Nous avons tous entendu la chanson : nos enseignants et nos parents qui nous répètent que le fait de parler plus d’une langue nous ouvrira des portes et nous donnera accès à plusieurs occasions autrement inaccessibles!
Nous avons tous entendu la chanson : nos enseignants et nos parents qui nous répètent que le fait de parler plus d’une langue nous ouvrira des portes et nous donnera accès à plusieurs occasions autrement inaccessibles!
Apprendre une langue seconde (et même une troisième ou une quatrième), change la façon de voir et d’interagir avec les personnes autour de nous. Mais ça n’a rien de facile. Afin de récolter les fruits de cet apprentissage, il y a bien des obstacles à franchir.
Apprendre une langue seconde (et même une troisième ou une quatrième), change la façon de voir et d’interagir avec les personnes autour de nous. Mais ça n’a rien de facile. Afin de récolter les fruits de cet apprentissage, il y a bien des obstacles à franchir.
Au Canada, on entend souvent dire que d’être bilingue et d’apprendre une deuxième langue offre bien des avantages. Mais soyons honnêtes : pour chaque atout que nous donne le bilinguisme, il y a une part de défis – qu’on passe parfois sous silence. Et, on le sait très bien, les défis liés au bilinguisme ne se limitent pas à la grammaire et à l’orthographe; ils touchent aussi la politique, la culture et l’identité! Parce qu’une langue c’est bien plus que des mots. Pour beaucoup de Canadiens et Canadiennes, c’est très personnel.
Au Canada, on entend souvent dire que d’être bilingue et d’apprendre une deuxième langue offre bien des avantages. Mais soyons honnêtes : pour chaque atout que nous donne le bilinguisme, il y a une part de défis – qu’on passe parfois sous silence. Et, on le sait très bien, les défis liés au bilinguisme ne se limitent pas à la grammaire et à l’orthographe; ils touchent aussi la politique, la culture et l’identité! Parce qu’une langue c’est bien plus que des mots. Pour beaucoup de Canadiens et Canadiennes, c’est très personnel.