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Les Contes de la queue du lézard

Les Contes de la queue du lézard
Author: Wilfried MERCKLEN
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© Wilfried MERCKLEN
Description
Fugace comme un lézard, le sens des contes nous échappe.
Quand nous croyons l'avoir enfin saisi, il nous laisse démunis, sa queue sanguinolente et toute remuante au creux de la main.
Ecoutez vite ces contes avant qu'une autre queue ne pousse à cet animal magique qu'est le lézard.
#contes #conteur #podcast #podcaster #histoires #histoiresdusoir
Quand nous croyons l'avoir enfin saisi, il nous laisse démunis, sa queue sanguinolente et toute remuante au creux de la main.
Ecoutez vite ces contes avant qu'une autre queue ne pousse à cet animal magique qu'est le lézard.
#contes #conteur #podcast #podcaster #histoires #histoiresdusoir
52 Episodes
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Aujourd’hui, on plonge dans l’expression "mettre à l’index", et qui de mieux que la Bête de La Belle et la Bête pour nous éclairer sur cette notion d’exclusion ? Cet épisode bonus est spécial car il s’inscrit dans la semaine du Podcasthon, un événement caritatif qui réunit des podcasteurs du monde entier jusqu’au 21 mars 2025 pour soutenir différentes causes. Ma cause aujourd’hui, c’est l’action menée par Amnesty International pour défendre la liberté d’expression.
Aujourd’hui, on s’intéresse à une expression qui sent un peu l’embrouille : “poser un lapin”. Mais que vient faire un lapin dans cette histoire ? Et surtout, quel meilleur héros pour nous éclairer sur ce tour de passe-passe que le lièvre malin des contes africains ? Ce personnage a notamment été repris et transcrit de la tradition orale africaine à l’écrit dans "La Belle Histoire de Leuk le Lièvre", de Léopold Sédar Senghor et Abdoulaye Sadji en 1953. Alors découvrons tout de suite pourquoi Leuk le lièvre pose un lapin pour comprendre le sens de l’expression.
Quoi de mieux pour vous souhaiter une bonne année 2025 que de vous offrir le pouvoir du « il était une fois », cette formule magique qui rend tout possible.
Mais d’où vient cette phrase qui ouvre tant de contes ? Comment a-t-elle évolué ? Comment résonne-t-elle dans d’autres cultures ? Et comment continue-t-elle de résonner dans nos imaginaires ?
Partons à la découverte de l’expression « ne pas compter pour des prunes » en compagnie du Vaillant Petit Tailleur, le célèbre personnage des contes des frères Grimm. Vous vous souvenez, ce drôle de personnage qui tue sept mouches d’un coup d’un coup de chiffon bien placé et qui, pour souligner son exploit, se brode un ceinturon avec sa devise : « sept d’un coup ». Cette devise, c’est celle-là même qui lui permet d’effrayer les géants qui par « sept d’un coup » croient qu’il a tué sept géants d’un coup. Autant dire que ses mouches - et son astuce - ne comptent pas pour des prunes. Mais voyons ensemble pourquoi et expliquons d’où vient cette expression « ne pas compter pour des prunes » et nous pourrons ainsi clore cette série d’épisodes sur cinq fruits et légumes, même si le conte du Vaillant Petit Tailleur a toujours été lié, pendant mon enfance, à cette fameuse tartine qui, comme la madeleine de Proust, valait bien tous les « Il était une fois ».
Eh oui, Blanche-Neige est littéralement "tombée dans les pommes" ! Mais pourquoi utilise-t-on cette curieuse expression pour dire qu'on s’évanouit, qu’on perd connaissance ? Comment ce fruit banal est-il devenu le symbole, quand on le met au pluriel, après le verbe tomber, de l’évanouissement. C’est tout l’objet de ce nouvel épisode des Contes de la queue du lézard.
Pour rester dans notre thématique de cinq fruits et légumes par jour, découvrons aujourd’hui deux expressions : la première « poireauter » et la deuxième « entre la poire et le fromage ». Faisons une entorse aux seuls fruits et légumes avec un peu de fromage... Pour nous aider dans la compréhension de ces deux expressions, nous nous appuierons sur deux personnages de contes : le premier, Persinette car elle est née de l’envie de persil de sa mère enceinte, le deuxième, Raiponce, car elle est née de l’envie de sa mère en couche de manger des raiponces.
