Christian Saint-Etienne, économiste français majeur, est aussi membre de l’Institut de l’iconomie. Il vient de publier sont 31e livre : TRUMP ET NOUS, Comment sauver la France et l'Europe, dont voici la 4e de couverture : Isolationniste, mercantiliste, protectionniste, impérialiste, expansionniste, le président Trump remet en cause l’ordre économique et politique mondial et s’oppose frontalement à l’Europe. Face à un tel défi, que faire ? Ce livre propose des solutions concrètes et détaillées pour permettre aux institutions européennes de s’adapter à un environnement en mutation accélérée et pour donner à la France les moyens de la reconquête de sa souveraineté et de sa prospérité. Et c’est au sujet de ce livre que je vous propose un entretien-débat avec Christian Saint-Etienne et son complice iconomiste Vincent Lorphelin. Précision : nous avons fait cet enregistrement à la terrasse d’une brasserie, alors ne m’en veuillez pas si vous avez en fond sonore quelques bruits qui caractérisent l’ambiance de la vie parisienne.
Jean-Pierre Corniou nos explique dans cet épisode pourquoi Donald Trump fait une erreur stratégique avec sa vision cowboy du commerce international... sauf que le commerce mondial n'est pas le Far West
Jean-Pierre Corniou nous décrit l'avenir catastrophique de l'industrie automobile mondiale suite à la mise en place des barrières douanières des Etats-Unis le 26 mars 2025
Dans cet épisode de clôture du CES 2025, Jean-Pierre Corniou nous parle de la finalité de cette débauche de technologies du CES.
Dans cet épisode, Jean-Pierre Corniou nous parle des enjeux technologique notamment au niveau européen et nous sensibilise au fait que les États-Unis et la Chine sont dans un modèle de rouleau compresseur de l'innovation que n'a pas l'Europe qui est en mode défensif.
Première analyse globale du CES 2025 par Jean-Pierre Corniou
Jean-Pierre Corniou, Président de l'institut de l'iconomie, nous expose les raisons de la démission de Carlos Tavares, du domaine industriel de l'automobile qui traverse une tempête technologique et économique exceptionnelle.
Jean-Pierre Corniou, iconomiste expert de l'automobile, nous explique pourquoi le secteur de l'automobile, notamment en Europe, n'a pas encore fait sa révolution face aux enjeux technologiques, à la diversité des usages (1) et une règlementation européenne pénalisante. (1) Jean-Pierre Corniou est l'auteur du livre LIBERTÉ ÉGALITÉ MOBILITÉ (octobre 2022)
chronique CES 2024, du 8 janvier par Jean-Pierre Corniou
Ce nouvel épisode de notre podcast est un entretien avec Jean-Pierre Corniou, cofondateur de l’institut de l’iconomie. Jean-Pierre est très impliqué dans l’industrie automobile en France, en Europe et au niveau mondial, sachant qu’il a fait une partie de sa carrière chez Renault en qualité de Directeur des Systèmes d’Information (DSI). Il a aussi écrit de nombreux livres et plus de 300 articles au sujet de l’automobile, tant sur le volet économique que technologique : Jean-Pierre est expert de l’industrie automobile et des mobilités. Il va nous expliquer sa vision de l’industrie automobile européenne en 2035, date à laquelle les constructeurs européens ne fabriqueront plus que des voitures électriques. NB : LIBERTÉ, ÉGALITÉ, MOBILITÉ est le dernier livre de Jean-Pierre Corniou (janvier 2023, éditions Marie B)
Pour ce nouveau podcast, je suis entouré de 3 iconomistes passionnés d’économie et d’histoire : Christian Saint-Etienne, Michel Volle et Christophe Dubois-Damien Pour dresser le cadre de notre entretien voici le pitch Wikipédia à propos de Jean-Baptiste Say Jean Baptiste Say, né le 5 janvier 1767 à Lyon et mort le 14 novembre 1832 à Paris, est le principal économiste classique français. Industriel du coton, il fut l'un des entrepreneurs huguenots de cette industrie alors en plein essor. Il fut également journaliste. Il est réputé pour ses positions libérales. Il est l'auteur de la distinction tripartite « production – répartition – consommation », devenue classique. Celle-ci sert de plan au Traité d'économie politique, son maître-ouvrage paru en 1803. Il est également connu pour la « loi des débouchés » ou loi de Say. En outre, il fut l'un des premiers économistes à étudier l'entrepreneuriat et les entrepreneurs, conceptualisés comme organisateurs et moteurs du tissu économique. Lisant en ce moment le livre « LA CRISE FINANCIERE et la fin de l’ancien régime » de Jean-Pierre Patat (directeur général honoraire de la Banque de France, dont le livre est préfacé par Jean-Claude Trichet), permettez-moi de vous préciser que Jean-Baptiste Say avait 22 ans en 1789, et que la fin de l’ancien régime sous Louis XVI était confronté à une situation financière catastrophique avec 3 acteurs majeurs : Calonne, Necker et Turgot. Jean-Pierre Patat ne se prive pas de souligner la ressemblance qu’il y a avec notre époque actuelle sur le volet de l’endettement ; il nous met aussi en garde en nous rappelant que « comparaison n’est pas raison » vu que l’état français de 1789 n’avait rien à voir avec celui d’aujourd’hui. Derniers points : au 18e siècle la monnaie scripturale commençait d’exister en Grande Bretagne et était inconnue en France. Accessoirement, la Grande Bretagne avait une banque centrale, pas la France. Vu que Jean-Baptiste Say a été professeur d’économie au CNAM, comme Christian Saint-Etienne (titulaire de la chaire Jean-Baptiste Say), je lui propose d’ouvrir nos échanges pour nous faire découvrir ce personnage. Jean-Philippe Déranlot, animateur et producteur du podcast Les clés de de l'iconomie
