Par Ouï-dire

C’est le poète chilien Pablo Neruda que l’on retrouve dans Par Ouï-dire à travers une biographie sonore esquissée par Sylvain Asselot. On commence avec une archive, celle des funérailles de Pablo Neruda, bouleversantes. Nous sommes quelques jours après le coup d’état du 11 septembre 1973 . L’armée est présente mais ne tire pas . Il est probable que la présence des journalistes étrangers aux funérailles du Prix Nobel de Littérature( Neruda l’avait reçu deux ans plus tôt en 1975) ait dissuadé le pouvoir de manifester sa force.. Il est probable aussi que parmi ces gens présents dans le cortège, beaucoup aient subi par après les tortures du régime militaire. Aujourd’hui depuis les recherches scientifiques menées en 2017 sur son corps exhumé, il semble à peu près certain que Pablo Neruda a été empoisonné d’une piqûre dans l’hôpital où il était reclus.   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Paola Stevenne nous convie à une conversation avec une amie proche, chilienne, Paola Peebles. Son père, Luis Enrique Peebles aujourd’hui disparu, est une des rares victimes de disparition forcée à être sorti vivant des geôles de Pinochet; le dictateur a été mis en place, le 11 septembre 1973, avec le soutien de la CIA. Et malgré son arrestation à Londres le 16 octobre 1998, Augusto Pinochet n’a jamais été condamné pour les crimes commis pendant sa sanglante dictature. Luis Enrique Peebles a passé sa vie à témoigner. Il a été un des premiers à dénoncer l’usage systématique de la torture et les lieux par lesquels il était passé. Et, où, des centaines de personnes ont disparu, sans laisser de traces. Parmi ces centres de torture, il y a Colonia Dignidad/ Colonie Dignité.Le lieu de la Colonia Dignidad est rebaptisé aujourd’hui,Villa Baviera. La Villa Baviera est aujourd’hui un projet de parc récréatif et de loisirs. Avec son hôtel, sa piscine, ses jacuzzis. Histoire d’une bataille. 'Ecrire avec ton poing et tes lettres' est un documentaire réalisé par Paola Stevenne. Avec: Paola Peebles, Pilar Gonzalez, Guillaume Istace, Yvan Fox, Lisou de Henau, des archives - en accès libre sur youtube - de la série 50 años con memoria, du Fasic, du Musée de la Mémoire et Des Droits Humains ainsi que le soutien de Thomas Ferrando de l'atelier Graphoui   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

'A table !' est une exposition dressée à la Maison des Arts à Schaerbeek. Les artistes contemporains en dialogue avec des pièces historiques de la collection communale explorent le contenu de nos assiettes, nos habitudes de table et nos héritages culturels et religieux liés aux aliments. 'Réparer le monde' est une proposition de l’Institut Culturel d’Architecture Wallonie-Bruxelles qui aborde les utopies. Le CID met en scène quatre projets expérimentaux interrogeant nos manières d’habiter. La renouée du Japon devient une plante bénéfique et l’asphalte, un pâté de ville à déguster. Un habitat flottant permet de lutter contre la montée des eaux. Un bio-régionalisme européen redessine la carte du continent. Réalisation : Pascal Goffaux   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Bruxelles, place du Châtelain, automne 2025. À l’intérieur du Hangar, trois univers photographiques, trois expositions qui nous entraînent vers différents continents géographiques, sensoriels et affectifs. Un voyage passionnant aux côtés de Delphine Dumont, directrice du Hangar, et des artistes… Avec The Day May Break du célèbre photographe anglais Nick Brandt, le voyage démarre dans une atmosphère suspendue, enveloppée de brume. Des visages d’hommes, de femmes, d’animaux… tous rassemblés au seuil d’un monde qui vacille. Avec When the Earth Still Had a Feminine Name, l’artiste iranienne Maryam Firuzi nous fait voyager à travers son pays. Photographe, mais aussi calligraphe, peintre et cinéaste, elle