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Mon Europe à moi

Author: Slate Studio

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En amont de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, Slate lance le projet «Mon Europe à moi». L'objectif: donner la parole aux jeunes Français et Européens, recenser leurs attentes et leurs demandes, et y faire réagir des experts et des membres du Parlement européen.
Vous aussi, faites entendre votre voix à la Conférence sur l'avenir de l'Europe! Inscrivez-vous sur la plateforme dédiée et participez à la discussion. Faites savoir dans quelle Europe vous souhaitez vivre et contribuez à façonner notre futur!
Un podcast cofinancé par l'Union européenne dans le cadre du programme de subventions du Parlement européen dans le domaine de la communication.

15 Episodes
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Dans le cadre de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, où les citoyens et citoyennes de l'Union européenne (UE) étaient invités à imaginer et à bâtir le futur du bloc, Slate a lancé le projet Mon Europe à moi. L'objectif: donner la parole aux jeunes Français et Européens, recenser leurs attentes et leurs demandes, et y faire réagir des spécialistes et des membres duComment se mesure le sentiment d'appartenance à la communauté européenne? Fluctuant en fonction des périodes que traverse l'UE, son âge d'or se situe dans les années 1970 quand son déclin débute dans les années 1990, comme l'explique Mathieu Galard, directeur d'études à l'Ipsos et invité de cet épisode de Mon Europe à moi.«Après la crise économique de 2008, la crise financière en Grèce, et celle des migrants, l'Union européenne était au bord de l'implosion», affirme-t-il au micro. Cette période a eu pour conséquence la montée d'une défiance vis-à-vis de l'Europe de la part des européens eux-mêmes. «Même si nous ne sommes pas revenus à une confiance qu'était celle des débuts, les citoyens européens l'ont tout de même un peu retrouvée», relativise alors Mathieu Gallard.Plus largement, l'opposition à l'Union européenne provient de secteurs antagonistes de la société: une droite radicale et une gauche remettant en cause la mondialisation économique vers laquelle pencherait l'Europe. Pourtant, sortir de l'UE n'est que peu envisageable par ses États membres: «Le Brexit et son impact sur la vie économique britannique a démontré que la sortie de l'UE n'est pas une piste bénéfique pour les populations.»La Conférence sur l'avenir de l'Europe s'est achevée le 9 mai. Les quarante-neuf propositions élaborées sur la base des contributions citoyennes sont à retrouver sur la plateforme dédiée.Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Montage et réalisation: Mona DelahaisMusique: «75 & lower», DJ WilliamsSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.
Dans le cadre de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, où les citoyens et citoyennes de l'Union européenne (UE) étaient invités à imaginer et à bâtir le futur du bloc, Slate a lancé le projet Mon Europe à moi. L'objectif: donner la parole aux jeunes Français et Européens, recenser leurs attentes et leurs demandes, et y faire réagir des spécialistes et des membres du Parlement.Pour le dernier rendez-vous débat Mon Europe à moi, organisé par Slate le mercredi 29 juin à Bruxelles, on se demande quelle est la place de l'Union européenne dans le monde. Nous parlons notamment de l'invasion de l'Ukraine par la Russie, de la position de l'UE sur la question des Ouïghours, de la crise des réfugiés ou encore de la montée de l'illibéralisme au sein de l'Europe. Autant de sujets qui questionnent le rôle et la symbolique d'une UE porteuse de valeurs à l'international, mais aussi la difficulté de parler d'une seule voix à vingt-sept.Un débat animé par Hélène Decommer, rédactrice en chef de Slate.fr, avec Raphaël Glucksmann, essayiste, homme politique et député européen, Gaëlle Dusepulchre, représentante auprès de l'Union européenne de la Fédération internationale pour les droits humains et Eric Maurice, responsable du bureau de Bruxelles de la Fondation Robert Schuman.La Conférence sur l'avenir de l'Europe s'est achevée le 9 mai. Les quarante-neuf propositions élaborées sur la base des contributions citoyennes sont à retrouver sur la plateforme dédiée.Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Présentation: Hélène DecommerMontage et réalisation: Benjamin Saeptem HoursMusique: «75 & lower», DJ WilliamsSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.
