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Parlons vin

Parlons vin
Author: Le Figaro
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© Le Figaro
Description
De traditions oubliées aux conseils de dégustation en passant par les textures et les arômes, Alicia Dorey, journaliste vin, vous explique dans ce podcast Parlons Vin absolument tout sur ce que vous n’avez jamais osé demander sur le vin.
N’oubliez pas Parlons peu mais parlons Vin.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
142 Episodes
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Vous les avez vus traîner cet été dans les rayons de votre supermarché : ces fameux fûts de 5 litres, avec leur jolie petite pompe promettant de pouvoir s’offrir une bière pression à domicile. Ils ont l'air pratiques. Ils semblent cocher toutes les cases. Mais, côté prix, c’est une autre histoire. Dans de nombreuses catégories de produits, on connaît la règle : plus on achète en grande quantité, plus le prix au litre diminue. C'est logique, c'est mathématique, c'est même plutôt rassurant. Et c’est effectivement souvent le cas ; rapporté au litre, le prix d’une boisson vendue en grande bouteille de 2 litres, par exemple, est moins élevé que celui de la même boisson dans un format de 33 cl. Sauf qu'en matière de bière, la règle vole en éclats… Et nos fameux fûts de 5 litres en sont la parfaite illustration.Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous parle de gros format, de calcul d’apothicaire et de petites arnaques au compte-goutte.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Salomé Boulet, pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marronnier de la rentrée par excellence, les foires aux vins nous promettent chaque année les meilleures aubaines. Mais entre marketing enragé et véritables opportunités, comment distinguer le grain de l'ivraie dans cette déferlante de promotions ? Les foires aux vins, institution bien française née dans les années 70, restent encore aujourd'hui un phénomène unique au monde. Là où nos voisins européens se contentent de promotions ponctuelles, nous avons érigé ce rendez-vous bisannuel en rendez-vous le plus enthousiasmant de la rentrée, transformant chaque grande surface en temple éphémère de l’achat par 6. Cette spécificité hexagonale s'explique par le rapport tout particulier que les Français entretiennent avec le vin : à la fois denrée du quotidien et objet de prestige, il fallait bien inventer un moment où démocratiser un tant soit peu l'accès aux grands crus.Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous parle de jungle, de pièges à éviter et d’astuces de fin limier.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : François DuvalProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Salomé Boulet, pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
18h00. Les écrans s'éteignent, direction le bar du coin pour «décompresser» entre collègues. Mais que cache vraiment ce rituel sacré de l'afterwork ? Entre pression sociale et promotion professionnelle, analyse sociologique d'un phénomène qui divise autant qu'il rassemble.Commençons par une vérité qui dérange : l'afterwork n'a souvent d'«after» que le nom. Car, entre nous, quand votre chef vous lance un «Allez, on va boire un verre pour fêter le contrat !», difficile de répondre «Non merci, je dois finir ma présentation» ou «Désolé, je retrouve des amis» sous peine de passer pour un fayot, ou pour un insolent. L'invitation ressemble plus à un ordre déguisé qu'à une proposition tout à fait innocente.Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous parle de contrainte sociale, de networking déguisé et de ce verre qu'on n'a pas forcément toujours envie de boire.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : François DuvalProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Salomé Boulet, pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est un réflexe quasi pavlovien. Vous passez le contrôle de sécurité, respirez enfin, et vous voilà errant dans l’antichambre climatisée de la tentation : le duty free. Cette caverne d’Ali Baba où l’alcool semble moins cher, plus chic, et curieusement plus urgent que d’habitude. Mais attention… Car entre la fiole hors de prix et le litre de vodka XXL, il y a quelques pièges bien tassés. Voici les cinq erreurs à ne pas commettre quand on achète de l’alcool au duty free. Pour éviter les regrets… à l’atterrissage. Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous donne ses cinq conseils pour ne pas tomber dans le piège du duty free à l'aéroport.