inscrit la mémoire et la liberté des femmes dans les paysages qu’elle immortalise, redonnant à la terre d’Iran son sens profond : « la terre des êtres libres ». Enfin, avec Maurice, Tristesse et rigolade, la photographe belge Charlotte Abramow (bien connue pour ses clips à succès réalisés pour la chanteuse Angèle) nous offre une plongée sensible et inédite dans l’œuvre qu’elle consacre à son père défunt, Maurice. Une scénographie immersive autour de la réédition du livre qui accompagne l’exposition, à laquelle s’ajoute un dernier chapitre traitant du deuil. Un univers poignant où se mêlent poésie, surréalisme, maladie, handicap, mais aussi l’humour et l’amour d’un lien filial indestructible Côté architecture, cap sur un chantier qui rebat les cartes de la construction préfabriquée. Direction La Louvière, où l’on reconstruit l’école fondamentale, maternelle et primaire, annexée à l’Athénée Royal. Dans cette école, finis les anciens bâtiments RTG — ces préfabriqués des années 70, devenus vétustes et irréparables. Ils laissent place à une nouvelle génération de modules innovants : les Modul R. Un nom qui, prononcé à voix haute, résonne comme « modulaire » et traduit bien toute l’inventivité qu’apporte ce nouvel outil de construction. Ce système de planification et de construction préfabriquée pour la création d’espaces scolaires est le fruit d’une longue recherche approfondie, menée avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et du pouvoir organisateur Wallonie-Bruxelles Enseignement. Au cœur de cette recherche également : les architectes Olivier Bourez et Gérald Ledent, du bureau Matador et du KIS Studio, ainsi que la société Stabilame. Tous sont réunis sur le chantier pour partager cette aventure… Leurs voix se mêlent au bruit des travaux, à la poussière et la lumière. Façons de Voir est soutenu par la Cellule Architecture et la direction des Arts plastiques Contemporains de la Fédération Wallonie Bruxelles. Réalisation Fanny Lacrosse   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La gale est une maladie fréquente, qui touche des personnes de tout âge et de tout milieu socio-économique. Comme toute maladie de peau, donc visible, la gale provoque un rejet de l’autre et une surréaction souvent disproportionnée. Chez nous on pensait qu’elle était éradiquée, mais le parasite résiste avec efficacité. Différentes questions la taraudent : notre modèle de santé publique est-il menacé ? Et surtout : Ne serait-il pas nécessaire de revoir notre mode de cohabitation avec les microbes et de raconter de nouvelles histoires ? Cette enquête souhaite davantage démanger les esprits que l'épiderme, et, si possible, apporter une petite perturbation dans le discours dominant, tel un bruit parasite persistant. Avec Tanguy Marcotty, vétérinaire et maître de conférences en parasitologie aux Universités de Louvain-la-Neuve, Namur et Liège Alexis Zimmer, chargé de cours en histoire environnementale à la faculté d’architecture de l’ULiège, Charlotte Brive, anthropologue des sciences et de la santé Pierre Kerner maître de conférences en génétique évolutive du développement et enseignant-chercheur à l’université Paris Diderot et à l’institut Jacques Monod Une réalisation de Sarah Fautré   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La collection architecture L’ancien Palais des Expositions de Charleroi est devenu le "Grand Palais". Cet immense complexe – 60.000 m² (!) – a été imaginé par Joseph André dans les années 1950. On parle aujourd'hui de sa rénovation avec Fabrice Kada "Victoires urbaines" est un ouvrage de Vincent Carton publié par les éditions CFC en collaboration avec l’ARAU. Quinze projets urbanistiques avortés grâce à des luttes menées par des comités de quartier et d’habitants. Bruxelles l’a échappé belle ! L’église Sainte-Catherine ne sera pas démolie, ni Flagey, ni