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MISMATCH

Author: Eduradio_ESCE

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LIBRES ECHANGES évolue et devient MISMATCH !

Bienvenue sur MISMATCH. [traduction : décalage, écart, disparité, asymétrie, déséquilibre, manque d’accord, discordance]

MISMATCH, c’est l’envie d’étudier les mutations du monde en croisant les visions, les approches, les perceptions des changements.

MISMATCH, c’est l’envie de décoder posément les attentes et les points de crispation autour de sujets émergents.

MISMATCH, c’est l’envie d’explorer de nouvelles frontières en alliant l’expertise et la spéculation audacieuse.

 

Un programme animé par Olivier Jacquemond pour l’ESCE, l’École Supérieure du Commerce Extérieur, et l’IFG Executive Education, du groupe Omnes Education.


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51 Episodes
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Dans cette deuxième partie, Olivier Jacquemond reçoit Isabelle Ronayette, comédienne, metteuse en scène, fondatrice de la compagnie de théâtre LRIR. Elle a également lancé le festival Micra Cosmos entre Belle-Île-en-mer et Lorient, avec des jeunes, à qui elle fait découvrir/vivre le théâtre dans toutes ses dimensions.Au programme : transmission, du jeune public et des défis de la création théâtrale aujourd’hui.  Pour en savoir plus sur Dislex, le spectacle d'Isabelle autour de la dyslexie : https://vimeo.com/862864506Pour en savoir plus sur le festival Micra-Cosmos : https://vimeo.com/1122663501/49ee3ea2bb?share=copy Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Qu’on parle d’un service public de la culture ou des politiques publiques de la culture, ce qui semble faire tenir debout tout l’édifice, c’est ce terme polysémique de public. Directeur de scène nationale ou compagnie émergente, collectivités territoriales ou lieux intermédiaires, le public ne renvoie pas forcément à une même réalité. Et pourtant chacun s’en réclame volontiers pour asseoir sa légitimité, gagner des arbitrages. Aujourd’hui, alors que la culture est dans tous ses états, nous avons choisi pour dresser les états de la culture de nous tourner vers des acteurs qui représentent la belle diversité du secteur, qui font vivre la culture, l’expression artistique et citoyenne.  Pour parler des pratiques culturelles, du spectacle vivant et de ses publics dans cette première partie, Olivier Jacquemond reçoit Flora Saladin, responsable du développement des publics au sein de la Direction des Affaires Culturelles de la Ville de Paris et professeure à Paris 8 dans le cadre du parcours culturel et artistique international, Jenny Lauro Mariani, dramaturge et metteuse en scène, co-directrice du collectif Avant Nous le Déluge, Valia Kardi, artiste performeuse, curatrice et chargée du développement des projets culturels au sein de Main d’Œuvre, et Marjorie Glas, socio-historienne, maîtresse de conférences à l’Université Lyon 2 et autrice de Quand l’art chasse le populaire, fruit de sa thèse menée à l’EHESS.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Lors des confinements de 2020, les citadins ont fait l’expérience aigüe de leurs sens, ils ont appris à distinguer ce qui les entoure, les englobe et leur demeurait invisible. Les travailleurs de première ligne, venant souvent de loin pour faire tourner l’économie et procurer les produits de première nécessité dont ils avaient besoin, mais aussi les animaux sauvages, qui s’emparaient de la ville, vide d’occupants et de circulation. Si les urbains exprimèrent leur reconnaissance pour les travailleurs, c’est un autre sentiment qui émergea face au retour de la nature dans nos villes : l’émerveillement. Voir des cerfs, des chevreuils, des renards, entendre le chant des oiseaux nous procura un plaisir primaire, essentiel. Devenus inactifs, ce surgissement inattendu nous permit de redécouvrir ce que l’humain et les animaux partageaient : être vivants.