Ondes Novatrices

Un simple examen, une image inhabituelle et tout peut être chamboulé.  Il arrive parfois que les professionnels de santé soient confrontés à un exercice difficile, celui d’annoncer une mauvaise nouvelle à leurs patientes.  Savoir trouver les mots justes peut s’avérer extrêmement délicat, puisqu’il s’agit notamment de minimiser les effets psychologiques liés à cette annonce. Aussi, à l’heure où les mouvements tels que #MeToo impactent le monde médical avec une libération de la parole sur les violences gynécologiques ou la notion de consentement, la bientraitance est plus que jamais devenue un sujet fondamental pour les praticiens. Avec notre invitée Capucine Coulon, Gynécologue obstétricienne, nous allons échanger sur les conséquences qui peuvent être observées chez les patientes suite à l’annonce d’une mauvaise nouvelle en particulier en Gynécologie Obstétrique, et comment, en tant que praticien, vous pourriez en limiter les répercussions avec la méthode CAHIER.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Papillomavirus. Un nom bien connu des jeunes filles lorsque l’on aborde le sujet des infections sexuellement transmissibles. Ce virus aussi appelé HPV, a la particularité de se développer dans le silence et de se retirer spontanément dans la majorité des cas. Mais pour 3 000 femmes diagnostiquées chaque année en France, ce virus évolue vers des lésions cancéreuses et provoque l’apparition du cancer du col de l’utérus.  Dans ce nouvel épisode, nous accueillons le médecin radiologue Corinne Bordonné, pour revenir sur les différents examens liés à cette maladie, dont les signes sont parfois invisibles. Nous aborderons également l’impact des innovations et notamment de l’Intelligence Artificielle à différentes étapes du dépistage ou du diagnostic. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Certaines femmes mènent de grands combats pour faire entendre leurs douleurs, en particulier leurs douleurs gynécologiques. C’est le cas de 1% des femmes qui seraient atteintes de vaginisme selon le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français.   Autrefois classée parmi les maladies mentales, cette pathologie nécessite une plus grande attention de la part des professionnels de santé pour espérer soulager les patientes en quête de sens.   Afin de lever le voile sur cette maladie qui allie troubles physiques et psychologie, nous accueillons Camille Tallet, sage-femme et ostéopathe spécialisée dans la prise en charge des douleurs gynécologiques.   Nous aborderons ensemble les différents traitements possibles, mais aussi les conseils à retenir pour un meilleur suivi médical.   Samsung Healthcare France (Instagram) : @samsunghme.fr  Périnée bien aimé (Instagram) : @perinee_bienaime  Périnée bien aimé (Facebook) : Périnée Bien-aiméHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Longtemps jugée anecdotique, l’endométriose a connu une médiatisation fulgurante au cours de ces dernières années.  Cette maladie chronique qui touche 1 femme sur 10 en France est désormais considérée comme étant une affection longue durée et attire davantage l’attention du corps médical.   Pourtant, cela n’a pas toujours été le cas, puisqu’il fallait attendre en moyenne 7 ans pour poser un diagnostic compte tenu des symptômes parfois invisibles chez les patientes.  Aujourd’hui, la situation s’inverse et des innovations émergent pour tenter de proposer un diagnostic plus fiable et plus rapide.   Dans ce nouvel épisode, nous accueillons le Docteur Joseph Bouyou, Gynécologue obstétricien, avec qui nous parlerons nouvelles méthodes, avancées technologiques, mais aussi réseaux sociaux et surdiagnostic.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Symptomatiques ou parfois silencieux, les myomes utérins sont parmi les tumeurs bénignes les plus fréquentes chez les femmes en France. Diagnostic de routine pour les radiologues, cette tumeur peut aussi provoquer des doutes quant à sa caractérisation. En effet, elle peut parfois présenter des aspects qui rappellent ceux d’une tumeur bien plus grave que l’on appelle le sarcome et qui nécessite une prise en charge chirurgicale adaptée, de par sa dangerosité. Dans cet épisode, nous allons explorer les différentes techniques proposées par l’imagerie médicale pour différencier le caractère bénin ou malin de ces masses utérines. Nous allons également discuter d’une étude récemment publiée, qui ouvre le débat sur les biopsies de sarcomes et remet l’échographie sur le devant de la scène avec notre invité du jour, Alexandre Bellucci, Radiologue et spécialiste en imagerie de la femme.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.