l’Hôtel Hannon, ni les Halles de Schaerbeek, ni les Halles Saint-Géry, …. mais il s’en est fallu de peu. Un sujet traité par Pascal Goffaux. Sur les sentiers de l’architecture, Fanny Lacrosse rencontre Elise Helm, photographe et architecte passionnée, dont le regard transforme chaque espace en récit visuel. Entre lignes, volumes et lumière, elle explore l’intimité des lieux qui nous entourent, s’attachant à rendre visible l’invisible, le presque inaperçu. Dans son travail, chaque façade, chaque ruelle, chaque espace devient témoin du temps qui passe et des enjeux urbains qui les traversent. Nous pénétrons son univers à travers l’une de ses séries photographiques : "Beyrouth ou le temps distendu."   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les trains et la Suisse on ne sait pas pourquoi mais ils font bon ménage. C’est unir à la fois la pensée vagabonde à la beauté du paysage qui la suscite. C’est le lieu de l’observation et de la rêverie, du bercement au partage de l’espace. Caroline Ledoux-Le Forestier avec ses complices vont en tous sens dans les trains, les gares et les voyageurs. Comme si le train multipliait les pensées. Ce carnet de voyage vous propose une déambulation sonore et ferroviaire, orchestrée par une bruiteuse, un musicien et une comédienne. Le départ est imminent. Ecrit et bruité par Caroline Ledoux-Le Forestier. Avec les archives de la RTS Voix et interprétation : Diane Albasini Montage et mixage : Jean-Philippe Zwahlen Un projet soutenu par Gulliver Suivi d'un extrait de la pièce maîtresse de Yann Parenthoën: On nagra, il enregistre. Yann Parenthoën remonte à la source de sa passion en allant rencontrer à Cheseaux, près de Lausanne, l'inventeur du Nagra, Stefan Kudelski. Inspiré du polonais, le Nagra qui signifie "il enregistre", est la pierre d'angle d'un parcours vibrant qui commence sur le rail. Parti en train de Paris, voilà que Yan Parenthoën doit s'expliquer sur sa quête étrange autour d'un appareil non déclaré en douane!   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Auroville demeure le lieu d’une utopie rêvée, puis vécue dans le Sud de  l’Inde. Auroville a été créée en 1968 par Mirra Alfassa (Mirra Richard), plus connue sous le nom de la Mère et compagne spirituelle du philosophe indien Sri Aurobindo. Auroville a pour vocation d'être, selon les termes de ses deux concepteurs, « le lieu d'une vie communautaire universelle, où hommes et femmes apprendraient à vivre en paix, dans une parfaite harmonie, au-delà de toutes croyances, opinions politiques et nationalités ». Mais aujourd’hui, est-ce toujours vrai ? Emmanuelle Gibello nous plonge au cœur de la forêt pour écouter l’histoire que les arbres murmurent aux enfants et leur murmureront dans 300 ans. Ici, les arbres apparaissent comme les gardiens des récits de la Terre depuis son origine.Les paroles des habitants résonnent dans une création musicale et sonore mêlant field recordings et instruments d’Auroville, tissant une enveloppe qui relie ces deux mondes. "Les murmures d'Auroville", un documentaire de création réalisé par Emmanuelle Gibello. Prise de son, montage, habillage sonore et composition : Emmanuelle Gibello. Mixage : Vincent Venet   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Chloé Sanchez dans « L’utopie où j’ai vécu » retrace, sous la forme d’un journal sonore, le périple de la réalisatrice qui revient en Inde à Auroville, alors que la cité unique est menacée d’être récupérée par les extrémistes hindous au pouvoir. Chloé a vécu à Auroville 5 ans , il y a 20 ans, et elle dira que ce sont les plus belles années de sa vie. Alors elle y retourne avec sa petite fille de 4 ans pour lui offrir de grandir dans un lieu sans propriété, sans police, où les hommes et les femmes apprennent à vivre en paix, au-delà de toute croyance. Mais elle quitte à nouveau la cité rêvée qui prend parfois des allures de champ de bataille, en lutte avec un pouvoir réfractaire à un tel espace de liberté. Son 2 Réalisation, prise de son, montage: Chloé Sanchez Mixage: Alain Joubert Production: L’effet Résidence de création: Radio Grenouille-Euphonia Avec l’aide du Ministère Français de la culture 2024   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

