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Les Voix de la Photo

Author: Marine Lefort

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Les Voix de la Photo, c'est le podcast des professionnels de la photographie. Qu'ils soient agents, galeristes, acheteurs d'art ou conseillers, ils ont en commun de travailler dans le milieu de la photographie. Je leur donne la parole pour vous faire découvrir leurs parcours, leurs problématiques et leurs stratégies pour innover et se développer. Mon objectif est de partager leurs modes de pensée, leurs organisations ou encore leurs outils pour vous aider à mener à bien vos projets.

Bonne écoute!


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105 Episodes
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Thierry Bigaignon est un galeriste parisien d’art contemporain photosensible et dans cette conversation nous revenons sur le début de sa carrière professionnelle en communication, l’ouverture de sa galerie, les évolutions et particularités de sa galerie qui a une librairie curatée, une veste de galeriste, une identité olfactive et des réserves ouvertes au public. On a parlé aussi des défis qu’il rencontre de renouveler sa clientèle de collectionneurs, son ambition de hisser sa galerie au rang d’un leader et il nous explique pourquoi il souhaite amener la photo vers l’art contemporain. Vous retrouverez aussi des conseils si vous souhaitez lancer votre galerie ou travailler avec un galeriste. Très bonne écoute !1’ – Son environnement familial, sa formation en science politique et histoire et son début de carrière professionnelle dans la communication en Angleterre et Paris.7’ – Le début de sa galerie : « J’ai arrêté mon agence en communication car j’avais l’impression d’être le seul passionné dans la salle. J’ai décidé de créer ma galerie car dans une galerie, on parle entre passionnés. »9’10 – Les débuts de la galerie à l’hôtel de Reitz et l’histoire de son exposition inaugurale avec Ralph Gibson.21’30 – Son ambition : envie de se hisser au rang d’un leader. « Le propre des galeries est d’être des petites entreprises qui agissent comme des grandes. Il existe une dichotomie entre la taille des entreprises dans le marché de l’art et le marché mondial que l’on vise. »28’- Pourquoi il souhaite amener la photo vers l’art contemporain.34’ – Une des particularités de sa galerie : une librairie curatée qui se renouvelle tous les trois mois.44’ – Ses stratégies pour rester pertinent dans le marché de l’art : création d’une veste de galeriste et travail sur une identité olfactive diffusé dans la galerie/librairie et dans les foires.50’30 – Les défis auxquels il fait face en tant que galeriste :Mutation des collectionneurs : travail pour se rapprocher des collectionneurs millennials pour maintenir sa clientèle de collectionneurs.Mutation technologique qui touche le métier de galeriste et l’art lui-même car on est dans une période de changement technologique importante et le galeriste est un passeur entre le monde de la création et les acheteurs.Instabilité politique. Quand on veut promouvoir des artistes à l’étranger, on doit se poser la question, est-ce qu’on fait les bons choix ?57’40 – S’il était artiste et qu’il souhaite montrer son travail à un galeriste, il essayerait de faire une liste des galeries qui correspondent à son travail, aller à toutes les expos, comprendre comment la galerie fonctionne et rencontrer les autres artistes de la galerie. Je ferai des expos collectives en centre d’art et je ferai des livres avant même d’être en galerie. Un galeriste ne va pas montrer d’artiste qui n’a jamais montré son travail.1’00'00 – Ses conseils pour les jeunes ou futurs galeristes : C’est un métier très difficile économiquement et la passion ne suffit pas. Il faut avoir le cœur solide et le sens des responsabilités.Le site de Bigaignon: https://bigaignon.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Pour ce 100ème épisode, je suis ravie d’avoir été interviewée par l’hôte du podcast The Bold Way (Anciennement Entreprendre dans la mode), Adrien Garcia. Nous sommes revenus sur la genèse, les évolutions et l’avenir de mon podcast lancé il y a quatre ans, mes coups de cœur mais aussi ce que je fais pour m’améliorer et mes conseils pour des personnes qui souhaiteraient lancer un podcast. J’espère que cet épisode spécial vous plaira, encore merci à Adrien et bonne écoute !2’40 - La genèse et les débuts du podcast en 2020.7’ – Ce que j’ai compris de l’écosystème de la photographie après 100 épisodes.9’35 - Les principales évolutions du podcast au fil du temps et les épisodes qui m’ont marqués.14’40 – Comment est-ce que je fais pour m’améliorer.17’20 – Le futur du podcast.25’- Comment est-ce que je mesure le succès de mon podcast.30’15 – Comment est-ce que je choisis les invités du podcast au fil des années.33’09 – Qui est-ce que je souhaiterai interviewer.35’- Mes conseils pour les personnes qui souhaitent lancer un podcast.Le site de The Bold Way : https://www.theboldway.