À l’issue de la pandémie, certains ont fait le choix de quitter la ville pour s’installer à proximité de la nature, montrant que la ville perdait de son attractivité et que son imaginaire s’était quelque peu tari. Et pourtant… la ville, autrefois espace d’émancipation, de rencontre, de tolérance, ne serait-elle pas justement l’endroit propice pour réfléchir au mode de relation à construire avec les animaux ? Loin de la robinsonnade, la ville, lieu de tous les vivants ?Pour en parler, dans la première partie, Olivier Jacquemond reçoit Léa Mosconi, architecte, maîtresse de conférences à l’ENSA Nantes, cofondatrice de l’atelier Bony Mosconi, présidente de la Maison de l’architecture en Île-de-France et commissaire scientifique de l’exposition Paris Animal présentée au Pavillon de l’Arsenal en 2023, Nathalie Blanc, géographe et plasticienne, directrice de recherche au CNRS et directrice du Centre des Politiques de la Terre, et Joëlle Zask, philosophe,maîtresse de conférences à l’Université d’Aix-Marseille, membre de l’Institut universitaire de France et du Centre Norbert Elias et auteure de « Zoocities. Des animaux sauvages dans la ville ».Dans la seconde partie, Olivier Jacquemond reçoit Simon Cobigo, architecte, paysagiste et cataphile pour parler de biotope, de régénération hydrique, mais aussi de formes d'intervention légère, ludique éphémère dans l'espace public.0:44 Introduction2:00 Le débat avec Léa Mosconi, Nathalie Blanc et Joëlle Zask1:04:37 Le face à face avec Simon Cobigo Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cette seconde partie, Olivier Jacquemond reçoit Simon Cobigo, architecte, paysagiste et cataphile pour parler de biotope, de régénération hydrique, mais aussi de formes d'intervention légère, ludique éphémère dans l'espace public. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Lors des confinements de 2020, les citadins ont fait l’expérience aigüe de leurs sens, ils ont appris à distinguer ce qui les entoure, les englobe et leur demeurait invisible. Les travailleurs de première ligne, venant souvent de loin pour faire tourner l’économie et procurer les produits de première nécessité dont ils avaient besoin, mais aussi les animaux sauvages, qui s’emparaient de la ville, vide d’occupants et de circulation. Si les urbains exprimèrent leur reconnaissance pour les travailleurs, c’est un autre sentiment qui émergea face au retour de la nature dans nos villes : l’émerveillement. Voir des cerfs, des chevreuils, des renards, entendre le chant des oiseaux nous procura un plaisir primaire, essentiel. Devenus inactifs, ce surgissement inattendu nous permit de redécouvrir ce que l’humain et les animaux partageaient : être vivants.À l’issue de la pandémie, certains ont fait le choix de quitter la ville pour s’installer à proximité de la nature, montrant que la ville perdait de son attractivité et que son imaginaire s’était quelque peu tari. Et pourtant… la ville, autrefois espace d’émancipation, de rencontre, de tolérance, ne serait-elle pas justement l’endroit propice pour réfléchir au mode de relation à construire avec les animaux ? Loin de la robinsonnade, la ville, lieu de tous les vivants ?Pour en parler, dans cette première partie, Olivier Jacquemond reçoit Léa Mosconi, architecte, maîtresse de conférences à l’ENSA Nantes, cofondatrice de l’atelier Bony Mosconi, présidente de la Maison de l’architecture en Île-de-France et commissaire scientifique de l’exposition Paris Animal présentée au Pavillon de l’Arsenal en 2023, Nathalie Blanc, géographe et plasticienne, directrice de recherche au CNRS et directrice du Centre des Politiques de la Terre, et Joëlle Zask, philosophe,maîtresse de conférences à l’Université d’Aix-Marseille, membre de l’Institut universitaire de France et du Centre Norbert Elias et auteure de « Zoocities. Des animaux sauvages dans la ville ». Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Documenter des crimes de guerre grâce à des vidéos de témoins publiées sur les réseaux sociaux, révéler des scandales environnementaux à l’aide d'images satellites, identifier un terroriste avec l’assistance de caméras de surveillance, prouver l’implication d’officiers russes dans la tentative d’assassinat de Navalny en consultant les cartes d’embarquement sur les compagnies aériennes, tout ceci n’est pas réservé aux services de renseignement, mais rendu possible à toutes et à tous à partir des informations et données disponibles en ligne.Ce domaine d’investigation s’appelle l’OSINT, soit open source intelligence, et peut se définir comme « un ensemble de pratiques consistant en la collecte et l’exploitation systématique d’informations provenant de sources accessibles au public dans le but de répondre à un besoin d’informations ». Mais répond-il à ce besoin, parvient-il à nous éclairer, à révéler des zones grises de