"La nostalgie, c’est bon pour les jeunes. Passé un certain âge, on n’a pas le temps de s’occuper de ça." Walter Swennen L’artiste belge Walter Swennen nous a quittés le 14 août dernier à l’âge de 79 ans. Il nous laisse une œuvre foisonnante, animée par un grand souffle de liberté. Nous lui rendons hommage avec la rediffusion d’un entretien d’archive enregistré en 2013 au Wiels à Bruxelles à l’occasion de son exposition rétrospective "So far so good". L’exposition "Rêvière" est à découvrir au Centre d’art contemporain du Luxembourg belge (CACLB) jusqu’au 19 octobre. Elle propose un voyage où rêve et rivière se rejoignent, un courant entre imaginaire et réalité, avec des œuvres de Sarah Behets, Olivia Perce et Emmanuel Tête. Le Centre culturel de Liège Les Chiroux organise une exposition-vente de photographies au profit de la population gazaouie. "Pour Gaza" réunit une centaine de photographes issus de tous horizons qui ont accepté de contribuer au projet en faisant don d’une de leurs œuvres. Le public a la possibilité d’acquérir des tirages d’art à des prix abordables. L’achat des tirages est possible sur place jusqu’au 4 octobre et en ligne sur le site pourgaza.art L’ancien Palais des Expositions de Charleroi est devenu le "Grand Palais". Cet immense complexe – 60.000 m² (!) – a été imaginé par Joseph André dans les années 1950. Sa rénovation a été confiée aux architectes des bureaux AgwA et AJDVIV. Le cœur du projet a consisté – avec un budget particulièrement limité – à ouvrir les espaces centraux sur la ville et sur eux-mêmes. Le bâtiment propose des espaces polyvalents permettant l’organisation de différentes activités : salons, congrès, festivals… Ce projet ambitieux a été sélectionné parmi les finalistes du Prix européen de l’Espace public urbain 2024 récompensant les meilleures interventions architecturales en Europe. Visite guidée en compagnie des architectes Harold Fallon et Benoit Vandenbulcke (AgwA). Avec la participation de Sarah Behets, Isabelle Detournay, Harold Fallon, Barbara Salomé Felgenhauer, Mikail Koçak, Anne-Françoise Lesuisse, Olivia Perce, Célestin Pierret, Walter Swennen et Benoit Vandenbulcke Réalisation : Fabrice Kada   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Trinkhall Museum à Liège fête son cinquième anniversaire. Le musée célèbre la puissance expressive des mondes fragiles selon l’expression forgée par son directeur Carl Havelange. Mélancolies est une exposition thématique rassemblant des œuvres réalisées par des personnes porteuses d’un handicap mental en contexte d’atelier. Victoires urbaines est un ouvrage de Vincent Carton publié par les éditions CFC en collaboration avec l’ARAU. Quinze projets urbanistiques avortés grâce à des luttes menées par des comités de quartier et d’habitants. Bruxelles l’a échappé belle ! L’église Sainte-Catherine ne sera pas démolie, ni Flagey, ni l’Hôtel Hannon, ni les Halles de Schaerbeek, ni les Halles Saint-Géry, …. , mais il s’en est fallu de peu. Réalisation : Pascal Goffaux   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le débardage est un processus essentiel pour vitaliser la forêt. Traditionnellement ce sont les chevaux qui, en Ardennes, se chargent d’une opération difficile qui n’abîme pas les sols là où les tracteurs créeraient d’immanquables dégâts. Cela suppose une complicité entre les hommes et les chevaux qui s’exprime dans un langage codé de cris et de sons . Cela implique aussi un élevage de chevaux lourds