A 47 ans, Anita sort d’une longue période de violences conjugales. Avec l’aide de Bénédicte Ruffel, assistante sociale en gendarmerie, elle va peu à peu verbaliser son histoire, s’éloigner de l’homme qui la violente. Dans cet épisode, elle raconte son parcours de reconstruction auprès du Pôle d’aide aux victimes. --- Elles sont 65 000 chaque année, très majoritairement des femmes, victimes de viols, de brutalité, d’insultes, d’exhibition… dans l’espace public ou dans la sphère privée, en Loire-Atlantique. Un problème systémique de notre société, qui est aujourd’hui mis sur le devant de la scène et dénoncé. En Loire-Atlantique, les femmes victimes de violences peuvent contacter le Pôle d'aide aux victimes, pour être accompagnées avant, pendant et après les procédures judiciaires. Cinq assistantes sociales du Département les accueillent dans certaines gendarmeries et commissariats. Ce podcast donne la parole à des victimes, à des assistantes sociales, à un policier ainsi qu’à une responsable d’association partenaire. Elle met en lumière le processus d’accompagnement et d’écoute du Pôle d’aide aux victimes en Loire-Atlantique. En Loire-Atlantique, les femmes victimes de violences peuvent contacter le Bureau d'aide aux victimes, pour être accompagnées avant, pendant et après les procédures judiciaires par une assistante sociale du Département. Ces professionnelles accueillent les femmes dans les commissariats de Nantes et de Saint-Nazaire, et dans les gendarmeries du Département. Au travers de ces témoignages de victimes de violences conjugales physiques ou psychologiques, d'assitantes sociales, d'un policier et d'une responsable de l'association Solidarité Femmes de Loire-Atlantique, découvrez le travail du Bureau d'aide aux victimes.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Parfois, la violence est purement psychologique. Sournoise car invisible, elle isole les personnes qui en sont victimes. C’est le cas de Cyntia qui revient sur le difficile processus d’acceptation du statut de victime et sur l’accompagnement qui fut le sien auprès du Pôle d’aide aux victimes au commissariat de Nantes. --- Elles sont 65 000 chaque année, très majoritairement des femmes, victimes de viols, de brutalité, d’insultes, d’exhibition… dans l’espace public ou dans la sphère privée, en Loire-Atlantique. Un problème systémique de notre société, qui est aujourd’hui mis sur le devant de la scène et dénoncé. En Loire-Atlantique, les femmes victimes de violences peuvent contacter le Pôle d'aide aux victimes, pour être accompagnées avant, pendant et après les procédures judiciaires. Cinq assistantes sociales du Département les accueillent dans certaines gendarmeries et commissariats. Ce podcast donne la parole à des victimes, à des assistantes sociales, à un policier ainsi qu’à une responsable d’association partenaire. Elle met en lumière le processus d’accompagnement et d’écoute du Pôle d’aide aux victimes en Loire-Atlantique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« On va faire en sorte que la femme ne soit plus isolée ». Pour Nathalie Jamier, assistante sociale du Département de Loire-Atlantique, le processus d’accompagnement et de soutien qui entoure les femmes victimes de violences est une condition sine qua non de leur reconstruction. Dans cet épisode, Eric Bougro, policier au commissariat de Nantes, intervient également pour expliquer la manière dont Police et assistantes sociales échangent pour améliorer l’accompagnement des femmes victimes de violences. --- Elles sont 65 000 chaque année, très majoritairement des femmes, victimes de viols, de brutalité, d’insultes, d’exhibition… dans l’espace public ou dans la sphère privée, en Loire-Atlantique. Un problème systémique de notre société, qui est aujourd’hui mis sur le devant de la scène et dénoncé. En Loire-Atlantique, les femmes victimes de violences peuvent contacter le Pôle d'aide aux victimes, pour être accompagnées avant, pendant et après les procédures judiciaires. Cinq assistantes sociales du Département les accueillent dans certaines gendarmeries et commissariats. Ce podcast donne la parole à des victimes, à des assistantes sociales, à un policier ainsi qu’à une responsable d’association partenaire. Elle met en lumière le processus d’accompagnement et d’écoute du Pôle d’aide aux victimes en Loire-Atlantique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Il faut réparer l’estime de soi, essayer de comprendre ce qu’il s’est passé […]. On va leur donner différentes pistes et les outiller pour qu’elles puissent faire des choix. » Dans cet épisode, Bénédicte Ruffel, assistante sociale du Département de Loire-Atlantique, ouvre une fenêtre sur son travail auprès des femmes victimes de violences. Comment valoriser leur courage dans ce combat contre les violences qu’elles ont subi ? Comment respecter leur rythme ? Comment évaluer s’il y a un danger imminent ou pas ? --- Elles sont 65 000 chaque année, très majoritairement des femmes, victimes de viols, de brutalité, d’insultes, d’exhibition… dans l’espace public ou dans la sphère privée, en Loire-Atlantique. Un problème systémique de notre société, qui est aujourd’hui mis sur le devant de la scène et dénoncé. En Loire-Atlantique, les femmes