l’information, ou participe-t-il de ce brouillage actuel du trop de données, trop d’informations ? L’OSINT, au-delà de l’investigation, peut-elle nous inspirer pour désaturer le sens, nous guider dans un environnement complexe et conflictuel et nous aider dans la prise de décision ? Pour en parler, dans cette première partie, Olivier Jacquemond reçoit Clément Renault, chercheur en renseignement guerre et stratégie à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire (IRSEM), visiting fellow au King's College de Londres et enseignant à Sciences Po Paris, Allan Deneuville, maître de conférences à l'université Bordeaux Montaigne, vice-président Relations Internationales de la Société Française des Sciences de l'Information et de la Communication, co-directeur, avec Gala Hernández López, de la structure "Après les Réseaux Sociaux" et en charge du pôle recherche de l'association leader de l'OSINT en France OpenFacto, et Hervé Letoqueux, ancien analyste pour la douane judiciaire, puis assistant spécialisé en cyber auprès du pôle antiterroriste du Tribunal Judiciaire de Paris et fondateur de l’association OpenFacto et actuellement chef de la division des opérations à VIGINUM, le service technique et opérationnel de la France chargé de la vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères.Dans la seconde partie, Olivier Jacquemond reçoit Lého Galibert-Laîné, réalisateur de film et maître de conférence en cinéma à l'Université américaine de Paris.0:52 Introduction1:53 Le débat avec Clément Renault, Allan Deneuville et Hervé Letoqueux, 1:06:21 Le face à face avec Lého Galibert-Laîné Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Enquête OSINT, un jeu très sérieux ? LE FACE À FACEDans cette seconde partie, Olivier Jacquemond reçoit Lého Galibert-Laîné, réalisateur de film et maître de conférence en cinéma  à l'Université américaine de Paris. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Documenter des crimes de guerre grâce à des vidéos de témoins publiées sur les réseaux sociaux, révéler des scandales environnementaux à l’aide d'images satellites, identifier un terroriste avec l’assistance de caméras de surveillance, prouver l’implication d’officiers russes dans la tentative d’assassinat de Navalny en consultant les cartes d’embarquement sur les compagnies aériennes, tout ceci n’est pas réservé aux services de renseignement, mais rendu possible à toutes et à tous à partir des informations et données disponibles en ligne.Ce domaine d’investigation s’appelle l’OSINT, soit open source intelligence, et peut se définir comme « un ensemble de pratiques consistant en la collecte et l’exploitation systématique d’informations provenant de sources accessibles au public dans le but de répondre à un besoin d’informations ». Mais répond-il à ce besoin, parvient-il à nous éclairer, à révéler des zones grises de l’information, ou participe-t-il de ce brouillage actuel du trop de données, trop d’informations ? L’OSINT, au-delà de l’investigation, peut-elle nous inspirer pour désaturer le sens, nous guider dans un environnement complexe et conflictuel et nous aider dans la prise de décision ?Pour en parler, dans cette première partie, Olivier Jacquemond reçoit Clément Renault, chercheur en renseignement guerre et stratégie à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire (IRSEM), visiting fellow au King's College de Londres et enseignant à Sciences Po Paris, Allan Deneuville, maître de conférences à l'université Bordeaux Montaigne, vice-président Relations Internationales de la Société Française des Sciences de l'Information et de la Communication, co-directeur, avec Gala Hernández López, de la structure "Après les Réseaux Sociaux" et en charge du pôle recherche de l'association leader de l'OSINT en France OpenFacto, et Hervé Letoqueux, ancien analyste pour la douane judiciaire, puis assistant spécialisé en cyber auprès du pôle antiterroriste du Tribunal Judiciaire de Paris et fondateur de l’association OpenFacto et actuellement chef de la division des opérations à VIGINUM, le service technique et opérationnel de la France chargé de la vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