et puissants, le cheval ardennais qui travaille aux côtés de l’homme. L’ardennais est une très ancienne race rustique de cheval de trait de taille moyenne, à la robe généralement baie ou rouanne. Philippe Deconninck, éleveur du cheval de trait belge nous ont fait rencontrer, Raymond et Michaël Nélisse et René . Avec aussi la présence sonore d’ Elia, Youri, et d'autres qui soufflaient en tirant leur lourde charge.Réalisation: Pascale Tison   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Derniers Signaux de fumée de Thierry Van Roy La culture du tabac de la Semois, emblématique de la région de Bouillon, trouve ses racines au XVIIe siècle, lorsque des moines introduisent cette plante dans les Ardennes. Mais c’est au XIXe siècle que la production prend son essor, grâce à un climat doux et des sols riches, idéaux pour la culture du tabac blond. Entre les deux guerres mondiales, la Semois devient une référence en Europe ; on y emploie des milliers de personnes qui dynamisent l’économie locale. À partir des années 1960, la filière décline face à la concurrence des tabacs étrangers, moins chers, et à l’évolution des réglementations sanitaires. La production se raréfie, ne subsistant plus que grâce à quelques passionnés déterminés à préserver ce savoir-faire ancestral comme Jean-Paul Couvert .   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L’oreille nue On plonge dans la forêt amazonienne au Brésil, les oreilles grandes ouvertes ! Rodolphe Alexis et Eloïse Guénard ont tissé des liens de fraternité et d’amitié avec le peuple de la Terre indigène du 7 septembre, dans le sud de l’Amazonie brésilienne, entre le Mato Grosso et le Rondônia. Le nom de « Paiter Surui » , tel que le peuple qui y vit se désigne, signifie « nous-mêmes, des personnes vraies » . C’est une histoire d’écoute qui se raconte à plusieurs voix, un attachement qui passe par l’oreille ; une histoire de rencontre, avec un peuple, avec une famille, avec un village. Un bourdonnement de transformations se donne à entendre. Ce sont d’abord les oiseaux qui nous accueillent dans le premier épisode et l’on va croiser l’aigle harpie comme le ara qui zèbre le ciel de ses couleurs. Pour le peuple du 7 septembre, les animaux nous donnent des signes, nous préviennent, nous alarment, nous accompagnent dans l’intime de nos vies. Réalisation : Rodolphe Alexis & Eloïse Guénard Avec les voix de : Abipuia Surui, Carlos Tuyama, Eloïse Guénard, Fabrício Gatagon-Surui, Goe Kaxter Tyala Surui, Kadior Yabini Matera Surui, Mopilabatem Luis Surui, Paueika Lúcia Surui, Rodolphe Alexis, Urariwe Tiago Surui. Yeté iter ! Mixage : Antoine Duwaerts Production : Le fonds Gulliver et Par Ouï-Dire   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le second épisode de "L'oreille nue" de Rodolphe Alexis et Eloïse Guénard donne à entendre les changements sociaux et culturels survenus dans la communauté de la terre du 7 septembre depuis le contact avec la société nationale brésilienne, survenu en 1969, le 7 septembre. Le documentaire pointe la nécessité de défendre des manières de vivre et de savoirs menacés pour résister à l’avidité du capitalisme. Documentaire de création traversé par la question « comment s’entendre au monde ? » , « L’oreille nue » , sonde la manière dont l’écoute (et l’enregistrement), en tant que pratique sensible, politique et écologique, façonne notre rapport à l’altérité et à l’environnement. Lorsqu'ils captent le bruissement de vies et de récits, les réalisateurs questionnent en filigrane leur propre écoute . Il y a ce moment magique où Rodoplphe Alexis dépose son casque pour être mieux présent au monde et on le rejoint dans son écoute investie. Réalisation : Rodolphe Alexis & Eloïse Guénard Avec les voix de : Abipuia Surui, Carlos Tuyama, Eloïse Guénard, Fabrício Gatagon-Surui, Goe Kaxter Tyala Surui, Kadior Yabini