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ON(WARD) FASHION par THE GOOD GOODS
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ON(WARD) FASHION par THE GOOD GOODS

Author: Victoire Satto

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Description

Bienvenue dans ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable. 


Je suis Victoire Satto, founder et CEO de The Good Goods, le média de la mode fondée sur des preuves. 


Sur ce podcast, je reçois des femmes et des hommes porteurs de solutions pour accélérer la transition sociale et environnementale de l’industrie de la mode. 

ON(WARD) FASHION vous propose des outils tech, les conseils de marques engagées, et de partager l’expertise d’entrepreneurs à succès. Ce podcast est conçu comme une bibliothèque de solutions concrètes, centralisées et immédiatement disponibles, pour guider la mode dans son développement durable. 

ON(WARD) FASHION est diffusé chaque mardi à 07h sur toutes les plateformes d’écoute. Chaque épisode est précédé d'un hashtag qui caractérise sa thématique : 

  • #TECH (< 30 minutes) 
  • #MARQUES 
  • #EXPERTS (environ 60 minutes)


On vous invite à vous abonner à la chaîne ainsi qu’à notre newsletter business, disponible sur thegoodgoods.fr (http://thegoodgoods.fr/), pour œuvrer avec nous au reset de cette industrie. 


Bonne écoute ! 


On a plein de choses à vous raconter, se retrouve sur nos réseaux ?


