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Les Instigateurs
Les Instigateurs
Author: Dave Ruel et Seb Cossette
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© Tous droits réservés -  Instigateurs
Description
Un podcast de contenu explicite pour entrepreneurs francophones. On parle des meilleures pratiques d'affaires sans dentelles ni gants blancs. On laisse de côté la rectitude politique et les conventions sociales dans le but de briser des mythes et faire de vous de meilleurs entrepreneurs.
93 Episodes
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Non, on le promet, ce n'est pas un épisode sur le clickbait. Après 2 ans de discussions, débats et réflexions sur la place publique, 82 épisodes et 3 épisodes hors-série, on prend un temps d'arrêt pour réévaluer la situation. Avons-nous respecté notre promesse initiale? Avons-nous fait le tour du jardin? Créons-nous encore de la valeur? En podcast comme en affaires, ces questions sont vitales et se doivent d'être ramenées sur la table pour réaffirmer notre raison d'être. Les projets, les marchés, les mentalités et VOTRE mentalité évoluent tous à des vitesses différentes.  Avoir le courage de savoir quand on doit se retirer, que ça aille bien ou mal, est la définition du courage entrepreneurial. Impossible de dire ce que le futur réserve pour les instigateurs, mais on se pose la question de façon transparente dans cette discussion.
On entend régulièrement parler de l'importance de la gratitude en affaires. Est-ce réellement nécessaire? Est-ce que le "positivisme et gratitude à tout prix" n'est pas aussi malsain que le sentiment d'insatisfaction éternel qu'on subit lorsque nous sommes continuellement "dans l'action à tout prix"? Mathieu fait état de son problème face à la gratitude et demande à Dave de l'aide pour l'amener à reconnaître que la gratitude est une chose utile et productive pour un entrepreneur, comme celui-ci a plutôt tendance à tout rationaliser. C'est un superpouvoir dans certains contextes, une faiblesse majeure dans d'autres. Une discussion transparente, pleine de vulnérabilité et qui couvre les 2 côtés d'une médaille qui brille différemment pour tous.
Une culture d'entreprise saine doit prioriser le bien être des employés, sans le faire au détriment de la performance. Cet équilibre, difficile à atteindre, est influencé par un éventail de facteurs sur lesquels on a, ou pas, le contrôle. S'attarder à notre culture et faire un état de la situation peut être un exercice très puissant et révélateur pour nous aider à vérifier si notre perception que nous avons de notre entreprise se reflète réellement au quotidien. Si on veut avoir l'ambition de développer une entreprise qui performe, il est de notre devoir de nourrir la vision et la compréhension qu'on les employés de ce que l'on vise à accomplir, autant sur le comment que le pourquoi. On doit aider les gens à comprendre l'impact qu'ils ont de façon individuelle et collective. Quelle est notre responsabilité à titre d'entrepreneur ou gestionnaire face à la culture de notre entreprise? De quelle façon arrive-t-on à élever le niveau des employés et les mobiliser derrière un point commun? On en jase afin de mettre le doigt sur ce qui marche bien pour nous, dans l'espoir de vous inspirer à implanter de bonnes et nouvelles pratiques internes.
Comprendre la distinction entre le prix d'un service et sa valeur peut sembler "simple et logique" sur papier, mais ce n'est pas toujours aussi facile lorsqu'on doit le mettre en pratique. La stratégie de prix d'une entreprise joue un très grand rôle sur sa capacité de croissance et ses chances de survie à long terme.  Comme nous avons tous une relation différente avec l'argent, il s'agit souvent d'un des points faibles les plus classiques que l'on retrouve du côté des jeunes entrepreneurs. Ne serait-ce que pour ne pas "pré-négocier" pour un client avant même de lui avoir envoyé la soumission initiale ou encore mettre en valeur un produit au détriment d'un autre (decoy), il existe des stratégies et "règles d'or" afin de créer une structure qui vous protègera de vos biais personnels. Celle-ci doit être simple à comprendre et surtout, à défendre à l'aide d'une bonne compréhension de la valeur du service rendu. Par cette dynamique étroite entre la valeur générée et le prix demandé, on arrive à bien positionner une entreprise et veiller à ce que celle-ci puisse être profitable durant de nombreuses années.