Matera Surui, Mopilabatem Luis Surui, Paueika Lúcia Surui, Rodolphe Alexis, Urariwe Tiago Surui. Yeté iter ! Mixage : Antoine Duwaerts Production : Le fonds Gulliver et Par Ouï-Dire   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Je suis verticale (mais je voudrais être horizontale) : un titre intrigant qui ouvre les portes d’une exposition singulière à l’iMAL, haut lieu des arts numériques à Bruxelles, qui célèbre cette année ses 25 ans d’existence. Dix œuvres contemporaines, toutes liées au numérique, y questionnent notre rapport aux technologies et notre désir de renouer avec notre environnement, dans une quête de résilience. Guidés par Lucía García , directrice de l’iMAL, et Yannick Antoine, enseignant en arts numériques à l’ESA Saint-Luc, nous parcourons quelques oeuvres de cette exposition qui s’inspire d’un poème de Sylvia Plath, I'm Vertical, où l’auteure évoque la tension entre la verticalité humaine et l’aspiration à l’horizontalité, à la reconnexion avec le vivant. En guise de surprise finale, l’artiste bruxellois Val Macé nous présente Harmony, un orgue robotisé métamorphosé en petit théâtre d’objets, qui nous livre avec poésie une fable sur l'appétit.. insatiable...peut-être celui de notre monde contemporain. Sur les sentiers de l’architecture, rencontre avec Elise Helm, photographe et architecte passionnée, dont le regard transforme chaque espace en récit visuel. Entre lignes, volumes et lumière, elle explore l’intimité des lieux qui nous entourent, s’attachant à rendre visible l’invisible, le presque inaperçu. Dans son travail, chaque façade, chaque ruelle, chaque espace devient témoin du temps qui passe et des enjeux urbains qui les traversent. Nous pénétrons son univers à travers l’une de ses séries photographiques : Beyrouth ou le temps distendu. » Façons de Voir est soutenue par la FWB. Réalisation Fanny Lacrosse.   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

« Rendez-vous dans le Lot », c’est un documentaire en deux temps sur une amitié entre peintres dans un petit hameau du Lot. Comme dans toutes les belles histoires, ils sont 7 ; une seule femme parmi eux, Charlotte Henschel. Ce qui les réunit tous, c’est la figure de Roger Bissière qui hérite d’un ancien presbytère à Boissiérette et qui va y inviter ses amis dès les années 20. Parmi eux, Walter A.LeWino , Jean Léon et François Rylsky , touchés par ce coin de Bouriane, louent des chambres puis achètent des maisons que la migration rurale a déjà vouées à l’abandon. Bissière donne cours à l’académie Ranson à Paris dans les années 30 ; ces académies attirent depuis la fin du 19° siècle des artistes qui viennent de tous les coins de France mais aussi de l’étranger. C’est ainsi que Charlotte Henschel et Nicolas Wacker débarquent de Berlin avec déjà une solide formation en poche. Les amitiés et les émulations se mettent en place, on peint ensemble, parfois les mêmes sujets. Mais c’est le début de la guerre qui donne une autre tournure aux destins de chacun. Bissière vend sa maison de Paris et s’installe définitivement à Boissiérette. « Rendez-vous dans le Lot « devient la formule magique qui figure dans le courrier qui s’échange entre les artistes. Une réalisation de Pascale Tison, Mixage et musique de Benoît Bories . Avec Pricilla Fougères, Cécile Léon, Isabelle Bissière, Elisabeth Jaeger, Julie Cator, Frédéric Lewino . Première Partie   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