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139 Episodes
Reverse
[Podcast] Décarboner la mode par la finance, avec Lita - The Good GoodsBALISE H1 Qui finance la mode ? ON(WARD) FASHION explore le rôle de la finance dans les impacts négatifs de la mode. Cet épisode aborde les alternatives et le financement participatif en particulier, avec Pierre Schmidtgall, cofondateur et Directeur de l’investissement chez Lita. Lita est une plateforme de financement communautaire et un acteur expert dans l’accompagnement des entreprises à impact et des TPME en transformation vers davantage de responsabilité sociétale, de toute envergure.En quoi le financement des marques de mode et les fonds d’investissement en particulier sont-ils responsables des externalités négatives ? La question du financement des marques est majeure car elle sous-tend le fonctionnement global de l’industrie. Plus de rentabilité signifie plus de marge sur une échelle de temps rapide, donc plus de volumes et de course aux prix bas. Ainsi, on passe en quelques décennies, non pas de 2 à 4 ni même à 52 collections par an mais à une par jour pour Shein.Dans cet épisode, on sort des ACV et des matières alternatives pour s’intéresser à l'argent. De l’œuf ou du pool d’actionnaires, qui rend coupable les marques de produire et la société civile d’acheter, au milieu de régulateurs passablement débordés par le rythme de 8000 nouveaux produits quotidiens par des enseignes chinoises d’ultra fast fashion ? Y’a t’il une voie alternative pour financer la transition ? La réponse est oui et elle repose sur le pouvoir de la communauté. Aujourd’hui, on parle des bénéfices - dans tous les sens du terme - du financement participatif, avec Pierre Schmidtgall, cofondateur de Lita et Directeur des investissements sur la partie opérationnelle.Le site Lita https://fr.lita.co/frPrendre RDV https://fr.lita.co/fr/users/sign_in Trame indicative de l’épisodeIntroduction / Parcours de Pierre Schmidtgall / LitaQui finance la mode ?Ouvrir son capital : pourquoi faire ? En quoi les volumes dans la mode sont-ils un problème ? Se financer avec LitaCas pratiques et théoriquesAprès la levée de fonds participative avec Lita Ressources et lienLiens utilesLe site Lita : https://fr.lita.co/frL’application Rift : https://riftapp.fr/ Le podcast sur “L’économie pour les nul·les” avec Eva Sadoun : https://www.thegoodgoods.fr/media/economie/financer-une-marque/eva-sadoun-lita-podcast-finance-investissement-mode/Le podcast sur “La décroissance” avec Timothée Parrique : https://www.thegoodgoods.fr/media/economie/circularite-services/expert-timothee-parrique-la-decroissance-appliquee-a-la-mode/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Pierre-François Le Louët, Co-président de l'Union Française Mode & Habillement | UFIMH pour parler de la création de mode française et internationale. Merci à notre sponsor, Première Vision Paris, le go-to international des professionnels de la mode et des effusions créatives. Rendez-vous les 2, 3 et 4 juillet 2024 au Parc des Expositions Paris Nord Villepinte sur le salon Première Vision Paris, à la rencontre de 920 exposants du monde entier. La liste, le programme en détail et toutes les informations pour préparer au mieux votre venue sont sur le site. https://shorturl.at/8DWoB Comment soutenir la création de mode en 2024 ?Est-il raisonnable de créer une marque de mode aujourd'hui ? Faut-il chercher à transformer ou laisser choir aux bancs des liquidation judiciaires en chapelet les enseignes historiques qui ne trouve plus leur segment de marché, entre “les ultra-” de la fast fashion comme du luxe ?  L’industrie de la mode traverse de multiples crises, économiques en particulier. Pour faire le point sur ses réalités et le futur auquel se préparer, nous recevons Pierre-François Le Louët, Co-président de l'Union Française Mode & Habillement | UFIMH pour parler de la création de mode française et internationale, de comment et pourquoi la soutenir. Trame indicative de l’épisodeIntroductionPrésentation Parcours À quoi ça vous sert aujourd’hui ?Vous vouliez faire quoi enfant ?Quelle perception aviez-vous du métier de votre maman ?À quoi a ressemblé votre enfance ?Vous n’avez jamais créé de marque de mode, pourquoi ?Est-ce que créer du business, c’est créer quelque chose ?De l’avènement du prêt-à-porter, à l’ultra fast Fashion, une vraie histoire de l’économie de la modeQuelles sont les entités qui composent l’industrie ? Les Fédérations ? Rôle de l’Union des Fédérations de Mode et Habillement ? Quels métiers et corps de métiers sont représentés ?Vos actions au quotidien ?La crise actuelle dans la modePourquoi la mode est-elle parent pauvre de l’industrie française ? De quoi souffre la mode aujourd’hui ?État des lieux du made in France Comment donner un nouveau souffle ?S’inventer autrement / se réinventerY’a t’il une bonne raison de créer une marque de mode aujourd’hui ? Comment s’y prendre ?Entités qui aident, où s’informer ? Structures de soutien de la jeune création et comment ? Fonds ?Critères pour investir ?Success story recipe ? Exemples ? Marque employeur : comment séduire et recruter Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Bénédicte Epinay, Déléguée Générale/CEO du Comité Colbert, pour parler de la transmission des métiers d'artisanat d'art dans la mode et le luxe en 2024 et de la transformation des secteurs à l'aune de la crise climatique.INTRODUCTIONPrésentation FormationParcours professionnelArrivée au ComitéPourquoi avez-vous à cœur de remplir cette mission ? Votre définition personnelle du Luxe en 2024La pièce de luxe que vous possédez et chérissez le plusLE COMITÉ COLBERT ET LE LUXENom Histoire“Le luxe est le plus ancien secteur d’avenir”, une brève Histoire du Luxe ?Qu’est-ce que l’art de vivre à la française ?Le Luxe et les Métiers d’Art aujourd’hui en données (volumes de CA, emplois ; en France et à l’export)Rôle du ComitéMaisons et corps de métiers représentésQuid des savoir-faire extra-territoriaux ? Un équivalent ailleurs ?Structure JuridiqueOrganisation actuelleMissions quotidiennesVotre rôle au sein du Comité, une journée type de Bénédicte EpinayLES ENJEUX DE LA TRANSITIONVision de l’industrie et de l’artisanat de luxe demain Développement Durable : Depuis quand ces sujets sont-ils audibles aux oreilles du luxe ? De qui émane la demande (parties prenantes, Gouvernement, consommateur·ices)Rapport RSE, les piliers (nous développerons)Comment on révolutionne l’UX du luxe dans un monde à +4 degrés ?Exemple avec l’art d’offrir, le packagingActions du Comité, concrètes prises en ce sens ? La valeur patrimonialeQu’est-ce qui a de la rareté ? Pourquoi faut-il le défendre ? Où sont les archives des savoir-faire ?Comment sont perçus les métiers d’art aujourd’hui ? Comment est organisée aujourd’hui la formation des jeunes générations ? (De(ux) mains, etc)Vers quelles entités se tourner quand on s’intéresse à ces métiers ? CommunicationComment orienter la communication quand on navigue entre élitisme (au sens, adressé à des privilégié·es) et démocratisation de ces sujets ?Comment valoriser l’exception à l’ère du luxe industriel ?Le site du Comité Colbert : https://www.comitecolbert.comLe site de The Good Goods : https://thegoodgoods.fr/The Good Goods sur Instagram : https://www.instagram.com/thegoodgoods.fr/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Nelly Rodi fondatrice de l'agence éponyme pour parler de la prévision de tendances, de l'évolution du métier et ses enjeux en 2024. #EXPERT NellyRodi, Peut-on encore prédire la mode avec quelques saisons d'avance ? Lire l’avenir dans le présent.Pas une diseuse de bonaventure ni de prophéties auto-réalisatrices.Nelly Rodi est un être hypersensible qui a réussi l’exercice