Avec la crise du Covid-19, les aspects sociaux de l'UE ont été remis sur le devant de la scène. Après un âge d'or de l'Europe sociale dans les années 1990, les crises financières ont entraîné un déséquilibre persistant jusqu'en 2016. Pourtant, un changement de paradigme est en train de s'opérer, comme l'explique Klervi Kerneïs, chercheuse associée à l'institut Jacques Delors sur les questions sociales et invitée de ce nouvel épisode de Mon Europe à moi.«Nous sommes loin des politiques néolibérales qui ont pu être imposées dans les années 2010», analyse-t-elle. Il existe aujourd'hui des politiques sociales au niveau européen qui fixent des normes minimales pour les États et leur font des recommandations à suivre. «C'est intéressant car il y a dans la législation européenne des closes de non-régression», mentionne-t-elle, permettant à l'Europe une convergence vers le haut. «Nous sommes dans un nouvel élan pour l'Europe sociale.»La Conférence sur l'avenir de l'Europe s'est achevée le 9 mai. Les quarante-neuf propositions élaborées sur la base des contributions citoyennes sont à retrouver sur la plateforme dédiée.Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Montage et réalisation: Mona DelahaisMusique: «75 & lower», DJ WilliamsSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.
Dans le cadre de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, où les citoyens et citoyennes de l'Union européenne (UE) étaient invités à imaginer et à bâtir le futur du bloc, Slate a lancé le projet Mon Europe à moi. L'objectif: donner la parole aux jeunes Français et Européens, recenser leurs attentes et leurs demandes, et y faire réagir des spécialistes et des membres du Parlement.Pour ce nouveau rendez-vous, Mon Europe à moi se penche sur la question de l'Europe sociale.Pour beaucoup de nos concitoyens, l'Union européenne est une menace pour leur emploi et leur niveau de vie, la faute aux arguments populistes. N'existe-t-il pas une Europe qui protège? Quelles sont les ressources de l'Union pour tenter d'installer un monde plus juste?Un débat Mon Europe à moi, animé par Christophe Carron, directeur des rédactions de Slate.fr, avec Aurore Lalucq, économiste et eurodéputée du groupe Socialists&Democrates, ainsi que Klervi Kerneïs, assistance de recherche à l'Institut Jacques Delors.La Conférence sur l'avenir de l'Europe s'est achevée le 9 mai. Les quarante-neuf propositions élaborées sur la base des contributions citoyennes sont à retrouver sur la plateforme dédiée.Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Présentation: Christophe CarronMontage et réalisation: Mona DelahaisMusique: «75 & lower», DJ WilliamsRéférences: «Racisme, sexisme, LGBTphobies: comment rendre l'Union européenne plus inclusive?», épisode 7, Mon Europe à moiSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.
Dans le cadre de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, où les citoyens et citoyennes de l'Union européenne (UE) étaient invités à imaginer et à bâtir le futur du bloc, Slate a lancé le projet Mon Europe à moi. L'objectif: donner la parole aux jeunes Français et Européens, recenser leurs attentes et leurs demandes, et y faire réagir des spécialistes et des membres du Parlement.Quels sont les défis de demain que l'Union européenne doit relever en matière de santé? La pandémie de Covid-19 a soulevé d'importantes questions concernant la souveraineté sanitaire. La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a par ailleurs annoncé le 11 novembre 2021 la mise en place d'une «Europe de la santé», en réponse à la crise. Un changement majeur quand on sait que la santé n'était pas destinée à devenir une compétence de l'UE.Mais ce n'est pas tout. La Commission européenne a également instauré l'HERA, une autorité de prévention et de réaction aux risques sanitaires. Cette dernière agira «à la fois en amont et en aval en cas de crise, et est habilitée à prononcer l'état d'urgence sanitaire», nous explique Isabelle Marchais, chercheuse associée sur les thématiques de santé à l'Institut Jacques Delors.Une promesse d'avancée pour les citoyens qui, d'après l'Eurobaromètre, sont 74% à souhaiter davantage de compétences de l'Union face aux crises à venir. Pour rappel, «l'UE n'a pas de compétences en tant que telles en matière de santé. Elle relève pour l'essentiel des compétences des États membres», souligne Isabelle Marchais.La Conférence sur l'avenir de l'Europe s'est achevée le 9 mai. Les quarante-neuf propositions élaborées sur la base des contributions citoyennes sont à retrouver sur la plateforme dédiée.Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Montage et réalisation: Mona DelahaisMusique: «75 & lower», DJ WilliamsSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.