Développer une entreprise, oui ça passe par l'action, mais l'action quant à elle est initiée par des questions. L'art de se poser des questions devient donc important à maîtriser afin de s'assurer de se poser les bonnes questions, dans le bon ordre, dans la bonne intention. Un des pièges de plusieurs entrepreneurs est d'avoir le souhait profond de pouvoir se cloner, sans s'être donné les outils nécessaires pour se le permettre. Le super pouvoir d'un entrepreneur est souvent dans sa façon de réfléchir et se poser les bonnes questions. Le problème ici, c'est que si on CRÉE sans documenter LA RÉFLEXION que l'on a en amont, notre entreprise reste otage du cerveau d'une personne. En développant l'habitude de tout documenter nos processus de réflexion, dans le but de l'utiliser ensuite pour nos propres besoins, on outille nos employés et partenaires à mieux réfléchir. Déléguer l'exécution après avoir fait la réflexion, c'est bien, mais déléguer la réflexion en toute confiance pour ensuite voir son employé en faire l'exécution, c'est encore mieux. C'est par la création constante d'outils de réflexion qu'on peut avoir l'ambition de "se cloner" dans son entreprise. C'est de cette manière qu'on créer, pour durer. On donne du pouvoir et de l'autonomie à nos employés, tout en nourrissant l'intrapreneurship. On devient omniscient dans son entreprise non pas par la présence physique, mais par la programmation mentale des bons réflexes d'analyses.  Ensuite, les actions suivront.
Marcher sur des œufs, constamment. Que l'on en soit conscient ou qu'on la subisse insidieusement, la nouvelle force de frappe de la "justice sociale" a maintenant le pouvoir de "canceller" une personne de la culture ou de son environnement, que ce soit pour de bonnes ou mauvaises raisons. La cancel culture découle d'un mouvement de masse d'un regroupement de personnes défendant "ce qui est juste et socialement acceptable selon leurs principes", sans toutefois avoir un réel consensus de qui leur attribue ce pouvoir. Bien que les cibles de cette tendance soient majoritairement issues des domaines politiques ou culturels, il est important à titre d'entrepreneur d'en être conscient et de développer son opinion sur l'importance que l'on doit y accorder. On s'interroge sur les risques à titre d'entrepreneur que représente la cancel culture et l'impact que cela peut avoir sur les angles de communication des produits, services, missions et valeurs des entreprises.
On ne peut pas avoir des ambitions de grandeurs pour son entreprise sans avoir l'humilité de faire son inventaire de conscience, fausses croyances et "patterns" toxiques. L'idée du siècle ne vaut rien si le mindset de l'entrepreneur est teinté de biais émotifs, culturelles et de peurs non-fondées.  L'autosabotage chez l'entrepreneur est un phénomène très réel et très présent. Si le sentiment d'éparpillement, l'évitement, la surémotivité, les entourages toxiques ou la perte de contrôle de votre dialogue interne fait partie de votre routine quotidienne, sachez que vous n'êtes pas seul. Maintenant que le constat est fait, encore faut-il prendre action pour s'en libérer afin de pouvoir réellement aspirer à la grandeur de notre vision.
Jusqu'à quand dois-tu t'obstiner de poursuivre avec ta business? Si tu te butes régulièrement à cette question, sache que c'est sain et normal. L'entrepreneuriat est un sport, et on ne peut pas gagner toutes les parties. Encore moins lorsqu'on commence et qu'on veut se tailler une place dans des ligues déjà établies. La remise en question est donc normale et ne doit pas être évitée. C'est par ce processus de réflexion que l'on en vient à réaffirmer et reconnecter avec les raisons qui nous ont poussés à faire le saut au jour 1. La persévérance est louable, et nécessaire, pour devenir un entrepreneur accompli. Il faut toutefois être à l'affût des signes et reconnaître lorsque la persévérance se transforme en acharnement. Lorsque la passion se voit être remplacée par l'égo et l'orgueil. On explore la question afin de déterminer les bonnes pratiques, questions et réflexions que l'on doit avoir afin de bien évaluer si c'est justifié de persévérer avec son projet, ou encore les signes distinctifs qui devraient nous faire comprendre qu'il est temps de fermer le chapitre et passer à un autre livre.