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce 100ème épisode, je suis ravie d’avoir été interviewée par l’hôte du podcast The Bold Way (Anciennement Entreprendre dans la mode), Adrien Garcia. Nous sommes revenus sur la genèse, les évolutions et l’avenir de mon podcast lancé il y a quatre ans, mes coups de cœur mais aussi ce que je fais pour m’améliorer et mes conseils pour des personnes qui souhaiteraient lancer un podcast. J’espère que cet épisode spécial vous plaira, encore merci à Adrien et bonne écoute !2’40 - La genèse et les débuts du podcast en 2020.7’ – Ce que j’ai compris de l’écosystème de la photographie après 100 épisodes.9’35 - Les principales évolutions du podcast au fil du temps et les épisodes qui m’ont marqués.14’40 – Comment est-ce que je fais pour m’améliorer.17’20 – Le futur du podcast.25’- Comment est-ce que je mesure le succès de mon podcast.30’15 – Comment est-ce que je choisis les invités du podcast au fil des années.33’09 – Qui est-ce que je souhaiterai interviewer.35’- Mes conseils pour les personnes qui souhaitent lancer un podcast.Le site de The Bold Way : https://www.theboldway.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.David Fourré, éditeur de Lamaindonne, revient sur l’équilibre entre ses activités aux éditions du Rouergue et ses projets d’éditions. Il nous explique la genèse de sa maison d’édition, son rôle de trouver la bonne forme (en tout cas ce qu’il a compris) d’une série photo puis de faire des choix de formats/papiers/mises en page/place du texte, les actions de l’association qui promeut le livre photo français France Photo Book et ses projets en cours. Avec honnêteté et transparence, il nous a donné des conseils pratiques et a levé des tabous sur le livre photo et son économie. Marché compliqué, car « Très peu de gens achètent des livres photos, mais bizarrement il y a de plus en plus de livres photos et d’éditeurs de qualité ». Bonne écoute !Le site de David Fourré, édition Lamaindonne : https://www.lamaindonne.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoEt merci au Quai de la Photo (Marion Briffod x Pierre-Yves Mahé) de m'avoir prêté votre studio pour enregistrer cet épisode. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
David Fourré, éditeur de Lamaindonne, revient sur l’équilibre entre ses activités aux éditions du Rouergue et ses projets d’éditions. Il nous explique la genèse de sa maison d’édition, son rôle de trouver la bonne forme d’une série photo puis de faire des choix de formats/papiers/mises en page/place du texte, les actions de l’association qui promeut le livre photo français France Photo Book et ses projets en cours. Avec honnêteté et transparence, il nous a donné des conseils pratiques et a levé des tabous sur le livre photo et son économie. Marché compliqué, car « Très peu de gens achètent des livres photos, mais bizarrement il y a de plus en plus de livres photos et d’éditeurs de qualité ». Bonne écoute !1’30 – Un amoureux des livres et en particulier des livres de littérature. Sa rencontre avec les éditions du Rouergue et Olivier Douzou.4’30 – Olivier Douzou lui apprend à considérer le livre comme un terrain de jeu. Pas des contraintes trop formelles. Tant qu’il y a du sens.7’ – La genèse de l’édition Lamaindonne.10’35 – Les étapes de création de ses livres.12’10 – Ce que j’aime ce sont les photos « sales ». Où l’on voit le regard. Il faut regarder au-delà de l’image.12’50 – Le rôle de l’éditeur est d’essayer de trouver la bonne forme (en tout cas ce qu’on a compris) de la série photo et de faire des choix de format/papier/mise en page/la place du texte…23’35 – « Un bon livre photo est un livre habité qui ne nous rend pas froids » On travaille avec des séries photos qui font un tout. On ne travaille pas sur une image iconique, mais sur un flux… comme dans un livre littéraire.26’40 – Très peu de gens achètent des livres photos. Mais bizarrement il y a de plus en plus de livre photos et d’éditeurs de qualité.27’40 – Les actions de l’association qui promeut le livre photo français : France Photo Book. (Travail auprès du ministère de la culture, diffusion du livre photo français à l’international….)34’15 – L’économie du livre photo : Faire des livres photo ce n’est pas rentable, car objet très cher à fabriquer (beau papier, photogravure, imprimeur cher, car cher à faire) et petit tirage, car peu d’acheteurs. Les recherches de financements sont essentielles et la plupart des régions aident les éditeurs.37’ – Un des tabous dans le livre photo : Parfois des photographes payent pour faire un livre avec un éditeur.37’50 – Une des solutions pour tirer en plus d’exemplaire : faire des livres en co-éditions avec des éditions qui ne sont pas basés en Europe.39’ – Ses projets d’éditions dans en 2024.48’48 – L’intérêt des livres photo c’est de travailler à deux : photographe et éditeur.50’ – Conseils pour des éditeurs : il ne faut pas se lancer tout de suite dans le livre photo en indépendant.Le site de Lamaindonne : https://www.lamaindonne.