PhotoGenève Festival - podiffusion photographie et Genève - du 26 au 28 avril 2024

Marinette Barro a été sélectionnée par le comité pour l'Espace Libre 2024. Pour cette podiffusion PhotoGenève, elle nous parle de son projet exposé ce dernier week-end d'Avril. Et retrouvez son travail en ligne sur ses sites: https://www.axelprodstudio.ch/ma-galerie --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message

Joey Delgado a été sélectionné par le comité pour l'Espace Libre 2024. Pour cette podiffusion PhotoGenève, il nous parle de son projet exposé ce dernier week-end d'Avril. Et retrouvez son travail en ligne sur ses sites: https://www.instagram.com/mathemagician420/ https://acidfixer.tumblr.com/ --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message

Carla Da Silva a été sélectionnée par le comité pour l'Espace Libre 2024. Pour cette podiffusion PhotoGenève, elle nous parle de son projet exposé ce dernier week-end d'Avril. Et retrouvez son travail en ligne sur ses sites: https://www.carladasilva.ch/ https://www.instagram.com/carla_dasilva/ --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message

Martino Di Silvestro a été sélectionné par le comité pour l'Espace Libre 2024. Pour cette podiffusion PhotoGenève, il nous parle de son projet exposé ce dernier week-end d'Avril. Et retrouvez son travail en ligne sur ses sites: http://www.martinodisilvestro.it/ https://www.instagram.com/martinodisilvestro/ --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message

Rafael Duarte a été sélectionné par le comité pour l'Espace Libre 2024. Pour cette podiffusion PhotoGenève, il nous parle de son projet exposé ce dernier week-end d'Avril. Et retrouvez son travail en ligne sur ses sites: http://rafaelduartephotography.com/ https://www.instagram.com/rafaelduartephotography/ --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message

Anastasia Dutova a été sélectionnée par le comité pour l'Espace Libre 2024. Pour cette podiffusion PhotoGenève, elle nous parle de son projet exposé ce dernier week-end d'Avril. Et retrouvez son travail en ligne sur ses sites: https://anastasiadutova.org/ https://www.instagram.com/anastasia.dutova_photo/ --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message

Nino Vuarrier fut élu par le public pour l'Espace Libre 2024. Pour cette podiffusion PhotoGenève, il nous parle de son projet exposé ce dernier week-end d'Avril. Et retrouvez son travail en ligne sur ses sites: ⁠https://ninovuarrier.ch/⁠ ⁠https://www.instagram.com/nvuarrier/ --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message

Caroline Fink - sélectionnée Espace Libre PhotoGenève 2023 Description du projet: L'Iran est un pays de montagnes : nomades, montagnards, alpinistes – ils font tous partie de la société iranienne. La photographe Caroline Fink s'est rendue à plusieurs reprises dans les montagnes iraniennes. Elle n'y a pas découvert le pays plein de conflits que nous connaissons par les médias. Elle a plutôt découvert un peuple qui, par son attachement à la montagne, présente des parallèles avec la Suisse. Les montagnes marquent le quotidien des gens. Et elles imprègnent la culture persane. Ce n'est donc pas un hasard si le héros mythologique Arash se trouvait au sommet du Damavand lors de la naissance de la Perse. Et que l'oiseau mystique Simurgh se cache derrière les montagnes pour y garder la vérité. Les photos de Caroline Fink montrent des villages de montagne et des montagnards qu'elle a rencontrés. Et les paysages qui les entourent. Déclaration d'artiste: Depuis des décennies, l'Iran est omniprésent dans nos médias. Pourtant, l'image du pays que nous voyons ainsi ne correspond pas à la réalité. Lorsque je me suis rendu pour la première fois en Iran, j'ai été profondément impressionné par la chaleur et l'ouverture d'esprit de ses habitants. Et par une culture dont les racines remontent à des milliers d'années et qui est pour ainsi dire plus proche de nous que prévu : le persan est une langue indo-européenne et le peuple iranien est une parfaite tête de pont entre l'Europe et l'Inde. Avec mon projet d'images, je veux contribuer à montrer une image de l'Iran qui corresponde bien plus à la réalité que celle véhiculée par les médias. Site web https://www.caroline-fink.ch/ Instagram https://www.instagram.com/caroline.fink.zurich/ --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message