victimes de violences peuvent contacter le Pôle d'aide aux victimes, pour être accompagnées avant, pendant et après les procédures judiciaires. Cinq assistantes sociales du Département les accueillent dans certaines gendarmeries et commissariats. Ce podcast donne la parole à des victimes, à des assistantes sociales, à un policier ainsi qu’à une responsable d’association partenaire. Elle met en lumière le processus d’accompagnement et d’écoute du Pôle d’aide aux victimes en Loire-Atlantique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Gendarmerie, Police, associations, assistantes sociales... En Loire-Atlantique, c’est tout un maillage d’acteurs qui se tisse autour des femmes victimes de violences familiales et conjugales. Emmanuelle Beauchène est responsable de Solidarité Femmes Loire-Atlantique, une association qui travaille avec le Pôle d'aide aux victimes. Dans cet épisode, elle revient sur le rôle de son association et sur l’importance du travail de collaboration entre les différents professionnels. --- Elles sont 65 000 chaque année, très majoritairement des femmes, victimes de viols, de brutalité, d’insultes, d’exhibition… dans l’espace public ou dans la sphère privée, en Loire-Atlantique. Un problème systémique de notre société, qui est aujourd’hui mis sur le devant de la scène et dénoncé. En Loire-Atlantique, les femmes victimes de violences peuvent contacter le Pôle d'aide aux victimes, pour être accompagnées avant, pendant et après les procédures judiciaires. Cinq assistantes sociales du Département les accueillent dans certaines gendarmeries et commissariats. Ce podcast donne la parole à des victimes, à des assistantes sociales, à un policier ainsi qu’à une responsable d’association partenaire. Elle met en lumière le processus d’accompagnement et d’écoute du Pôle d’aide aux victimes en Loire-Atlantique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elles reviennent tous les mois : les règles ! Tous les 28 jours pendant environ 39 ans, soit environ 500 fois dans une vie. 500 fois où il faut se protéger. Mais ces protections ont un coût et celui-ci empêche une partie de la population d’y avoir accès. C’est ce qu’on appelle la précarité menstruelle, et elle touche 1,7 millions de femmes en France. Dans ce podcast, nous allons détricoter ce mécanisme en allant à la rencontre de sages-femmes, de conseillères et animatrices au Planning Familial 44, de bénévoles aux restos du cœur, on recueillera les témoignages de collégiens et de collégiennes, d’infirmière scolaire… bref de personnes directement impliquées et concernées par le sujet des règles. EPISODE 1 : Les règles, une question d’argent ? Un peu plus de 1000 € dans une vie : le voilà, le coût des règles. Dérisoire pour certaines, il est titanesque pour d’autres. Dans cet épisode, on parle du prix des règles avec le planning familial 44 et on part à la rencontre des bénévoles et femmes accueillies à l’accueil de jour des restos du cœur. Là-bas, l’accès gratuit aux protections périodiques est un droit fondamental. Un podcast du Département de Loire-AtlantiqueHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elles reviennent tous les mois : les règles ! Tous les 28 jours pendant environ 39 ans, soit environ 500 fois dans une vie. 500 fois où il faut se protéger. Mais ces protections ont un coût et celui-ci empêche une partie de la population d’y avoir accès. C’est ce qu’on appelle la précarité menstruelle, et elle touche 1,7 millions de femmes en France. Dans ce podcast, nous allons détricoter ce mécanisme en allant à la rencontre de sages-femmes, de conseillères et animatrices au Planning Familial 44, de bénévoles aux restos du cœur, on recueillera les témoignages de collégiens et de collégiennes, d’infirmière scolaire… bref de personnes directement impliquées et concernées par le sujet des règles. EPISODE 2 : « T’as tes règles ou quoi ? » Les mythes les plus abracadabrantesques ont circulé sur les femmes réglées : elles auraient le pouvoir, entre autres, de stériliser les céréales ou de ternir le poli d’un miroir. Ces histoires qui peuvent sembler folkloriques sont à l’origine d’une réelle marginalisation des femmes pendant leurs règles, terrain d’une réelle inégalité entre homme et femme, entretenue par la précarité menstruelle. Un podcast du Département de Loire-AtlantiqueHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elles reviennent tous les mois : les règles ! Tous les 28 jours pendant environ 39 ans, soit environ 500 fois dans une vie. 500 fois où il faut se protéger. Mais ces protections ont un coût et celui-ci empêche une partie de la population d’y avoir accès. C’est ce qu’on appelle la précarité menstruelle, et elle touche 1,7 millions de femmes en France. Dans ce podcast, nous allons détricoter ce mécanisme en allant à la rencontre de sages-femmes, de conseillères et animatrices au Planning Familial 44, de bénévoles aux restos du cœur, on recueillera les témoignages de collégiens et de collégiennes, d’infirmière scolaire… bref de personnes directement impliquées et concernées par le sujet des règles. EPISODE 3 : Les règles, c’est la santé ! Ou pas... Peut-on porter ses protections périodiques sans risque ? Voilà une question complexe. Pour éviter les infections