Holst a inspiré de nombreux compositeurs de musiques de film.
Imprégné de l’esthétique romantique, jouant sur les contrastes, le Requiem de Giuseppe Verdi (1874) s’impose, après celui de Berlioz, comme un monument du genre.
Œuvre éminemment romantique d’un virtuose du piano, le Concerto n° 1 de Liszt oscille entre poème symphonique et rhapsodie.
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