Nathalie Janson est membre du think-tank de l’iconomie, professeur de finance et d'économie à Rouen NEOMA et à Sciences-Po Paris. Elle enseigne dans les domaines de la finance internationale, de l'intermédiation financière, de l'institution financière, de l'économie de gestion monétaire et bancaire. Nathalie a obtenu un master en économie internationale et bancaire en 1989 et un doctorat en économie bancaire en 2000, avec une thèse consacrée à la justification de « Bâle I » Depuis vingt ans Nathalie se passionne pour l'environnement et les pratiques des banques au niveau international, ce qui l’a amené à publier bon nombre d’articles sur ces sujets dans la presse spécialisée. . Dans ce podcast de l'iconomie, Nathalie Janson nous explique ce que sont les « Monnaies Numériques des Banques Centrales » (MNBC) ou « Central Bank Digital Currency » (CBDC), via 6 questions : Q1 (01'11'') - Pourquoi les Monnaies Numériques de Banques Centrales sont-elles un enjeu de souveraineté face aux cryptomonnaies ? Q2 (07'24'') - Il est souvent mis en avant la qualité de la dématérialisation fiduciaire des monnaies numériques. Mais cette dématérialisation n'est-elle pas déjà effective avec la majorité des transactions qui se font par paiements carte de crédit pour la moindre dépense, ou par virements bancaires, tant entre particuliers que pour les transactions Interentreprises, sans oublier tous les prélèvements opérés par les prestataires de service : gaz et électricité, eau, opérateurs télécom, assurances et impôts pour ne citer que les principaux ? Q3 (09'39'') - Quels sont les bénéfices apportés par les monnaies numériques ? Q4 (13'02'') - Les monnaies numériques seront-elles utilisées dans tous les maillons de l'économie : commerce de proximité, entre particuliers, interentreprises, interbancaires, inter-états ? Q5 (16'00'') - Dans notre précédent podcast de l'iconomie (1), Christian Saint-Etienne souligne la rivalité géopolitique sino-américaine où la high-tech est un enjeu majeur. Qu'en est-il de l'avance de la Chine avec le e-yuan ? Q6 (20'23'') - L'organisation de la société des sapiens est fondamentalement basée sur la confiance. Avec les monnaies numériques, comment régler la dualité de la vie privée et du blanchiment d'argent sale ? Cet entretien s'est déroulé le samedi 18 mars 2023, et fort de l'actualité Jean-Philippe Déranlot en a profiter pour demander à Nathalie Janson son avis sur les enjeux auxquels sont soumis les banques californiennes (Silver Gate, Signature, Silicon Valley Bank) et le Crédit Suisse. Vous trouverez sa réponse via ce podcast extra : Analyse des faillites des banques californiennes du high-tech. (1) Les enjeux iconomiques français et européens face au conflit sino-américain ___________________ Cet entretien et ce podcast ont été réalisés par Jean-Philippe Déranlot
Dans le cadre du podcast LES CLÉS DE L’ICONOMIE que j’ai enregistré avec Nathalie Janson samedi 18 mars à propos des Monnaies Numériques de Banques Centrales, et compte tenu de l’actualité, je lui ai demandé son point de vue à propos des déboires des banques californiennes de la high-tech : Silver Gate, Signature et Silicon Valley Bank, sans oublier - pour d'autres raisons - le Crédit Suisse. ____________ Entretien et réalisation de ce podcast Jean-Philippe Déranlot
Christian Saint-Étienne est cofondateur de l’Institut de l’iconomie. Depuis 1987 il a publié une trentaine de livres et d’essais, dont je ne citerai que quelques-uns qui nous démontrent que la géopolitique et l’iconomie sont des sujets qu'il maitrise particulièrement : Trump et Xi Jinping, les apprentis sorciers, Éditions de l’Observatoire, mars 2020 Osons l’Europe des nations, Éditions de l’Observatoire, janvier 2018. L’Iconomie pour sortir de la crise, Éditions Odile Jacob, septembre 2013. Guerre et paix au XXIe. siècle – Comprendre le monde de demain, septembre 2010 François Bourin Éditeur. La Puissance ou la mort – L’Europe face à l’empire américain, Seuil, 2003 Et son dernier essai de janvier 2023 objet de ce podcast : « Le conflit sino-américain pour la domination mondiale », avec en sous-titre : L’Europe et la France dans le nouvel ordre mondial. Compte tenu de la richesse et de la complexité multifactorielle des sujets traités dans ce livre autour du thème central de la géopolitique (1), et fort de la ligne éditoriale de notre think-tank de l'Institut de l'iconomie, ce podcast se concentre sur les enjeux iconomiques pour la France et l’Europe. Entretien avec Jean-Philippe Déranlot, animateur podcast de l'iconomie (1) Ce livre nous démontre, si besoin, que les enjeux géopolitiques et économiques sont extrêmement complexes où, en comparaison, la diagonale du fou est une équation du 1er degré.