86% des Français se disent préoccupés par le changement climatique, et pourtant la cause écologique patine malgré la vigueur et créativité des activistes sur le terrain, la parole de leaders d’opinion et la mobilisation à l’échelle mondiale d’une jeunesse vigilante. Comme si l’agenda pour la planète butait sur l’agenda budgétaire, économique, électoral, reléguant la crise écologique au bas des programmes politiques.Comment parvenir à briser le plafond vert ? Surtout, comment s’y prendre en tant que militante et militant, en tant qu'activiste, en tant que chercheuse, chercheur, en tant que think tank, pour convertir l’indignation morale et les déclarations de bonnes intentions générales en élan démocratique profond et durable ?Pour en parler, Olivier Jacquemond reçoit dans la première partie (jusqu'à 1:06:00) Lucile Schmid, essayiste, cofondatrice du think tank La Fabrique écologique, membre du comité de rédaction de la revue Esprit et présidente du Prix du roman d’écologie, Fabien Locher, historien de l’environnement, chargé de recherche au CNRS et co-auteur du livre Les Révoltes du ciel, et Léa Falco, cofondatrice du collectif Construire l’écologie, elle travaille également à la formation des agents publics aux enjeux écologiques.Dans la seconde partie, Olivier Jacquemond reçoit Pauline Lida, chorégraphe, directrice artistique et co-fondatrice de Minuit 12, un collectif de création et de recherche destiné aux artistes qui explorent les thématiques écologiques.0:35 Introduction2:18 Le débat avec Lucile Schmid, Fabien Locher et Léa Falco1:06:10 Le face à face avec Pauline Lida Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cette seconde partie, Olivier Jacquemond reçoit Pauline Lida, chorégraphe, directrice artistique et co-fondatrice de Minuit 12, un collectif de création et de recherche destiné aux artistes qui explorent les thématiques écologiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
86% des Français se disent préoccupés par le changement climatique, et pourtant la cause écologique patine malgré la vigueur et créativité des activistes sur le terrain, la parole de leaders d’opinion et la mobilisation à l’échelle mondiale d’une jeunesse vigilante. Comme si l’agenda pour la planète butait sur l’agenda budgétaire, économique, électoral, reléguant la crise écologique au bas des programmes politiques.Comment parvenir à briser le plafond vert ? Surtout, comment s’y prendre en tant que militante et militant, en tant qu'activiste, en tant que chercheuse, chercheur, en tant que think tank, pour convertir l’indignation morale et les déclarations de bonnes intentions générales en élan démocratique profond et durable ?Pour en parler, dans cette première partie, Olivier Jacquemond reçoit Lucile Schmid, essayiste, cofondatrice du think tank La Fabrique écologique, membre du comité de rédaction de la revue Esprit et présidente du Prix du roman d’écologie, Fabien Locher, historien de l’environnement, chargé de recherche au CNRS et co-auteur du livre Les Révoltes du ciel, et Léa Falco, cofondatrice du collectif Construire l’écologie, elle travaille également à la formation des agents publics aux enjeux écologiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un nouveau terme s’impose dans le monde professionnel : le prompt, cette commande adressée à des intelligences artificielles comme le désormais incontournable ChatGPT. Avec ses millions d’utilisateurs et des investissements colossaux, l’IA s’implante de plus en plus dans les entreprises. Mais au-delà de l’efficacité promise, quels changements profonds entraîne-t-elle ? Redéfinit-elle nos métiers, redistribue-t-elle le pouvoir au sein des organisations ? Qu’en est-il de l’autonomie des travailleurs et du sens de leur labeur ?Pour en parler, Olivier Jacquemond reçoit dans la première partie (jusqu'à 57:56) Caroline Gans Combe, professeur associé à l’ECE, Omnes Education, experte indépendante pour la Commission européenne pour les sujets de santé, TIC et sécurité des données notamment, Mircea Vultur, docteur en sociologie, chercheur en socio économie du travail et de la formation à l’Institut national de la recherche scientifique de Québec (INRS) et Marc Grosser, Consultant en organisation.Dans la seconde partie, Olivier Jacquemond reçoit Clément Le Moine Veillon, ancien chercheur à l'IRCAM après sa thèse "Conversion neuronale des attitudes sociales dans les signaux vocaux", aujourd'hui à l’ENS au sein du laboratoire de neuropsychologie interventionnelle, dans lequel il développe des protocoles et des algorithmes visant à représenter/prédire l'état clinique des patients atteints de la