La structure, c'est la liberté. Les routines jouent un rôle important dans la qualité de la structure de travail. Être capable d'anticiper les tâches à accomplir et les rassembler dans des blocs de temps est une des méthodes les plus simples et efficaces de gagner en productivité. Il s'agit aussi d'une approche de travail qui nous protège de nous même et des distractions du quotidien.  Comment trouver le juste équilibre entre optimisation et SUROPTIMISATION du temps, afin de ne pas aseptiser le plaisir de travailler? La mise en place de routines quotidiennes, hebdomadaires, mensuelles, trimestrielles et annuelles nous permet d'entreprendre plus, garder une vue d'ensemble et rester sain d'esprit.  Pour être proactif et avoir l'ambition d'être entrepreneur pendant des années, développer vos routines le plus rapidement possible est un des meilleurs moyens pour arriver à vos objectifs.
Prendre des vacances, c'est de l'autoprotection. Prendre un temps pour un "think week", c'est tout autre. C'est arrêter avec l'intention précise de faire du ménage dans ses idées pour ne garder qu'une vision claire de ce qui doit être accompli à court et moyen terme. Loin du bruit du quotidien, loin des fausses urgences. Un rendez-vous avec soi-même pour écouter sa voix d'entrepreneur. On ose trop rarement se permettre ce type de temps d'arrêt car "on a trop de choses à faire", alors qu'en réalité, fort à parier que la moitié de ces choses sont futiles pour votre entreprise. Ce concept d'arrêt volontaire, en solitude, est possiblement la pièce manquante de votre routine pour accélérer la croissance de votre entreprise.
Votre attention vaut cher et les entreprises en sont conscientes. Que ce soit sur les réseaux sociaux ou les canaux de communication plus spécialisés, vous êtes maintenant capable de trouver des audiences ciblées sur tous les types de sujets imaginables. Cette capacité à se nicher plus facilement que jamais génère beaucoup d'opportunités pour les plus audacieux et stratégiques comme ces zones chaudes d'intérêts deviennent d'excellents environnements pour se positionner face à des gens qualifiés. Que ce soit via Twitch, Tiktok, OnlyFans ou encore Clubhouse, on découvre une nouvelle forme d'économie en ligne: la création de contenu de proximité. En croissance constante depuis les dernières années, les derniers 12 mois ont accéléré l'adoption de cette approche et normalisé la monétisation de curation de contenu par champs d'intérêt ou créateur de contenu. Est-ce que cette tendance survivra au fil des années? Nul ne le sait mais nos petits doigts nous disent que ça vaut la peine de s'y intéresser et d'être alerte aux changements dans les patterns de consommation des prochains 12 mois.
Le syndrome de l'imposteur, ce n'est rien de nouveau. Ça nous prend d'assaut à nos débuts et tout le monde y passe. Que se passe-t-il toutefois lorsqu'on le subit encore alors qu'on en est à notre 5e année à titre d'entrepreneur? On met en lumière un tabou et on expose le fait que oui, ça arrive d'avoir encore ce syndrome malgré le succès et les années d'expérience. On pense trop souvent, et à tort qu'il s'agit d'un problème de débutant alors qu'en réalité, ça découle d'un manque de contrôle sur le dialogue interne. C'est un défaut de réflexion. On discute donc des pistes de solutions et des stratégies à mettre en place pour se libérer progressivement de ce syndrome afin de nous permettre de mettre notre focus sur ce qui nous pousse vers l'avant plutôt que ce qui nous retient vers l'arrière en affaires.