« Rendez-vous dans le Lot « devient la formule magique qui figure dans le courrier qui s’échange entre les artistes que l'on retrouve dans cette deuxième partie d'émission; au moment de la guerre 40 , Roger Bissière s'sintalle définitivement à Boissiérette qui devient le lieu du refuge, du travail dans la ferme d'un artiste qui se rêvait à la fois peintre et paysan. WalterA.Lewino, juif repéré par la Kommandantur sera caché par Bissière, Charlotte Henschel, internée plusieurs fois comme juive, gardera les moutons, Jean Léon, doué de ses mains, entre dans la résistance en faisant des faux papiers. François Rylsky interné dans des camps sortira affaibli de la guerre et Nicolas Wacker, d’origine russe, en sortira brisé. Alfred Manessier s’installe pour quelques mois à Benauge et peindra la maison qu’il loue. Plusieurs générations se côtoient : Roger Bissière( 1886-1964) a un fils Louttre B. Il sera peintre aussi, sculpteur, graveur. Dans l’atelier qu’il partage avec son père, ils travaillent dos à dos. Isabelle Bissière, fille de Louttre et petite fille de Roger nous raconte les rituels du soir, des apéritifs où ne se mange que la discussion dans des lieux d’une immense poésie. Avec Isabelle Bissière, Cécile Léon, Priscilla Fougères, Jacqueline Ryslky, Elisabeth Jaeger Une réalisation de Pascale Tison; mixage et musique de Benoît Bories   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le quartier alternatif de la Baraque à Louvain-la-Neuve vient de fêter ses 50 ans d'existence. Comment vit-on au quotidien dans un habitat léger comme une roulotte, une cabane, un dôme géodésique ou une Kerterre ? Rencontre avec plusieurs habitants, ainsi qu'avec Reynald Halloy, auteur d'un livre de photographies sur le quartier. C’est une proposition de Fabrice Kada. Et c’est la brique l’élément central d’une exposition, « Que veux-tu brique ? », et d’un thème que développe Pascal Goffaux. Yves Robic se penche quant à lui sur l’avenir en danger du Palais du Midi, en compagnie de l’ ARAU.   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reprendre pied / L’exercice philosophique de la marche Des personnes se rassemblent pour marcher, Camille Valençon les rejoint. Nous ne sommes pas sur les sentiers de Saint-Jacques-de-Compostelle, ni dans les Alpes, ni sur une île au Japon, mais entre la ville et la nature à Bruxelles. Pendant quelques heures, entre parcours guidé et errance, le temps du quotidien est déconnecté, l’attention se déplace, des évènements peuvent alors survenir. Parfois, la marche s’interrompt. Pour Moussa, ce fut le cas. Pour lui chaque marche amorcée devient une étape essentielle dans son chemin tant intérieur qu’extérieur. Il partage le tracé de ses expériences, difficultés mais aussi les célébrations du corps, pas à pas. Reprendre pied explore ce que la marche crée en nous dans notre environnement quotidien, ce qu’elle vient transformer par le redéploiement du corps. Comment ce mouvement, en apparence si simple, peut-il déclencher à nouveau le mouvement dans nos vies ? Comment la marche nous aide-t-elle à trouver un endroit où l’on se sent à sa place ? Réalisation Camille Valençon, composition musicale Anne Lepère Production BabelFish, avec le soutien de l’ACSR et du FACR de la Fédération Wallonie-Bruxelles Suivi de L’exercice philosophique de la marche : Le philosophe allemand Heidegger parle de la pensée comme de « chemins qui ne mènent nulle part ». Et la marche est bien l’art d’aller nulle part. Le but est de faire route, de cheminer, pour nous rendre plus disponible à ce qui nous entoure. Il nous faut pour cela ralentir et intégrer la lenteur comme une condition sine qua non à une marche pleine et entière. On lâche la maîtrise du temps pour retrouver l’observation dans la banalité d’un mouvement. Face à un paysage montagnard en perpétuelle évolution, l’exercice philosophique de la marche côtière serait-il différent ? Eléments de réponses avec le professeur de philosophie Didier Karl, dans les montagnes du sud de la France. Réalisation Aurélien Frances, Silence Podcast   Merci pour votre écoute   Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere  Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272  Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.