Ana D. Lombard et Noora Kulvik - sélectionnées Espace Libre PhotoGenève 2023 Description du projet: Ana D & Noora K s’interrogent sur les effets psychologiques et évolutifs que l’arrivée de ce qu’ils appellentl’IA aura sur l’humanité. Comme le bruit statique de la télévision ou une connexion internet défectueuse, nos esprits sont aussi en constante perturbation. Est-ce que ces interférences d’un signal constant auront des effets dans l’évolution de l’ADN que nous transmettons en tant que cellules vivantes? Est-ce que notre ADN évolue en harmonie avec l’environnement, la nature et le climat ou sommes-nous en train de glisser derrière l’écran, nous enfermant dans un monde artificiel qui n’a aucune considération pour les besoins biologiques de l’humanité?Avec cette série de travaux, Ana D & Noora K représentent d’abord les nucléotides englués dans le monde de l’IA, en essayant de résoudre la déconnexion et le mal-être qu’elle a apporté à notre psyché. Les sujets en question sont placés dans un espace vide, comme on peut l’imaginer dans un monde numérique, et sont laissés à eux-mêmes pour trouver leur vision de ce que signifie exister.Ana et Noora utilisent la photographie comme principal élément de construction de la série.Afin que les sujets simulent le sentiment d’être pris au piège dans un monde d’IA, elles utilisent des écranset des déchets plastiques et autres materiaux récupérés en tant qu’éléments pour construire la scenographie desiree dans la série. Elles utilisent les déchets, parce qu’ils sont la suite logique de leur travail précédent qui etais une recherche artistique sur les effets de la surconsommation et de la pollution sur les ressources naturelles et sur nous en tant que société.Il est important de comprendre que tout est lié et que rien ne peut être soustrait à notre passé.Les effets de mouvement, d’éclairage et d’exposition permettent aux artistes de capturer un effet qui dépeint la perturbation d’un flux d’informations régulier et constant. Déclaration d'artiste:Travailler comme duo depuis 2015 s’est avéré être une façon puissante et inspirante de créer. Avoir trouver ce lien créatif et un partenariat nous est précieux car on sent notre société devenir progressivement individualiste. Nous nous exprimons à travers la photographie, la vidéo et les médias mixtes pour raconter l’histoire de «Spinning Nature», une voyage profonde et transformationnelle qui nous emmène à confirmer notre conviction : la société ne prête guère assez attention à l’équilibre fragile de nos ressources naturelles. La symbiose ances- trale entre le comportement humain et la planète est en jeu et appelle à un état d’urgence. Il nous est essentiel de livrer un message visuel pour exprimer l’agression que subissent la nature, les ressources naturelles et l’humanité à cause de nos actions. https://www.anadnoorak.com/ Instagram: https://www.instagram.com/anadnoorak/ --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message

Roxana Savin - sélectionné Espace Libre PhotoGenève 2023 (audio en anglais - texte en Français) Description du projet: 'Je serai en retard ce soir' est un projet autobiographique, réalisé lorsque je vivais dans une résidence cloîtrée en Russie, entre 2012 et 2020. Cette communauté de logements isolée, abritant des familles d'expatriés de différents pays, avait une structure patriarcale. Les hommes étaient habituellement les pourvoyeurs des revenus familiaux, tandis que les femmes, qui avaient quitté leur travail dans le pays d’origine afin d’accompagner la carrière de leurs époux, étaient devenues des mères au foyer. Les épouses qui déménagent à l’étranger du fait de la carrière de leur compagnon sont appelées 'dépendant(es)' sur leurs visas. Dans le monde entier, on estime que 84% de ces partenaires sont des femmes. Pour beaucoup de femmes dans cette communauté, ainsi que pour moi, le point d’inflexion dans l’abandon du travail a coïncidé avec l’arrivée des enfants. Mon projet vise à mettre en lumière le rôle invisible mais essentiel des mères au foyer. 'Je serai en retard ce soir' se penche sur le mythe du bonheur domestique et sur l’idée du foyer comme lieu de résistance. La pression venant du besoin de perfection et de la projection d’une image de succès, étendue à la féminité, à la maison et à l’idéal de la famille traditionnelle, m’ont conduit à me questionner sur ma propre construction d’identité en relation avec les autres.A l’intérieur de la communauté d’expatriés, en tant que mères au foyer, j’ai eu des sentiments mélangés, entre être privilégiée et le compromis que j’ai fait en renonçant à mes aspirations personnelles. Réaliser cette œuvre a été pour moi à la fois une démarche thérapeutique et introspective. Cela m’a déterminé à analyser l’importance de la validation externe pour mon sens de l’identité et la nécessité d'une conversation ouverte sur un problème social non résolu. Site web: https://www.roxanasavin.com/ Instagram: https://www.instagram.com/roxana.n.savin/ --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message