Aujourd’hui, c’est au tour de la salade avec l’expression "raconter des salades", expression qui signifie dire des mensonges, embrouiller les autres avec des histoires invraisemblables. Mais pourquoi des salades ? Qu’est-ce qu’une laitue, une batavia, une feuille de chêne, de la mâche ou des endives auraient à voir avec le fait de mentir ? Qui de mieux pour nous guider dans cette quête du sens de l’expression que le personnage de Carlo Collodi dont le nez s’allonge à chaque mensonge : Pinocchio.
Pour cette nouvelle série de chroniques, essayons de manger cinq fruits et légumes. Commençons par les noix avec l’expression « une histoire à la noix ». Cette expression désigne quelque chose de sans importance, sans valeur, ou absurde. Elle reflète une situation qui, à première vue, semble complexe ou intrigante, mais qui se révèle être insignifiante. Et quel meilleur exemple que l’histoire de Boucle d’Or, une jeune fille qui s’introduit sans invitation dans la maison de trois ours pour juger leur confort... Un scénario dérisoire pour un conte, et « à la noix » pouvons-nous dire, quand on sait que l’héroïne s’enfuit, sans morale ni réprimande ni sanction, après avoir tout saccagé et tout consommé chez les trois ours.
Ah, Cendrillon ! La douce jeune fille que l’on connaît tous, accablée par ses demi-sœurs, sauvée par une marraine qui exauce ses désirs. Mais la contrepartie de ce souhait exaucé, c’est de ne pas dépasser minuit. Or Cendrillon oublie l’heure. Autant dire que le conseil de sa marraine a été oublié et que la marraine "pisse dans un violon". Mais d’où vient cette expression ? Pourquoi associer un violon à une action aussi absurde ? Suivez-moi, on va décortiquer tout ça.
Aujourd'hui, partons explorer ensemble une expression bien connue du français courant, "En voiture, Simone". Pour ce faire, nous allons plonger dans la version du conte de Charles Perrault, celle qui introduit un élément clé et magique : le fameux carrosse en citrouille. Alors, attachez vos ceintures, ou plutôt, prenez place confortablement dans votre carrosse… C’est parti !
Mettez vos baskets parce qu’on va explorer l’expression « courir sur le haricot ». Et qui de mieux que l’agaçant personnage du Prince Charmant pour nous figurer le sens de cette formule ?
Bienvenue dans la saison 3 des Contes de la Queue du Lézard. Je suis Wilfried et je suis ravi de vous accueillir dans cette nouvelle saison qui conserve l'esprit espiègle du lézard. Tout comme cet animal, le conte semble toujours nous échapper, ne laissant derrière lui que sa queue. Mais cette fois, ce n'est pas tant le récit qui nous filera entre les doigts, mais plutôt le sens des expressions que nous utilisons chaque jour sans toujours en saisir l'origine. Au fil de cette saison, partons ensemble à la découverte des racines de ces expressions idiomatiques, véritables trésors de notre patrimoine linguistique, souvent aussi mystérieuses que les contes eux-mêmes. Un personnage issu du monde des contes sera notre guide, nous aidant à lever le voile sur ces tournures de phrases dont le sens initial nous échappe parfois, mais qui, comme les contes, tirent leur charme et leur richesse de cette part d'inconnu. Aujourd’hui, découvrons l’origine de l’expression « se mettre sur son 31 » en compagnie de Cendrillon.
Dans le deuxième épisode de « La fée du pistil », nous avons découvert les manigances de cette main enfant de l’empereur chinois. Découvrons désormais ce qui se trame dans la suite de ce conte et faisons vite connaissance avec cette mystérieuse « fée du pistil ».
Ecriture et lecture : Wilfried Mercklen
Illustration : Romain Valourd
Dans le précédent épisode nous avons laissé un empereur chinois reclus dans sa coquille de verre devenir père d’une main-enfant. Découvrons tout de suite la deuxième partie de ce conte. Restez connectés, la troisième et dernière partie du conte arrive bientôt.