brillant non seulement d’en faire un métier mais d’imposer son entreprise au monde entier, aujourd’hui leader dans la prévision de tendances pour l’industrie au global ou des clients en particulier, qui attendent les cahiers de tendance, osons le dire, comme le messie.Si Nelly Rodi  et ses collaborateurs collectionnent et ordonnent les indices qui feront peut-être le futur de nos dressings, cette grande dame de l’habillement, de la décoration, de la cosmétique, ou encore de l’art de vivre, puise également ses inspirations dans la variété grandiose de ses souvenirs. Dans le livre qui sort cette année, intitulé « Quelques saisons d’avance » aux éditions Bouquins, on se plonge avec délice dans les détails parcimonieux d’une vie foisonnante de rencontres et d’expériences humaines et créatives extraordinaires.C’est pourtant bien, les pieds sur terre que l’on revient - à l’aune des affres du climat - avec des questions cartésiennes et une certaine jalousie quant à l’insouciance que le monde d’avant a seul pu connaître.Qu’est-ce qu’une tendance à l’heure du tout digital et des collections hebdomadaires, des marques de fast fashion ?Si les cabinets de tendances sont des guides pour les marques de mode, est-il possible d’utiliser leurs pouvoirs en faveur d’une transformation sociétale, vers un développement durable ?Et peut-être plus sérieux entre encore : peut-on diluer la créativité dans l’overdose ? Auquel cas, la mode dessert-elle son propre propos ?Puisqu’à n’en pas douter, vous resterez comme moi sur votre faim après cet épisode, foncez vous procurer une copie du livre de Nelly Rodi, « Quelques saisons d’avance » en ligne ou dans toute bonne librairie, et d’ici là, bonne écoute  !Bonne écoute ! The Good Goods : https://thegoodgoods.fr/Instagram : https://www.instagram.com/thegoodgoods.fr/NellyRodi l'agence : https://nellyrodi.com/agence/ Le livre de Nelly Rodi, quelques saisons d'avance : Trame indicative de l'épisodeA propos de Nelly Rodi avant NellyRodiLes grandes tendancesVotre radarCahier de tendances, produit phare de NRScaler la méthodeLe futur des prévisionnistes de tendanceLe futur de la modeOuverture Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Parler les codes du luxe pour mieux les réinventerCette conversation réunit deux entrepreneurs qui œuvrent au quotidien pour transformer le luxe en profondeur. Dorothée Contour et Nicolas Freudiger ont fondé respectivement une marque de joaillerie - JEM pour Jewellery Ethically Minded et d’horlogerie, ID Genève Watches avec une approche radicalement différente des industries conventionnelles. Le but n’est pas de lutter contre mais plutôt de proposer une voie alternative exemplaire qui s’appuie notamment sur un sourcing révolutionnaire : de l’Or certifié Fairmined et de l’acier recyclé.Cet échange a été enregistré en direct d’une soirée dans la boutique JEM au 10 rue d’Alger dans le 1er arrondissement de Paris. À deux pas de la Place Vendôme, portraits de deux activistes de luxe qui en parle les codes pour mieux les réinventer. Bonne écoute ! The Good Goods : thegoodgoods.frID Genève Watches : https://fr.idwatch.ch/JEM : https://www.jem-paris.com/Trame indicative de l'épisodeTEMPS I LE CONCEPTDorothée  Entreprendre et vouloir bien faire ou entreprendre pour changer ce qui est mal fait. Quelle est la genèse de JEM ?Quels constats sur cette industrie ?NicolasQuelques chiffres sur l’industrie de l'horlogerie ?Le déclic qui t'a poussé à l'entrepreneuriat à impact ?Quelle est la genèse de ID Genève Watches ?Pourquoi avoir choisi un produit clivant plutôt que de travailler à la transformation d’une Maison ? A tous les deux Pourquoi l'industrie du luxe plutôt qu’une autre ? Quelle est sa responsabilité dans la mutation de notre société ? Quelle est votre propre définition du luxe ?TEMPS II LES FAITSDorothée  Concernant le sourcing de l’Or, quelles sont les possibilités aujourd’hui ? Tu as choisi Fairmined, que garantit ce label ? Qui en est à l’origine ?Peux-tu illustrer concrètement ce réseau ?On entend beaucoup parler d’Or recyclé, quel est ton avis sur ce sujet ?A partir de l’Or, peux-tu dérouler ta chaîne de valeurs ?NicolasSourcer ses matières dans une déchetterie... Racontez-nous.Comment est transformée la matière ? Quelle différence en terme d’impact ?DorothéeL’Or ... Quid des autres matières ?Quels choix avez-vous faits et pourquoi ?Nicolas Quel est le cahier des charges du sourcing pour les autres composants chez ID Genève ? Quels sont vos critères de mesure d’impact pour trancher ?Pour vous deuxL’envers du décor des choix engagés, quel est-il ? Les critères écologiques répondent-ils facilement aux attentes design et fonctionnalité sur un produit de luxe ? TEMPS III LA SCALABILITÉKPIs Financiers et extra financiers ?Prochaines étapes à 5 ans, à 10 ans ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Anne-Cécile Violland, Députée de Haute-Savoie et porteuse du projet de loi pour restreindre la fast et l'ultra fast fashion, et Yann Rivoallan, Président de la Fédération Française du Prêt-à-Porter Féminin, pour parler en détails de la loi adoptée à l'unanimité à l'Assemblée Nationale le 14 mars 2024 et de la procédure accélérée de validation par le Sénat. Qu'attendre de la loi contre fast et ultra fast fashion ?Le 14 mars 2024, la proposition de loi n°2129 visant à réduire l’impact environnemental de l’industrie textile a été adoptée à l’unanimité à l’Assemblée Nationale, après examen des nombreux amendements déposés entre temps. Dans cet épisode, on tente de décrypter le projet : qu’implique ce texte ? Que faut-il comprendre lorsqu’on lit “la loi fast fashion a été adoptée !” ? Vivons-nous vraiment un moment historique ? Avant toute chose, il est utile de tempérer en indiquant que nous ne sommes qu’au début du chemin. Le texte doit maintenant être voté par le Sénat. C’est précisément cette fenêtre de tir qui nous intéresse : pour qu’il soit voté, à bon escient, sans être défigurée, et qu’on n’y ajoute les amendements nécessaires pour contraindre efficacement un modèle d’hyper production de vêtements, bas de gamme insoutenable, c’est le moment de débattre, et avant cela, de comprendre.Dans cet épisode de l’honneur de recevoir, Anne-Cécile Violland, Deputée de la Haute-Savoie et porteuse du projet de loi adopté, et Yann RIVOALLAN, président de la fédération française du prêt-à-porter féminin. Très bonne écoute !Trame indicative du débat Comment expliquez-vous le vote à l’unanimité ?Genèse du projet de loi Avec qui vous l’avez construit ?Résumé du projet de loiLe paysage actuel de la modeUn point sur l’ultra fast fashionCette loi fait-elle débat chez les marques et pourquoi ?Le projet Qu’est-ce qu’une référence ?Le seuil de quantités (maxima) Les critères de durabilité La question du devoir de vigilance est-elle ou sera-t-elle intégrée ?Fiscalité PublicitéPropriété intellectuelleImpacts sur la santéSensibilisation du consommateur ?Que signifie la procédure accélérée ?Le site : https://thegoodgoods.fr/Notre newsletter hebdomadaire : https://www.thegoodgoods.fr/newsletter-hebdo/Notre newsletter mensuelle hors-série : https://www.thegoodgoods.fr/newsletter-hors-serie/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Promod : évolution, mode d’emploi et partage open source d’une grille d’éco conceptionCet épisode vous propose de mettre de côté les fausses croyances sur la mutation des groupes historiques. Parce qu’il est possible d’être sorti du Black Friday depuis 4 ans et de s’y tenir avec fierté, de réduire le nombre de références proposées et les volumes en général, et non seulement de générer de la croissance mais de majorer sa rentabilité. Zoom au sein de la stratégie discrète et non moins efficace de repositionnement vertueux du groupe