Yves Curchod - sélectionné Espace Libre PhotoGenève 2023 Description du projet: Pratiquant la photo « urbex », je constate qu’il est difficile d’arriver au bon endroit au bon moment.Souvent, les lieux ont été trop récemment fermés pour que le temps y ait déjà apporté sa nostalgie, sa patine, ou au contraire ils le sont depuis trop longtemps pour présenter des équipements encore intègres qui reflètent l’activité passée.  En revanche, vidés de leurs installations depuis de nombreuses années repris par les éléments naturels, la végétation, la rouille, bref l’usure, ces locaux sont terreau fertile à la création de nouveau tableaux artistiques, qu’ils soient faits de lignes d’architecture épurées, de couleurs improbables.  Pour peu qu’une lumière toujours imprévisible dépendante de la météo du jour les magnifie… et ce sont d’invraisemblables fresques d’ART dans ces lieux d’EXploration délaissés qui s’offre à l’œil, à notre sensibilité. D’où ce titre : ARTEX.  Déclaration d'artiste: La pratique de la photo : Exutoire à ma vie d’entrepreneur, bien occupé. Elle challenge ma créativité, me ressource dans mon quotidien et me laisse, comme amateur, donner un libre cours total à la réalisation de mes photographies. Quand je photographie, je suis souvent ma seule limitation, je peux ne considérer que mon avis, sans conséquence si mon avis n’est pas défendable. Contrairement au monde professionnel.  Dans cet état d’esprit, deux citations m’interpellent particulièrement : Celle de Henri Cartier Bresson : « Photographier c’est mettre sur la même ligne de mire la tête, l’œil et le cœur ». J’essaie ! Aussi : « Je crois qu’un travail artistique atteint sa perfection quand il procure une joie silencieuse et sérénité » de Luis Barragán, architecte. C’est ce que je ressens quand j’ai réussi et que je tente de vous faire partager. Site internet : www.yvescurchodphotos.com --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message

Catherine Gfeller - sélectionnée Espace Libre PhotoGenève 2023 Description du projet: HK Women questionne les enjeux identitaires à Hong Kong en suivant le regard de protagonistes féminines. En novembre 2019, l’insurrection fait rage à Hong Kong suites aux menaces de Pékin de supprimer ses libertés. Au cœur de la ville, je mène mon projet en accompagnant cinq femmes dans leurs quêtes. Caméra en main, je les suis dans les rues paralysées et les émeutes. Elles expriment leurs revendications, leur désir de liberté, leur relation viscérale à leur ville en crise. Les photographies composées en diptyque mêlent collages et superpositions d’images, en écho au tumulte de la ville, à ses slogans, son architecture. Ce mode de composition suit les parcours de ces femmes et transmet aux spectateurs les renversements que le pays traverse. HK Women nous immerge au milieu des manifestations à travers des récits subjectifs dans une mégapole à l’identité vacillante. Déclaration d'artiste: Les mégapoles et leurs foules, les paysages indomptés ou les femmes en mouvement sont autant d’explorations des relations existentielles entre l’être humain et son environnement. Par la photographie, je mets en scène ces motifs comme une vision subjective de nos vies contemporaines, éloignée de la seule visée documentaire. Cette approche se construit en dialogue avec les habitants, dont les témoignages sont réinterprétés en mêlant mes propres vues d’artiste étrangère. Nos expériences combinées produisent une narration singulière de la ville, nourrie de perceptions, de sensations, de rêves. Lors des expositions muséales, photographies, vidéos, installations sonores et textuelles s’entremêlent afin de créer un parcours immersif. La ville s’y déploie, entre fiction et réalité. Mode de composition et récits personnels se répondent afin de recréer les expériences sensorielles, émotionnelles et imaginaires qui nous lient au monde. http://www.catherinegfeller.com/ Son profil Instagram: https://www.instagram.com/catherinegfeller/ PhotoGenève: https://phge.ch/ --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message