Pour une seconde fois dans notre histoire, on ouvre le mail bag et on répond à des questions sous une thématique d'un auditeur. Les questions de subventions et leviers financiers reviennent à l'occasion, donc on y dédie un épisode complet. Bien que ça peut souvent paraître alléchant d'aller chercher de l'argent qui nous est offert, rien n'est gratuit dans ce monde. Toutes subventions n'est pas bonnes pour vous. Une subvention se doit d'être associée avec un projet ou une ambition claire pour votre entreprise afin d'évaluer si les contraintes et le fardeau fiscal qui vient avec en valent la peine. Le timing, les conditions de succès, les paramètres d'admissibilité, les due diligences, etc. L'argent "gratuit" peut coûter très cher s'il vous fait perdre votre focus. L'appât de l'argent facile entraine beaucoup d'entrepreneurs novices vers les mauvaises décisions, la croissance trop rapide ou les "paris dangereux". L'épisode vous aidera à mieux comprendre quand et pourquoi une subvention peut devenir être intéressante pour votre entreprise, quand faire des emprunts stratégiques lorsqu'aucune subvention n'est disponible et autres.
Vouloir et faire sont 2 concepts très distinct l'un de l'autre. C'est à ça que se résume souvent la dualité "réactif versus proactif". On a trop souvent pas le temps de faire, car on réagit en continu, donc on se restreint à vouloir. La planification stratégique est clé afin de nous aider à prendre action sur ce qui compte réellement, et nous protéger des distractions. Tout entrepreneur a une capacité innée à générer des idées, mais ce qui distingue les bons des excellents est la capacité à prendre action. On perd souvent notre capacité à nous motiver grâce aux accomplissement que l'on réalise, au détriment des gens qu'on tente de plaire ou des fausses urgences qu'on s'impose de régler dans l'immédiat. Comprendre les types de tâche à planifier de façon proactive, contrôler son environnement afin de réduire les sources de distraction et développer son auto-discipline.
On comprend souvent trop tard en affaires que nos intérêts personnels ne sont pas les intérêts de l'entreprise. On crée l'entreprise selon nos approches préférées, nos zones de confort, et ça fonctionnent bien un temps.  Jusqu'à ce que ça ne marche plus. Et on ne comprend plus pourquoi, ni quoi faire. La création et compréhension de votre structure d'organisation est très importante, et ce, même si vous êtes solopreneur. Peu de gens prennent le temps de faire l'exercice de créer la représentation visuelle des différents "départements" de l'entreprise, par simple raison qu'ils portent plusieurs, sinon voir tous les chapeaux. Que ce soit à l'aide d'un simple flowchart ou d'un Business Design plus étoffé, cet outil devient pour l'entrepreneur une référence sur les prochaines optimisations d'intérêt, les angles morts à anticiper et une référence pour la création des processus. Il n'est jamais trop tard pour la faire, mais la réalité est qu'il n'est surtout jamais trop tôt pour s'y prendre.
Espérer pour le meilleur, mais prévoir pour le pire. On y croit foncièrement.  C'est avec cette attitude et philosophie que l'on doit entreprendre toute aventure d'affaire avec un ou des partenaires. Une erreur fréquente, lorsqu'on se lance à l'aveugle dans notre première business, c'est de mal se préparer face aux scénarios non souhaitables, mais pas improbables. Lorsqu'une entreprise évolue, avec plusieurs personnes à la barre, les valeurs personnelles qui nous unissaient au jour un peuvent éventuellement devenir celles qui creusent un fossé pour tard. Le manque de préparation et de rationalité, ça coûte cher. On parle donc des bonnes pratiques en prévention pour couvrir les angles morts et réduire l'impact négatif des potentiels litiges futurs.
Croire qu'on a besoin d'argent pour se lancer en affaires, c'est la plupart du temps une belle excuse se conforter dans notre inaction. À l'ère du télétravail et de la "gig economy", faire le saut vers la consultation ou la pratique privée n'a jamais été aussi facile. Que ce soit par une approche bootstrap, MVP, en ayant fait du financement social ou de la prévente, l'argent est accessible tant que vous avez une vision claire et un produit/service de valeur. La gestion de risque d'un entrepreneur débute avant même qu'il soit une entreprise. La capacité à prendre des décisions tout en faisant face à une grosse portion d'inconnu n'est pas donnée à tous. Si la raison qui vous retient de faire le saut en affaires est l'aspect financier, votre problème n'est pas relié avec votre compte de banque, mais votre capacité à être créatif et vous adapter.