Promod, où la culture du changement émane à la fois du dirigeant et des collaborateurs, où les outils de la transformation sont partagés en accès libre, comme la grille d’éco-conception Open Source développée par Promod et téléchargeable gratuitement au reste d’une industrie que l’on aimerait voir changer profondément. Parce que - si vous en doutiez encore, la pérennité des marques de mode est intimement liée à la sincérité de leurs engagements. Démonstration avec Julie Dumont, Juliette Rimbault et Julien Pollet, dans cet épisode d’ON(WARD) FASHION.Télécharger la grille d’éco-conceptionInvité·esJulie Dumont, Styliste spécialisée RSE / PromodJuliette Rimbault, Chef de projet RSE / Promod Julien Pollet, Président / Promod Télécharger la grille d'écoconception : https://www.areyounet.com/runet/client/Reponse?i=654925306&s=B4E2F5C2Trame indicative de l’épisodeTélécharger la grille d’éco-conceptionJulienQui est Promod ? L’histoire de la marqueParcours personnel avant la reprise ? Rapport à la mode, au produit  Programme de reprise en 2017Arrêt sur image en 2018 : quels constats et quels redirections ?Les valeurs de l’entreprise Quelques données (collaborateurs, CA, pièces mises en marché chaque année, parc retail, autres)L’éco-conceptionJULIETTEParcours de Juliette, formationComment est organisée la confection ?Quelle est la définition d’un produit responsable pour Promod ? De l’éco-conception ? La fonction d’usage ?Organisation de la RSE et de la formation continue, liberté d’initiative chez Promod (RH)JulieParcours Formation sur ces sujetsGenèse du mouvement d’éco-conception Vos “rituels”, vos formations ? Un atelier en exemple. La Grille d'Éco-conception en détailsConcept, critères et pondérations, usage, améliorationsConcerne-t-elle aujourd’hui tout produit développé par Promod ?Illustrez son fonctionnement en routine Comment sont accueillies les contraintes ?Quels sont les désenchantements ? Compatibilité avec le juridique (AE/DPP)Pourquoi l’open source ? Un mot sur la traçabilité, les ACVStratégie RSE globaleKPIsModèles circulaires viables Favorables ou défavorables à la rentabilité ?Transformation des parties prenantes externes ?Qu’attendez-vous de la part des politiques ?La communication au sujet de la transformation Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Produits toxiques dans la mode : qu’est-ce qui nous colle à la peau ? Alden Wicker est une journaliste primée. Elle a signé diverses enquêtes pour le New York Times, Wired, Vogue Business et bien d'autres grands médias. Elle est la fondatrice et éditrice d'EcoCult, un site web d'information international renommé sur les impacts de la mode et les alternatives durables. Elle effectue des recherches pour des organisations à but non lucratif, à la recherche de réponses pour faire progresser l'industrie. Elle est également auteure d'un livre publié en juin, "To Dye For", au sujet des polluants toxiques contenus dans nos dressings.Les vêtements peuvent-ils nous rendre malades ?C’est un fait : la plupart d’entre nous ont pris l’habitude de vérifier les étiquettes des ingrédients sur nos aliments ou nos produits pour la peau. Mais qu’en est-il de nos vêtements ?"Entretien facile", "Infroissable", "Déperlant" ou "Anti-tâche", "Séchage rapide", "Anti odeurs"… Si vous retournez la petite étiquette au dos du col de votre t-shirt, vous ne trouverez pas beaucoup d'informations, en dehors du pays de fabrication et de la composition textile. Rien sur les produits chimiques utilisés pour garder le vêtement résistant et éclatant. Le plus inquiétant ? L’industrie elle-même l'ignore.En tant qu’entreprise, à quel point connaissez-vous ce que vous vendez ? Et jusqu'où y êtes vous tenus, au regard de la loi ?Qui au sein d'une marque de mode décide que les bénéfices des performance esthétiques ou techniques d'un produit chimique sont supérieurs aux risques représentés par les effets secondaires potentiels sur la santé des consommateur·ice·s ?Dans cet épisode, nous recevons Alden Wicker, pour explorer ce sujet vaste et assez effrayant. Durant 45 minutes d'échange lors de l'édition de février 2024 de Première Vision Paris, nous tentons de répondre en direct à la question suivante : Comment nous - à la fois membres de l'industrie de la mode et consommateur·ice·s - avons nous fini par porter des vêtements infiltrés de produits chimiques potentiellement toxiques, et de quelles options disposons nous pour nous en sortir ?Episode en anglais.https://www.premierevision.com/Trame indicative des questionsSur votre parcours et vous Sur votre éthique et vos méthodes de travailSur le thème du livreSur les solutions* Que pouvons-nous faire en tant que citoyens pour nous protéger, notamment les plus fragiles ?* Que pouvons-nous faire en tant que militants individuels ?Dans une économie mondialisée, la plupart des acteurs de l'industrie ne voient pas les effets mortels que nos choix de mode ont sur les autres. Comment agir :* En tant que marque ?* En tant que fournisseur ?* En tant que média ?Mais la réglementation arrive. Traçabilité et ACV sont deux mots importants que l’on peut entendre chuchoter dans l’espace Smart Tech de ce hall. Qu’est-ce qui est au menu des politiques ?* Aux Etats-Unis?* En Europe?Vous êtes actviste pour une mode durable depuis plus d’une décennie. Pour vous, la santé est-elle un nouveau chapitre de notre activisme, susceptible de conduire à des changements plus concrets et significatifs ?Quelles sources recommanderiez-vous pour nous former continuellement, en tant que professionnels, à part Ecocult bien sûr ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Se nourrir, se soigner, s’habiller et construire.Le chanvre est une plante multipotente : elle sait tout faire. Des bâtiments, des soins du corps, des huiles comestibles riches en acides aminés essentiels mais aussi une matière textile qui trône sur la première marche du podium de l’épargne énergétique. Plus fashion que fumette, on vous fait grâce du second degré sur la notoriété première de ses feuilles, pour mieux vous raconter pourquoi et comment, plus que jamais en 2024, il faut la cultiver et la porter. Pour cet exercice, j’ai la joie d’accueillir une personne exceptionnelle au parcours pour le moins éclectique. Vincent Lartizien est tombé en amour pour cette plante, là encore, une fois n’est pas coutume, sous le charme de son intelligence davantage que celui de sa plastique. Plastique, que dis-je, l’idée est ici précisément inverse : il s’agit d’en sortir, de rompre avec la pétrochimie grâce à cette alternative de vertu. Créer une filière chanvre puissante en France n’est pas un long fleuve tranquille. Ça tombe bien, Vincent est un enfant des vagues. Pour démarrer l’année, je vous propose le portrait d’un homme qui joue dans la houle, au sens propre comme métaphorique de l’entrepreneuriat.Bonne écoute !Trame indicative de l'épisodeINTRODUCTIONLES CHANVRES DE L'ATLANTIQUELE CHANVRE TEXTILELE CHANVRE ALIMENTATION ET SANTÉLA VISION DU FUTUR Références citéesThe WorkMake me a man Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les perturbateurs endocriniens : état des lieux et leviers d'action, Dr Mélanie PopoffCet épisode a pour moi une saveur un peu particulière. Peut-être qu’on peut commencer par faire un gros clin d’œil au CHU de Nice qui risque de se marrer en regardant cette vidéo.Mélanie on est toutes les deux niçoises. On a fait nos six premières années de médecine, au même endroit, notre internat ensemble à Paris. Sans pouvoir le dater précisément, c’est aussi à peu près au même moment qu’on a éveillé notre conscience écolo féministe entre apaisement de comprendre et la rage de savoir, qu’on a bâti des ponts - entre la justice sociale, la santé environnementale et la lutte nécessaire contre un système patriarcal archaïque qu’on s’échine depuis à réinventer.Assez tôt, toi et moi avons partagé la sensation que, dans cet exercice médical qu’on avait tant souhaité, qui nous avait tant coûté mais qui nous a aussi tellement offert, il y avait une dissonance.Liz Gilbert parle de "inner compass", cette aptitude qu’a le corps malgré nous a tirer la sonnette d’alarme de l’inconfort dans une situation que la société considère être « normale ».