maladie de Huntington sur la base d'échantillons de parole.0:35 Introduction1:20 Le débat avec Caroline Gans Combe, Mircea Vultur et Marc Grosser58:05 Le face à face avec Clément Le Moine Veillon Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cette seconde partie, Olivier Jacquemond reçoit Clément Le Moine Veillon, ancien chercheur à l'IRCAM après sa thèse "Conversion neuronale des attitudes sociales dans les signaux vocaux", aujourd'hui à l’ENS au sein du laboratoire de neuropsychologie interventionnelle, dans lequel il développe des protocoles et des algorithmes visant à représenter/prédire l'état clinique des patients atteints de la maladie de Huntington sur la base d'échantillons de parole. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un nouveau terme s’impose dans le monde professionnel : le prompt, cette commande adressée à des intelligences artificielles comme le désormais incontournable ChatGPT. Avec ses millions d’utilisateurs et des investissements colossaux, l’IA s’implante de plus en plus dans les entreprises. Mais au-delà de l’efficacité promise, quels changements profonds entraîne-t-elle ? Redéfinit-elle nos métiers, redistribue-t-elle le pouvoir au sein des organisations ? Qu’en est-il de l’autonomie des travailleurs et du sens de leur labeur ?Pour en parler, dans cette première partie, Olivier Jacquemond reçoit Caroline Gans Combe, professeur associé à l’ECE, Omnes Education, experte indépendante pour la Commission européenne pour les sujets de santé, TIC et sécurité des données notamment, Mircea Vultur, docteur en sociologie, chercheur en socio économie du travail et de la formation à l’Institut national de la recherche scientifique de Québec (INRS) et Marc Grosser, Consultant en organisation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez un monde où chaque individu possède une réplique virtuelle de son corps, réagissant en parfaite synchronisation avec lui. Ce jumeau numérique, nourri par nos données médicales, génétiques et comportementales, existe déjà, et il suscite à la fois espoirs, fantasmes et craintes. Ce big-bang dans le domaine de la santé, se trouve au carrefour de multiples secteurs et disciplines. Médecine, biologie, épidémiologie, informatique, sciences des données, sciences comportementales, droit, éthique – et bien d'autres encore – convergent autour de ce sujet fascinant. Pour en parler, dans cette première partie, Olivier Jacquemond reçoit Marguerite Brac de la Perrière, avocate associée, numérique et santé au cabinet Fieldfisher, Philippe Gesnouin, responsable du programme Santé Numérique / Digital Health Program Leader à l’INRIA, et Serge Soudoplatoff, expert-conférencier sur le numérique en santé, créateur de MENTIA.Olivier Jacquemond poussera la réalité dans ses retranchements en compagnie de l’auteure de SF Claire Garand (Paideia, éditions La Volte) qui apportera le regard audacieux et décalé de la littérature spéculative sur les problématiques du jumeau numérique.Extrait sonore : bande-annonce officielle du film Ready Player One de Steven Spielberghttps://youtu.be/oYGkAMHCOC4 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans la seconde partie de notre épisode, Olivier Jacquemond poussera la réalité dans ses retranchements en compagnie de l’auteure de SF Claire Garand (Paideia, éditions La Volte) qui apportera le regard audacieux et décalé de la littérature spéculative sur les problématiques du jumeau numérique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez un monde où chaque individu possède une réplique virtuelle de son corps, réagissant en parfaite synchronisation avec lui. Ce jumeau numérique, nourri par nos données médicales, génétiques et comportementales, existe déjà, et il suscite à la fois espoirs, fantasmes et craintes. Ce big-bang dans le domaine de la santé, se trouve au carrefour de multiples secteurs et disciplines. Médecine, biologie, épidémiologie, informatique, sciences des données, sciences comportementales, droit, éthique – et bien d'autres encore – convergent autour de ce sujet fascinant. Pour en parler, dans cette première partie, Olivier Jacquemond reçoit Marguerite Brac de la Perrière, avocate associée, numérique et santé au cabinet Fieldfisher, Philippe Gesnouin, responsable du programme Santé Numérique / Digital Health Program Leader à l’INRIA, et Serge Soudoplatoff, expert-conférencier sur le numérique en santé, créateur