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoEt merci au Quai de la Photo (Marion Briffod x Pierre-Yves Mahé) de m'avoir prêté votre studio pour enregistrer cet épisode. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Brigitte Patient, grande voix de la radio chez France Inter, passe de l’autre côté du micro dans cet entretien. On y a abordé son émission Regardez voir qu’elle a animé de 2012 à 2019, mais aussi son podcast Écoutez voir, podcast produit par wave.audio et ses projets actuels. Elle est revenue sur les ateliers médias qu’elle réalise à l’école des Métiers de l’Information et avec L’œil de l’esprit et de son rôle de vice-présidente du pôle photographique Stimultania à Strasbourg et Givors (réseau Diagonal). Elle nous a parlé des évolutions qu’elle aperçoit dans le photojournalisme et nous a donné des conseils lorsque l’on souhaite recevoir un retour sur son travail photographique. Bonne écoute !Le site de Brigitte Patient : https://www.brigittepatient.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoEt merci au Quai de la Photo (Marion Briffod x Pierre-Yves Mahé) de m'avoir prêté votre studio pour enregistrer cet épisode. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Brigitte Patient, grande voix de la radio chez France Inter, passe de l’autre côté du micro dans cet entretien. On y a abordé son émission Regardez voir qu’elle a animé de 2012 à 2019, mais aussi son podcast Écoutez voir, podcast produit par wave.audio et ses projets actuels. Elle est revenue sur les ateliers médias qu’elle réalise à l’école des Métiers de l’Information et avec L’œil de l’esprit et de son rôle de vice-présidente du pôle photographique Stimultania à Strasbourg et Givors (réseau Diagonal). Elle nous a parlé des évolutions qu’elle aperçoit dans le photojournalisme et nous a donné des conseils lorsque l’on souhaite recevoir un retour sur son travail photographique. Bonne écoute !2’08 – Son enfance dans le Berry, sa première carrière d’institutrice et sa rencontre avec la radio.6’52 – La genèse de son émission à France Inter Regardez voir de 2012 à 2019.18’35 – Les dessous de son podcast Écoutez voir produit par wave.audio.23’ – Ses projets actuels : les ateliers médias à l’école des Métiers de l’information et avec l’œil de l’esprit. Ses portraits sonores dans le cadre du travail de Mélanie Wenger à la prison de Fleury-Mérogis.29’30 – Son rôle de vice-présidente du pôle photographique « Stimultania » à Strasbourg et Givors.32’- Les évolutions : sujets de l’intelligence artificielle, le retour à des techniques anciennes et le travail de certaines personnes à montrer autant les femmes que les hommes photographes.33’ – Les évolutions dans le photojournalisme : « J’ai l’impression que la photo documentaire est en train de prendre le pas sur le photojournalisme. »44’ – Ses conseils pour s’adresser à un journaliste lorsque l’on souhaite recevoir un retour sur son travail photographique.Le site de Brigitte Patient : https://www.brigittepatient.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoEt merci au Quai de la Photo (Marion Briffod x Pierre-Yves Mahé) de m'avoir prêté votre studio pour enregistrer cet épisode. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Valérie Fougeirol a été directrice de Paris Photo et de la Galerie Magnum et dans cet entretien on est revenu sur ses apprentissages dans le milieu de la photographie mais aussi des anecdotes et certaines rencontres marquantes qu’elle a fait tout au long de sa carrière. Elle nous a aussi donné des pistes de réflexions sur la fin de la photographie avec le passage à l’image à l’heure de la blockchain et de la dématérialisation. Nous avons aussi abordé comment aborder des commissaires ou des galeries si on veut montrer son travail. Bonne écoute !1:20 – Son enfance auprès d’un père distributeur de livres et ses études à l’école du Louvre.6:50 – Ses premières expériences à la Galerie Maeght et au Salon de l’édition d’art.18:30 – En 2001 elle rejoint les équipes de l’entreprise Reed exhibition (RX) à la Fiac pour monter un fichiers collectionneurs et leurs faire un parcours. Et en novembre 2001, RX rachète la foire Paris Photo et elle accepte d’être la directrice de cette jeune foire avec deux objectifs : développer le marché de la photographie et s’intéresser aux scènes étrangères.28:30 – Elle revient sur le processus de sélection depuis le comité