Voici le dernier épisode de notre chronique du CES 2023, une édition exceptionnelle par son ampleur et sa profondeur de champ, car il n'y a plus d'activités qui soient exemptes d'outils numériques. Dans ce podcast, Jean-Pierre Corniou nous explique pourquoi cette édition 2023 du CES nous prouve que nous sommes entrés dans une nouvelle ère numérique, marquée par plus de réalisme après une période de GAFAM euphoriques, où il n'est plus question de promouvoir la technologie, en tant que tel, mais ses usages.
Sachant que le CES est aussi le plus grand salon mondial de l'auto, Jean-Pierre Corniou, nous propose un circuit approfondi sur le thème de la mobilité et de l'électrification de tous les modes de transport. Nous savons que l'électronique prend une place considérable dans la voiture avec l'électrification croissante et les perspectives de voiture autonome, la valeur ajoutée électronique des voitures et de tous les moyens de transport (collectifs, marchandises, véhicules professionnels) est de plus en plus importante. Une nouvelle économie de la mobilité est en train de se développer et nous ne sommes qu'au début de cette (r)évolution. Notons aussi que la France est, hors États-Unis, le premier pays en nombre d'exposants à ce CES 2023. Et les acteurs de la mobilité sont parmi les plus importants.
L'ère de l'euphorie des GAFAM est terminée. Le réalisme du CES2023 impose d'être plus rationnel au niveau de ses investissements. Jean-Pierre Corniou est allé explorer les perspectives du Web 3.0 pour étudier et mieux comprendre ce domaine qui reste une zone particulièrement brumeuse. Dans cet épisode de notre podcast, je vous propose de suivre les lumières de Jean-Pierre pour y voir plus clair, sachant qu'une chose est certaine : on va sortir du Web 2.0 PS : le premier enjeu de ces sujets que sont les metaverse, la blockchain et autres NFT est de faire que tout le monde parle de la même chose pour sortir d'une situation, actuellement, très confuse, car il y autant de définitions de ces sujets, que de personnes qui en parlent !
Beaucoup de journalistes et médias français parlent du CES2023 en s'intéressant seulement aux produits et innovations grand public... qui est leur cible audimat. De son côté, Jean-Pierre Corniou se concentre sur le volet le plus important de cette édition du CES 2023 : l'innovation industrielle, notamment du côté des équipementiers automobile, à commencer par Bosch et Valéo.
Bien qu'officiellement le CES 2023 ne démarre que demain jeudi 5 janvier, Jean-Pierre Corniou est allé fureté dans différents rendez-vous presse pré-salon afin de relever les tendances de ce CES, tendances dont voici une synthèse : Keynotes attendues demain 5 janvier :Stellantis Keynote avec Carlos Tavares (CEO), keynote au cours de laquelle Ram et Peugeot dévoileront de nouveaux concepts BMW Keynote avec Oliver Zipse (CEO), qui présentera lui aussi la vision BMW de l'évolution de la voiture « iconomisée » les défis de compétences qui touchent tous les pays, à commencer par les états unis, et pas seulement pour les métiers intellectuels types ingénieurs et développeurs les problèmes financiers avec l'inflation les enjeux géopolitiques prégnants avec la Chine et la Russie Malgré tous ces enjeux politiques, industriels et économiques tendus qui s'annoncent, Jean-Pierre souligne l'ambiance générale très positive du CES qui, face au pessimisme français, révèle des industriels américains confiants dans l'avenir, et qui s'emploient déjà à relever les défis de 2023.
Jean-Pierre Corniou, iconomiste, se rend comme chaque année au CES Las-Vegas pour y faire sa veille professionnelle. Chaque soir (Las-Vegas time) il nous fera une chronique pour partager avec nous les innovations qu'il découvrira, que ce soient des innovations sur les équipements, les services numériques (cloud et autres) et nouveaux services aux utilisateurs (applications) Sachant que le CES Las-Vegas ne se limite plus à l'électronique grand public, ce sera un beau défi pour Jean-Pierre de nous raconter, en 5 à 7 minutes, l'essentiel du CES 2023. Merci à nos auditeurs de partager notre podcast sur leurs réseaux sociaux, avec le tag #iconomie