de MENTIA.Extrait sonore : bande-annonce officielle du film Ready Player One de Steven Spielberghttps://youtu.be/oYGkAMHCOC4 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Gagner la guerre ou perdre l’environnement », c’était le titre d’un précédent podcast diffusé le 16 juin 2023. A cette occasion, nous nous étions concentrés sur le coût écologique de la guerre, en amont et en aval, et ce à l’échelle de la planète. Cette fois, nous avons décidé de nous concentrer sur la façon dont l’Europe, à travers ses institutions et ses membres, tente de répondre à cette double exigence : se préparer à la guerre tout en se montrant à la hauteur des ambitions climatiques du continent.Guerre et Changement climatique, vers une prise de conscience ?C’est ce que nous chercherons à voir avec un invité spécial, délégué général de Confrontations Europe Jérôme Quéré. Chapitres : #1 Introduction 01:09 #2 La politique de défense européenne. 01’55 #3 L’impact des conflits sur l’environnement 17’18 #4 Conclusion 28’26­­­­­  Extraits sonores : - TV5 Mondehttps://information.tv5monde.com/international/lotan-en-etat-de-mort-cerebrale-juge-emmanuel-macron-32271De 00'00 à 00'18- TV5 Euronewshttps://www.youtube.com/watch?v=AB0kPW7TybQDe 0’11 à 0’24- GreenLetter Club. Docteur Jean-Michel Valantinhttps://www.youtube.com/watch?v=xb7nXxSHKHgDe 8'47 à 9'07 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En 1960, un tiers de la population était urbaine. En 2023, cette proportion s’élève à 56% selon la Banque mondiale et représente plus de 4,4 milliards d’habitants. Cette tendance devrait se poursuivre pour représenter d’ici 2050, 70 % de la population mondiale.Cette dynamique urbaine fut souvent corrélée à un signe de vitalité économique, de puissance et de rayonnement politique. Mais il est difficile d’occulter les nombreux défis environnementaux et sociaux qui accompagnent ce phénomène massif :- Côté environnemental : la ville consomme de plus en plus de ressources et rejette toujours d’avantage de déchets.- Côté social : la ville devient un haut lieu d’inégalité ce qui concerne aussi bien les pays en développement que les pays développés.Attraction mais aussi pollution et exclusion – c’est sur ces tensions multiples au cœur de la ville que nous souhaitons aujourd’hui débattre.Chapitres :#1 Introduction 01:20#2 L’évolution urbaine. 02:14#3 Faire face aux inégalités sociales 12’20#4 Conclusion 24’21  Extraits sonores : - LA CHAINE SMART CITIEShttps://www.youtube.com/watch?v=QB5JbLSOZuETime code : 2’31- 3’21- France INFO Ma ville demain. Smart city : la ville intelligente de demainhttps://www.francetvinfo.fr/replay-radio/ma-ville-demain/ma-ville-demain-smart-city-la-ville-intelligente-de-demain_4033211.htmlTime code : 14 sec – 29 sec - RADIO France Quand les métropoles façonnent le mondehttps://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/cultures-monde/quand-les-metropoles-faconnent-le-monde-4116026Time code : 05’09 – 05’31 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La mobilité humaine désigne un changement de lieu accompli par une ou plusieurs personnes. Elle peut être l’expression d’un besoin ou d’une nécessité, elle peut être choisie ou subie, comme c’est le cas lors des guerres ou des migrations dûes au réchauffement climatique. C’est sur cette dernière forme de mobilité que nous allons aujourd’hui nous arrêter.Avec le changement climatique c’est 22O millions de personnes qui seraient conduites à migrer d’ici 2050, l’ampleur de ce phénomène interpelle, mais fait trop souvent l’objet d’analyse médiatique hâtive et d’instrumentalisation à des fins politiques. C’est dans cette volonté de dépasser les crispations et les idées reçues que nous nous interrogerons sur la migration climatique dans ce nouveau numéro de Libres Echanges. Chapitres :#1 Introduction 01:19#2 Qu’est-ce que la migration climatique. 02:03#3 Où vont les migrants ? 16’54#4 Conclusion 23’45  Extraits sonores :-  Emission de Franceinfo avec François Gemenne Nov 2023 https://www.youtube.com/watch?v=5nnnKRC-CUkDe 1’24 à 1’42 - Brut 143 millions de réfugiés d’ici 2050https://www.youtube.com/watch?v=focPP3q2ls4De 0’51 à 1’12 - AFP les migrants climatiques, nouvelles victimes du changement climatiquehttps://www.youtube.com/watch?v=2mqqqOqiVWgDe 4’31 à 4’57 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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