la prospection des galeries au Printemps jusqu’à l’événement en revenant sur les choix décisifs de l’implantation des galeries sur le salon32:15 – Son travail de fond à Paris Photo : créer l’attention du public tout en étant proche des galeries pour en faire venir d’autres. Elle a quitté Paris Photo car elle ne souhaitait pas déménager la foire au Grand Palais pour ne pas perdre de sa qualité car le volume est très grand et qu’elle souhaitait passer la main après sept années.35:50 – Elle a proposé des développements à l’étranger : New York et Londres avec une édition Paris Photo à Londres en 2007.39:40 – En 2008, elle rejoint le collectif Magnum pour développer la galerie Magnum. Elle revient sur ses rencontres avec des photographes et son coup de foudre pour le travail de Robert Capa.54:30 – En 2012, elle rejoint le collectif Temple pendant un an et demi où elle participe à des éditions et des expositions et en novembre 2014, elle est la commissaire du mois de la photo.1:02:01 – Elle réalise des ateliers avec Eyes in progress en stratégie du développement du photographe auteur en milieu artistique pour aider les photographes à embarquer les outils à leurs dispositions. Mais aussi se poser des questions sur leurs identités, leurs cheminements, les aspects poétiques-politiques et le fond/la forme de leurs recherches.1:04:01 – Les trois grandes expositions américaines : Family of man – Mirrors et New Topographics.1:06:15 – « J’adore la matérialité de la photo mais on est à l’heure de la blockchain et de la dématérialisation on va vers une fin de la photo. On est désormais dans l’image. Le livre fait de la résistance. »1:10:10 – « Un artiste prend des risques et il se questionne sur un chemin qui lui est propre. »1:11:10 – Ses conseils pour les photographes qui veulent rencontrer des commissaires ou des galeristes.1:14:15 – Exemple de l’expo Rubis Mécénat durant Photo Saint Germain avec deux photographes sud-africain qui ont parlé de leurs traumas.Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le tireur Guillaume Geneste revient dans cet entretien sur ses expériences professionnelles avant de lancer son laboratoire La chambre noire en 1996, les évolutions dans son métier, mais aussi les relations construites dans le temps avec des photographes comme Bernard Plossu et Sabine Weiss. On a parlé de couleur de tirage et de l’importance de l’arrivée du scanner, mais aussi de ses autres projets d’écriture et des projets avec son association de tireurs. Bonne écoute !2’- L’origine de sa passion pour la photographie et sa formation4’ – Ses expériences professionnelles : avec Marc Bruhat au laboratoire Sillages, au laboratoire Contrejour et le lancement de son laboratoire en 19966’ – Les évolutions de son laboratoire et l’arrivée des deux autres salariés : Guillaume Fleureau et sa fille Chloé Geneste7’50 – Comment faire un bon tirage10’15 – Les relations construites dans le temps avec les photographes (par exemple Bernard Plossu)11’02 – « On parle de couleur en noir et blanc c’est plus jolie que le mot rendu et c’est plus large que le mot contraste ou le mot douceur qui peut être utilisé pour des raisons différentes en tirage »12’28 – Un bon tirage est un tirage qui plait au photographe et au tireur13’50 – Les deux évolutions dans son métier : la vente de tirage de collection et l’arrivée du scanner18’08 – Les évolutions dans l’édition20’20 – L’écologie dans son travail22’40 – Ses autres projets : l’écriture sur la photographie et son association de tireurs (la genèse du projet et les projets en cours)26 – Ses conseils pour les tireursSite de la chambre noire : http://www.la-chambre-noire.com/Pour suivre l'actualité du podcast et vous vous inscrire à sa newsletter : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans l’entretien avec l’activiste Pascale Obolo on parle de son engagement d’écrire une histoire de l’art plus inclusive qui traverse tous ses projets professionnels : la revue d’art Afrikadaa et les deux foires African Art Book fair et Missread. On revient sur ses débuts dans le hip-hop dans les années 90 et son passage des mots aux images via des clips musicaux. Elle aborde l’évolution de la représentation des corps noirs dans la photographie et de l’importance « d’encourager les jeunes issus des minorités d’écrire leurs récits avec leurs points de vus, car l’histoire a été écrite à leurs places ». Bonne écoute !1’15 – « Je me définis avant tout comme une activiste »2’45 – Ses débuts dans le milieu hip-hop dans les années 9010’20 – Le passage des mots vers l’image en mouvement via le clip.16’30 – La genèse d’Afrikadaa et ses évolutions22’ – La création et les projets de l’African Art Book Fair 30 – La foire Missread : son rôle dans ce salon et les projets des dernières éditions.47- La représentation des corps