Ça non plus, paradoxalement la médecine ne nous l’apprend pas. Pas assez de temps de qualité avec les patient·e·s, mauvaise communication au sein des équipes ou avec les familles, qui amène de la souffrance au travail, et une mauvaise observance dans la maladie, précarité des moyens publics - institution mère qu’on aime tant - cerveaux exsangues jusqu’à, paradoxalement amener à une diminution globale de l’état de santé, même dans les pays occidentaux, où la recherche est luxuriante et la technologie est de pointe.Toi aussi tu t’es dit, à un moment donné, que ton rôle de médecin et tes compétences seraient davantage utile aux êtres humains bien sûr, mais au vivant en général, à une échelle préventive.N’est-il pas en effet plus sensé de vouloir prévenir l’arrivée des maladies plutôt que de les guérir ?Alors toi aussi, il y a quelques années, tu as quitté les rangs de l’exercice conventionnel, tu es Docteur spécialiste en médecine physique et rééducation, désormais experte en médecine environnementale, telle que nous allons la définir dans ce podcast.  Non sans remise en cause de la norme du statut social ni avoir à reprendre de façon informelle des études non diplômante, au sujet de ce que l’enseignement conventionnel ne t’avait pas appris : Les conséquences de la pollution sur la santé des populations... Avec supplément sans nuit blanche et vastes périodes d’éco-anxiété et parfois l’envie de tout envoyer bouler.Aujourd’hui, tu n’as rien lâché et tu es même au cœur de cet exercice de médecine préventive, en tant que médecin scolaire du groupe Paris Est, conférencière et autrice de ce livre qui vient de sortir aux éditions Rue de l’Echiquier : "Perturbateurs endocriniens, on arrête tout et on réfléchit".Indépendamment du bien-fondé de cet essai et de la nécessité absolue pour moi de lui donner  maximum de visibilité, je suis personnellement très émue par le moment qu’on s’apprête à vivre ensemble, et fières de nous. Merci Mélanie, bienvenue dans ON(WARD) FASHION. Trame IndicativeINTRODUCTIONMÉDECINE ET CLIMAT, MÉDECINE ET POLLUTION ENVIRONNEMENTALELES PERTURBATEURS ENDOCRINIENSFOCUS SUR LES VÊTEMENTS ET LE TEXTILEAGIR/SE PROTÉGERA L'ECHELLE CITOYENNEA L'ECHELLE DE L'ENTREPRISEA L'ÉCHELLE LÉGIFÉRANTSA L'ECHELLE PROFESSIONNEL·LE DE SANTÉ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Léa Gillet, Présidente et cofondatrice de Trace For Good, logiciel de traçabilité automatisé pour l'industrie du retail.La traçabilité est le mot d’ordre de l’industrie de la mode pour la décennie à venirLa traçabilité permet de savoir quand, où, comment et par qui un produit a été fabriqué. Il s’agit d’un enjeu de transparence désormais imposé par la loi, auquel les marques ne peuvent plus se soustraire. Examiner sa chaîne d’approvisionnement permet bien sûr d’entrer en conformité avec les textes en vigueur mais les bénéfices sont en réalité multiples, de l’amélioration franche de l’image de marque à celle du recrutement et de la fidélisation des talents, sans compter la confiance grandissante des clients finaux. Oui mais voilà, l’exercice de traçabilité est par excellence celui qui illustre que la RSE est une course de fond inscrite dans le temps long. Heureusement, pour que sa mise en œuvre soit simplifiée et son usage automatisé et industrialisable, des entrepreneurs de la tech à impact sont sur le pont, pointu·e·s et passionné·e·s. C’est le cas de Trace For Good, une startup française qui propose une plateforme de traçabilité et de gestion de données RSE pour les marques et les fournisseurs de l’industrie retail. La data au service du bien commun, c’est la mission de Léa Gillet, cofondatrice et présidente de Trace For Good. Le site Trace For GoodTrace For Good, la tech au service de la traçabilité automatisé et conforme aux lois en vigueurTrace For Good est une solution SaaS (Software as a service) conçue comme un logiciel de comptabilité et de gestion des data relative à la RSE (Responsabilité Sociétale d’une marque). Un outil co-construit avec les marques de l’industrie mode retail, optimisé pour une prise en main des parties prenantes internes et externes (fournisseurs) de l’entreprise, offrant une automatisation et une industrialisation des processus d’entrée et de sortie des informations relatives à un produit ou une collection. Trace For Good est un logiciel paramétrable selon la typologie de produit et sa complexité, les certifications des différents acteurs de la chaîne de valeurs, les exigences réglementaires avec lesquelles entrer en conformité (Loi AGEC, PEF-CR, UFLPA, etc). Il en résulte une note globale avec highlight des points de vigilances sur la supply chain, des reportings et certificats générés de manière automatisée. Le site Trace For GoodTrame Indicative INTRODUCTIONPRÉSENTATION GLOBALE, HISTORIQUE, CONTEXTEMARCHÉOFFRE B2B : CASE STUDY - HIGH END FASHION BRAND 200M CA FORMATION ET COMMUNICATIONCLÔTURE Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
ONWARD FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Samy Ziani, cofondateur de Hast, une marque engagée créée par 3 amis en quête de croissance maîtrisée et intransigeants sur la qualité. #MARQUE HAST, le choix délibéré d’une croissance maîtrisée à l’heure de la mode (ultra) rapideFaire bien et croître organiquement, étude de cas en transparence avec HastHast est une des rares marques de mode engagée qui n’en a pas l’air. La raison est simple : depuis 2012, elle place le service rendu au style masculin au cœur de son propos, gageant que la qualité n’est pas un sujet sur lequel transiger, et que la fabrication responsable ne saurait constituer un argument marketing. Plus rare encore, elle est cofondée par trois bootstrappers, comprendre : des entrepreneurs qui développent une croissance maîtrisée, sans lever de fonds ni ambition de revendre à court terme leur bébé des dizaines de millions. La startup nation, ils y sont allés à leur rythme et en toute discrétion, avec une stratégie mixte en ligne puis en boutique, presque pas de revendeurs, une équipe unie qui grandit et des clients dont la fidélité avance avec l’âge. Forte et tranquille dans la tempête, économique comme climatique ou encore réglementaire à l’approche de l’affichage environnemental qui arrive. Il y a certaines marques dont le story proving supplante le storytelling, le premier des deux n’étant pas sponsorisable sur les réseaux. Je suis d’autant plus ravie de faire de la place à Samy pour nous parler de Hast aujourd’hui. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