Ecriture et lecture : Wilfried Mercklen
Illustration : Romain Valourd
Inspiré par mes voyages en Chine et par mes lectures de contes sur les renardes fées, je vous livre ici « La fée du pistil » en trois épisodes. Ecoutons tout de suite la première partie.
Ecriture et lecture : Wilfried Mercklen
Illustration : Romain Valourd
Du 25 au 31 mars 2024, vous le savez peut-être, c’est la semaine du Podcasthon ! Mais qu’est-ce que c’est le Podcasthon : il s’agit d’un événement en ligne regroupant pendant sept jours plus de 400 animateurs et animatrices de Podcasts francophones qui se mobilisent pour mettre en valeur le monde associatif et ses valeurs ! C’est une belle mobilisation c’est tout naturellement que Les Contes de la queue du lézard y prennent part ! C’est dans ce cadre que j'ai le plaisir de consacrer un épisode bonus de mon podcast de contes à la Fondation Le Refuge. Et comme c’est un épisode bonus, aujourd’hui, je ne raconterai pas d’histoire. Je vous propose plutôt une chronique sur les contes et sur l’inclusion. Eh oui, vous aviez déjà un indice dans le précédent épisode consacré à l’inclusion avec le conte « La puce qui mangeait et démangeait ». Aujourd’hui, essayons de comprendre comment les contes peuvent eux aussi faire preuve d’inclusivité. Mais avant d’arriver à cette conclusion idéale, voyons comment on peut tordre le cou à cette idée tenace selon laquelle les contes sont discriminatoires. Lecture et écriture : Wilfried MERCKLEN. www.podcasthon.org
L’histoire que je vous raconte aujourd’hui m’a été inspirée par le Canada lors d’un voyage en train entre Ottawa et Toronto. Peut-être aussi inspiré par les incendies qui ont fait rage dans ce pays du fait du réchauffement de la planète. Mais au-delà d’une fable climatique, ou d’une fable qui viserait à défendre la cause animale, saurez-vous vous retrouver, vous identifier dans le message universel d’inclusion ? Il y a des pays qui vous inspirent comme ça tout naturellement ce qu’est le vivre ensemble. Ce n’est jamais parfait mais le plus important dans l’inclusion, c’est de viser une forme d’absolu, d’essayer de n’exclure personne, de tout faire pour éviter toute forme de discrimination, de créer un climat de sécurité pour tous, de traiter les autres avec respect quels que soient leur sensibilité, leur mode de pensée, leurs aptitudes physiques, leur orientation sexuelle, leur handicap visible ou non. J’ai flirté avec cet état d’absolu au Canada. Est-ce que les animaux de ce conte réussiront cet exploit inclusif ? A vous de découvrir tout cela en écoutant « La puce qui mangeait et démangeait ».
Lecture et écriture : Wilfried Mercklen
Illustration : Romain Valourd
Le voyage nous emmène aujourd’hui au Liban où un conte m’a été soufflé il y a quelques années déjà. C’est une histoire de manipulation et d’emprise. Ecoutons ensemble « Le prince mal luné ».
Ecriture et lecture : Wilfried Mercklen
Illustration : Romain Valourd
Aujourd’hui, découvrons ce conte inspiré par un voyage en Allemagne, en réalité plutôt inspiré par les émotions ressenties à cette époque-là. Il est longtemps resté inachevé et c’est justement dans cette forme inachevée que je vous le livre aujourd’hui. A vous de me dire si vous le percevez comme tel ou de me confier comment vous le poursuivriez. Découvrons ensemble le conte : « Décollement de racines ».
Ecriture et lecture : Wilfried Mercklen
Illustration : Romain Valourd
Dans les précédents épisodes, nous avons laissé une petite fille se faire transformer contre son gré en petit garçon, petit garçon qui est venu en aide successivement à un lémurien horloger, à un rhinocéros comédien et à une zèbre herboriste. Découvrons désormais la suite de cette aventure.
Ecriture et lecture : Wilfried Mercklen
Illustration : Romain Valourd