et le fameux choc toxique, la recette est simple : il suffit d’en changer régulièrement. Oui mais pour cela : encore faut-il en avoir suffisamment ! Et la composition des protections, peut-on s’y fier ? Là, ça devient plus complexe, comme nous le verrons dans cet épisode ! Un podcast du Département de Loire-Atlantique réalisé par Valérie GautierHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elles reviennent tous les mois : les règles ! Tous les 28 jours pendant environ 39 ans, soit environ 500 fois dans une vie. 500 fois où il faut se protéger. Mais ces protections ont un coût et celui-ci empêche une partie de la population d’y avoir accès. C’est ce qu’on appelle la précarité menstruelle, et elle touche 1,7 millions de femmes en France. Dans ce podcast, nous allons détricoter ce mécanisme en allant à la rencontre de sages-femmes, de conseillères et animatrices au Planning Familial 44, de bénévoles aux restos du cœur, on recueillera les témoignages de collégiens et de collégiennes, d’infirmière scolaire… bref de personnes directement impliquées et concernées par le sujet des règles. EPISODE 4 : Cachez ce sang que je ne saurais voir ! La précarité menstruelle s’inscrit dans une problématique plus globale : le tabou des règles. Dans cet épisode on parle de l’origine de ce tabou, on écoute des collégien·nes parler de la honte que représentent les règles et une sagefemme chercher la solution dans la mise en place d’un atelier de libération de la parole avec des mères. Un podcast du Département de Loire-Atlantique réalisé par Valérie GautierHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Réfléchir, argumenter, contre-agrumenter, trouver le bon mot : voici l’exercice auquel se sont attelés une trentaine d’élèves des collèges Ernest Renan à Saint-Herblain, Jules Verne et Aristide Briand à Nantes. Les Débatteurs, c’est le nom de ce projet lancé et soutenu par le Département de Loire-Atlantique et mis en place dans les établissements par les équipes enseignantes avec l’aide du centre social culturel du soleil levant de St Herblain et de l’accoord. En avril et mai 2022, nous avons suivi quelques élèves du collège de St Herblain dans leur préparation et leur apprentissage de l’art de débattre ! Le projet par ses acteurs : collégiens, enseignants et équipe éducativeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Plus de lien social, trop de gamille zéro sport, privé de sorties... Le confinement . Une vraie galère ! Prouve-moi le contraire." Voilà le premier sujet du débat entre collégiens organisé à l'Hotel du Département de Loire-Atlantique le 9 juin 2022, dans le cadre du projet Les Débatteurs. Réfléchir, argumenter, contre-agrumenter, trouver le bon mot : voici l’exercice auquel se sont attelés une trentaine d’élèves des collèges Ernest Renant à St Herblain, Jules Verne et Aristide Briand à Nantes. Les Débatteurs, c’est le nom de ce projet lancé et soutenu par le Département de Loire-Atlantique et mis en place dans les établissements par les équipes enseignantes avec l’aide du centre social culturel du soleil levant de St Herblain et de l’accoord. En avril et mai 2022, nous avons suivi quelques élèves du collège de St Herblain dans leur préparation et leur apprentissage de l’art de débattre ! Au coeur des débatteurs Bonus 1 : débat sur le confinementHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Les filles, ça fait de la gymnastique et de la danse, les garçons, du foot et de la boxe... C'est ainsi depuis des lustres et c'est très bien comme ça !" Voilà le second sujet du débat entre collégiens organisé à l'Hotel du Département de Loire-Atlantique le 9 juin 2022, dans le cadre du projet Les Débatteurs. Réfléchir, argumenter, contre-agrumenter, trouver le bon mot : voici l’exercice auquel se sont attelés une trentaine d’élèves des collèges Ernest Renant à St Herblain, Jules Verne et Aristide Briand à Nantes. Les Débatteurs, c’est le nom de ce projet lancé et soutenu par le Département de Loire-Atlantique et mis en place dans les établissements par les équipes enseignantes avec l’aide du centre social culturel du soleil levant de St Herblain et de l’accoord. En avril et mai 2022, nous avons suivi quelques élèves du collège de St Herblain dans leur préparation et leur apprentissage de l’art de débattre ! Au coeur des débatteurs Bonus 2 : débat sur genre et sportHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Témoignages des collégiens après les deux débats à l'hôtel du Département le 9 juin 2022. Réfléchir, argumenter, contre-agrumenter, trouver le bon mot : voici l’exercice auquel se sont attelés une trentaine d’élèves des collèges Ernest Renant à St Herblain, Jules Verne et Aristide Briand à Nantes. Les Débatteurs, c’est le nom de ce projet lancé et soutenu par le Département de Loire-Atlantique et mis en place dans les établissements par les équipes enseignantes avec l’aide du centre social culturel du soleil levant de St Herblain et de l’accoord. En avril et mai 2022, nous avons suivi quelques élèves du collège de St Herblain dans leur préparation et leur apprentissage de l’art de débattre ! Au coeur des débatteurs Bonus 3 : témoignages des collégiens après les débatsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.