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pastis ou Ricard, les anisés sont diabolisés, montrés du doigt comme les pires ennemis d'un régime d'été. Pourtant, ils semblent avoir été adoptés par bon nombre d'amateurs d'apéritifs en terrasse dès les premiers beaux jours. Fin mai, début de soirée dans le 3ème arrondissement de Paris. Terrasses bondées, verres de Spritz format aquarium à poisson rouge, bouteilles de rosés perlantes de buée, lunettes de soleil mordorées, chemises bleu ciel entrouverte, mocassins sans chaussettes… La saison a commencé. À la table, les conversations vont bon train sur la compatibilité entre régime estival et succession des apéritifs en extérieur. Si le cidre, le vin blanc sec – et pour les plus nantis, le champagne – semblent remporter la palme du meilleur ratio plaisir-dégâts, les deux formats nymphes de l’assemblée commandent à l’unisson un verre de pastis, sous les regards médusés de la meute.Dans cet épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous parle d'hydratation et de terrasses ensoleillées.Cet épisode a été initialement publié en juin 2023.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin ! Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que vous êtes de plus en plus nombreux à vous racheter une conduite en misant tout sur le sans alcool, vous n’êtes pas sans savoir que quelques industriels se frottent les mains. Car derrière l’argument santé se cachent en réalité une cohorte de petites bombes sucrées. Commençons par la plus évidente des bombes de sucre en embuscade : les smoothies industriels. Présentés comme la quintessence de la santé en bouteille, à grands renforts d’ajouts de super-aliments tels que gingembre et graines de chia, on ignore souvent qu’ils peuvent contenir jusqu’à 40 grammes de sucre par portions, soit l’équivalent de non moins de 8 morceaux. En cause, des fibres de fruits détruites au cours du processus de transformation, qui ne laissent derrière elles qu’un pauvre liquide outrageusement sucré, et une glycémie portée à son plus haut niveau. Un conseil, si vous êtes amateur du genre : faites-le vous-même, et de grâce, sans avoir la main lourde sur l’ajout de glucose.Dans cet épisode de Parlons vin, la journaliste Alicia Dorey vous dévoile ce qui se cache réellement derrière ces boissons perçues comme saines et vertueuses. Cet épisode a été initialement publié en janvier 2025.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter Parlons Vin sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes. Si cet épisode vous a plu, n'hésite pas à vous abonner et à donner votre avis.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez : on vous sert deux verres de vin. Même robe, même nez, même texture. L’un coûte 9 euros. L’autre, 89. Devinez lequel vous préférez ? Spoiler : vous préférez le deuxième. Pas parce qu’il est meilleur… mais parce qu’il est plus cher ! Et que votre cerveau adore se faire avoir. Déjà, commençons par ce que l’on appelle le biais de prix, ou quand le cerveau boit avec le portefeuille. En 2008, des chercheurs de Stanford et Caltech ont scanné le cerveau de 20 personnes pendant qu’elles goûtaient le même vin – sauf qu’on leur faisait croire que certains coûtaient 5 dollars, d’autres 45 dollars. Résultat ? Les zones du plaisir s’activaient davantage pour les vins prétendument plus chers, même s’il s’agissait exactement du même flacon. Moralité : ce n’est pas votre palais qui juge, mais bien votre banquier imaginaire.Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous parle d’illusions sensorielles, de biais cognitifs et de cette petite voix intérieure qui vous pousse à aimer ce que vous avez payé trop cher.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : François DuvalProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est l’un des grands paradoxes de la période estivale : lutter pour conserver la ligne, tout en s’autorisant un certain lâcher-prise. En matière d’alcool, il est d’usage d’entendre tout et son contraire, jusqu’à ne plus savoir à quel vin se vouer. Saison par excellence des injonctions contradictoires, l’été se prête à l’excès comme à la retenue, et aux bonnes résolutions comme à l’absence totale de règles préétablies. En matière de vin, bon nombre d’idées reçues continuent d’avoir la peau dure, le plus souvent sans réel fondement.Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous parle de French Paradox, de calories vides et de polyphénols inatteignables. Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : François DuvalProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On parle beaucoup du vieillissement du vin. De ses tannins qui se fondent, de son nez qui s’ouvre, de sa robe qui se tuile… Mais on parle assez peu de l’autre vieillissement : le nôtre, à savoir celui du buveur. Est-ce que notre goût évolue avec les années ? Est-ce qu’on aime les mêmes choses à 25 et à 55 ans ? Et si non… est-ce grave ?Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous parle de papilles fatiguées, de tanins domptés et d’anciens buveurs de Châteauneuf qui ne jurent plus que par le poulsard jurassien.