Dans le cadre de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, où les citoyens et citoyennes de l'Union européenne (UE) étaient invités à imaginer et à bâtir le futur du bloc, Slate a lancé le projet Mon Europe à moi. L'objectif: donner la parole aux jeunes Français et Européens, recenser leurs attentes et leurs demandes, et y faire réagir des spécialistes et des membres du Parlement.Comment l'Europe réglemente-t-elle l'utilisation des données personnelles des citoyens européens par les entreprises? Qu'elles soient publiques ou privées, le Règlement général sur la protection des données (RGPD) s'applique à toutes les organisations traitant des données personnelles. Mis en place en 2016, «c'est un des premiers textes européens affirmant une dimension extra-nationale», nous explique Paul-Olivier Gibert, président de l'Association française des correspondants à la protection des données à caractère personnel.Pour Mon Europe à moi, il souligne l'enjeu d'une réglementation face à des entreprises au poids économique parfois plus important que celui d'un État. C'est notamment le cas des Gafam, géants américains utilisant les données à caractère personnel de leurs utilisateurs. «Ce sont de nouveaux objets socio-économiques internationaux et transnationaux en situation de monopole mondial, ce qui rend la régulation compliquée», indique-t-il. Pour lui, l'Europe peut jouer un rôle essentiel dans l'encadrement de ces derniers. «On dit grossièrement que les États-Unis inventent, innovent et développent, la Chine les copie à bas prix et l'Europe régule, invente des lois et les applique», conclut Paul-Olivier Gibert.La Conférence sur l'avenir de l'Europe s'est achevée le 9 mai. Les quarante-neuf propositions élaborées sur la base des contributions citoyennes sont à retrouver sur la plateforme dédiée.Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Montage et réalisation: Mona DelahaisMusique: «75 & lower», DJ WilliamsSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.
Dans le cadre de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, où les citoyens et citoyennes de l'Union européenne (UE) étaient invités à imaginer et à bâtir le futur du bloc, Slate a lancé le projet Mon Europe à moi. L'objectif: donner la parole aux jeunes Français et Européens, recenser leurs attentes et leurs demandes, et y faire réagir des spécialistes et des membres du Parlement.En 2020, 1,92 million de personnes ont immigré dans l'Union Européenne, d'après les données officielles. La même année, la Commission européenne a proposé un nouveau pacte non contraignant sur la migration et l'asile. Si l'Europe joue le rôle de coordinatrice des opérations et assiste les États membres dans leurs besoins spécifiques, les prérogatives de ces derniers dominent sur le reste. Pour Déborah Prati, coordinatrice des projets dans l'asile au sein d'une association française, le manque de contraintes est un problème.Selon elle, malgré les nombreuses actions menées par l'Europe, les pays de l'Union devraient être soumis à des contraintes: «Les directives prises vont laisser une liberté aux États de faire un peu ce qu'ils veulent. Mais dans le contexte actuel de peur des migrants, les efforts ne sont pas faits par les pays». Définir un certain nombre de places pour tout le monde, mettre en œuvre des conditions d'accueil susceptibles de garantir un accès à la santé et à des cours de langues sont des solutions à envisager. «Les moyens sont là, il y a des bonnes choses, mais rien de tout ça n'est fait aujourd'hui», souligne-t-elle au micro de Mon Europe à moi.La Conférence sur l'avenir de l'Europe s'est achevée le 9 mai. Les quarante-neuf propositions élaborées sur la base des contributions citoyennes sont à retrouver sur la plateforme dédiée.Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Montage et réalisation: Mona DelahaisMusique: «75 & lower», DJ WilliamsSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.