Audrey Leclerc - sélectionnée Espace Libre PhotoGenève 2023 Description du projet: Underwater love, mon nouveau projet de portraits met en lumière un nouveau besoin de s'exprimer, de réconcilier le corps et l'esprit dans l'élément eau, cet univers peu familier dans lequel nous avons pourtant évolué les 9 premiers mois de notre vie. Déclaration d'artiste: Underwater Love pour moi, c’est trois moments extraordinaires.Le premier : les gens sur la rive, intrigués, qui vous suivent des yeux jusqu’à l’immersion totale. Puis soudain, le silence. Plus un regard, sinon celui que l’on porte à soi-même et à ce qui nous entoure.Vient alors le deuxième moment extraordinaire : l’abandon de soi et l’expression intime de tout ce que nous sommes dans l’instant. Dans l’eau, on lâche prise, on s’oublie et en même temps, on ne fait plus qu’un avec soi-même, comme si cet élément nous rappelait à l’origine de notre création, dans la quiétude du ventre de notre mère.C’est alors que se produit le troisième moment extraordinaire : lorsque nous remontons à la surface pour reprendre notre souffle... pour moi, c’est comme une seconde naissance. https://www.lhumen.ch/ Son profil Instagram: https://www.instagram.com/lhumenphotographie/ PhotoGenève: https://phge.ch/ --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message

Juan Carlos Pita Castro - sélectionné Espace Libre PhotoGenève 2023 Description du projet: Ce projet d’une quinzaine de photos a été réalisé à Genève et en Espagne. Il raconte à sa manière la plage, ces étendues de sable caressées par le flux et le reflux des vagues. Il documente la vie si particulière qui s’y déroule en été. Il documente cela en provoquant l’aléatoire, en titillant la lumière, cette matière que la photographie veut dompter et qui caractérise cette période estivale.Assis sur le sable, je sortais de mon appareil le rouleau que je venais d’exposer. J’écartais les couches pour y faire entrer la lumière, pour qu’elle envahisse le film. J’ai fait cela pour chaque rouleau, parce que je voulais que la lumière apporte un peu d’irréel au projet. Il m’a fallu accepter de ne pas maîtriser grand-chose, de perdre certaines photographies pour que certaines s’extraient un peu plus du réel. Déclaration d'artiste: Juan Carlos Pita Castro pratique la photographie argentique. Il apprécie les limites du film et les contraintes de l’argentique, l’attente et la frustration, la surprise et l’étonnement d’une technologie moins définie. Sa photographie est essentiellement en noir et blanc. Le film et le noir et blanc lui permettent de prendre ses distances avec la surface des choses, de décoller de cette surface. Sa photographie est progressivement devenue plus méditative. Il aime l’idée que la photographie arrache quelque chose au temps, et que parce que ce qu’elle présente est arraché au temps elle offre une prise au déploiement de l’imagination. S’il savait dessiner, il aurait été artiste peintre. Mais voilà, il n’a aucun talent pour cela.      https://www.juancarlospitacastrophotography.com/ Son profil Instagram: https://www.instagram.com/juan_ito_p/ PhotoGenève: https://phge.ch/ --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message

Pour cette édition 3 (et demi) du festival PhotoGenève, l'équipe vous proposera une podiffusion exclusive avec des interviews sur Genève et sa relation à la photographie. Par sa position unique en Europe et dans le monde, son mélange de cultures et situation historique, la ville de Calvin est un berceau à toutes les histoires de l'images. Ce premier épisode est une introduction et vous parlera une peu de l'édition 2023 à venir fin avril (du 28 au 30 avril bloquez vos agendas!). A bientôt pour les premiers interviews!! :) Toute l'équipe du festival PhotoGenève. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/photogenevefestival/message