noirs dans la photographie.50’50 – Son activation de l’exposition de la photographe Zanele Muholi à la MEP avec Marie Docher.56’40 – Ses conseils pour les photographes et les éditeursSite d'Afrikadaa : http://www.afrikadaa.com/Site d'African Art Book Fair : https://africanartbookfair.com/Site de Missread : https://missread.com/Site des Voix de la Photo : https://lesvoixdelaphoto.dorik.io/Pour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Florian Ebner, Chef du Cabinet de la Photographie au Centre Pompidou, revient sur son parcours professionnel : sa formation à l’école de la photographie à Arles et en histoire de l'art en Allemagne, ses expériences professionnelles dans des institutions allemandes et son arrivée en 2017 au Centre Pompidou. Il aborde son quotidien de conservateur, ses pistes de réflexion pour faire des expositions plus écologiques, les acquisitions de son département, mais aussi sa vision sur l’utilisation des nouvelles technologies dans le milieu de la photo. Bonne écoute ! 1’ – Une famille d’amateurs et passionnés de photographes2’30 – Sa formation : École nationale de la Photographie à Arles et des études d’histoires de l’art et d’histoire à l’université de la Ruhr Bochum en Allemagne et en même temps pédagogue à la fondation du Musée Folkwang à Essen8’20 – Ses expériences professionnelles en Allemagne : enseignant à l’Académie des arts visuels de Leipzig, en charge de la collection photo de la Berlinische Galerie, directeur du Musée de la photographie de Braunschweig et directeur de la collection de photographie du musée Folkwang à Essen10’ - Son arrivée au Centre Pompidou en 2017 15’45 – Le métier de conservateur au Centre Pompidou : élargir les collections du musée et monter des expositions21’20 – Les clefs pour faire une bonne exposition23’ – Une piste pour faire une exposition plus écologique : faire moins voyager les œuvres et avoir une réflexion sur les scénographies25’45 – Les projets hors les murs du Centre Pompidou pendant sa fermeture de 2025 à 2030 29’ – Les acquisitions au Centre Pompidou : les deux comités annuels, le Groupe des Amis pour la Photo du Centre Pompidou, la commission, la réflexion autour des collections et à qui ils achètent34’44 – "Les galeries doivent devenir plus réalistes par rapport à leurs estimations de prix. Ce n’est plus la situation des années 90. Il faut consolider le marché et accepter qu’on ne soit plus dans cette situation"39’ – Son regard sur le passé et le futur du milieu de la photographie 43’10 – Ses conseils pour des photographes et commissaires d’expositions Copyright : Manuel ReinartzLien du site du Centre Pompidou : https://www.centrepompidou.fr/fr/Site des Voix de la Photo : https://lesvoixdelaphoto.dorik.io/Pour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour cet épisode un peu spécial, je suis passée de l'autre côté du micro et je reviens sur mon année au Japon en vous expliquant les projets que j'ai réalisé, mes apprentissages sur le milieu de la photo et de l'image mais aussi mes projets pour le podcast en 2024. Hâte d'avoir vos retours sur cet épisode ! Bonne écoute !01'30 - Mes projets au Japon : missions en édition de livres, Kyotographie, Villa Kujoyama et écriture d'articles05'30 - Mes apprentissages sur le milieu de la photo et de l'image au Japon : le marché de la photo, artisan/artiste et l'édition11'30 - Le futur du podcastLien de l'Instagram de Fact.atelier : https://www.instagram.com/fact.atelier/Lien de la boutique de Fact.atelier : https://www.etsy.com/fr/shop/FACTatelierSite des Voix de la Photo : https://lesvoixdelaphoto.dorik.io/Pour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In this episode, we explore Yoshiko Suzuki's curator journey at the TOP Museum in Tokyo. From her education at Nihon University to photojournalism and her career at the TOP Museum since the opening of the Museum. We delve into her role as a curator and the landscape of photography museums in Japan. I hope you will like this episode in English!1' - Introduction to Yoshiko Suzuki's photographic journey from her photography studies at Nihon University ...8' - ... To photojournalism and the TOP Museum12' - The birth of the museum and Suzuki's role in the archive and as a curator17’40 – Audience shifting perspectives: from technical focus to artistic appreciation21’30 – Photography museums: a limited landscape in Japan31’ – The TOP museum is : 3 news exhibitions each month and a team of 12 curators full-time.42' - Despite the advancements in IA, she emphasizes the enduring importance of studying the history of photographyTOP Museum : https://topmuseum.jp/e/contents/index.htmlPour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In this episode, we delve into the fascinating journey of Lothar Schirmer, a publisher and art collector. We