Dans le cadre de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, où les citoyens et citoyennes de l'Union européenne (UE) étaient invités à imaginer et à bâtir le futur du bloc, Slate a lancé le projet Mon Europe à moi. L'objectif: donner la parole aux jeunes Français et Européens, recenser leurs attentes et leurs demandes, et y faire réagir des spécialistes et des membres du Parlement.Le 4 avril 2022 a été publié le dernier rapport du GIEC. Consacré aux solutions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, il donne pour objectif de limiter le réchauffement climatique. Un an auparavant, l'Union européenne a engagé ses États membres à atteindre une neutralité climatique d'ici à 2050 dans le cadre du Pacte vert pour l'Europe. Mais comment y parvenir?Pour répondre à cette question, nous avons invité Neil Makaroff, responsable Europe au sein du réseau Action Climat. Pour lui, ce sont les plus gros secteurs émetteurs de gaz à effet de serre comme l'énergie, l'agriculture, l'industrie ou encore les transports et le bâtiment qui doivent faire des efforts afin d'«inverser la courbe des émissions». Pour ce faire, «la Commission européenne a développé la loi climat, qui oblige tous les États membres à respecter cette trajectoire climatique», indique-t-il.Mais le secteur le plus pollueur reste l'industrie européenne, qu'il dénonce comme «le passager clandestin sur la question du climat». Depuis douze ans, ses émissions n'ont pas diminué. L'objectif de neutralité climatique européenne est-il tenable?La Conférence sur l'avenir de l'Europe s'est achevée le 9 mai. Les quarante-neuf propositions élaborées sur la base des contributions citoyennes sont à retrouver sur la plateforme dédiée.Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Montage et réalisation: Mona DelahaisMusique: «75 & lower», DJ WilliamsSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.
Dans le cadre de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, où les citoyens et citoyennes de l'Union européenne (UE) étaient invités à imaginer et à bâtir le futur du bloc, Slate a lancé le projet Mon Europe à moi. L'objectif: donner la parole aux jeunes Français et Européens, recenser leurs attentes et leurs demandes, et y faire réagir des spécialistes et des membres du Parlement.Après un premier rendez-vous consacré à l'environnement, Mon Europe à moi se penche cette fois sur la question des discriminations. Car si les valeurs de l'UE établissent une égalité des droits entre les ressortissants, en pratique, de nombreuses discriminations perdurent.Comment lutter contre au sein de l'Union? Pourquoi les législations en la matière sont-elles si disparates? Comment faire pour que les institutions européennes soient plus représentatives?Un débat Mon Europe à moi, animé par Hélène Decommer, avec Nicolae Stefanuta, eurodéputé du parti Renew Europe, Magda Boulabiza, membre du réseau européen contre le racisme et Marie-Louise Chenois, militante LGBTQI+ chez Rainbow House Brussels.La Conférence sur l'avenir de l'Europe s'est achevée le 9 mai. Les quarante-neuf propositions élaborées sur la base des contributions des citoyens sont à retrouver sur la plateforme dédiée.Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Présentation: Hélène DecommerMontage et réalisation: Mona DelahaisMusique: «75 & lower», DJ WilliamsSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.
En amont de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, où les citoyens et citoyennes de l'Union européenne sont invités à imaginer et à bâtir le futur du bloc, Slate lance le projet Mon Europe à moi. L'objectif: donner la parole aux jeunes Français et Européens, recenser leurs attentes et leurs demandes.Partout en Europe, les travailleurs de plateformes numériques (Deliveroo, Uber) subissent des conditions de travail dégradées… et subordonnées à ces applications, malgré leur statut officiel d'indépendants. Changement des tarifs, édition des factures, ils n'ont pas la main sur des composants essentiels à leur travail, malgré leur statut d'auto-entrepreneurs. Quelles sont les raisons de ce flou juridique?Pour répondre à cette question, Edouard Bernasse est l'invité de ce nouvel épisode. Ancien livreur à Paris, il a été consultant européen en tant qu'expert sur les travailleurs des plateformes numériques.Une solution est débattue par plusieurs pays européens: créer un troisième statut spécifique pour ces livreurs, comme au Royaume-Uni. «Le tiers statut est poussé par les plateformes, qui disent mettre en avant les protections sociales», explique l'ancien livreur, aujourd'hui secrétaire général du Collectif des Livreurs Autonomes de Paris. Pour lui, cette idée va créer des inégalités de traitement et du travail indépendant forcé. Le modèle à envisager est-il celui de l'Espagne: faire reconnaître par la loi une relation salariale?Vous aussi, faites entendre votre voix à la Conférence sur l'avenir de l'Europe! Inscrivez-vous sur la plateforme dédiée et participez à la discussion. Faites savoir dans quelle Europe vous souhaitez vivre et contribuez à façonner notre futur!Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Présentation et réalisation: Mona DelahaisPrise de son: Benjamin Saeptem HoursMusique: «75 & lower», DJ WilliamsSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.
