Pierre Donais s’interroge sur ces gros dormeurs qui n’entendent rien, même en pleine nuit. Il raconte l’histoire d’un homme en détention à domicile, qui a échappé à plusieurs appels de son agent de probation, simplement parce qu’il dormait trop profondément pour entendre le téléphone. Le juge lui a finalement donné le bénéfice du doute, et a simplement demandé d’augmenter le volume de la sonnerie. En conclusion, Donais nous invite à réfléchir : est-ce que nous aussi on pourrait rater quelques appels en pleine nuit ? Finalement, c’est peut-être une excuse parfaite pour échapper aux appels indésirables.
Pierre Donais met en lumière une ville confrontée à un budget plus serré que jamais, résumant la situation par le slogan « faire moins avec moins. » Il souligne que c’est un peu comme la vie de chacun d’entre nous : on doit faire des choix judicieux et revoir nos dépenses, car tout coûte plus cher. Si nous, citoyens, devons vivre selon nos moyens, il en va de même pour l’administration publique. Il nous rappelle que c’est une question de dépenser intelligemment et de se demander à chaque fois si une dépense est vraiment nécessaire.
Pierre Donais revient sur le débat actuel autour du vouvoiement, notamment dans les écoles et les médias, en soulignant que pour lui, le vouvoiement est une marque de respect qui inclut tout le monde dans la conversation. Il raconte comment, à l’époque, son équipe de radio s’était fait imposer le tutoiement par la direction, alors qu’eux utilisaient le vouvoiement pour créer une connexion respectueuse avec les auditeurs. Aujourd’hui, il se réjouit de voir que le vouvoiement revient en force, notamment dans les écoles, et il salue cette initiative qui remet au goût du jour une certaine politesse et une tradition de respect.
Pierre Donais soulèvait la semaine dernière, une question cruciale : la vie privée existe-t-elle encore ? Il nous parle de la police de Montréal qui va utiliser un logiciel de surveillance en temps réel avec de nombreuses caméras. D’un côté, cela rappelle des scénarios de séries télé comme Person of Interest, où la surveillance peut prévenir des crimes. De l’autre, cela pose de grandes questions sur les abus potentiels et la disparition de la vie privée, déjà bien entamée par les réseaux sociaux et les caméras partout. En bref, il nous laisse avec cette grande question : notre vie privée est-elle en train de devenir une illusion ?
Ce matin, Pierre Donais partage une réflexion inspirée par un article de La Presse Plus sur l’importance de l’intérêt composé. Il se souvient avoir investi 1 000 $ dans son premier REER sur les conseils de son père, il y a environ 50 ans. Avec le temps et la magie des intérêts composés, cette somme est devenue environ 64 000 $. Il fait le parallèle avec une vieille émission de jeu des années 50, « La question à 64 000 $ », où une candidate avait réussi à gagner malgré les questions difficiles. En conclusion, il nous rappelle qu’investir tôt et laisser le temps faire son œuvre permet de se retrouver avec une jolie somme, sans avoir à répondre à des questions de quiz.
Pierre Donais partage une anecdote à la fois comique et absurde sur un cas de rage au volant à Montréal qui a dégénéré en agression avec… un bidon de lave-glace. Il raconte en riant comment un automobiliste de 22 ans a poursuivi un autre conducteur jusqu’à une station-service et l’a frappé avec le bidon. Donais s’amuse de l’absurdité de la situation, en se demandant si on va bientôt devoir passer un permis pour utiliser un bidon de lave-glace ! Finalement, l’agresseur a écopé de quelques mois de prison. Et malgré le ton léger, c’est un rappel que la colère au volant peut vraiment mener à des situations pour le moins surprenantes.
La théorie des cinq bons coups est un concept qui suit Pierre Donais dans sa vie professionnelle et dans sa vie personnelle depuis les 30 dernières années. Le principe est simple : chaque soir, Pierre s’assoie et réfléchit pour ressortir cinq choses qui se sont bien passées dans sa journée. Cette technique permet de commencer la journée avec une intention positive, soit choisir de rechercher les petits bonheurs dans les 24 prochaines heures : un appel avec un ami, un projet avec son fils qu’il aime encourager professionnellement.5 bons coups par jour pendant un mois, c’est à peu près 150 bons coups, ce qui n’est pas négligeable! Ainsi, si on passe une mauvaise journée le 31 du mois, cela nous permet de relativiser et de trouver la motivation pour avoir une meilleure journée le lendemain!
Pierre Donais soulèvait ce matin, une question cruciale : la vie privée existe-t-elle encore ? Il nous parle de la police de Montréal qui va utiliser un logiciel de surveillance en temps réel avec de nombreuses caméras. D’un côté, cela rappelle des scénarios de séries télé comme Person of Interest, où la surveillance peut prévenir des crimes. De l’autre, cela pose de grandes questions sur les abus potentiels et la disparition de la vie privée, déjà bien entamée par les réseaux sociaux et les caméras partout. En bref, il nous laisse avec cette grande question : notre vie privée est-elle en train de devenir une illusion ?
Il y a des traditions radiophoniques qui marquent une région entière, et le commentaire de 8 h 20 signé Pierre Donais fait partie de celles qui ont façonné l’histoire médiatique de l’Outaouais. Pourtant, ce rituel devenu sacré n’était, au départ, qu’une simple idée lancée par le directeur de CIMF de l’époque.C’était devenu un rendez-vous humain, presque intime.