explored his post-war childhood in Cologne, his venture into art collecting, and his encounter with Cy Twombly and Joseph Beuys. We discovered the evolution of his publishing company and the story of his first book with Bernd and Hilla Becher then Helmut Newton and Robert Mapplethorpe. The episode further explores notable books such as the Nick Knight and the Yves Saint Laurent books. Schirmer also imparts advice for emerging publishers, offering insights for industry professionals. I hope you will like this episode in English!01’40 – Childhood in Post-War Cologne06’ – Teenage Passion: A Journey into Art Collecting (in particularly Cy Twombly and Joseph Beuys)11’ – Publisher by Passion: Fostering Relationships with Artists13’ – The Genesis of His Publishing Company20’ – His First Book: Collaboration with Bernd and Hilla Becher28’ – Iconic Encounters: Helmut Newton and Robert Mapplethorpe32’ – Nick Knight Book34’ – Yves Saint Laurent: The Story of the Book45’ – Evolution of IT in Publishing53’ – Advice for Emerging PublishersSchirmer Mosel Website : https://www.schirmer-mosel.com/Pour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In this episode, we explore the career of Japanese gallerist Katsuya Ishida. From his early background to the establishment of MEM, we trace the gallery's evolution, highlighting key moments and exhibitions. Gain insights into Japan's art movements and MEM's distinctive showcases, offering valuable perspectives for photography professionals. I hope you will like this episode in English!2' – Katsuya Ishida’s background before establishing his gallery3’30 – The inception of MEM: A homegrown art endeavour8’ – Unraveling the Kansai New Wave movement12’ – Milestones: MEM's journey to prominence14’ – Crafting MEM: The story behind the gallery's physical space16’ – MEM's diverse gallery program20’ - Evolution in Ishida's role as a gallerist26’ – Decoding MEM: Its significance and unique identity30’ – Sneak peek into future projects and exhibitions37' – Expert insights: Navigating the art and photography realmMEM website: https://mem-inc.jp/e/Pour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Christine Cibert partage son expérience et ses apprentissages de commissaire et journaliste culturelle aux quatre coins du monde. Elle a vécu dans divers pays, dont le Cambodge, le Japon, le Mozambique, la Corée du Nord, la Suisse, et récemment en Tunisie. Christine aborde les défis de la réadaptation constante et la création de réseaux à chaque déménagement. Elle nous glisse des conseils pour préparer une expatriation et en particulier sur les questions à se poser pour appréhender une nouvelle scène artistique. À travers le récit de ses projets, elle nous raconte des rencontres mémorables avec des artistes tels qu'Eikō Hosoe et Nicolas Bouvier. Elle revient également sur son expérience à la Fondation Caron et l’exposition Wordpress Photo qu’elle a organisées au Mozambique avec Alida Akkerman. Christine nous dévoile également son projet d’exposer en Tunisie le photographe suisse Fred Boissonnas.Retrouvez ici le site internet de Christine Cibert : https://www.christinecibert.com/On a cité :Sae Cardonnel Shimai (https://www.linkedin.com/in/sae-cardonnel-shimai-60a487135/?originalSubdomain=jp)Kyotographie (https://www.kyotographie.jp/)Alida AkkermanWordpress Photo (https://www.worldpressphoto.org/)Eikō HosoeNicolas Bouvier (https://www.linkedin.com/in/nicolas-bouvier-68605925/)Fondation Caron (https://www.fondationgillescaron.org/)Frédéric BoissonnasPour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Isabelle Saussol-Guignard revient sur les différents projets sur lesquels elle a travaillé dans le domaine de l'éducation à la lecture des images et la médiation culturelle à destination des adolescents. Véritable cas d’école, Isabelle revient en détail sur le projet de la Rentrée en Images auquel elle a été à l’initiative aux Rencontres d’Arles. Elle revient également sur les outils pédagogiques mis en place, les ateliers pratiques, les événements, mais aussi les formations destinées aux médiateurs, aux bibliothécaires et aux enseignants. Elle explore également les sujets contemporains liés à la perception des images dans le contexte numérique sur les réseaux sociaux, ainsi que l'utilisation de l'intelligence artificielle dans l'analyse des images. Dans cet entretien, elle nous donne des conseils précis et des pistes de réflexion sur l’éducation à l’image adressée à différents publics. Bon écoute !1’20 – Qui est Isabelle Saussol-Guignard et ses projets en médiation culturelle avec comme audience de prédilection les adolescents 6’30 – Sa formation et ses premières expériences professionnelles à l’opéra de Paris, à la BNF et le fonds de promotion de l’artisanat19’ – Ses débuts aux Rencontres d’Arles et