En amont de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, où les citoyens et citoyennes de l'Union européenne sont invités à imaginer et à bâtir le futur du bloc, Slate lance le projet Mon Europe à moi. L'objectif: donner la parole aux jeunes Français et Européens, recenser leurs attentes et leurs demandes.Avec 194.000 kilomètres de voix ferrées à travers l'Union européenne, voyager en train pourrait sembler facile. Pourtant, les trains transfrontaliers sont rares, les lignes peu développées et les correspondances pas toujours assurées. Les réseaux de trains sont gérés par les pays eux-mêmes, sans accord au niveau de l'UE, ne permettant pas le développement de lignes communes.Une gestion centralisée est-elle la solution pour voyager aisément? Faut-il ouvrir le rail à la concurrence, comme l'ont déjà fait l'Italie et l'Allemagne? «C'est un long débat. La compétition est meilleure pour les clients, mais elle a aussi de mauvais côtés», indique Thibault Constant. YouTubeur, il anime la chaîne Simply Railway sur laquelle il partage ses voyages en train.Il imagine une tout autre solution pour les simplifier en Europe: «Les trains de nuit. Ça permet de voyager sur de longues distances sans s'en rendre compte, explique-t-il. J'aimerais qu'un réseau reliant les grands centres européens soit mis en place par l'Union.»Vous aussi, faites entendre votre voix à la Conférence sur l'avenir de l'Europe! Inscrivez-vous sur la plateforme dédiée et participez à la discussion. Faites savoir dans quelle Europe vous souhaitez vivre et contribuez à façonner notre futur!Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Présentation et montage: Mona DelahaisPrise de son et réalisation: Benjamin Saeptem HoursMusique: «75 & lower», DJ WilliamsSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.
En amont de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, où les citoyens et citoyennes de l'Union européenne sont invités à imaginer et à bâtir le futur du bloc, Slate lance le projet Mon Europe à moi. L'objectif: donner la parole aux jeunes Français et Européens, recenser leurs attentes et leurs demandes.Depuis que la guerre en Ukraine rebat les cartes de la géopolitique de l'énergie, le conflit a mis en lumière la dépendance de l'Europe au gaz russe, signant un retour d'intérêt pour le nucléaire, au grand dam des écologistes.Quelles seraient les solutions pour une production d'énergies propres et non soumises aux soubresauts des relations internationales? Comment agir pour une consommation plus responsable? Comment développer des alternatives efficaces et écologiquement acceptables?Un débat Mon Europe à moi, animé par Christophe Carron, avec Michèle Rivasi, eurodéputée écologiste, Thomas Pellerin-Carlin, directeur du Jacques Delors Energy Centre, et Marie Chureau, citoyenne engagée aux côtés de Youth for Climate.Vous aussi, faites entendre votre voix à la Conférence sur l'avenir de l'Europe! Inscrivez-vous sur la plateforme dédiée et participez à la discussion. Faites savoir dans quelle Europe vous souhaitez vivre et contribuez à façonner notre futur!Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Présentation: Christophe CarronMontage et réalisation: Mona DelahaisMusique: «75 & lower», DJ WilliamsSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.
En amont de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, où les citoyens et citoyennes de l'Union européenne sont invités à imaginer et à bâtir le futur du bloc, Slate lance le projet Mon Europe à moi. L'objectif: donner la parole aux jeunes Français et Européens, recenser leurs attentes et leurs demandes.Quelles aides pour cultiver les produits de nos assiettes? Depuis 1962 en Europe existe la Politique Agricole Commune (PAC). Commune à tous les pays de l'Union Européenne, elle vise à soutenir les marchés et des revenus agricoles tout en maintenant le dynamisme des territoires ruraux. Représentant près d'un tiers du budget, elle est le premier poste de dépenses de l'Union Européenne. Depuis sa création, de nombreuses réformes, parfois appréciées, tantôt critiquées, voient le jour. Mais la prochaine, prévue pour 2023, ne fait pas l'unanimité.«La PAC est tellement structurante pour nos systèmes agricoles, que si on veut faire évoluer nos structures, on doit la changer», nous explique Mathieu Courgeau. Agriculteur en Vendée, il est président de la plateforme Pour une autre PAC, lancée en 2017. Réunissant 45 organisations, elle souhaite changer cette politique qui «ne fonctionne pas» selon eux. Trop d'aides pour les gros exploitants, une agriculture raisonnée et respectueuse de l'environnement pas assez valorisée, ce paysan souhaite «un remodelage de nos systèmes agricoles et alimentaires en Europe».Vous aussi, faites entendre votre voix à la Conférence sur l'avenir de l'Europe! Inscrivez-vous sur la plateforme dédiée et participez à la discussion. Faites savoir dans quelle Europe vous souhaitez vivre et contribuez à façonner notre futur!Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Présentation: Mona DelahaisMontage:Prise de son et réalisation:Musique: «75 & lower», DJ WilliamsSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.