ONWARD FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Timothée Parrique, Docteur en économie, pour comprendre la théorie de la décroissance et comment envisager l’appliquer à l’industrie de la mode.Timothée Parrique, comment appliquer la décroissance à l’industrie de la mode ?L’hypercroissance, c’est ce vers quoi l’on tend.La croissance verte ou le découplage, c’est la formule qu’on aimerait appliquer à nos habitudes pour ne rien changer sauf notre empreinte sur le climat (spoiler, ça ne marche pas).La décroissance ou post-croissance, c’est la voie théorique qu’il faudrait prendre maintenant dans un virage en épingle pour éviter le mur qui nous attend et vers lequel on semble aller consensuellement. Elle consiste à ralentir et, sans rebrousser la route du progrès, emprunter des chemins de traverses au décor aguicheur : de sentiers où l'on travaille un peu et l’on vit beaucoup, où l’on partage le gâteaux des richesses équitablement entre la société civile et les attributs de la chose commune (la république), comme l’accès aux soins, l’éducation, les transports et la culture ; où les écarts de richesses sont gommés en même temps que les sursauts catastrophiques du climat ; où l’on n’a pas peur que ses enfants soient “born in whatmille PPM” et de ce qu’il adviendra de la démocratie quand ils et elles auront l’âge de s’en soucier. Vous aussi, j’imagine que ça vous fait rêver. Seulement voilà, j’ai un problème : je ne sais pas comment y aller. La route n’est indiquée nulle part et j’avance à tâtons dans ma quête intersectionnelle, faite de plus de justice sociale, d’homéostasie du Vivant et de bien être mental, tout simplement. Je passe mes journées à chercher des solutions qui ne soient ni des leurres ni pétries d’effets rebond pour guider des client·e·s volontaires mais pas beaucoup plus avancés dans un quotidien de de buzzwords et d'éco-anxiété. En 1927, Francis Scott Fitzgerald écrivait dans une lettre “Dans la nuit noire de l'âme, il est toujours trois heures du matin. Ni le feu ni la glace ne sauraient atteindre en intensité ce qu'enferme un Homme dans les illusions de son cœur.” La décroissance pour moi, c’est un peu ça : entre les méga incendies et le permafrost qui se barre, mon cerveau sait par cœur que c’est pour l’instant une illusion. Alors dans la nuit, je cherche au loin un phare ou la lueur amie d’un chercheur éclairé. L’un d’entre eux s’appelle Timothée Parrique. Docteur en économie, il est l’auteur du best seller “Ralentir ou périr - L’économie de la décroissance”, extension vulgarisée d’une thèse primée qui chahute. S’il s’appuie sur des chiffres, je le dirais tout aussi philosophe, présentant un travail hybride, à la fois très pragmatique et imagé par des exemples concrets, et interrogeant profondément notre humanité et ce qu’il reste de nos imaginaires cabossés par le réel. Bien qu’ayant enregistré en pleine journée, vous constaterez dans cet épisode que je navigue à vue, la pensée laborieuse et le propos confus, un peu par la fatigue, beaucoup par conflit intellectuelle, convaincue de la destination mais larguée dans l’itinéraire. J'en retiens une lueur éternelle : l’insatiable envie d’apprendre et de partager, en tendant mon micro aux sachants qui ouvrent cependant perpétuellement une voie : celle du possible et du différemment. En attendant que la structuration d’un modèle de croissance divergente, maîtrisée, homéostatique fasse son chemin dans mes pensées, je fais place à Timothée Parrique. Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une table ronde entre Shein/Peter PERNOT-DAY, Forces françaises de l'industrie/Laurent Moisson et 1083/Thomas HuriezLes prises de parole publique des représentants de Shein sont rarissimes. L’empire chinois de l’ultra fast fashion cultive le mystère en toutes choses : ses chaînes de valeurs, l’origine de ses matières, ses actionnaires et levées de fonds, son entrée potentielle à Wall Street cet hiver. Et pour cause, la connaissance étant le pouvoir, la révélation des piliers stratégiques représente un risque d’affaiblissement commercial et, dans le cas de la marque, d’attaques juridiques pour des motifs qui vont de pratiques anti-concurrentielles aux fausses allégations promotionnelles ou environnementales.A l’affût du moindre indice qui révèlerait la faille d argile dans le colosse, je me frottais les mains à l’annonce d’une table ronde entre le directeur de la stratégie et des affaires publiques de Shein, Peter PERNOT-DAY, Laurent Moisson le cofondateur de l'association Forces françaises de l'industrie et Thomas Huriez président de la marque française 1083.L’âpreté du réel a eu raison de ma naïveté : on s'attendait à un combat de titans, on reste bredouilles et désarmé·e·s face aux messages marketing déclamés comme un robot par un représentant ultra média trainé dont le discours est lisse. Jules Renard écrivait « C’est dans la contradiction que nous sommes féconds ». Ici, nous ne repartons malheureusement avec rien de constructif. Car on peut opposer les bons et les méchants, structurer une confrontation honnête sur un argumentaire bilatéral, construit, rationnel et fondé sur des preuves (un nombre de références proposées chaque année, un bilan carbone, l'origine de ses matières premières, une lisibilité de ses chaînes de valeurs...), mais on ne peut pas faire de prise sur une surface sans relief : celle d'un discours corrompu.En dehors de vagues notions en faveur de l’implémentation de corners seconde main dans les boutiques Forever 21, marque de fast fashion à l’imposant parc retail rachetée par Shein qui met en pied dans la vie réelle après avoir inondé le digital, en dehors de circuits de production évoqués au Brésil et en Turquie, rien de nous permet d’espérer une once de bon sens et d’humanité dans les déclarations de Shein. Cela renforce la nécessité absolue de faire passer des lois qui restreignent drastiquement ses actions et le modèle plus général de l'ultra fast fashion. La discussion était modérée par Sophie Baqué, rédactrice en chef de Mind Retail. La qualité du son, capté avec un téléphone, n’est pas optimale et nous vous prions de nous en excuser, archiver ce débat et le partager nous semblait important.Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Losanje, la marque d’upcycling made in France qui promet le passage à l’échelleL’upcycling de stocks de vêtements post-consommateurs est une activité en plein développement. Les marques qui s’en emparent sont souvent remarquées pour leurs prouesses créatives, et l’aspect caractéristique des pièces transformées comme des composites à la méthode de confection identifiable : on découd deux vêtements, préférentiellement à motifs, que l’on assemble avec le parti-pris d’assumer ce que l’on pourrait qualifier d’une “renaissance visible”. Mais derrière le buzz Instagram de quelques créateur·ice·s star comme Nicole McLaughlin ou Bethany Williams, se cache une réalité économique et industrielle toute autre : chiner un vêtement, le démontrer, créer un nouveau patron et unique à chaque fois, en circuit court et dans un pays occidental, c’est long, technique, peu reproductible et ça coûte excessivement cher en main d’œuvre. Pour survivre ? Il faut vendre des créations au prix d’œuvre d’art artisanal (ce qu’elles sont, quelque part). Pour déployer les vertus écologiques de la méthode à grande échelle et sortir des collections capsules des grandes marques, qui mettent la poussière sous le tapis du greenwashing ? Il faut s’accrocher et innover. La méthode choisie par notre invité. Simon Peyronnaud est le fondateur de Losanje, une marque d’upcycling d’abord B2C qui déploie son offre B2B, après avoir constaté le potentiel majeur de cette méthode de revalorisation et le manque de solution pour un passage à l’échelle : collecter en série des vêtements finis invendus ou post-consumers, les découper grâce à une machine dédiée, actuellement en cours de R&D, patronner grâce à l’association des compétences d’humains experts et d’une IA pilotée au service du bien faire.  