Le courrier des instigateurs! Vous avez tellement de questions, bonnes ou mauvaises, on s'est donc dit qu'on devait y répondre. On commence à prendre, au hasard, des questions qu'on a reçues depuis les dernières semaines et on y répond sans aucune ligne directrice. Ce format vous permet de "pick our brains" sur tout ce que vous voulez, alors que ça nous ouvre les yeux sur différents sujets qu'on n'aurait jamais eu l'idée de couvrir. Du personnage fictif qu'on aimerait avoir dans notre équipe, au meilleur livre qu'on a détesté ou encore nos coups de coeur entrepreneuriaux, l'épisode tire de gauche à droite tout en restant aligné avec notre promesse de couvrir l'entrepreneuriat sous TOUS les angles possibles. Tout le monde y gagne!
Êtes-vous le plus gros frein de votre business? C'est une question qui peut nous rendre inconfortables, mais que l'on doit régulièrement se poser lorsqu'on est en affaires. L'adage "On n'est jamais mieux servi que par soi-même" est un bon reflet de la source de plusieurs problèmes lorsqu'on tente de croitre notre entreprise. On pense trop souvent que c'est un problème de "startups et solopreneurs", mais cette façon de penser est indépendante du contexte d'affaires. Ce problème découle d'une philosophie et est intimement lié aux biais émotifs d'une personne.  Que ce soit par égo, par insécurité ou par jalousie, cette façon de gérer n'est pas un problème, mais plutôt les symptômes d'un problème plus profond. On essaie donc de faire nos psychologues à 2 cent, en nous appuyons sur diverses interventions que l'on a du faire dans les dernières années, pour mettre en lumière les signes avant-coureurs et les pistes de solutions qui peuvent permettre à un entrepreneur ou gestionnaire de se défaire leurs fausses croyances afin de devenir de meilleurs leaders.
Sans même vous connaitre, je suis prêt à parier 100$ que vous avez déjà été confronté à un problème et en devenir étourdi par les conseils contradictoires que des gens vous ont offerts, sans même souvent être sollicités. Recevoir et appliquer des conseils en affaires, sans structure ou sens critique, est un des premiers facteurs de risques que l'on se doit de contrôler. Tout comme on doit le faire avec les critiques et les compliments, les conseils se doivent d'être reçus et mis de côté instantanément. Pour tirer profit d'un conseil, il faut d'abord prendre un temps d'arrêt pour en faire l'analyse sous différents critères précis:  Suis-je disposé à prendre un temps d'arrêt pour analyser le conseil? Le conseil vient-il d'une personne que je respecte professionnellement? Le conseil vient-il d'une expérience vécue, ou d'une supposition bien intentionnée? Le conseil est-il associé à une urgence à régler ou est-ce que je peux le documenter et contrevalider avec d'autres experts avant de prendre action?  Sans grille d'analyse, les conseils nous amènent constamment dans la réaction et effritent notre clarté d'esprit, car ils nous exposent possiblement à des informations non pertinentes qui nous remettent en doute. De ce fait, on discute de certains des pires conseils que l'on a reçus, ou entendus, dans les dernières années pour sensibiliser à l'importance de l'esprit critique.
























Super intéressant mais un des 2 utilise énormément de termes anglophones. Personellement, tant qu'à faire un podcast francophone je crois qu'il serait agréable qu'il le soit au maximum, malgré que je sois bien consciente que le langage courant utilise de plus en plus l'anglais. Si on ne peut plus écouter de contenu francophone québécois sans utiliser des anglicismes, que va-t-il rester pour nous faire prendre conscience que nous pouvons améliorer notre langage courant?