Otto Preminger

http://www.cinematheque.fr La Cinémathèque française http://itunesu.pasoliniroma.com/thumbs300x300/cycle475.png Otto Preminger http://www.cinematheque.fr 144 144 Film no cinemathequefr-video-227 Preminger, cinéaste odieux, cinéaste sublime. Conférence d'Axelle Ropert La Cinémathèque française Où la souveraineté de la mise en scène côtoie parfois une certaine vulgarité du propos, où l'élégance suprême n'est pas exempte de cruauté envers les personnages féminins, où le lyrisme n'exclut pas l'ironie, où un même cinéaste s'intéresse autant à la décrépitude de l'homme qu'à sa grandeur... Où la souveraineté de la mise en scène côtoie parfois une certaine vulgarité du propos, où l'élégance suprême n'est pas exempte de cruauté envers les personnages féminins, où le lyrisme n'exclut pas l'ironie, où un même cinéaste s'intéresse autant à la décrépitude de l'homme qu'à sa grandeur... Mon, 17 Sep 2012 00:00:00 +0000 81:08 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-228 Preminger, ou comment survivre en Amérique. Conférence de Mathieu Macheret La Cinémathèque française De Laura (1944) à The Thirteenth Letter (1951), à travers les dix premiers films qu'Otto Preminger réalisa, et souvent produisit, pour la Twentieth Century Fox, une étude de l'arrivisme, de l'égoïsme, des figures de domination et d'exclusion dans un univers – les États-Unis d'après-guerre – où il faut sans cesse lutter pour espérer rester dans le cadre, assurer sa place devant la caméra. De Laura (1944) à The Thirteenth Letter (1951), à travers les dix premiers films qu'Otto Preminger réalisa, et souvent produisit, pour la Twentieth Century Fox, une étude de l'arrivisme, de l'égoïsme, des figures de domination et d'exclusion dans un univers – les États-Unis d'après-guerre – où il faut sans cesse lutter pour espérer rester dans le cadre, assurer sa place devant la caméra. Mon, 24 Sep 2012 00:00:00 +0000 81:04 http://www.cinematheque.fr/

Preminger, ou comment survivre en Amérique. Conférence de Mathieu Macheret

De Laura (1944) à The Thirteenth Letter (1951), à travers les dix premiers films qu'Otto Preminger réalisa, et souvent produisit, pour la Twentieth Century Fox, une étude de l'arrivisme, de l'égoïsme, des figures de domination et d'exclusion dans un univers – les États-Unis d'après-guerre – où il faut sans cesse lutter pour espérer rester dans le cadre, assurer sa place devant la caméra.

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Preminger, cinéaste odieux, cinéaste sublime. Conférence d'Axelle Ropert

Où la souveraineté de la mise en scène côtoie parfois une certaine vulgarité du propos, où l'élégance suprême n'est pas exempte de cruauté envers les personnages féminins, où le lyrisme n'exclut pas l'ironie, où un même cinéaste s'intéresse autant à la décrépitude de l'homme qu'à sa grandeur...

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