Le tout en ayant à cœur de faire vivre et ré-industrialiser une région centrale de France, la Nièvre. Un échange rempli de bon sens, d’inspirations positives et de nouvelles réjouissantes pour demain. Place à Simon. Bonne rentrée à vous et bonne écoute ! INTRODUCTIONGENESEL’UPCYCLINGLOSANJE B2CDétailler la chaîne de valeurs : Quel est le rythme de vos collections ? Comment fixez-vous vos prix ? Quel est l’ADN créatif de la marque Comment avez-vous lancé la marque B2C (stratégie de communication, vente digitale, physique)Comment cette technique est-elle reçue par le grand public ? Est-elle comprise ? Quels sont tes enseignements pour une communication pédagogique et non culpabilisante ? B2BShift Directeur Technique Est-il possible de passer à l’échelle ? Comment structurer la production ? Avez-vous eu besoin de former vos collaborateur·ice·s ? Recrutez-vous ?Part du mécanique/machine et de l’artisanal/humain ?Qu’est-ce qui change côté sourcing ? Qui vous approche ?Comment se passe l’onboarding avec une marque de grande envergure qui vous adresse sa problématique ? (coûts, équipes chez vous et chez eux, etc)Y’at-il des produits qu’on ne peut pas transformer ? Un exemple de collaboration ? Comment accompagner les marques dans leur communication à ce sujet, sans greenwashing ?L'upcycling, n’est-ce pas une solution pour tacler l’hyperproduction. Est-ce temporaire pour éponger les stocks ? N’y a t’il pas un risque d’effet rebond ? L’écoconception peut-elle favoriser une meilleure fin de vie/nouvelle vie des vêtements, si oui comment ? Quels sont les grands challenges à venir pour la marque ?  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Happy Green par Mondial Tissus, une journée d’ateliers et de talks sur l'upcycling et la seconde mainDeux tables rondes captées live et retransmisses lors du Happy Green, une journée d’ateliers et de talks organisée par Mondial Tissus, autour de l'upcycling et de la seconde main pour une industrie textile durable, dédiée à la presse et à des talents couture. Vous allez successivement entendre des discussions autour de l’upcycling et de la seconde main, des alliés créatifs pour prolonger la durée de vie des vêtements à travers l’entretien, la personnalisation et l’intégration de mœurs circulaires tant du côté des marques que des citoyens. Au programme :Comment prolonger la durée de vie de ses vêtements grâce à l'upcycling et à la réparation ? Une table ronde qui reçoit Daphnée Grembeeguiam, cofondatrice de Resa, Mona Taschini, TILLI, Teresa lesoubliesduplacard et Marine Nagel-Lacroix de Mondial TissusComment allier seconde main et personnalisation pour un dressing aussi désirable que responsable ? Une table ronde qui reeçoit Rino Coletti cofondateur de Violette Sauvage, Virginie Belle de l'Association Tremplin, Céline de Maison CEE et Marine Nagel-Lacroix - Mondial TissusBonne écoute !  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un épisode avec Valentin Porcher et Mathieu Sorosina, fondateurs d’OlowCette tenue raconte… si vous êtes déjà allé faire un tour sur mon compte Instagram perso, vous avez peut-être vu passé un selfie de moi dans l’ascenseur dans une pose caractéristique, avec ce hashtag, #CetteTenueRaconte, qui décrit le message porté par ma tenue du jour. Le vêtement est pour moi, avant toute chose, l’exercice d’expression de soi plus démocratique, offert à toutes et à tous chaque matin. Et voilà bien un des grands travers du prêt-à-porter et de la fast fashion en particulier : à force de vouloir copier tout le monde et de changer de looks toutes les 24h, on ne sait plus vraiment qui l’on est ni comment l’exprimer à travers notre style. D’ailleurs du style, peu de personnes en possèdent et paradoxalement plus on s’échine à suivre des comptes de gens qui en ont, plus on se perd esthétiquement générique. Parce que le style commence à l’intérieur, par la connaissance de soi, de ce qui nous plaît, de ce qui nous va, de ce dans quoi l’on est à l’aise au monde, mais aussi ce que l’on défend. Des valeurs artistiques, politiques, militantes pour la condition féminine ou toute autre forme de justice sociale. Cela passe bien sûr par une esthétique (arborer un croptop en crochet rose quand on est un homme) mais aussi par des choix fonctionnels (ne pas porter de soutien gorge, assumer un costume 3 pièces n’importe quel jour de l’année) et bien sûr, des choix financiers. Je choisis d’acheter plus cher une matière parce qu’elle est écologique, je choisis de soutenir une confection équitable pour l’ensemble des parties prenantes, je choisis de soutenir une marque dont je partage les engagements pour un monde plus juste. Le style, ce sont des dizaines et des dizaines de messages codés que l’on peut décrypter chez l’autre ou faire passer avant d’ouvrir la bouche. Celui de mes invités du jour ? Ils racontent 17 années d’entreprenariat et 25 d’amitié. Il raconte que l’on peut monter une marque de mode à succès en ayant grandi dans un milieu populaire sans lien avec le business ou les vêtements. Ils racontent que les enfants que l’on initie à l’art au plus jeune âge sont plus créatifs et débrouillards et vraisemblablement plus à même de cultiver l’émerveillement quand ils sont grands. Ils racontent que l’on peut s’habiller avec des valeurs philo-éthiques, militantes politiques et artistiques, en enfilant une veste OLOW. Il raconte que même en pleine crise économique, énergétique, d’approvisionnement, de confiance et de sens, il est possible d’être une marque pérenne distribuée par 300 points de vente physique dans le monde et qui ouvre une deuxième boutique comme un lieu de vie, de partage, aux principes écologiques chevronnés et qui cartonne.Cet épisode raconte Olow par ses fondateurs, Mathieu et Valentin.Bonne écoute !https://www.instagram.com/we_are_olow/https://www.olow.fr/fr/Trame indicative de questionsIntroductionEntrepreneuriat Création/collaboration artistiquesDistribution/Communauté Vie d’équipes Olow dans 10 ans ? https://www.instagram.com/we_are_olow/https://www.olow.fr/fr/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vinted, faire de la seconde main le premier choix, avec Natacha Blanchard Après 15 années, Vinted fait évoluer les marqueurs de succès. Exclusivement basé sur des paramètres financiers jusqu’à il y a encore quelques années, les outils de mesure évoluent, incluant les émissions de CO2, l’équité sociale et une gouvernance juste. Si nous avons intuitivement la conviction que la seconde main et la circularité en général sont un meilleur choix écologique, pour en avoir le cœur net, il faut mesurer. En commissionnant un expert indépendant pour son Rapport sur l'Impact Climatique Vinted cherche à comprendre l'impact réel de la seconde main et d'apporter des chiffres d'envergure qui manquaient pour mesurer ses actions. La publication des résultats du Climate Impact Report 2023 marque l’entrée de Vinted dans la catégorie des grands acteurs de l’e-commerce engagé, cherchant à rendre crédibles et mesurables ses actions, année après année, en faveur d’une économie circulaire à l’impact réellement positif. Retour sur le Rapport sur l'Impact Climatique de Vinted et les enseignements tirés pour l’entreprise comme les 80 millions de membres à travers le monde avec Natacha Blanchard, Global Consumer PR Lead.Trame de questionsPrésentationParcours Votre rapport à la seconde main ?VINTEDHistorique : origine de l’idée, fondateurs & background (e-commerce ?), date de création, à qui appartient la marque ?Grandes étapes/jalons depuis la créationPromesse de la marque/Raison d’êtrePourquoi s’être positionné d'emblée sur un modèle C2C ? Comment a évolué l’offre de service B2C ?Combien de collaborateur·ice·s, répartition géographiqueCoût moyen des transactionsAudiences/Membres (âge moyen, répartition géographique)Profils de transactions selon les pays ? Les continents ? Les âges, les genres ? Quelles sont les différences notables ? MARCHE : SECONDE MAIN EN GENERAL DEPUIS 15 ANSPaysage concurrentiel digital ?