la genèse de la Rentrée en Images35’ – Les évolutions de la Rentrée en Images et le jeu Pause Photo Prose1h09 – Les projets des Déclencheurs : projets au Mucem, au Louvre, à Luma, les résidences professionnelles à la Villa Médicis…1h16 – Le jeu Traqueurs d’infox, dispositif d’éducation mené au sein du réseau de la Protection Judiciaire de la Jeunesse1h33 – Les évolutions de l’éducation à l’image à l’heure de l’intelligence artificielle1h40 – Ses conseils pour des personnes qui souhaitent créer des ateliers d'éducation à l’imageOn a citéLes déclencheurs (https://www.les-declencheurs.com/)Les Rencontres d'Arles (https://www.rencontres-arles.com/)Adèle Fremolle, directrice de la Villa Kujoyama (https://www.linkedin.com/in/adele-fremolle-835b7b14/)Thierry Grillet, BNF (https://www.linkedin.com/in/grillet-thierry-aa608750/)Hélène Weber-Valade, Fonds national de promotion et de communication de l'artisanat (FNPCA)François Hébel, Rencontres d'Arles (https://www.linkedin.com/in/francois-h%C3%A9bel-163929a6/)Alain Arnaudet, Rencontres d'Arles (https://www.linkedin.com/in/alain-arnaudet-107ba6204/)Sam Stourdze, Rencontres d'Arles et Villa MédicisPour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Philippe Bergonzo revient sur sa carrière, débutée à la Galerie japonaise Yoshii à Paris, où il a découvert les codes japonais et ses différents projets au Japon depuis 1998. Il nous présente l'événement satellite KG+ qu’il a lancé avec l’équipe de Kyotographie dès la première édition du festival, KG+ Select, et le label Offshoot, tout en évoquant sa galerie Tsubomido, son activité de courtage (vente en direct d’œuvres d’art à des collectionneurs) et nous dévoile le projet de résidence à Venise de son frère Renaud Bergonzo. À travers ses expériences, il nous dévoile le marché de l'art japonais, très particulier et difficile à appréhender centré sur la confiance et la culture des "giri" (entre le renvoi d’ascenseur et la dette d’honneur), ainsi que les galeries de locations ("kasigaro") et les ventes aux enchères devenues accessibles aux non professionnels. Dans cet épisode, nous avons aussi abordé des aspects de la culture de l'image au Japon à travers des observations du quotidien. Bonne écoute ! On a cité : Galerie Yoshii (https://yoshiigallery.com/)Son frère Renaud Bergonzo et Bergonzofirstfloor (https://www.bergonzo.paris/)Lucile Reyboz, co-fondatrice de Kyotographie (https://www.kyotographie.jp/)KG+ (https://kgplus.kyotographie.jp/)Galerie Tsubomido (https://www.facebook.com/tsubomido.kyoto)Pour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sylvain Besson est le directeur des collections du musée Nicéphore Niépce et dans cet épisode on a parlé de son arrivée à un moment décisif du musée et de ses vingt ans dans cette structure. Il nous a expliqué que l’on est actuellement dans une période charnière où il est particulièrement important d’être vigilant sur la sauvegarde de certains fonds de photographes du 20e siècle qui travaillaient à l’argentique. On a abordé les évolutions des métiers de la conservation et en particulier la prise en compte des aspects écologiques dans la gestion de fonds de photographes. Bonne écoute !3’30 – Sa formation : depuis la biologie cellulaire aux métiers de la documentation. Son arrivée au musée Nicéphore Niépce à un moment déterminant dans l’histoire du musée.11’40 – La plupart des collections ont été acquises par le premier directeur de la structure Paul Geai, le directeur François Cheval a posé les bases intellectuelles de ces collections et Sylvain Besson et son équipe continuent à acquérir et travailler sur les fonds. 13’30 – Son équipe au sein du musée de plus de quarante personnes est composée de 8 personnes.18’ – En 2009, ils ont acheté l’ensemble de la production de Peter Knapp et Audrey Hoareau s’est consacrée au fonds de ce photographe pendant un an. Ce projet a permis en place une méthode de travail et le musée a acquis une trentaine de fonds entre 2009 et 2021. 21’40 – Pendant de nombreuses années ils étaient seuls avec la Médiathèque du Patrimoine à recevoir des fonds de photographes, mais il a vu une prise de conscience depuis 5 ans par les ayants droit et les institutions.28’ – Délai de 3 ans en moyenne pour faire une expo, mais parfois délai beaucoup plus long pour traiter un fonds, car travail sur le temps long.34’ – Évolution du métier : avant on envoyait des diapositifs maintenant des wetransfer.Le musée est souvent interrogé sur la répartition de ses collections de femmes ou hommes photographes, mais depuis sa création le musée a une répartition équitable de genre.La thématique de l’écologie est très présente chez les artistes du point de vue de leurs recherches artistiques, mais aussi sur l’aspect écologique ou non écologique de leur pratique.38’30 – Le passage de l’argentique