Quand on pense à Erasmus, on imagine généralement des étudiants partant aux quatre coins de l'Europe. Et en effet, ce programme permet d'aller suivre une période de stage, de formation ou de bénévolat à l'étranger. Ce que l'on sait moins, c'est qu'Erasmus, accessible aux étudiants, est également ouvert aux apprentis, aux lycéens, aux enseignants ou encore aux demandeurs d'emploi. Et qu'il y a des pays hors Europe qui sont partenaires!Pourquoi ce cursus et ses possibilités restent-t-il méconnus du grand public? Pour répondre à cette question, nous avons interviewé Laurence Farreng, eurodéputée MoDem et membre du groupe Renew. Elle explique:  «Cet ajout de l'entrée d'autres publics est une réalité récente qui doit s'installer, avec les agences nationales Erasmus notamment». Le nouveau programme Erasmus+, qui court de 2021 à 2027, comprend une volonté politique «plus affirmée» , selon elle. Avec un budget doublé, la mise en place de formations des enseignants pour appréhender la mobilité européenne, et le chapitre sur l'inclusion mis en avant, Erasmus+ veut se transformer pour s'améliorer.En amont de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, où les citoyens et citoyennes de l'Union européenne sont invités à imaginer et à bâtir le futur du bloc, Slate lance le projet Mon Europe à moi. L'objectif: donner la parole aux jeunes Français et Européens, recenser leurs attentes et leurs demandes.Vous aussi, faites entendre votre voix à la Conférence sur l'avenir de l'Europe! Inscrivez-vous sur la plateforme dédiée et participez à la discussion. Faites savoir dans quelle Europe vous souhaitez vivre et contribuez à façonner notre futur!Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Présentation: Mona DelahaisMontage: Guillaume AssalPrise de son et réalisation: Benjamin Saeptem HoursMusique: «75 & lower», DJ WilliamsSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.
Comment inclure les personnes racisées au sein de l'UE quand elles ne sont pas représentées au sein des institutions? C'est la question qu'on se pose dans ce premier épisode de Mon Europe à moi dans avec Estelle Depris, co-créatrice du projet Sans blanc de rien, engagée dans la lutte contre les discriminations et le racisme systémique.La définition même du racisme change en fonction des États membres de l'Union Européenne. Estelle Depris ne se sent pas représentée par l'UE: «Il faut un travail de fond, avec un retour sur l'histoire de la colonisation et du racisme pour comprendre pourquoi ces institutions fonctionnent encore sur un système d'exclusion des personnes minoritaires». Un travail qui passerait notamment par une collecte des données ethniques pour faire un état des lieux des discriminations. Interdites en France, elles sont considérées comme une entrave au principe d'universalisme républicain. Elles sont pourtant autorisées en Finlande et en Irlande. L'occasion de se demander s'il existe un bon élève européen en termes de politiques d'inclusion?Vous aussi, faites entendre votre voix à la Conférence sur l'avenir de l'Europe! Inscrivez-vous sur la plateforme dédiée et participez à la discussion. Faites savoir dans quelle Europe vous souhaitez vivre et contribuez à façonner notre futur!Mon Europe à moi est un podcast produit par Slate Studio, sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours.Présentation: Mona DelahaisMontage: Guillaume AssalPrise de son et réalisation: Benjamin Saeptem HoursMusique: «75 & lower», DJ WilliamsSuivez Slate Podcasts sur Instagram et Facebook.