Évolution du marché et de votre activité, particulièrement depuis le COVID ?Cette croissance est-elle selon vous une tendance de fond, si oui, par quels facteurs l’expliquer ?L’hypercroissance de ce marché est notamment corrélée à l'hyperproduction globale de l’industrie de la mode : Avez-vous remarqué une baisse de la qualité des produits/une augmentation de la part de l’ultra fast fashion dans les biens mis en ligne ? Si oui, réfléchissez-vous à une manière de réguler cela ? Par quels moyensLE RAPPORT D’IMPACT CLIMATIQUEPourquoi avoir fait un Rapport d’Impact Climatique ? Quelle a été la méthodologie suivie ?Quels étaient les outils de mesure ? Les résultats Y’a-t'il eu une ou des surprises ? À qui sont destinés les résultats ? Quelles mises en action en découlent ?COMMUNICATION Quels conseils/recommandations pour un usage de la plateforme/des transactions responsables ? (Détailler les différents conseils)Allez-vous adapter la communication, la sensibilisation ? Comment accompagner sans culpabiliser ?Allez-vous réitérer cette étude, à quel rythme ?RéférencesEtude Accenture : https://shorturl.at/k2345Vinted : https://shorturl.at/blLQ7Darya DaryaTélécharger le rapport : https://press-center-static.vinted.com/Climate_Impact_Report_Summary_FR_2023_74a5c9dc39.pdf Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“a better way”, la réinvention de Première Vision ParisLa première rencontre entre The Good Goods et Première Vision, c’était il y a 5 ans. Nous étions au début de l’aventure, un micro média, une minuscule communauté, publiant quelques articles longs et complexes sur la thématique du développement durable dans la mode. Elle intéressait à l’époque une poignée de convaincus et attirait ceux dont le métier est notamment de capter la tendance, les signes faibles qui façonnent le monde de demain. L’équipe de Gilles Lasbordes, notre invité du jour, nous a fait confiance et a suivi son intuition, celle de déployer une offre de sourcing textile éco-responsable comme la mue essentielle à la pérennité de toute l’industrie. Parce que la mode commence par la matière : une main, une couleur, une texture, des caractéristiques techniques mais aussi un impact.D’après une étude Sensu Insight, 95% des émissions totales d'une entreprise de mode sont incluses dans le scope 3, soient toutes les émissions indirectes et principalement en amont dans la chaîne de valeurs. Le textile semble être un levier efficace pour réduire l’empreinte carbone de la mode, en conservant le désir de créer ce qui nous habille. Depuis les prémices de Smart Création, l’espace exposant dédié aux conférences et au sourcing durable, Première Vision déploie et solidifie son offre dans un exercice de réinvention. Parcours, signalétique, services, Hub Innovation : « A Better Way » est à découvrir du 3 au 5 juillet lors de la prochaine édition de Première Vision Paris, et en avant-première dans cet épisode d’ON(WARD) FASHION.Bonne écoute !Trame indicative de questionsPrésentationParcoursPV GROUPE ET PARISHistoriqueEvolutionEntités, géographie, calendriers AudiencesQuel est le rôle d’un salon textile dans la mode à l’international ?L’OFFREMatièresQuelle est l’évolution du sourcing ces dernières années ?Comment chercher les talents de l’innovation textile ?Comment ont évolué les flux de visiteurs et d’exposants ? Comment avez-vous adapté l’offre matérielle à l’ère digitale, en particulier depuis la pandémie ?ParcoursL’édition de juillet opère un grand renouveau, nous aimerions rentrer dans le détail du reengineering/nouveau cap donné par Better Way : De qui émane la demande ?Quelle a été la méthode d'analyse appliquée pour identifier les initiatives responsables des exposants ?Quel est le degré de vérification apporté aux déclarations des exposants ?Quel pourcentage global de l’offre représente ‘A Better Way’ ?Quels sont les paramètres de la nouvelle signalétique et pour quelle clarté d’offre ?Focus sur le Hub innovation : de qui est-il composé ? Votre nouveau positionnement par rapport à l’upcycling ?Quelle offre de services innovants ? Pensez-vous qu’une structure comme PV peut avoir un rôle à jour dans la limitation des matières d’origines pétrochimiques, si oui, comment ?ServicesPouvez-vous nous présenter les rôles des Talk Arera et de la zone de pitch ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le pouvoir de la mode sur nos cerveauxLa mode, une discipline trop frivole pour faire l’objet de recherches universitaires ? C’est ce que pensait notre invitée il y a des années, avant d’en faire non seulement son métier mais aussi une filière d’étude qu’elle a créé de toutes pièces. Et le champ des possibles est infini : étude du cerveau et les choix des consommateur·ice·s ; de la corrélation entre matérialisme et insatisfaction ; des leviers d’action contre l’éco-anxiété, de la souffrance des mannequins et l’évolution de leur métier …Le Docteur Aurore Bardey est psychologue de la mode et chercheur-enseignante, diplômée du London College of Fashion, elle s’est donnée pour mission de rendre la mode un peu plus positive grâce à ses recherches. Happée par l’aspect sombre et à la fois beau du secteur de la mode, elle a choisi un large terrain d’expérimentation pour étudier aussi bien les marques que les consommateur·ice·s, le visible et l’invisible, les mannequins et les réseaux sociaux. Aujourd’hui Aurore partage ses connaissances à la Burgundy School of Business avec ses élèves en marketing et pour notre plus grand plaisir, dans une conversation riche et fascinante dans cet épisode. Place à elle. Bonne écoute ! Le compte Linkedin du Dr Aurore Bardey https://fr.linkedin.com/in/dr-aurore-bardey-866b03158 Les études relayées sur The Good Goods : l’éthique du mannequinat, la capsule wardrobe, ce que nos profils Instagram disent de nous et la façon dont on se perçoit.https://www.thegoodgoods.fr/mode/avoir-un-dressing-minimaliste-serait-la-source-de-moins-de-stress-de-consumerisme-et-de-plus-depanouissement-et-de-style/https://www.thegoodgoods.fr/mode/ma-maigreur-a-de-la-valeur-des-mannequins-temoignent-de-limpact-de-lindustrie-sur-les-troubles-du-comportement-alimentaire-et-la-destruction-de-lestime-d/https://www.thegoodgoods.fr/societe/ce-que-nos-comptes-instagram-disent-de-nous-a-quel-point-la-representation-de-nous-memes-en-ligne-est-idealisee/Trame indicative de questions PrésentationParcours LA RECHERCHE EN MODELa mode, sujet superficiel et/ou profond ? La psychologie de la mode ? Notre rapport à la mode depuis 30 ansVotre activité de recherche au quotidien, qui finance, à qui cela est utile ? LES RESULTATS DE VOS RECHERCHES Quelle est la “racine du mal” ? Qu’est-ce qu’un rapport sain à la mode ? Est-il possible ? Matérialisme vs satisfaction ?Bénéfices d’une capsule wardrobe.Les vêtements dont ont réellement besoin les client·e·s ? Les facteurs qui influencent le choix ? Les leviers pour faire comprendre aux gens l’impact psychologique que les vêtements et la mode ont sur eux·elles ?Agir sur l'éco anxiété ?Les dissonances cognitives de la GenZ ? INSTAPourquoi si peu de travaux de recherche ? Quelles conclusions ? Est-il possible de faire un usage positif ?MANNEQUINAT/REPRÉSENTATIVITÉLa souffrance des mannequins, miroir de la condition du genre féminin en France ? Evolution positive post-metoo ? Quels sont les comportements à adopter pour entrer dans une démarche réellement inclusive ? QUESTIONS D’OUVERTURERéférences citéesVestojBarthes Système de la modeBourdieu Psychology of clothing Valeurs de data que d’interprétationAlexandre Jardin Audrey Millet Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Comments (1)

atoosa mozafari

j'adore votre Point de vu. Merci pour vos sujets hyper intéressant. Je vous suis aussi sur Instagram et des fois j'essaie de traduire vos articles partagés sur le website de thegooddoods pour l'interlocuteurs iraniens. Merci encore et bon courage 🤍🤍🤍

Sep 1st
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