au numérique :-       Un fonds de photo argentique pollue avec : des pochettes et cartons neutres, une température maintenue basse et un fonds de photo argentique pouvait être rangés dans une étagère-       Un fonds de photographie pollue également avec les différents disques durs et serveurs et avec un volume de photos souvent plus important à traiter 43’ – Le musée Nicéphore Nièpce fait partit de la commission patrimoine du département de la photo au Ministère et les échanges entre les différentes structures de cette commission permettent que les fonds soient acquis par les structures les plus adéquates. La plupart des musées n’ont pas tendance à prendre des fonds entiers.45’ – Période intéressante, car passage de l’argentique au numérique durant laquelle les photographes qui ont travaillé au 20e sont en train de nous quitter.48’- Son conseil pour des ayants droit ou photographes et de se renseigner en ligne et d’aller voir les institutions pour pouvoir préparer au mieux une potentielle acquisition plus tard.53’ – Gérer le fonds d’un photographe c’est gérer de l’humain que ce soit le photographe directement, les ayants droit ou les agents. Site du musée : https://www.museeniepce.com/Pour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Fabiène Gay Jacob Vial accompagne des photographes depuis plus de vingt ans et dans cet épisode on est revenu sur ses premières missions en développement stratégique pour des chefs d’entreprises et sa rencontre déterminante à Marseille avec les photographes Abed Abidat et Martine Montégrandi. On a parlé des projets menés dans le cadre de la structure associative CAMàYEUX Marseille, où ils ont eu des projets avec des photographes professionnels et en proposant des activités pour des publics de photographes amateurs (jeunes publics, centres sociaux et personnes âgées). On a également abordé ses deux projets actuels : le Festival Professionnel à Arles de la Photographie Amateur et les accompagnements individuels pour des photographes. Fabiène est revenue sur l’importance d’avoir une culture photo forte, d’ être en capacité de s’affirmer et affirmer le propos que l’on porte, mais aussi d’être capable d’accepter de prendre le temps et laisser parfois les choses décanter avant de revenir dessus. Bonne écoute !1’45 – Ses études à l’Escom et ses premières missions en développement stratégique pour des chefs d’entreprises10’ – Sa rencontre avec les photographes : Abed Abidat et Martine Montégrandi qui avaient créé la maison d’édition Images Plurielles et CAMàYEUX avec un lieu d’exposition. Ambition de ce lieu : exposer des artistes nationaux et internationaux et créer une émulation au niveau locale. Elle y rencontre des photographes et comprend la difficulté à vivre de son métier.13’ - Elle propose à Martine et Abed d’aller voir le monde des entreprises et de les stimuler de façon pédagogique pour provoquer des commandes pour des photographes via leurs intermédiaires. Ils aident également les photographes sur des aspects business et artistiques.16’ – Elle développe des ateliers de photo animés par des photographes de leur réseau pour de jeunes publics, des séniors et pour des centres sociaux. Mais aussi des actions liées au territoire dans le cadre d’un programme national de renouvellement urbain dans des quartiers populaires.24’ – L’association avait été créée en 1997, Fabiène rejoint le duo en 2001, ils ont été jusqu’à 15 salariés et en 2011 la structure juridique s’arrête, mais les projets d’accompagnement continuent sous une forme plus légère.25’ – A la fin de l’aventure CAMàYEUX, les éditions Eyrolles lui proposent de réaliser 4 ouvrages et cela lui permet de poser à l’écrit les apprentissages de ses dernières années. Désormais, elle a 2 activités : le Festival Professionnel de la Photographie Amateur à Arles et un accompagnement personnalisé avec 5 photographes.31’ – Les évolutions dans le milieu de la photo :Un élargissement des publics avec un réel intérêt sur le discours autour de la photo et une augmentation des lieux de monstrations.Les photographes qui viennent vers eux sont plus impliqués, ils souhaitent exprimer un récit par la photo et pas juste faire une belle image.34’30 - Des conseils pour les photographes :Avoir une culture photo forte.Savoir qui on veut être en tant que photographe : comment cette volonté m’habite et comment elle va durer.Être en capacité de s’affirmer et affirmer le propos que l’on porte.Être photographe demande du temps et il est important de savoir si on est capable de prendre le temps et laisser parfois les choses décanter avant de revenir dessus.Compte Instagram de Fabiène Gay Jacob Vial : https://www.instagram.com/fabienegayjacobvial/Pour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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