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : François DuvalProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque été, le bar de plage devient un véritable théâtre. On y joue des scènes de flirt plus ou moins subtiles, des tragédies capillaires sous sel marin et, surtout, des comédies tarifaires où les clients sont rarement gagnants. Voici donc un petit florilège des arnaques estivales les plus répandues, pour vous éviter de transformer votre Spritz en mauvaise farce.Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous met en garde contre les entourloupes de certains serveurs en été.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l’approche de l’été, une question cruciale pour tous ceux qui comptent les calories d’un œil distrait entre deux gorgées de Bandol : le vin rosé est-il vraiment moins calorique que le rouge…? Ou simplement plus malin pour se faufiler dans nos régimes d’été sans faire son âge – ni son poids ? Depuis quelques années, la légende s’est installée : le rosé serait le vin de la légèreté. Moins corsé, moins sucré, moins calorique… Une sorte de vin allégé qui ne dit pas franchement son nom. Il suffit de feuilleter quelques magazines ou d’écouter les conversations sur la plage : tout concourt à faire du rosé le vin minceur par excellence. Mais est-ce vraiment le cas ?Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous explique pourquoi le vin rosé n'est pas un vin de régime.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est un fait, l’époque où le vin au verre servait à faire la jointure entre deux bouteilles semble bel et bien révolue. Aujourd’hui, on raconte que les gens boivent moins, boivent mieux, préfèrent comparer plutôt que de se tromper… Et, en effet, le vin au verre coche toutes les cases, même si cette envolée ne date pas d’hier. Dès 2014, une étude commandée par le réseau C10, spécialisé dans la distribution de boissons pour l’hôtellerie-restauration, révélait déjà que 64% des Français optaient pour un verre de vin au restaurant, contre seulement 27% pour une bouteille entière. Mais tout le monde ne s’y retrouve pas : selon l’étude Viavoice menée en septembre 2024, 41% des consommateurs jugent l’offre de vin au verre trop limitée, voire inexistante dans certains établissements. On serait en droit de se demander : pourquoi tant d’adeptes ? Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous explique pourquoi vous allez maintenant réfléchir à deux fois avant de commander un verre de vin au bar.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On le sait, le fameux summer body n’est rien sinon une chimère contemporaine, savant mélange de culpabilité torride et de fessiers sur papier glacé. Pourtant, quand vient le moment de choisir entre un chardonnay et un Perrier tranche, surgit alors un soupçon d’hésitation, et une vaste question : faut-il renoncer au vin pour rentrer dans son short en lin ? Voici quelques erreurs à ne pas commettre et quels vins seront vos meilleurs alliés jusqu’à la rentrée.Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous énumère, à titre de précieux rappels, quelques faux pas plus ou moins grossiers, à ne pas oublier cet été.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous croyez connaître le kir, mais êtes-vous bien certains que ce qu’on vous sert dans votre verre en est vraiment un ? Dans la majorité des cas… ce n’est pas le cas. Pourquoi ? Parce que non, un kir, ce n’est pas juste «du vin blanc avec de la crème de cassis». Ça, c’est un blanc-cassis. Et c’est pas tout à fait la même histoire.Le kir, le vrai, est une affaire 100% bourguignonne. Il porte le nom du chanoine Kir, résistant, député, maire de Dijon et grand promoteur du patrimoine local. Dans les années 1950, le chanoine a un objectif : mettre en valeur le bourgogne aligoté, ce vin blanc un peu rustique, pas toujours très sexy, mais bien de chez lui. Et là, plutôt que de chanoiner en rond, il trouve une idée brillante : le marier à une crème de cassis produite localement. Le résultat plaît, et devient rapidement l’apéritif officiel de la mairie de Dijon. Succès immédiat.Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous aide à démasquer les faux kirs. Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est un réflexe quasi pavlovien. Vous passez le contrôle de sécurité, respirez enfin, et vous voilà errant dans l’antichambre climatisée de la tentation : le duty free. Cette caverne d’Ali Baba où l’alcool semble moins cher, plus chic, et curieusement plus urgent que d’habitude. Mais attention… Car entre la fiole hors de prix et le litre de vodka XXL, il y a quelques pièges bien tassés. Voici les cinq erreurs à ne pas commettre quand on achète de l’alcool au duty free. Pour éviter les regrets… à l’atterrissage. Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous donne ses cinq conseils pour ne pas tomber dans le piège du duty free à l'aéroport.