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La Cinémathèque française
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Otto Preminger
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144
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Film
no
cinemathequefr-video-227
Preminger, cinéaste odieux, cinéaste sublime. Conférence d'Axelle Ropert
La Cinémathèque française
Où la souveraineté de la mise en scène côtoie parfois une certaine vulgarité du propos, où l'élégance suprême n'est pas exempte de cruauté envers les personnages féminins, où le lyrisme n'exclut pas l'ironie, où un même cinéaste s'intéresse autant à la décrépitude de l'homme qu'à sa grandeur...
Où la souveraineté de la mise en scène côtoie parfois une certaine vulgarité du propos, où l'élégance suprême n'est pas exempte de cruauté envers les personnages féminins, où le lyrisme n'exclut pas l'ironie, où un même cinéaste s'intéresse autant à la décrépitude de l'homme qu'à sa grandeur...
Mon, 17 Sep 2012 00:00:00 +0000
81:08
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cinemathequefr-video-228
Preminger, ou comment survivre en Amérique. Conférence de Mathieu Macheret
La Cinémathèque française
De Laura (1944) à The Thirteenth Letter (1951), à travers les dix premiers films qu'Otto Preminger réalisa, et souvent produisit, pour la Twentieth Century Fox, une étude de l'arrivisme, de l'égoïsme, des figures de domination et d'exclusion dans un univers – les États-Unis d'après-guerre – où il faut sans cesse lutter pour espérer rester dans le cadre, assurer sa place devant la caméra.
De Laura (1944) à The Thirteenth Letter (1951), à travers les dix premiers films qu'Otto Preminger réalisa, et souvent produisit, pour la Twentieth Century Fox, une étude de l'arrivisme, de l'égoïsme, des figures de domination et d'exclusion dans un univers – les États-Unis d'après-guerre – où il faut sans cesse lutter pour espérer rester dans le cadre, assurer sa place devant la caméra.
Mon, 24 Sep 2012 00:00:00 +0000
81:04
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De Laura (1944) à The Thirteenth Letter (1951), à travers les dix premiers films qu'Otto Preminger réalisa, et souvent produisit, pour la Twentieth Century Fox, une étude de l'arrivisme, de l'égoïsme, des figures de domination et d'exclusion dans un univers – les États-Unis d'après-guerre – où il faut sans cesse lutter pour espérer rester dans le cadre, assurer sa place devant la caméra.
Où la souveraineté de la mise en scène côtoie parfois une certaine vulgarité du propos, où l'élégance suprême n'est pas exempte de cruauté envers les personnages féminins, où le lyrisme n'exclut pas l'ironie, où un même cinéaste s'intéresse autant à la décrépitude de l'homme qu'à sa grandeur...