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, la plupart des amateurs de vins se retrouvent fort dépourvus au moment de choisir la bonne bouteille dans un restaurant italien. Appellations complexes, typicités méconnues, l’exercice se complique encore davantage une fois arrivés en Italie. Ces conseils pourront apparaître à certains comme une succession d’idées reçues au sujet des vins italiens – chianti trop boisé, barolo surpuissant, prosecco sans finesse… Hélas, il vous faudra savoir où trouver les meilleurs crus du coin car ceux que l’on vous proposera dans la grande majorité des cas lors de vos vacances transalpines seront généralement représentatifs de ces éternels clichés. La meilleure façon de s’en sortir ? Jouer la carte des vases communicants. Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous donne de précieux repères à garder à l’esprit avant de passer commande et éviter de passer pour un touriste.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous avez l’impression que votre pinte descend un peu trop vite ? Vous n’êtes pas seul et ce ne sont pas forcément les prémices de l’ivresse qui vous jouent des tours. Depuis quelques mois, l’initiative «Balance ta pinte» secoue les comptoirs parisiens en dénonçant une pratique qui passe inaperçue : des pintes qui ne contiennent pas vraiment 50cl. En creusant la question, les fondateurs ont découvert que ces verres, qui donnent l’illusion visuelle d’une pinte, ne contiennent en vérité que 37,5cl de bière. Tout réside dans leur épaisseur, qui réduit la contenance de manière significative. Une petite entourloupe de haute volée : des fausses pintes, à peine plus généreuses qu’un demi, mais facturées au prix fort. Un détail ? Peut-être. Ou bien un signe supplémentaire que, dans la capitale, la franchise du bistrot a parfois du mal à survivre à l’inflation.Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous dit tout sur la polémique «Balance ta pinte», l’art très parisien de vendre moins pour faire payer plus.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a ce premier verre. Celui que l’on commande avec l’assurance du rite. Celui qui fait office de prétexte léger, qui est programmé, prévu et qu’on se promet de ne pas faire suivre d’un second, voire d’un troisième. Et, puis, il y a ce moment précis, presque imperceptible, où l’on sait que l’on va en commander un deuxième. Où l’idée surgit avant même que l’on ait réellement terminé le premier. Non pas par soif. Non pas par politesse. Mais par une force plus subtile, plus souterraine, où se mêlent chimie du cerveau, dynamique du désir, et la fragile euphorie des instants suspendus. Pourquoi, alors, cette envie est si difficile à réfréner ? Pourquoi ce deuxième verre nous appelle-t-il, souvent, avec plus de force que le premier ?Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey explique les raisons qui vous poussent à commander un deuxième verre.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Voix : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous étiez sûr d’être en train de boire un grand Meursault ? Et si c’était, en fait, un bon vieux bourgogne générique ? Vous ne vous en doutiez sûrement pas, mais sachez que certains restaurants profitent de l’ignorance de leurs clients pour remplacer des vins d’appellation vendus à prix forts… par des crus de moindre valeur ! On désigne cette pratique d’un terme qui n’est pas sans rappeler quelques rudiments de jardinage, à savoir le «rempotage». Une technique frauduleuse consistant à ne pas servir le vin commandé sur la carte, au profit d’un autre, bien moins cher. Cette fraude a été remarquée dans plusieurs bistrots de la capitale, notamment dans des quartiers touristiques.Résultat : plusieurs d’entre eux semblent avoir eu recours à cette méthode afin de gonfler leurs bénéfices – alors même que le vin constitue déjà une source très importante de marge –, au détriment du consommateur. Acte involontaire du serveur ou intention délibérée ?Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous dévoile une technique de restaurateurs frauduleuse, pratiquée dans plusieurs établissement parisiens.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Voix : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous connaissons tous ce fameux vague à l’âme teinté d’angoisse des lendemains d’excès. Désigné sous le nom de spleen par ceux qui aiment se comparer aux poètes du XIXe siècle, on le connaît aussi sous le terme d’hangxiety chez nos amis anglo-saxons. Il résulte, en réalité, d’un tourbillon vécu par le cerveau, bouleversant nos hormones, neurotransmetteurs, et par extension… nos émotions.Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous parle de dopamine, de glutamate, et de paradis artificiels. Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Montage : Antoine Lion RantyHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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